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Raphael & Willow

@ Invité

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Mer 20 Mai - 10:38
Willow est sur une piste. Elle avait couché ses enfants tôt et était partie directement après, laissant ce pauvre Samuel seul, une fois de plus ; mais c’est pour la bonne cause puisqu’il s’agit de traquer un potentiel voleur récidiviste. On l’avait appelée dans l’après-midi pour lui donner un tuyau, une de ses connaissances des milieux chaud de New-York, une sorte d’indic. Ni une, ni deux, elle se retrouve en planque à 21 heures, la voiture remplie de gâteaux, comme à son habitude, et d’une thermos entière de café. Il faut au moins ça pour tenir la nuit. Sauf que les heures passent et rien ne se passe. Willow commence à trouver le temps long, seule dans sa voiture et elle n’a plus de vie à candycrush ou à gardenscape… La loose. Elle est tentée d’appeler son mari, histoire de discuter un peu, mais en regardant l’heure, elle se dit qu’il doit déjà dormir. Plus qu’à prendre son mal en patience. Une vingtaine de minutes s’écoulent encore quand tout à coup, un homme sort d’une maison et monte dans un cabriolet. Il correspond à la description qu’on lui a donné. Il se met en route, et la détective le suit, le plus discrètement possible afin de ne pas se faire repérer. A cette heure de la nuit, peu de voitures circulent et forcément, il est plus difficile de passer inaperçu. Bientôt, la voiture s’arrête devant un magasin. Elle ralentit son propre véhicule et prend place sur le parking. Il va à l’intérieur et au bout de cinq minutes, ne le voyant plus, elle entre à son tour dans le magasin. A cette heure, il n’y a pas grand monde mais elle trouve tout de même un employé, visiblement occupé à mettre des produits en rayon. Elle fait le tour du magasin, regarde dans l’ensemble des rayons mais l’homme a disparu. Merde. Où a-t-il pu bien aller ? Elle l’aurait vu s’il était sorti. Pas le choix, elle s’approche de l’employé qui pourra peut-être l’aider. « Excuse-moi. Tu sais où il est parti le client qui était entré juste avant moi ? » Par réflexe, son pied tapote légèrement sur le sol, geste qu’elle fait sans forcément s’en rendre compte quand elle est contrariée ou prise par le temps. « Vous avez une porte secrète ou une autre sortie ? Il faut absolument que je le retrouve. »

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Sam 23 Mai - 22:04
Raphael
&
Willow

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Tu regardes l'heure sur l'horloge au dessus de la caisse et comme chaque fois, tu vérifies qu'elle correspond à celle de la caisse. Tu ne sais pas pourquoi tu fais ça, mais tu le fais, c'est tout. Ton collègue ne devrait pas trop tard mais tu le connais, il ne sera pas à l'heure. Tu commences à imaginer ses excuses. C'était quoi hier ? Quelque chose au sujet de son téléphone qui était déchargé et de son besoin d'attendre d'avoir une batterie pleine avant de venir. Comme chaque nuit, tu ne lui as rien dit et cette nuit ne changera rien. Tu n'en penses pas moins mais tu ne vois pas quoi lui répondre...
En vrai.. il y a tellement de choses qui traversent ton esprit mais jamais les mots ne franchissent tes lèvres. Ce n'est pas que tu ne parles pas mais si on te pose une question, il faut être patient le temps que la pensée fasse son chemin jusqu'à te bouche.
Tu décides de faire de la mise en rayon. Enfin tu décides. C'est ce que tu fais toutes les nuits à la même heure pour passer le temps. Les rayons n'ont généralement rien qui manque à cette heure-ci, surtout si personne n'est passé depuis ton dernier passage en rayon mais comme ça, tu t'assures que tout est bien à sa place. Et si quelqu'un était passé pendant que tu avais fait une pause pour aller aux toilettes ? Tu n'es pas allé aux toilettes, tu n'y vas jamais pendant ton service mais admettons.
Le magasin n'est pas grand alors tu as vite fait le tour. Quand on entre, il a les caisses à droite, trois caisses pour être exact mais la nuit, une seule est vraiment utile et c'est pour ça que tu es seul. les rayons vont des caisses jusqu'aux frigos où sont stockés l'alcool et autres boissons, ça permet d'avoir un oeil dessus. Au fond, il y a d'autres frigos pour les produits frais. En tout, il n'y a que trois rayons, sans compter les portants avec les friandises et les articles type lunettes de soleil, etc... Et derrière les caisses, il y a les cigarettes et autres joyeusetés. Il y a aussi une porte qui mène à l'arrière boutique avec un petit panneau rouge indiquant qu'il est interdit d'entrer.

