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7 résultats trouvés pour piano

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 483 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Kal
Age: 22 dans 4 jours
Avez-vous des triggers personnels ?  don't think so
Avatar à réserver : Anirudh Ravichander
Crédit avatar utilisé dans la fiche: moi-même
Souhaitez-vous un mp d'intégration why not, I've got nothing to lose !

(( iseul )) fake love

Invité
18 r ; 685 v.
Mer 12 Aoû - 19:10
iseul rhee
24 ans - étudiant sc. politiques
FEAT : min yoongi (suga)
Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum. Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
who am I
ꕥ âge :

jeune, mais pas tellement. vieux, mais pas tellement non plus. l'âge charnière, plus un enfant, plus un adolescent non plus. mais pas un adulte, loin d'être un adulte. vingt-quatre ans, papa ne compte pas te laisser tranquille pour le moment. encore un gamin à ses yeux, et pas grand chose d'plus. personne n'ose le contredire. un adulte - pas toujours responsable - quand il n'est pas dans les parages, l'enfant sage quand il se tient à tes côtés.
ꕥ nationalité :

vulgaire ricain. pourtant peu de monde arrive à y croire réellement, du premier coup, sans que tu n'aies à te justifier. américain, gamin du pays, né ici, pas vraiment de là-bas. et pourtant, pourtant, les gens ne se posent pas de question, les gens n'arrivent pas à voir plus loin que quelques traits sur le visage. américain oui, mais pas que. sud-coréen grâce à papa et maman, même si tout cela passe au second plan. double nationalité inscrite sur les papiers grâce au poste de papa pour le gouvernement sud-coréen.
ꕥ ethnie/origines :

la première intuition est la bonne : tu n'es pas d'ici. enfin, tes parents ne sont pas d'ici. si toi, tu es né sur le sol américain, tes deux parents eux, sont nés en coréen du sud et y ont vécus pendant de longues années. sud-coréen et pas grand chose d'autre, un sang qui vient de l'autre bout du monde, qui laisse sur le visage des marques bien visibles. un autre pays, une autre culture, d'autres traditions.
ꕥ orientation :
tu n'es pas très doué quand il faut parler d'amour. lèvres pincées, regard avisé. tu aimerais que ton regard se porte simplement sur les femmes, mais ce n'est pas naturel pour toi. ce sont les garçons que tu observes sans même t'en rendre compte. alors tu préfères ne plus observer personne. c'est mieux comme ça. tu as essayé. tu as vraiment essayé. de regarder les femmes. ou bien d'assumer regarder les hommes. mais ton homosexualité, tu n'es pas vraiment en position de l'assumer.
ꕥ situation :
célibataire depuis plusieurs années déjà, pas vraiment doué, pas vraiment du genre à aimer les relations. c'est pas ton truc. le sexe ? tu peux t'en passer sans réels soucis, et tu as même parfois du mal à comprendre ce que les gens y trouvent. les relations, de manière générale, c'est pas pour toi. célibataire malgré papa qui aimerait te voir au bras d'une belle jeune femme, qui aimerait te voir poser un genou à terre pour la demander en mariage. s'il savait.
ꕥ occupation :
tu es encore étudiant. trop d'années derrière toi, t'es pas motivé, t'as pas envie, t'as pas le courage, mais tu n'as pas le choix. tu n'as pas eu le choix non plus lorsqu'il a été question de décider de la composition de tes études. ce sont les sciences politiques que tu étudies à l'université de columbia. afin de suivre les traces de ton père. toi, c'est la musique que tu aurais aimé étudier. mais c'est comme ça.
ꕥ quartier :
cuillère en or dans la bouche, tu vis depuis toujours dans un magnifique duplex à manhattan, avec tes parents. un espace trop grand, trop luxueux, trop immense. tu n'as jamais manqué de rien, dans cet appartement.
ꕥ qualités :
à l'écoute, intelligent, protecteur, déterminé, patient, diplomate, bon orateur, distingué, charismatique, musicien.
ꕥ défauts :
rancunier, beau parleur, manipulateur, secret, silencieux, impulsif, pourri-gâté, susceptible.
ꕥ passions :
{#}littérature{/#}, autant en anglais qu'en coréen. tu apprécies les longues après-midi au soleil, un bon livre à la main. un goût que tu tiens de ta mère, qui te lisait de longues histoires le soir, petit. {#}politique{/#}, t'as beau dire que t'aimes pas ça, que ça ne te plaît pas : c'est faux. ce ne sont pas les études de tes rêves, mais c'est un sujet qui t'intéresse malgré tout et ça t'as plusieurs fois permis de te rapprocher de ton père au travers de longues discussions, à table. {#}piano{/#}, tu en joues depuis tout petit, et tu apprécies énormément de jouer de l'instrument. tu aurais aimé en faire ton métier.
ꕥ groupe :
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO.
ꕥ communautés :
les étudiants de columbia university ;; club de lecture du queens ;;
ꕥ scénario/pré-lien :
rich kids
ꕥ parrain :
non.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : bonjour bonjour, moi c'est margaux  plzz j'ai vingt ans, bientôt une année de plus Arrow je suis encore étudiante, plus qu'une année avant de rentrer à mon tour dans le monde du travail. je fais du rp depuis sept ans maintenant et ... je sais pas quoi dire de plus sur moi Tag piano sur I've got 99 problems 2223407614

petit portrait chinois
ꕥ un livre : la ferme des animaux.
ꕥ un film : bohemian rhapsody.
ꕥ une série : peaky blinders.
ꕥ une chanson : house of memories, p!atd
ꕥ un animal : le chat.
ꕥ un plat/dessert : risotto.
ꕥ une boisson : n'importe quel jus de fruit.
ꕥ une célébrité : freddie mercury.
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : ça dépend vraiment de la manière dont les sujets sont abordés. y'a des moments ça passe, y'a d'autres moment ça passe pas du tout Arrow


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.

Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.

Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.



this session is gonna be different
stay gold ꕥ 20 ans
fréquence de rp : le plus régulièrement possible. ϟ fréquence de connexion : régulièrement. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? ça dépend du nombre en face, mais très très rarement plus de 900/1000. ϟ avatar à réserver : min yoongi. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge. ϟ comment avez-vous connu 99 ? grâce à bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? petits pois (ça fait deux mots j'suis rebelle).
eternal roleplay (gif) everdosis (avatar)

so quick as a flash I Agatha

Invité
19 r ; 1793 v.
Sam 8 Aoû - 13:25
agatha galbraith
30 yo - gardienne pénitentiaire
FEAT : Tuppence Middleton  Agatha est une jeune écossaise de trente ans à l'accent prononcé. Véritable rayon de soleil, son sourire et sa bonne humeur quotidienne illuminent le pénitencier d'ordinaire si morne dans lequel elle travaille en tant que gardienne. Elle est arrivée à New York il y a quatre ans après avoir été agressée par son ex petit ami, avec l'envie de prendre un nouveau départ. Elle en garde beaucoup de séquelles, mais depuis elle parvient à ne pas les montrer, les dissimulant derrière cet optimisme et ces sourires à toutes épreuves. Afin de ne pas se retrouver seule et ressasser cet évenement, elle s'occupe beaucoup lors de son temps libres, notamment la nuit : peu après son arrivée aux États Unis, elle s'est immiscée dans un trafic de courses de voitures illégales, en devenant la meilleure pilote de la ville grâce à son atout majeur ; la maîtrise des cascades, qu'elle pratique en club depuis qu'elle a obtenu son permis de conduire.
who am I
ꕥ âge : 30 ans, piles.
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle, elle n'est attirée que par les hommes, ne trouve refuge que dans leurs bras, alors que l'un d'eux l'a pourtant détruite
ꕥ situation : célibataire et qui plus est persuadée qu'elle le restera toute sa vie
ꕥ occupation : gardienne de prison officiellement, officieusement elle est la meilleures pilote de courses urbaines illégales de la ville, raflant victoire sur victoire depuis son arrivée
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : optimiste, avenante, souriante, drôle, altruiste, généreuse, téméraire, douce
ꕥ défauts : hyperactive, imprudente, tête brûlée, franche, fragile, cachotière
ꕥ passions :{#}famille{/#} {#}écriture{/#} {#}chat{/#} {#}chien{/#} {#}star-wars{/#} {#}bière{/#} {#}manger{/#} {#}culturegénérale{/#} {#}antiquités{/#} {#}histoire{/#} {#}metal{/#} {#}concert{/#} de rock {#}piano{/#} {#}voiture{/#} {#}promenades{/#} {#}associatif{/#} {#}écologie{/#} {#}féminisme{/#} {#}travailler{/#} + {#}cascades-automobiles{/#} (ou car-stunt) {#}sauvetages-d{/#}'animaux
ꕥ communautés : {#}TheLift{/#} {#}NewYorkPoliceDepartment{/#} {#}SaberistAcademy{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : ///
ꕥ groupe : I Need Help
ꕥ parrain : oui puppy

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Holà les copains !
Je m'appelle Nuvka et Sarah IRL. cute
J'ai 22 ans, et dans la vie je suis employée dans la grande distribution aka c'est moi qui mets vos yaourts en rayon et qui me farcis les clients chiants tous les jours.  Tag piano sur I've got 99 problems 1380091441 C'pas le boulot de rêve, mais je l'aime bien et c'est pas définitif car je souhaite attaquer prochainement un bachelor en ligne concernant les métiers du livre, car mon ultime rêve serait d'ouvrir une librairie en Écosse.  keur
Je fais du RP depuis que j'ai neuf-dix ans, ayant commencé sur un jeu d'élevage de chevaux virtuels. J'écris aussi beaucoup et ai tout un lore autour de mes personnages.  sisisi Je vis pour les feels, mais sur forum j'ai malheureusement rarement eu l'occasion d'en jouer et ça me manque beaucoup.  puppy
Autrement et en vrac, je fais de la sorcellerie, je dessine et fait un peu d'aquarelle, je suis hyper fan de Rupaul's Drag Race, d'Animal Crossing, Harry Potter, Star Wars, Tim Burton, etc…  Tag piano sur I've got 99 problems 3466005161

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La Bibliothèque des Cœurs Cabossés, de Katerina Bivald.
ꕥ un film : Les Noces Funèbres de Tim Burton
ꕥ une série : Sherlock ou Peaky Blinders
ꕥ une chanson : Kyoto Song de The Cure
ꕥ un animal : Le chat.
ꕥ un plat/dessert : Des macarons
ꕥ une boisson : Du Schwepp's au gingembre !
ꕥ une célébrité : Helena Bonham Carter
ꕥ un pouvoir magique : La manipulation des frontières physiques et métaphysique, c'est précis et qu'est-ce que c'est cool !

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Le suicide par pendaison.
Et ceux qui suivent peuvent être mentionnés mais pas détaillés : La maltraitance animale et l'inceste. En général je préfère qu'on en discute avec mes partenaires de RP hihi.

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
Au premiers abords on peut penser d'Agatha qu'elle n'est rien d'autre qu'une espèce de tapageuse, un peu grande gueule et très impulsive qui aime faire des entrées fracassantes. En réalité, c'est surtout du au fait que c'est une jeune femme qui a beaucoup d'énergie à revendre, une énergie qui marche en fonction de la pression qu'elle peut ressentir lors d'un évènement. Plus il y a de pression, plus l'adrénaline monte, plus elle aime ça et essaye de le tirer à son avantage. Le stress ? Elle connaît pas. Ou très peu.

Agatha, ce qui la botte, son essence de vie, ce sont les prises de risque. Si elle ne pouvait vivre que pour ça, elle le ferait. Se mettre constamment en danger.
C'est une femme très débrouillarde, Agatha. Elle est capable de se sortir de n'importe quelle situation : tout ce qu'il faut faire, c'est réfléchir avant d'agir. Paradoxal avec ce qui a été dit au début, non ? Cet aspect de gamine écervelée est une couverture. La demoiselle peut s'avérer bien plus maligne qu'on ne le croit et c'est tout à son avantage.

Dynamique et intrépide, elle semble n'avoir peur de rien et possède toujours une certaine ambition de réussir qui l'anime. Mais si elle n'y arrive pas, elle relativise. La négativité, Agatha elle ne sait pas trop ce que c'est. Elle est optimiste h24, toujours en train de répéter que ce qui arrive n'est pas si pire, que ce qui aurait pu arriver aurait pu l'être. Un moyen de se protéger ? Peut-être.

Toujours très souriante, c'est un véritable rayon de soleil pour son entourage, quel qu'il soit. Il est difficile de la mettre en colère ou de l'attrister. Peut-être qu'elle garde tout en elle lorsque ça arrive, mais ce sera toujours d'un grand sourire qu'elle répondra à ce genre de choses. Et elle aime communiquer sa gaité, faire sourire les autres, c'est un objectif qu'elle se donne au quotidien.

