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A découvrir Family always comes first, right ?
@ Invité
Family always comes first, right ?
Feat. Amila & Wilhelm
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S’il y a bien une chose que je peux dire avec certitude, c’est que j’ai clairement pas choisi le meilleur métier pour avoir du temps libre.. Même quand j’ai des semblant de congé, je me fais déranger.. Mais pas aujourd’hui. Non. Aujourd’hui est la première journée de mes vacances et cette journée, je la passe seul avec ma soeur. Stefanie a eu la gentillesse d’accepter de garder les enfants d’Amila, ainsi que le mari de ce dernier. Non pas qu’il aie réellement besoin de surveillance, mais au vu de son état, ce n’est pas l’homme à qui on va confier des enfants. Donc elle se retrouve à faire du Doudou-sitting en plus de du babysitting, la chanceuse. De ce que j’ai compris en fait, Edouard les amène au cinéma et ensuite ils vont aller faire je ne sais plus quoi. Tout ce que je retiens c’est qu’on aura personne dans les pattes pour nous déranger. Pas que je n’aime pas ses enfants, bien au contraire, je les adores ! Mais j’aime bien pouvoir passer un peu de temps avec elle, pour le peu de fois qu’on peut le faire. C’est pour cette raison que je lui ai proposé qu’on se voit aujourd’hui, première journée de vacance réservée pour elle. Bon, je l’ai par contre averti que j’allais surement avoir l’air d’un cadavre vu la semaine que je viens d’avoir, mais ce ne serait pas nouveau pour elle quoi. D’ailleurs, j’ai pas encore osé me regarder dans un miroir. Même pas osé me lever en fait. Il est 10 heures du matin et je suis encore dans mon lit, c’est bien quelque chose de rare dont je dois profiter quand ça arrive, non ? Bien franchement, je crois que je resterais bien là 72 heures de plus. C’est tellement silencieux, paisible, Stefanie est déjà parti… Je pousse un long soupire avant de finalement me redresser en position assise. Encore là, je reste plusieurs minutes immobile, se décidant finalement à me lever pour aller faire un tour à la salle de bain. Je ne peux retenir un rire lorsque je vois quel genre de gueule que j’ai. Les cernes… Si je continue comme ça, je vais pouvoir m’appeler l’homme cerne. Je secoue un peu la tête en me redressant et retourne à ma chambre pour m’habiller.
Amila, je pars, si dans une heure je ne suis pas là, je me suis effondré sur le bord de la rue.
Mieux vaut prévenir que guérir, non ? Bon, ça m’étonnerait que ça arrive, mais en même temps, je ne serais pas si surpris. Je branche mes écouteurs sur mon téléphone, enfile mes chaussures et sors enfin de ma demeure. Allez savoir où je trouve cette énergie, mais je me lance sur le chemin vers la maison de ma soeur en jogging. Ce n’est pas parce que je suis en vacance que je dois perdre mes bonnes habitudes. Alors je fais un bon bout de chemin ainsi avant d’arrêter sur le bord de l’eau, tentant de récolter un peu d’énergie et de souffle. Ouf, pas aussi facile qu’à mon habitude. Je prend appuie sur la rambarde en fermant les yeux alors qu’un étourdissement se fait ressentir dans ma tête. Okay, définitivement, je ne suis pas fait pour courir ce matin… Je prends une bonne et longue inspiration avant de reprendre mon chemin, à la marche cette fois. Je sors d’ailleurs mon téléphone pour écrire à ma soeur.
Je suis toujours vivant, mais ça va prendre plus de temps que prévu.
Comme de fait, ce n’est qu’après un heure et trente-cinq minutes que j’arrive enfin à sa porte. Mieux vaut tard que jamais. Je passe une main dans mes cheveux pour les replacer, faut avoir l’air un minimum présentable quand-même, et je cogne enfin à sa porte.
Amila, je pars, si dans une heure je ne suis pas là, je me suis effondré sur le bord de la rue.