Enfin bref. Tu es en pleine mise en rayon quand la porte du magasin s'ouvre sur un homme. Tu passes ta tête au dessus du rayon pour le regarder. Peut-être est-il là pour les cigarettes mais non, il se dirige dans un premier temps vers les frigos du fond pour se prendre une boisson. Tu continues donc ce que tu faisais quand il se dirige vers la caisse, boisson en main. Tu t'empresses d'accepter sa commande et de lui donner un paquet de clope en plus. Il paye en espèce et te demande s'il peut utiliser les toilettes. Comme il a payé une boisson, tu lui tends une clé accrochée à un énorme morceau de bois où il est noté "toilets". C'est une manière d'éviter que la clé soit volée mais d'un côté, elle n'ouvre que les toilettes auxquelles on accède depuis la porte interdite au public. C'est une pièce avec un toilette et un lavabo, rien de fou mais il n'en faut pas plus, n'est-ce pas ?
Tu retournes tout de suite vaquer à ton occupation première en attendant que le client revienne te rendre la clé. C'était urgent, une grosse commission apparemment, enfin.. tu ne lui as pas demandé les détails non plus.
Au bout de quelques minutes, un autre client entre, une femme cette fois.
Rebelote, tu lèves la tête pour vérifier que ce n'est pas que pour des cigarettes et tu commences à te diriger vers la caisse quand elle t'aborde. Directe, la cliente t'agresse et te tutoies. Alors par réflexe, tu te fermes en la fixant sans vraiment la regarder. Sa façon de taper du pied sur le sol te stresse légèrement et tu as envie de lui marcher sur le pied. Finalement, au bout d'une bonne grosse minute, tu finis par lui répondre « Le client a la diarrhée. » que tu lui dis, de but en blanc. Ce n'était sans doute pas ce qu'elle voulait savoir mais.. voilà. Tu ne lui dis pas où sont les toilettes pour autant, ni s'il est allé aux toilettes au final. Sans plus un mot, tu te diriges vers la porte mais tu ne sais pas trop si tu devrais. Est-ce qu'elle est inquiète pour lui ? Quelle est la relation qu'ils entretiennent ? Ces questions font leur chemin vers tes lèvres mais auront-elles le temps de sortir ?
Tu te places devant la porte qui mène à l'arrière boutique, aux toilettes et accessoirement à une ruelle derrière pour faire barrage juste au cas où et tu regardes la cliente. « Les toilettes ne peuvent accueillir qu'une personne à la fois et il est interdit par le règlement d'y avoir des relations sexuelles. » Alors déjà, si avec ça, tu ne passes pas pour un attardé ou pire, pour un pervers.. mais c'est ton truc, d'énoncer les évidences comme ça. Tu n'as aucun retard mental mais par contre socialement.. c'est autre chose.

@ Invité

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Lun 1 Juin - 11:41
Willow ne peut s’empêcher d’écarquiller les yeux quand elle obtient une réponse pour le moins surprenante. « La diarrhée ? » Laisse-t-elle échapper d’une voix tordue, un peu trop dans les aigues. « Il vous a vraiment dit qu’il avait la diarrhée ? » Il faut dire qu’elle n’en revient pas. Elle en rencontre, des gens pas nets, dans le cadre de ses enquêtes, mais elle ne cessera jamais d’être surprise par ces petites choses inhabituelles et anecdotiques qui se passent autour d’elle. Dans d’autres circonstances, elle n’aurait pas manqué de laisser échapper un petit sourire amusé mais là, sa tête est trop occupée à retrouver l’homme qu’elle suivait pour perdre son sérieux. Ces informations ne lui suffisent donc pas, mais l’employé se dirige vers une porte et elle comprend donc que le client est allé aux toilettes. L’employé semble à cheval sur les règles mais il se trompe complètement sur les intentions de la détective qui n’a aucune envie d’avoir une relation sexuelle dans des toilettes… Enfin, dans un autre temps, pourquoi pas, mais c’est pas leur genre, avec Samuel de s’adonner à ce genre de pratiques bestiales. Elle fait disparaître son mari de ses pensées, ce n’est pas le moment.

« Cet homme n’est ni mon mari, ni mon amant. » dit-elle sur un ton ferme qui ne laisse aucun doute sur la véracité de ces mots. « Il est… recherché par la police. » Bon, là, c’est un peu moins vrai mais pas complètement faux non plus, parce qu’il est coupable de vols si les informations qu’on lui a fourni sont exactes. Elle a baisse le ton pour cela, des fois que l’autre soit en train de les écouter. « C’est vraiment important. » Elle le supplie presque. Dans d’autres circonstances, elle aurait foncé sans demander son reste, se frayant un chemin au travers de la porte, que le passage soit interdit ou non, mais elle n’a pas envie de s’embrouiller avec l’employé alors qu’elle est susceptible de revenir faire des courses ici un jour ou l’autre. « Ça fait longtemps qu’il est là-dedans ? On pourrait aller vérifier qu’il y ait encore ? » Elle a peur qu’il se soit enfui pour tout dire et si ça se trouve, il est déjà trop tard, mais il faut qu’elle essaye.
Spoiler:

@ Invité

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Lun 22 Juin - 20:25
Raphael
&
Willow

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Ton visage reste impassible. Est-ce que c'est vraiment ce que le client avait dit ou est-ce que c'est que ce que tu en as conclus ? Tu ne sais pas trop mais vu la vitesse à laquelle il s'est rué sur la porte après que tu lui ai donné la clé, tu ne dois pas être très loin de la vérité.
La jeune femme, tu ne la regardes pas dans les yeux. Tu n'aimes pas trop ça, regarder quelqu'un dans les yeux. C'est malaisant. Alors oui, ça te donne le regard fuyant et probablement l'air encore plus con que ce que tu es mais ce n'est pas à ton âge que tu vas changer.
Alors tu hausses les épaules et tu te décales un peu plus pour cacher la porte. Vu ta carrure, c'est peine perdue et tu n'as pas la prétention de pouvoir arrêter qui que ce soit, pas même une femme. Peut-être un enfant mais tu n'as jamais eu l'occasion de devoir te mettre en travers du chemin d'un enfant et tu espères que tu n'en auras jamais l'occasion.

A la déclaration de la relation que la femme entretient avec l'homme, ou plutôt l'absence de relation, tu arbores un air plutôt dubitatif. S'ils n'ont rien en commun, pourquoi ces questions ? Elle est de la police ? Et c'est ce que tu conclus. Tu hésites une seconde à poser la question. Est-ce que ce devrait être évident ? Oui. Non. Peut-être. Dans les films, ils montrent leur badge. Est-ce que ce devrait être comme ça dans la vraie vie ?
Tu te poses tellement de question que tu en oublies de protéger cette porte qui te tiens tant à coeur. Ah oui, c'est vrai, le client dans les toilettes. Tu hausses à nouveau les épaules. Il est vrai qu'il prend son temps mais il ne va pas juger.. enfin il jugera de l'état des toilettes quand il sera sorti. Tu sais qu'il y a du papier toilette donc il n'est pas coincé dedans.. peut-être qu'il n'a pas pu se retenir et que.. l'image du caleçon garni s'impose en toi et tu as comme une petite envie de vomir à cette idée. Tu fronces le nez et tu décides d'aller vérifier. « Je vais voir s'il a besoin de quelque chose. Ne bougez pas. » tu ajoutes, pointant du doigt le sol à ses pieds comme si tu dressais un chien.
Tu te retournes et passes la porte, quelques pas et tu es devant la porte fermée des toilettes. Tu frappes doucement. Pas de réponse. Tu frappes un peu plus fort. Toujours pas de réponse. Tu tends l'oreille mais tu n'entends rien. « Tout va bien, monsieur ? » Le doute plane au dessus de ta tête. Est-ce qu'il est là ? Est-ce que quelque chose lui est arrivé ? Tu as entendu une histoire comme quoi on pouvait s'évanouir sur les toilettes. Tu commences à paniquer, te dandinant sur tes pieds tu l'appelles encore d'une voix légèrement plus aigüe. Tu jettes un regard à la porte que tu viens de passer et que tu as refermé derrière toi. Est-ce que tu devrais aller chercher la femme ? Elle saurait sans doute quoi faire si elle est de la police.
Tu frappes une dernière fois, tellement fort que tu te fais mal aux doigts. Sans réponse, tu retournes sur tes pas et ouvre la porte en grand. « Je crois qu'il a poussé trop fort. » tu sors sans prévenir.

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Sam 25 Juil - 9:50
Willow n’aime pas tellement que l’homme lui ordonne de ne pas bouger. Elle n’a pas pour habitude de suivre les ordres qu’on lui donne et d’ailleurs, c’est plutôt elle qui les donne que l’inverse en temps normal. Elle régit sa vie et sa famille d’une main de maitre, sachant se faire obéir sans avoir à hausser le ton toutes les cinq minutes. Il faut dire que ses petits anges sont vraiment des amours et même s’ils font des bêtises de temps en temps comme tout enfant, elle n’a vraiment pas à se plaindre dans l’ensemble. Elle soupire – au point qu’on dirait presque un taureau mécontent – mais forcée de constater que l’employé a fermé la porte derrière lui, elle n’a pas d’autre choix que de se résoudre à attendre patiemment. Pour autant, son pied tape sur le sol, signe d’impatience. Elle s’approche de la porte et y appose son oreille pour entendre ce qui se passe. C’est long. Beaucoup trop long pour qu’il n’y ait pas de problème.