ANECDOTES

+ Grande passionnée d'écriture, elle ne se sépare jamais d'un petit carnet et d'un stylo. Chez elle, elle a toute une bibliothèque consacrée à ses notebooks, remplis d'idées, de textes achevés ou non, de petites histoires qu'elle invente et de répertoires à personnages. C'est une passion qu'elle possède depuis toute petite.  

+ Gardienne de prison, ce n'est pas un métier bien joyeux en apparence, mais son optimisme constant et son grand sourire à toute épreuve mettent un peu de couleur dans ce pénitencier si morose d'ordinaire. Que ce soit avec ses collègues ou bien certains des détenus eux-mêmes, Agatha est appréciée de beaucoup de monde.  

+ Elle a cette fâcheuse tendance à adopter n'importe quel chat de rue qui passerait prêt de chez elle. Elle en a trois pour l'instant ici à Los Angeles, mais encore cinq chez ses parents en Écosse. Elle possède aussi un berger allemand et un rat domestique. Elle adore les animaux, et a adopté depuis plusieurs années un régime végétalien. Aussi très engagée dans la cause animale, elle va souvent aider des associations de sauvetage (équidés la plupart du temps, mais aussi beaucoup de chiens et de chats) lors de ses temps libres.

+ La seconde passion d'Agatha réside dans le domaine des cascades automobiles. En effet, depuis qu'elle a l'âge de tenir un volant, elle s'est inscrite dans un club de cascades et en pratique régulièrement depuis. C'est notamment et surtout ce qui fait sa force dans le trafic dans lequel elle s'est immiscée peu après son arrivée à LA, et c'est pourquoi en très peu de temps elle en est devenue la meilleure pilote, assez connue dans le milieu.  

+ Agatha a eut un accident de voiture ayant faillit lui couter la vie lorsqu'elle avait 21 ans. Ce n'était pas elle qui conduisait mais une amie et elles se sont faites rentrer dedans par un automobiliste alcoolisé. Elle a passé une semaine dans le coma suite à un choc au niveau du crâne, mais s'en est finalement sortie. Son amie a gardé davantage de séquelles, dont une immobilisation complète des jambes. Malgré cet accident, ça ne l'a pas résigner à arrêter de pratiques les cascades et les courses.  

+ Elle possède une Honda Civic Type R qu'elle s'est offerte peu après son arrivée aux Etats Unis. D'un rouge flamboyant, c'est une voiture performante bien qu'elle ne court pas avec, et il s'agit de son petit bijou. Elle en est très fière.  

+ Agatha participe aux courses urbaines avant tout pour s'amuser et non pour l'argent. Elle estime que les sensations fortes qu'elle ressent lorsqu'elle se trouve à toute blinde sur la route valent tout l'or du monde. C'est une mafia qui gère ce genre de trafic au sein de NY, mais Agatha ne s'est toutefois jamais faite arrêtée par les forces de l'ordre : faisant elle même partie du milieu carcéral, elle fait office de "taupe" et permet à la police de garder un œil sur le trafic. Sauf que ça, le patron du trafic et les autres coureurs n'en savent absolument rien.  

+ Aussi, en tant que grande fan de Star Wars (on dit merci papa et le frangin), elle a découvert en arrivant à New York une nouvelle activité qui l'a complètement charmée : les combats de sabre laser. Elle a trouvé le concept extrêmement original, et aime énormément ce mélange spectaculaire entre le combat et sa chorégraphie. Elle a intégré la Saberist Academy et pratique ce sport depuis trois ans désormais.

+ Ce sont des sons des années 80, synthétiseurs et synthwave en folie qui rythment ses pas et ses courses. Agatha n'écoute presque que ça et il lui arrive même parfois de bidouiller quelques remixs de chansons récentes en les mettant à la sauce "eighties" grâce à son propre synthé'.  

+ L'écossaise sait imiter à la perfection toutes sortes d'accents. Ça ne lui sert pas à grand chose, mais il faut avouer que c'est assez marrant et ça anime parfois les soirées de l'entendre parler tantôt avec un accent allemand, tantôt français.

HISTOIRE

Sur un chemin caillassé, bordé par ces champs piétinés par quelques troupeaux de moutons, trottine une fillette. Elle évite les pierres, saute à cloche pieds sur certaines d'entres elles, les nuages noir menaçant de l'engloutir sous une pluie torrentielle à tous moments. Son sac qu'on dévine être celui d'une écolière rebondit sur son dos au rythme de ses pas et petits sauts. Elle gravit une pente et s'arrête à son sommet pour admirer le paysage que lui offre ses précieuses Highlands. Beauté entre eaux et rochers. Sa petite maison se dresse à l'horizon et son pas s'accélère.
Elle en passe la porte et une voix retentit. "Qu'est-ce que t'as encore fait ?" Le ton n'est pas empli de reproches. Il n'est pas moqueur. Mais curieux, rieur, comme si le jeune homme avait l'habitude de voir sa petite sœur couverte de bleus et d'égratignures sur les bras et les jambes. La brunette rit doucement. "Je suis passée par un autre chemin. Tu le dis pas à Maman hein, elle aime pas trop."


Agatha est la deuxième née de la famille Galbraith, purement écossaise depuis des décennies entières. Une petite famille tout à fait charmante, qui sans rouler sur l'or a toujours vécu dans un confort minimum. Les parents de la jeune femme étaient musiciens pour une troupe de théâtre avant de devenir propriétaires d'un pub dans le village où ils ont toujours vécus; Applecross. Raghnall et Donella Galbraith ont toujours tout donné pour leurs enfants et ce sont eux qui leur ont transmit toutes leurs valeurs.

Dès qu'elle fut en âge de marcher, Agatha s'est vite avérée être une fillette plus difficile que son frère à cause de son côté casse-cou. A peine ses parents avaient le dos tourné, et ils la retrouvaient à grimper de partout, à essayer de faire des figures acrobatiques depuis les meubles du salon ou encore à partir seule dans les champs de moutons autour de la maison.