Mieux vaut prévenir que guérir, non ? Bon, ça m’étonnerait que ça arrive, mais en même temps, je ne serais pas si surpris. Je branche mes écouteurs sur mon téléphone, enfile mes chaussures et sors enfin de ma demeure. Allez savoir où je trouve cette énergie, mais je me lance sur le chemin vers la maison de ma soeur en jogging. Ce n’est pas parce que je suis en vacance que je dois perdre mes bonnes habitudes. Alors je fais un bon bout de chemin ainsi avant d’arrêter sur le bord de l’eau, tentant de récolter un peu d’énergie et de souffle. Ouf, pas aussi facile qu’à mon habitude. Je prend appuie sur la rambarde en fermant les yeux alors qu’un étourdissement se fait ressentir dans ma tête. Okay, définitivement, je ne suis pas fait pour courir ce matin… Je prends une bonne et longue inspiration avant de reprendre mon chemin, à la marche cette fois. Je sors d’ailleurs mon téléphone pour écrire à ma soeur.
Je suis toujours vivant, mais ça va prendre plus de temps que prévu.
Comme de fait, ce n’est qu’après un heure et trente-cinq minutes que j’arrive enfin à sa porte. Mieux vaut tard que jamais. Je passe une main dans mes cheveux pour les replacer, faut avoir l’air un minimum présentable quand-même, et je cogne enfin à sa porte.
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PIVETTE
@ Invité
Aujourd’hui, je ne peux pas être plus heureuse parce qu’aujourd’hui je passe la journée avec mon frère. La seule famille de sang qu’il me reste. Il est tellement important pour moi, je ne vois pas ma vie sans lui et pourtant on n’a pas souvent la chance de passer du temps de qualité ensemble. Nos vies sont tellement bien remplies que c’est dur de se trouver des moments pour qu’on se voit. Alors, aujourd’hui, c’est que lui et moi puisque Stefanie a eu la gentillesse d’accepter de garder les enfants et Doudou. Pas que mon mari ait besoin d’être surveiller, mais, avec les médicaments qu’il prenne pour sa blessure, il n’est pas totalement apte à s’occuper de trois jeunes enfants en même temps et seul. Donc Stefanie est là simplement pour aider Doudou et s’assurer que tout se passe bien. Et même si cette journée va être, très certainement, consacrer à finaliser de s’installer dans cette nouvelle maison, je vais la passer avec Wilh alors elle ne pourra pas être plus merveilleuse.
Je termine de ramasser la cuisine du petit-déjeuner que mes petits monstres ont engloutis avec empressement quelques temps plus tôt. Ils étaient tellement impatients de passer cette journée avec leur père et leur cousine. Je ne sais pas lequel entre ces deux-là les enfants avaient le plus hâte de voir. Très certainement que Nina c’est son père et que son père. Je l’imagine bien ne pas se décrocher de lui. Elsa risque d’être toujours après Stefanie, elle l’aime tellement sa cousine. Et Andrek… tant qu’il reçoit de l’attention, il sera heureux je crois bien. Alors que je nettoyais la table, j’entends mon téléphone sonner m’indiquant que j’ai un nouveau message. Je rigole doucement en levant les yeux au ciel au sms que mon frère m’a envoyé. Il est vraiment le seul assez fou pour courir toute cette distance. Il n’aurait pas voulu prendre sa voiture à la place ? Il serait arrivé bien plus vite au moins. Je lui réponds que je vais lancer la brigade de recherche s’il n’est pas là dans une heure avant de reposer mon téléphone pour terminer de nettoyer la cuisine.
Après avoir lancer une brasser de lavage, je décide de m’installer dehors, sur un des transats autour de la piscine, pour y lire le temps que mon frère arrive. Je vais donc dans ma chambre pour prendre ledit livre qui est sur ma table de nuit et lequel je lis par petit moment voler ici et là. Bon, depuis que Doudou est de retour, je n’ai pas vraiment eu le temps de m’y replonger alors c’est le moment idéal.
