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Art is a lie that make us realize the truth.w/.Dante

@ Invité

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Sam 3 Oct - 2:20
❖ Did you ever hear the philosophy that once a man admits he is wrong, that he is immediately forgiven for all wrongdoings?
ART IS A LIE THAT MAKE US REALIZE THE TRUTH ☼ DANTE
A dix huit ans, un jeune homme pense plus au sexe qu'à la suite de sa vie. Cela n'était pas le cas pour tout le monde, effectivement j'étais bien différent de mes semblables. Pour rappel, j'ai été un enfant introvertie, toujours dans ses comics et ses feuilles blanches. Au Lycée, j'ai été considéré comme un Alien enfin un Alien... Ce fut justement l'inverse, car j'ai voulu m’intégrer la dernière année, j'ai rejoint l'équipe de natation et beaucoup d'amis me posait la question si cela n'était pas intriguant de voir tout ses corps nus ou même de voir l'équipe féminine. Et bien cela me faisait ni chaud ni froid, je m'y intéressais pas. Je trouvais surement les corps beau ou autre, mais rien de plus. Il n'y avais pas cette étincelle qui fait tourner le cerveau en bourrique et la queue j'en parle pas. On dit alors que je suis Asexuel? un mot bien étrange... Cette étiquette ne me convenait pas et plus je me posais des questions plus cela me stresser et plus j'arrivais pas à me décider... Le lycée s'est finit et j'ai déjà 18 ans. Columbia m'ouvre ses bras. Quel surprise !

Je venais d'être inscrit à Columbia, le rêve surtout pour un fils d’immigré tel que moi, je ne sais pas vraiment comment j'ai fait si ce n'est pas mal lettre de motivation qui montrait la puissance de ma famille ou la bourse que j'ai réussi à décrocher grâce à mes notes. Ma famille était si fière de moi, le premier Pereyra a rentré dans une université Américaine, ne serait ce pas le début du rêve américain? J'ai du faire des pieds et des mains pour demander à mon oncle de m'héberger chez lui dans le Bronx, mais avant de pouvoir déménager mon oncle voulait que je fasse une chose. il connaissait ma passion pour le dessin, mais pour savoir si cela valait vraiment le coup. Il me donna une adresse d'un centre culturel qui proposait un stage de dessin, ainsi peut être évaluer mon niveau ? Je n'étais pas sur que cela soit vraiment nécessaire, mais j'écouta mon oncle et je décida de suivre ce stage.

Mon premier jour fut comme une rentrée des classes, vous connaissez ça non ? Cette envie de vomir à tout bout de champs ? Cette insomnie qui t'empêche de fermer l'oeil et du coup tu finis par regarder des vidéos de PewDiePie sur Youtube. Arriver dans ce centre, avec mon sac en bandoulière, ce Jeans un peu trop large et ce débardeur blanc parce que il fait extrêmement chaud cette été. En entrant, je vois quelques jeunes de mon âge, des moins jeunes et des enfants. Je demande mon chemin pour la salle d'art pour le stage. On me guide vers une grand pièce, des chevalets formaient un arc de cercle et au centre se trouvait un divan. Bien curieuse manière de décorer cette pièce, je vis un homme plus âge que moi avec des petites lunettes rondes et des cheveux tellement permanenté qu'on aurait dit un postiche. C'était le fameux intervenant "Silvio" un immigré Italien au fort accent méditerranéen, il m'invita a m'asseoir étant le premier arriver je tente de faire passer le temps en jouant à Candy crush sur mon téléphone.

Je me rend pas compte que la salle se remplit si vite et que le cours allait bientôt commencer. Je m'attendais à faire de la nature morte et je m'étais préparé. Cependant l'Italien semblait d'un avis différent en voulant faire rentrer un homme dans la pièce. Un homme grand dans la trentaine, une carrure de nageur, il était vêtue d'un peignoir rouge et il s'approchait vers le divan... «Ma queeee bon, Aujourd'hui vous allez tenter de représenté cet apollon dans votre style oké? Maaaa yé né vé pas lé savoir vous essayé... Dio mio...» Quand il employé le mot de dieu en vain, l'homme retira son peignoir se retrouvant alors nu comme un ver, il s'installa sur le divan et j'arrivais pas à regarder correctement son corps, qu'il m'arrivait de plisser les yeux. Je sors un bout de fusain de ma trousse et je commence à dessiner tout en observant l'adonis.

L'heure passe et je suis tellement concentrer que je ne remarque pas le temps défiler, ni à quel point j'étais fasciner par le corps du model, je le trouvais beau. Une peau légèrement halé, l'ombre qui se dessinait sur son abdomen laissé rêveur et je ne parle même pas de son anatomie qui semblait douce au touché... J'avais eu chaud, une sensation que je ne connaissais pas et plus je m'attelais à la tache plus je sentais quelques choses prendre de l'ampleur dans mon jeans remarquant alors cette bosse sur le tissu bleuté... Comme si c'était le meilleur moment pour avoir ce genre de réaction alors que je n'en ai jamais d'habitude a part le matin... Bon sang je me sens un peu largué et mon voisin me regarde et je me sens mal à l'aise... L'intervenant sonne la fin du travail et il viens voir chacun des élèves pour commenter le travail. Quelques beaux travail pour lui et pour moi quand il passa à mon niveau, il fut impressionné pour un jeune d'arrivé à capter la texture de la peau... bon en vrai je m'en foutais je tentais de cacher mon erection avec mon sac jouant les timides peut être que ça marche... A la fin du cours je me lève, je commence à ranger mes affaires et en commencant à partir je percute un jeune homme : «Perdoneme, je veux ...» En levant les yeux vers la personne je remarque que c'était le voisin qui avait vu que j'avais eu une erection... mes joues virent au rouge facilement. Bon dieu pourquoi je suis là moi ? Alors que je sens encore cette tension dans mon boxer.