Plus tard, lorsqu'elle apprit à écrire et à lire, Agatha s'est mise à inventer ses propres histoires. Elle réalisait de petits livres à l'aide de feuilles qu'elle pliait soigneusement, écrivait sur le côté droit et dessinait en face, à l'image d'un livre illustré pour enfants. Si ses œuvres graphiques n'étaient pas du grand art, il fallait avouer que du côté écriture elle avait une imagination débordantes. Quelques fautes par-ci, quelques erreurs par là, mais les idées étaient toujours plus variées les unes que les autres et gardaient une certaine logique. L'enfant faisait lire ses écrits, mais ce qu'elle aimait le plus c'était les raconter de vive voix, s'inspirant des pièces de théâtre qu'elle voyait de temps en temps, lors des quelles ses parents jouaient de leurs instruments. Très vite, Raghnall et Donella virent en elle une future carrière littéraire.

Ses yeux courent à plusieurs reprises le long des lignes. Elle veut être sûre de ce qu'elle lit, sûre de ce dans quoi elle s'engage. Mais en même temps, elle est pressée à l'idée de signer ce papier. Elle entends les vrombissements des voitures qui passent derrière elle, étouffés par ces murs qui la séparent du circuit. Elle regarde parfois par la fenêtre, les yeux rêveurs. Puis elle appose enfin sa signature, d'un geste vif et précis. Elle fait glisser le papier sur la petite table pliante qui sert de bureau et l'inspecteur la range sans même y accorder le moindre regard. Agatha sens des frissons lui parcourir le corps lorsqu'il la fait monter au volant d'une des voitures. Le moniteur est étonné par sa maîtrise, lui demande si elle ne lui a pas menti en lui disant qu'elle avait son permis depuis quelques semaines seulement. La sincérité de la jeune fille le cloue un peu plus dans son siège. La voiture prend de la vitesse. Encore et encore."

Au grand damne de ses parents, après avoir passé son permis Agatha a souhaité s'inscrire dans un circuit automobile pratiquant les cascades. Si Donella était catégoriquement contre de peur pour la sécurité de sa fille, Raghnall a su tempérer les choses et faire en sortes que sa compagne accepte l'envie de sa fille. Cela fait donc plusieurs années maintenant que la jeune femme maîtrise les cascades à la perfection. Il lui arrive même parfois de former certains novices. Elle est extrêmement douée au volant, et la voiture n'a aucun secret pour elle.

A côté de cela, contrairement à ce que pensaient ses parents, la brunette ne s'est pas lancée dans des études littéraires. Son grand frère étant récemment engagé dans la police, elle a décidé de suivre la même voie que lui en se renseignant sur les métiers y étant liés. Et en découvrant celui de surveillant pénitentiaire ce fut le coup de foudre.


L'homme la toise d'un regard. Est-ce qu'il la trouve trop petite ? Trop frêle ? Trop… Souriante ? Bah, ça se tassera bien au fil du temps, doit-il penser. Au pire des cas, elle ne sera pas admise. Il lui tend pourtant le formulaire et elle s'éloigne pour le remplir, y glisse sa lettre de motivation et son curriculum vitae. Quelques semaines plus tard, c'est une petite tornade qui entre dans le salon où toute la famille discute tranquillement. " J'ai été acceptée !" Elle en a presque les larmes aux yeux. Harry la félicite. Leur petite sœur, Cléo, applaudit. Ses parents l'étreignent un instant, heureux pour leur fille. Ce n'est pas le métier auquel ils avaient rêvé pour elle, mais si c'est ce qui lui convient, ça leur convient aussi. Alors tant qu'elle est heureuse dans ce qu'elle fait, ils seront comblés.


Agatha s'est vite avérée être une gardienne pas comme les autres en intégrant sa première prison. Elle était la nouvelle recrue, celle qu'on pensait beaucoup trop frêle et fragile pour ce métier, celle sur laquelle les autres pariaient entre eux sur la durée pendant laquelle elle allait tenir. La surprise fut que, au bout de quelques mois, elle était devenue le petit rayon de soleil de cet endroit si sombre. Sa gaité constante et son optimisme à toute épreuve ont ajouté quelque chose de plus au pénitencier, quelque chose d'insoupçonné. Les détenus commençaient à vouloir voir elle seulement lors de leurs moments difficiles, et elle organisaient parfois des "activités" d'écriture avec les plus réceptifs d'entres eux. Sa différence avec beaucoup de ses collègues était qu'elle traitait les prisonniers comme des égaux malgré leurs actes, sans pour autant sympathiser avec eux.

Cette prison se situant à Glasgow, y entrer fut pour Agatha l'occasion de prendre son envol. Petit appartement en ville, découverte de la vie citadine et apprendre à se gérer toute seule. Un joli petit programme qui lui donna du fil à retordre les premières semaines mais auquel elle finit par s'y habituer peu à peu. Très vite elle commença à sortir, à faire de nouvelles rencontres, se faire des amis, des amours. Un train de vie qui lui plaisait beaucoup.

Elle n'eut pas beaucoup de conquêtes durant ces première années en tant qu'adulte de la vie active. Mais avec Jace, c'était du sérieux. Du moins c'est ce qu'elle croyait. A tel point qu'à 25 ans, après un an déjà de relation, ils s'installèrent ensemble. Aveuglé par l'amour qu'elle portait à cet homme, Agatha ne voyait pas la face cachée de l'iceberg. Belles paroles, mensonges, tromperies. Il lui aura fallu un an de plus pour le découvrir. Triste, trahie, indignée, en colère. Elle n'a pas attendu une seule seconde après l'avoir su pour lui annoncer qu'elle le quittait. Il a essayé de la retenir, de s'excuser, de se justifier, mais elle ne voulait rien entendre. Il semblait pourtant désolé, mais la jeune femme ne voulait pas se laisser avoir une seconde fois.

"Il n'est pas tard, mais il fait nuit. Les rues sont encore bondés de monde et bercées par le bruit des pneus sur le bitume. Après cette violente dispute, Jace est sorti et elle a préféré téléphoner à Harry et à Cléo. Entendre des paroles rassurantes, avoir un peu de réconfort dans cette dure épreuve. Le téléphone finalement raccroché après deux heures écoulés, elle décide d'aller se coucher. Elle peine a trouver le sommeil, mais y arrive finalement au bout de quelques heures.
Une silhouette menaçante sur l'encadrement de la porte. Le son d'une bouteille en verre qui s'écrase sur le sol. Elle se réveille en sursaut, l'odeur de l'alcool lui agresse les narines. Il s'avance, titube jusqu'au lit. Elle ne bouge pas, ce mélange de colère et de tristesse toujours ancré en elle. Il s'approche, vient lui susurrer à l'oreille qu'il a envie d'elle. Une dernière fois. Elle refuse. Mais il n'est pas de cet avis là. Elle refuse encore. Mais il la force."