Après un moment à lire et à prendre du soleil, je regarde l’heure puisque je me dis que ça fait bien longtemps que mon frère m’a écrit. En même temps que j’allais l’appeler pour savoir si tout allait bien, je reçois un textos de sa part.
« Tu m’en vois rassurer ! Mais fait vite, j’ai hâte de te réclamer un câlin moi. »
Je lui envoies comme réponse avant de me replonger dans mon roman. Dès que les toquement à la part me vienne aux oreilles, je saute sur mes pieds et laisse mon livre et mes lunettes de soleil sur la table de la cuisine sur mon chemin jusqu’à la porte d’entrée. J’ouvre rapidement la porte et saute dans les bras de mon grand frère.
- C’était vraiment trop long. Il faut vraiment que tu arrêtes de travailler autant, tu n’as plus de temps pour ta petite sœur adorée.
Dis-je faussant un air boudeur. Après l’avoir serré une nouvelle fois un peu plus fortement contre moi, je le laisse rentrer en refermant la porte derrière lui.
- Bienvenue dans ma nouvelle demeure !
M’exclamé-je de joie. Je l’aime vraiment cette maison et j’étais contente de pouvoir enfin la montrer à mon frère.
Je termine de ramasser la cuisine du petit-déjeuner que mes petits monstres ont engloutis avec empressement quelques temps plus tôt. Ils étaient tellement impatients de passer cette journée avec leur père et leur cousine. Je ne sais pas lequel entre ces deux-là les enfants avaient le plus hâte de voir. Très certainement que Nina c’est son père et que son père. Je l’imagine bien ne pas se décrocher de lui. Elsa risque d’être toujours après Stefanie, elle l’aime tellement sa cousine. Et Andrek… tant qu’il reçoit de l’attention, il sera heureux je crois bien. Alors que je nettoyais la table, j’entends mon téléphone sonner m’indiquant que j’ai un nouveau message. Je rigole doucement en levant les yeux au ciel au sms que mon frère m’a envoyé. Il est vraiment le seul assez fou pour courir toute cette distance. Il n’aurait pas voulu prendre sa voiture à la place ? Il serait arrivé bien plus vite au moins. Je lui réponds que je vais lancer la brigade de recherche s’il n’est pas là dans une heure avant de reposer mon téléphone pour terminer de nettoyer la cuisine.
Après avoir lancer une brasser de lavage, je décide de m’installer dehors, sur un des transats autour de la piscine, pour y lire le temps que mon frère arrive. Je vais donc dans ma chambre pour prendre ledit livre qui est sur ma table de nuit et lequel je lis par petit moment voler ici et là. Bon, depuis que Doudou est de retour, je n’ai pas vraiment eu le temps de m’y replonger alors c’est le moment idéal.
Après un moment à lire et à prendre du soleil, je regarde l’heure puisque je me dis que ça fait bien longtemps que mon frère m’a écrit. En même temps que j’allais l’appeler pour savoir si tout allait bien, je reçois un textos de sa part.
« Tu m’en vois rassurer ! Mais fait vite, j’ai hâte de te réclamer un câlin moi. »
Je lui envoies comme réponse avant de me replonger dans mon roman. Dès que les toquement à la part me vienne aux oreilles, je saute sur mes pieds et laisse mon livre et mes lunettes de soleil sur la table de la cuisine sur mon chemin jusqu’à la porte d’entrée. J’ouvre rapidement la porte et saute dans les bras de mon grand frère.
- C’était vraiment trop long. Il faut vraiment que tu arrêtes de travailler autant, tu n’as plus de temps pour ta petite sœur adorée.
Dis-je faussant un air boudeur. Après l’avoir serré une nouvelle fois un peu plus fortement contre moi, je le laisse rentrer en refermant la porte derrière lui.
- Bienvenue dans ma nouvelle demeure !
M’exclamé-je de joie. Je l’aime vraiment cette maison et j’étais contente de pouvoir enfin la montrer à mon frère.
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