⇜ code by bat'phanie ⇝

@ Invité

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Lun 26 Oct - 17:01

Art is a lie that makes us realize the truth

feat. @Matìas Pereyra


L’art. Ce petit quelque chose qui l’avait toujours suivi depuis qu’il était tout petit. Ce petit talent qu’il avait dans ses gênes sans en connaître réellement la source. Ce n’était certainement pas de ses parents directement tous deux ayant plutôt ce talent inné de s’engueuler pour ne rien régler. Dante ne voulait pas en faire son métier, lui qui rêvait de devenir chirurgien, mais il voulait malgré tout se donner une chance de pousser un peu plus cet aspect chez lui. Il avait donc pris des cours de dessins indépendant, quand même pas débutant pour éviter l’ennuie monumental chez sa personne. Il avait appris la base il y avait de cela bien longtemps et était ici pour pousser un peu plus ses apprentissages. Ayant fait quelques recherches, il avait fini par s’inscrire dans un cours aux apprentissages diverses, dont le corps humain. Des modèles bel et bien réels, par exemple, de quoi lui faire réaliser que c’était du sérieux. À voir si la description était réelle ou mensongères, sait-on jamais. Mais il avait pu ramasser assez d’économie pour pouvoir investir dans ce talent chez sa personne, se pointant au fameux jour avec cette hâte et curiosité assoiffé de nouvelles connaissances.

Cette nervosité de la nouveauté chez lui n’existait pas, ou du moins, elle était des plus positives plutôt qu’angoissante. Il adorait voir de nouvelles têtes, faire de nouvelles connaissances tout aussi bien. Malgré qu’il ne soit pas ici pour se ramasser des numéros de téléphones bien évidemment. Enfin oui mais non. S’il pouvait le faire, il n’allait pas se gêner voyez-vous? Mais son but de base était de réellement apprendre et de ne pas foutre son investissement par la fenêtre. Est-ce que ça allait l’empêcher de choisir avec précision sa place ? Bien entendu que non. Juste pour se rincer l’œil, promis. C’était pas un crime en soit non ? C’était de toute un processus un peu inconscient de sa part que de prendre spécifiquement cet endroit, se permettant de se perdre un brin dans ses pensées avant que le cours ne commence réellement. Et pour un premier cours, il faut dire qu’ils commençaient en grand. Dante avait eu cet air un peu surpris oui, devinant qui était le modèle et lequel d’entre les deux allaient perdre le peu de vêtements qu’il avait. Un petit sourire amusé se dessina sur le coin de ses lèvres à imaginer le contraire, qui aurait été fortement cocasse. L’enseignant qui arrive en robe de chambre et le modèle bien habillé. En plus, petite session de strip pourquoi pas. Idée à conserver pour sa personne si jamais il changeait de cap un jour dans sa vie, pour devenir professeur d’art. Quoi que là, ils y avaient droit un peu à ce strip, sans préliminaires, allez hop. Un petit hot damn venait d’être étouffé et murmuré chez sa personne se permettant de noter une cote à son modèle. Allez, il avait l’âge des hormones, après tout. Mais il avait appris à les contrôler dans la mesure du possible, grandement aidé par son œil d’artiste.

Mais parfois, Dante, il avait un peu la concentration d’une mouche. La faute un peu à la nouveauté, cette curiosité dirigée tout aussi bien vers les autres élèves, les autres têtes. La contemplation simple des humains en pleins cours, tout simplement. Un petit moment d’égarement, qui avait trouvé autre chose de plus intéressant. Son voisin était en train d’avoir des émotions. Est-ce que Dante avait un petit sourire en coin amusé? Bien entendu. Bon après pas de quoi en faire un plat. Rire. Et le pointer du doigt. Il se contentait d’avoir un petit sourire qui n’avait rien de profondément moqueur. Juste amusé doucement de cette situation. C’était un compliment en soit, pour le modèle n’est-ce pas? Du moins, il voyait les choses ainsi, sous l’angle positif. Mais la mouche, devrait un peu plus se concentrer sur le cours en tant que tel, réussissant un croquis sommaire avant de rentrer dans les détails. Tout en surveillant des temps en temps avec quelques coups d’œil où en était l’état du pauvre jeune homme. Toujours pareil il semblerait. Avait-il fait attention aux commentaires de l’enseignants à la toute fin? Pas plus qu’il ne le fallait non. Déconcentré par cette situation qu’il jugeait toujours d’aussi cocasse. Bon ok c’était quand même humiliant. Chose qu’il n’aurait pas aimé vivre pour le moins du monde. Mais ce problème n’était plus vraiment le sien.

Ça c’était avant de se faire percuter par son fameux voisin. Alias celui qui était carrément en train de mourir de honte. Ils n’avaient échangé que des petits regards après tout. « Aller aux toilettes j’imagine?   » Autant terminer sa phrase. « J’peux lui demander son numéro de téléphone pour toi si tu veux. C’est pas pour me venter, mais je commence à avoir de la pratique pour charmer. » Avec une tête comme la sienne, il avait de quoi faire quand même. Elle puait un peu les mots : petits charmeurs. « Ou je peux m’en occuper aussi si tu veux. Comme je suis gentil et serviable. » Venait-il de lui faire ce genre de proposition qui n’avait rien de catholique? Oui. Mais on parle de Dante ici. Et qui s’amuse plus qu’autre chose pour être honnête. « T’en fait pas hein. Ça arrive à tout le monde. » Le voilà qui tentait réellement d’être gentil, pour une fois, dans cette situation.


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