Cette nuit restera gravée en elle à tout jamais. Sur sa peau, dans son cœur meurtri. Saoul, bouteille à la main, il revient. La réveille en la brisant sur le mur, au dessus de sa tête. Elle est effrayée. Il la veut. Une dernière fois. Elle refuse. Mais il ne lui laisse pas le choix. S'en suivent deux heures d'un véritable supplice. Si elle a le malheur de pleurer, de crier, de se débattre, il la blesse avec le verre.
Un moment d'inattention et elle parvient à s'échapper. Rassemble le peu des forces qui lui restent, l'assomme avec la lampe de chevet pour s'enfuir et l'enfermer dans la chambre. Nue, le corps ensanglantée, elle s'empare de son téléphone, pour directement alerter Harry qui, chef de la police de Edimburgh, a donné l'alerte à celle de Glasgow et s'est dépêché de prendre la route pour retrouver sa sœur et l'aider. Laissant sa femme et ses filles derrière lui en pleine nuit. Le mal était fait, mais il voyait rouge. Tout ce dont il avait envie, c'était de le faire payer à cet homme. En arrivant, il a trouvé une Agatha comme il ne l'avait jamais vue.

La jeune femme mit plusieurs semaines pour retrouver un état émotionnel à peu près stable grâce au soutien de sa famille. Mais elle n'avait plus envie de rester à Glasgow. Car aller travailler voulait dire pour elle revoir son agresseur, l'homme qu'elle a aimé pendant deux ans et qui en quelques heures a détruit une part d'elle-même. Désormais emprisonné pour son acte, sur le lieu de travail d'Agatha.

Elle voulait donc partir. Loin. Oublier tout ça malgré les séquelles, prendre un nouveau départ. C'est alors qu'elle se mit à chercher un endroit où s'en aller. C'est après plusieurs jours, à peser le pour et le contre entre divers endroits, qu'elle fit son choix et s'arrêta sur la belle et immense ville de New York. Quitter le Royaume Uni pour les États Unis semblait être bien mieux que ce qu'elle aurait imaginé. Elle se mit très vite en contact avec le pénitencier local le plus adapté et, bingo, ils cherchaient actuellement quelqu'un. Elle se mit en suite en contact avec diverses agences immobilières pour se trouver un toit, et elle allait enfin pouvoir partir.

La séparation avec sa famille fut très dure. Mais elle savait que c'était de ce départ dont elle avait besoin pour se reconstruire. Elle s'envola donc pour NYC, emplie d'un sentiment étrange fait d'un mélange de soulagement et de déchirement.

Après son arrivée, elle prend deux mois pour s'installer et se faire à ce tout nouvel endroit. Deux mois lors desquels elle évite de se morfondre dans son coin et préfère sortir. Elle adopte un chien, récupère un chat dans la rue, s'offre une nouvelle voiture, écrit, intègre des associations de sauvetage d'animaux, cherche un nouveau club de cascades, découvre petit à petit la ville, se rend dans son futur lieu de travail pour faire connaissance avec ses futurs collègues. Fait des choses qui lui parlent, des choses qui lui plaisent. Puis elle intègre son nouveau pénitencier. Se remets dans le bain de son métier et c'est le même schéma qui s'opère que lors de ses début dans ce milieu. Elle commence à sympathiser avec un peu tout le monde, elle est douée pour ça, Agatha.

Agatha arrive au niveau d'un feu qui passe au rouge et s'arrête alors en première ligne. Cette fois, c'est une chanson de Depeche Mode qui l'accompagne. Mais quelques autres sons attirent davantage son attention, tandis qu'une voiture apparaît à côté de la sienne, et d'autres derrière. Un sentiment étrange s'empare d'elle tandis qu'elle jette un coup d'œil vers le véhicule parallèle au sien. Un homme est au volant et joue sur sa pédale d'accélérateur. Les autres, à l'arrière, semblent en faire de même. Agatha sent la montée d'excitation s'emparer d'elle. Puis, l'homme tourne la tête et leurs regards se croisent. Elle ne saurait définir ce qu'il se passe lors de cet échange silencieux. Quelque chose d'électrifiant. Un air de défi. Elle ne pense plus qu'à une seule chose : se prendre à ce jeu dont elle n'a absolument aucune idée de ce qu'il peut être. Elle se met alors elle aussi à jouer sur sa pédale, faisant rugir le moteur de sa Civic. Un sourire en coin s'étire sur son visage. Les voitures d'en face s'arrêtent, leur feu va bientôt passer au vert. Son moteur vocifère de plus en plus fort, elle est prête à démarrer.
n'a absolument aucune idée de ce dans quoi elle s'engage, mais ça lui plait. Son cœur bat au rythme de cette excitation qui la gagne. Les mains fixes sur son volant, elle n'attend qu'une seule chose : que le feu passe au vert. En attendant, elle prépare ses pédales, joue avec l'accélérateur. Le son du moteur de la Civic la fait frémir, tandis que sa carrosserie écarlate se reflète dans celle de la Lexus près d'elle. Contrairement à tous les participants, Agatha n'a aucune idée de l'itinéraire. Mais c'est dans un sens ce qui lui plait davantage. L'inconnu. Et, bien évidemment, les dérapages qu'un virage surprise pourrait l'obliger à réaliser. Les néons colorés de la ville éclairent la route, face à l'enfièvrement de l'adrénaline, Agatha monte le son. Les secondes s'écoulent lentement, la pression semble palpable pour certaines des participants. Elle jette quelques coups d'œil sur ses rétroviseurs. Ils n'ont pas l'air bien commodes mais ça ne lui fait pas peur. Du moins, l'euphorie l'empêche de ressentir ne serait-ce qu'une once de crainte. Elle ne pense même plus à son appartement, à l'accueil que lui réserveront ses animaux, à ce film qu'elle pourrait regarder en attendant de s'endormir. Elle ne songe même pas une seule seconde aux dangers de ce qu'elle s'apprête à faire.

Vert. Les moteurs à l'unisson s'embrasent, les pneus crissent et son cœur s'emballe.