Entendant des pas revenir en sa direction, elle se recule de la porte et voit de nouveau le salarié devant elle. Elle ne comprend pas ce qu’il veut dire, si ce n’est qu’il n’a pas dû pouvoir s’assurer que l’homme est toujours là. Putain ! Le stress monte en elle. Si ce délinquant lui file une fois de plus entre les mains, elle est bien dans la merde ! Elle fronce les sourcils, mais rapidement, c’est l’instinct qui prend le dessus et elle annonce en même temps qu’elle avance : « Je vais voir. » Ne laissant pas vraiment le temps au vendeur de l’en empêcher ou de refermer la porte derrière lui. Elle y va d’un pas décidé mais ne connaissant pas les lieux, elle est vite obligée de ralentir pour se familiariser avec l’endroit. « Elles sont où vos toilettes ? » qu’elle hurle à travers la réserve pour que le brun l’entende et lui réponde. Elle sort déjà son couteau suisse de son sac à mains, outil indispensable pour crocheter toutes les serrures.

Encore un pas et elle se prend les pieds dans une caisse au sol. Elle grogne. L’autre connard doit déjà être loin avec tout le temps qu’ils ont perdu, sauf si comme le dit l’employé, il est coincé dans les toilettes à faire la grosse commission. Allez savoir pourquoi, elle n’y croit guère. « Pourquoi c’est pas rangé ça ? » Dit-elle à l’employé comme si elle était chez elle. Comme si ça avait de l’importance en plus… Elle avance jusqu’à une porte et voyant qu’elle ne s’ouvre pas, elle dégaine son outil. Faut qu’elle en ait le cœur net, qu’elle voit si l’autre est là, peu importe si elle le retrouve le cul plein de… « Je suis sûr qu’il a bloqué la porte avec un balai ou un truc… Il y a une fenêtre qui donne sur l’extérieur dans la pièce ? » Tellement dans son truc, la détective privée ne se préoccupe pas de savoir si elle est légitime à être ici et à faire comme bon lui semble.

@ Invité

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Ven 27 Nov - 12:06
Raphael
&
Willow

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Tu n'as pas d'autre choix que de t'écarter de son chemin si tu ne veux pas finir piétiné par la jeune femme. Les yeux écarquillés comme un merlan, tu la regardes se ruer à l'intérieur de la réserve de son pas lourd, tu lui indiques du doigt la porte des toilettes, unique porte à l'entrée de la réserve mais elle est déjà trop loin pour te remarquer. C'est là qu'elle t'interpelle alors tu t'avances pour te poster près de la porte. Cette fois, tu ne lui bloques pas le chemin, tu n'es pas fou. Si on te laissait le choix, tu fuirais te réfugier dans la boutique, derrière le comptoir où tu devrais être actuellement.
Voilà qu'elle critique l'organisation de la réserve alors qu'elle se prend les pieds dans un carton qui a parfaitement sa place ici, contrairement à elle mais tu ne pipes mot. Elle ne l'écoute toujours pas tandis qu'elle essaye d'ouvrir une porte condamnée depuis aussi loin qu'il se souvienne. C'est la porte qui donne sur la boutique d'à côté. Fort heureusement, elle est fermée à cette heure ci mais ils auraient été surpris de voir quelqu'un débarquer.
Tu ouvres la bouche pour parler et la referme sans que rien n'en sorte. Tu hésites à appeler la police à ce stade mais tu finis par prendre ton courage à deux mains et à hausser un peu le ton. « Cette porte est condamnée. La porte des toilettes est juste là et non, il n'y a pas de fenêtre dans les toilettes mais on a un spray pour masquer les mauvaises odeurs. » ajoutes-tu en criant presque, ta voix étant montée en crescendo. Tu lui montres enfin la porte avec le petit panneau indiquant "toilettes" dessus. Tu ne veux pas la vexer mais tu commences à te demander comment vous en êtes arrivé là.
Il te faut reprendre ton souffle, toutes ces émotions.. ça ne te va pas. Howie sera sans doute d'accord avec toi pour dire que cette jeune femme est folle mais tu ne le diras jamais en face de la concernée. Et c'est toi qui a séjourné à l'hôpital ? Tu n'aurais pas voulu l'avoir comme camarade de chambre, l'autre folle t'avait suffit !
Après un petit temps, tu juges bon de lui partager une information probablement cruciale pour elle. « Il y a la plateforme de chargement à l'arrière de la réserve et la porte ne ferme pas. » Tu la regardes de ton air impassible au possible, à la limite du haussement d'épaule. A voir sa réaction depuis qu'elle a franchi la porte de la réserve, l'homme n'est peut-être jamais allé aux toilettes et dans ce cas, la porte des toilettes est fermée de l'extérieur et non de l'intérieur. Tu espères simplement qu'il n'est pas parti avec l'unique clé... toi aussi, il t'arrive d'aller aux toilettes.

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