Cette première course dans laquelle elle s'est immiscée sans vraiment le vouloir fut la signature de son entrée dans le domaine des courses urbaines illégales. Une première course vaincue, le début d'une longue série de victoire avec pour principal atout son expérience dans les cascades. Le trafic est encadré par la mafia, et possède des règles strictes à ne surtout pas briser. Voitures obligatoirement prêtées, GPS pour avoir connaissance du parcours, système de paris grâce à une caméra embarquée et balise présente dans les véhicules pour dissuader quiconque d'en voler un.

Agatha a réussi à négocier pour que le salaire qu'elle est censée gagner après chaque course soit redistribué aux autres participants, car elle le fait avant tout pour s'amuser, pas pour l'argent. C'est un domaine qui comporte énormément de risques desquels elle est consciente, mais c'est justement ce qui l'encourage à continuer. De plus, le fait d'être la seule femme présente parmi les coureurs a fait naître en elle une certaine fierté.

Mais d'autres ne sont pas de cet avis là. Dont l'homme qui a déclenché ce soudain envie chez la tempête écossaise de participer de façon clandestine à cette première course. Car avant, c'était lui le meilleur pilote. Jeremiah a essayé de la dissuader de rejoindre le trafic après sa première victoire, lui expliquant que le grand manitou lui en voudrait et qu'elle risquait gros. Mais c'est avec un beau sourire et un immense entrain qu'Agatha a refusé de l'écouter.

Les remords se sont pourtant vite immiscés dans sa tête quant au paradoxe entre son travail et son activité illégale. Après beaucoup de réflexion et sans aucune transparence, elle en a parlé à son frère, puis à l'un de ses supérieurs, énonçant l'idée de s'infiltrer dans le trafic pour y faire office de "taupe". Non pas sans difficulté, elle a su les convaincre. Plus aucun problème de ce côté là. Mais si un jour sa couverture est découverte par les mafieux… Disons qu'elle préfère ne pas y penser.



"Aujourd'hui, elle va beaucoup mieux. Elle a réussi à se retrouver du travail dans la prison du coin, a pu acquérir son propre appartement dans lequel elle vit avec ses chats, son chien et son rat, a pu s'offrir une voiture performante qui lui a valu sa place dans un trafic de courses illégales. Si elle participe aux courses, dès qu'elle peut, c'est pour s'éviter une nuit seule. S'éviter ces cauchemars qui la hantent dès qu'elle ferme les yeux. Elle a été brisée. Détruite. Depuis cette nuit, elle a honte des cicatrices qui lui parcourent le dos, la poitrine et le ventre, souffre de vaginisme. Elle n'arrive plus à se reconstruire, à faire confiance à quelqu'un. Et pourtant. Pourtant, elle a toujours le sourire aux lèvres, Agatha. Toujours cette énergie infatigable, cette manie à tout rendre positif, à toujours communiquer la moindre once de bonne humeur avec son entourage.

Elle hausse les épaules et sourit. Ses grands yeux verts se perdent un instant sur l'horizon, puis elle se retourne vers la personne en face d'elle. "Hey, relativise, ça pourrait être pire, hein !" Lance-t-elle en riant doucement.





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nuvka/sarah ꕥ 22 ans
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nothing means nothing without you (lola)

Invité
21 r ; 437 v.
Lun 20 Juil - 21:24
Lola Diaz
30 ans - doublure à Broadway
FEAT : Gina Rodriguez
Lola est née au Mexique, elle n’en garde pour autant aucun souvenir, trop jeune lorsque sa famille a expatrié aux Etats-Unis. Elle a grandi à New-York, des étoiles plein les yeux malgré l’incompréhension qui subsiste quand à l’arrivée de sa famille aux Etats-Unis. Lola, elle en a eu des reproches lourds, trop accablée par l’image qu’on avait d’elle. La mexicaine, l’expatriée alors qu’elle, elle se sentait uniquement américaine. Aujourd’hui, en conflit avec ses origines et sa Green Card, Lola rêve de gloire, du feu des projecteurs sur son visage. Lola danse, chante, joue la comédie, est musicienne. Elle aimerait un rôle vedette mais se retrouve constamment reléguée à être la doublure des seconds rôles. Lola n’est personne, incapable de réussir ses castings. Les factures s’accumulent, et malgré qu’elle soit serveuse pour s’en sortir, elle n’y parvient pas. Lola ne s’en sort plus, elle n’en dit pourtant rien à ses proches. Elle prévoit d’être mère porteuse pour rembourser ses dettes et pouvoir continuer à rêver dans l’ombre.
who am I
ꕥ âge : elle a 30 ans, maintenant, depuis le 15 janvier.
ꕥ orientation sexuelle : elle est attirée par les hommes.
ꕥ situation : Lola est une handicapée des sentiments qui multiplient les déceptions amoureuses. Elle en a eues, des relations et pourtant, elles se sont toutes terminées par des larmes. Elle est de celle qui s’attache, trop tôt, à donner son coeur à qui en voudra. Et à qui n’en voudra pas, d’ailleurs. Elle s’est longtemps persuadée que son prince charmant viendrait un jour, elle l’attend encore.
ꕥ occupation : Elle avait des rêves plein la tête. Enfant aux étoiles dans les yeux, elle avait regardé les spectacles de Broadway avec autant d’admiration que de détermination. Lola y serait, elle le savait. Lola le voulait tant. Elle se rêvait sur les devants de la scène, les projecteurs pointés sur elle. La réalité, elle ne l’avait pas anticipée. Elle ne l’avait même imaginée, tant elle était difficile à avaler. Lola, avec le temps, voyait son rêve s’évaporer. Elle, elle était reléguée à l’arrière de la scène, à l’espoir malsain de voir celle dont elle était la doublure se blesser. Lola, elle n’est que la remplaçante, celle qui vient sauver le spectacle en cas de besoin, jamais vraiment. Les seconds rôles ne se blessent que trop rarement, eux aussi, ils espèrent. Lola, doublure à Broadway, rêve toujours. Et pourtant, ses désirs ne paient pas les factures qui s’accumulent encore et encore. Lola se noie, s’oblige à travailler dans des bars pour compenser les dettes. Insuffisant, bien évidemment.
ꕥ quartier : elle a pris ses quartiers dans le Queens (the sunflower building).
ꕥ qualités : déterminée - passionnée (par tout et rien) - souriante - tendre - romantique - douce - créative
ꕥ défauts : têtue (terriblement) - curieuse - craintive - rêveuse - rancunière - jalouse - impatiente
ꕥ passions : {#}danse{/#} - Lola a toujours aimé ça, s’exprimer à travers les mouvements de son corps, elle danse souvent, s’entraîne en permanence. La danse, c’est ses émotions qu’elle n’ose dire. Les courbes de son corps parlent à sa place, lorsqu’elle ne parvient plus à parler. Des mouvements doux, légers, parfois plus vifs, plus saccadés. Lola ne s’en lassera jamais. {#}piano{/#} - ça n’a pas toujours été simple et pourtant, le simple fait d’effleurer les touches de son vieux piano l’apaise, calme ce trop plein d’émotion qui l’envahit sans arrêt. Lola a appris seule, avec du temps, avec de l’envie, avec la détermination qui l’anime. Ce talent, elle le montre quelques soirs. Cette passion, elle la vit pourtant seule, en général. Dans l’ombre. Ses sentiments, elle les vit en silence, tandis que les notes s’envolent. Parfois, elle chante. Voix cristalline qui explose, surprend. Lola, elle aime la musique, indéniablement. {#}chat{/#} - grande amoureuse des animaux qu’elle est, Lola aime les chats avec adoration. Elle est de celle qui change de voix, lorsqu’elle voit l’une de ses boules de poils, de celle à vouloir tous les adopter. Elle en a deux, d’ailleurs. Deux chats qui lui offrent l’amour dont elle manque cruellement. {#}dessin{/#} - ça, c’est un secret pour tous. Son jardin à elle, mais Lola dessine, met sur papier des petits personnages qu’elle connaît ou qu’elle invente. Elle laisse glisser ses crayons pour donner vie à ce qui lui passe par la tête. Elle garde ça précieusement, dans un petit carnet, sorte de journal intime.
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : {#}Broadway{/#} - {#}Los{/#} Latinx - {#}NYC{/#} Expats
ꕥ scénario/pré-lien : la petite soeur Diaz
ꕥ parrain : oui, ça me plairait bien si possible

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Hello tout le monde Tag piano sur I've got 99 problems 2881807329,
J’ai pas tellement l’habitude de ce genre de présentation, et même de parler de moi, je préfère écouter en général. Je suis plutôt discrète, comme personne, mais vous pouvez m’appeler Lili.Je fais du rp depuis dix ans maintenant, ça me paraît loin tout ça quand je vois tout ce que j’ai pu inventer. J’aime dessiner, chanter, dormir (c’est très important), lire, écrire (évidemment). Je suis une petite joueuse d’Animal Crossing, Pokémon et d’autres (quand je prends le temps). Et voilà ce que je peux dire pour le moment.Vous êtes beaux et adorables, aussi.  Tag piano sur I've got 99 problems 995762081

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La Baie des Baleines, Jojo Moyes
ꕥ un film : Love Actually (pour n’en choisir qu’un)
ꕥ une série : Sex and The City (ou One Tree Hill, ou Grey’s Anatomy ...)
ꕥ une chanson : Make you feel my love, Adele
ꕥ un animal : le pingouin (ou le chat, le tigre, l’ours, le chien, la loutre ... amoureuse des animaux, en fait)
ꕥ un plat/dessert : la pizza / la tarte au citron meringué
ꕥ une boisson : l’eau ...
ꕥ une célébrité : Emma Watson
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation, pour aller partout facilement

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : les agressions sexuelles


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
(les anecdotes) Lola est passionnée. Par tout, par rien. Par les petites curiosités de la vie, par le monde en sa globalité. Son ouverture d’esprit - et ses origines - lui ont permis de voir au-delà de New-York. Lola se fascine pour l’histoire, pour les langues - en plus de l’espagnol et de l’anglais, elle a tenté d’apprendre le français et le mandarin avec plus ou moins de succès - pour les découvertes scientifiques, pour la politique, les travaux manuels et même la décoration d’intérieur. Tout ça, en plus de la danse, du théâtre, de la musique. Lola aime tout, veut tout tester. ○  Elle peut passer du tout au rien. Du rire à gorge déployée au torrent de larmes en quelques secondes. De l’apaisement total à un stress intense et sans appel. De l’affection à l’agressivité. Lola change en un instant. Pour une petite contrariété, pour un moment plus triste, plus touchant, pour un problème mineur, pour une grande joie. Ce n’est qu’une partie de l’iceberg, parce que Lola est plus que ça. Elle peut être dérangé par un bruit infime, par une odeur trop forte. Elle peut pleurer pour si peu - ce film triste, cette scène remplie d’émotion dans une série, une tranche de vie dans la rue. Lola est à fleur de peau sans arrêt. Elle craint, elle a peur du regard des autres. Lola veut plaire, cherche à se faire aimer. Tout le temps. Elle a le souci du bien faire, trop perfectionniste parfois d’ailleurs. On lui dira qu’elle est trop sensible, mais Lola répondra qu’elle l’est. Qu’elle est même hypersensible. Des bons côtés, il y en a. Elle a de la créativité au bout des doigts, des pieds, dans la tête. Lola écoute beaucoup, elle sait le faire à merveille bien plus que parler d’elle. Elle analyse, se questionne, conseille. Lola est une éponge à émotion, elle comprend vite, inutile de lui mentir. ○ Lola a rêvé très tôt du grand amour. De celui en lettres capitales. Elle rêvait d’un prince aussi beau que drôle. Aussi charmant qu’intelligent. Elle a rêvé de perfection très longtemps. Et elle en a rencontrés, des crapauds. De nombreux. Les mêmes qui se prenaient pour des princes. Lola est tombée amoureuse plusieurs fois. Peut-être trop, d’ailleurs, pour que ce soit véritable. Lola s’est surtout couverte de ridicule. Elle a cru, s’est abandonnée. Elle a perdu gros. Sa fierté, son coeur et son amour propre, aussi. ○ Elle a beaucoup vécu de ses économies, sans réellement pouvoir prévoir l’avenir. Faut dire, doublure de seconds rôles, ça n’avait rien pour lui offrir la vie dont elle avait rêvée. Lola a bien essayé de s’en sortir, en travaillant plus, toujours plus pour payer les factures accumulées, pour éviter les relances trop nombreuses. Lola a tenté de palier au rouge de son compte en banque, aux loyers impayés, aux menaces. Elle a commencé comme serveuse, puis comme pianiste pour divertir. Lola avait besoin d’argent mais rien ne suffisait. Devenir mère porteuse, finalement, ce n’était que la solution à ses problèmes. Elle le savait. Ce n’était pourtant pas ainsi qu’elle avait imaginé devenir maman - et même pas vraiment, d’une certaine façon. ○ Du plus loin qu’elles se souviennent, Lola a toujours aimé les animaux. Pas étonnant de savoir qu’elle en possède. Un lapin, douce peluche du nom de Harry - à cause du héros à lunettes, pas du prince - deux chats, l’un affectueux et fin gourmet qui répond au nom de Cookie et l’autre, tendre et peureux du nom de Hercule. De l’amour, elle leur en donne plus que de raison. Si elle pouvait, elle en aurait d’autres. De toutes les tailles, de toutes les couleurs, de toutes les formes. ○ Lola en veut à sa mère, depuis tant d’années qu’elle a cessé de compter. Les étiquettes l’ont lassée. Pas aussi américaine qu’elle le prétendait, il suffisait de voir sa Green Card. Et pourtant, des souvenirs, elle n’en a aucun. De là-bas, de son pays d’origine. Lola n’était rien d’autre que la mexicaine, l’expatriée, la fausse espagnole. Elle n’a cessé d’être jugée, de ne pas comprendre pourquoi on ne la considérait pas comme ce qu’elle était. Une New-Yorkaise. Elle ne cesse de reprocher leur arrivée ici, d’avoir été déracinée pour vivre sous des étiquettes qu’elle ne pouvait accepter. ○ Lola est allergique aux fraises. Elle déteste le café. Elle a toujours des bonbons à la menthe dans son sac à main. Elle fait des listes, de peur d’oublier alors qu’elle a pourtant une excellente mémoire. Elle réfléchit trop, est trop souvent indécise et se perd dans des pensées désordonnées. Lola a le rire facile. Elle a appris à jouer du piano toute seule, sur un coup de tête. Elle cuisine plutôt bien, même si elle ne fait jamais rien de compliqué.

(l’histoire)
INTO THE UNKNOWN
Elle n’en gardera aucun souvenir, de ces paysages qui se dessinaient sous ses yeux. Ce sera la dernière fois qu’elle les verra. Ce sera la derrière fois qu’elle foulera les terres qui l’avaient vu naître. Lola n’était qu’une enfant, incapable de comprendre ce qu’il se passait réellement. Incapable de mettre des mots sur ce qu’ils faisaient tous. Elle n’aurait jamais pensé que c’était pour le mieux, que c’était ce qu’il fallait. Lola n’en savait rien, elle ne faisait que suivre le mouvement. Fuir le pays pour une nouvelle vie. Trop jeune même pour comprendre que jamais plus elle ne reverrait celui qu’elle appelait Papa, qu’elle n’en garderait que des souvenirs vagues grâce à une vieille photo conservée précieusement. Lola ne savait pas encore combien les discriminations pourraient la toucher, elle mais toute sa famille également.

ALL I WANT IS A GOOD GUY
Il y a ces moments dans vie qui marquent plus que les autres. Ou peut-être qu’elle a voulu le voir ainsi, Lola. Elle a souvent imaginé, rêvé, pensé à ce jour où elle pourrait croiser son chemin, un peu trop bercée par les romans d’adolescentes et les dessins animés. Trop optimiste pour ne pas voir l’envers du décor. Elle l’a vu à la sortie d’un cours. Un nouveau venu, venu de loin - comme elle, d’une certaine façon - d’après les quand dira-t-on. A peine plus vieux, beaucoup plus beau. On a dit qu’il s’appelait Teddy, Theodore. Il venait de Memphis, une mutation. On en a tant dit à son sujet que Lola, elle n’a plus su ce qui était vrai ou non. On a surtout fait rêver tout le monde, toutes les filles du lycée surtout. Teddy, il a représenté la fraîcheur, l’élève à amadouer. Elles ont tout essayé pour l’approcher, pour lui décrocher un sourire, pour le séduire. Sauf Lola, toujours dans l’ombre. Toujours en retrait. Suffisamment loin pour observer le défilé de la concurrence. Elle n’aurait eu aucune chance. Le destin a eu raison de l’attente, de l’observation et du fantasme qu’il avait fait naître. Lola avait finalement eu la chance de se retrouver en binôme avec lui, pour un exposé important. De quoi griffonner les pages de ses cahiers de Teddy + Lola sans jamais se lasser. Lui, il est resté fantasme inavoué, parce qu’elle, elle n’a jamais osé le lui dire. Elle l’a aimé longtemps, jusqu’à s’en brisé le cœur.

FLYING ON MY OWN
Ils avaient tous des rêves plein la tête. Certains avaient voulu Harvard, d’autres Brown. Lola, elle, elle rêvait surtout de Broadway. Elle dansait déjà depuis longtemps, elle chantait, depuis autant de temps - et même dans la chorale - elle avait rejoint la troupe de théâtre du lycée. Elle avait l’art au bout des doigts, la musique dans le sang et l’envie de briller toujours plus. Des rêves, Lola en avait, mais ils étaient bien différents de ceux des autres. Médecine, ce n’était pas pour elle. Droit, encore moins. Littérature, sociologie, psychologie, rien ne l’intéressait plus que la scène. Lola a étudié à Columbia, grâce à une bourse durement obtenu. Elle est entrée à l’université, pleine d’espoir pour son avenir. Elle a choisi d’étudier la danse, le théâtre et la musique, aussi. Pour se donner les chances de réussir. Son ambition était forte, trop sans doute. Lola voulait prouver ce qu’elle valait, quitte à se brûler les ailes. Elle voulait que sa famille soit fière, montrer à tous qu’elle pouvait y arriver.

LOVING YOU HAD CONSEQUENCES
Nouvelle crise de larmes, nouvelle déception. Elle a fini par cesser de les compter. Incapable de choisir les bons hommes. Hugo, Samuel, Julian, Trent, Brett. Et la liste pouvait continuer ainsi, encore trop longue. Au fond, ça n’avait jamais été très loin. Parfois quelques rendez-vous, quelques promesses puis rien. Parfois quelques mois, quelques projets. Puis rien. Alan a été le dernier en date. Et si les autres avaient été idiots, ils n’avaient jamais osé aller jusque-là. Lola a eu droit aux excuses sans fondement. Des c’est pas toi, c’est moi. Des t’es trop bien pour moi, tu trouveras mieux. Du manque de sentiments, passion ou flamme - ça dépendait de l’homme. Du besoin de se recentrer. Du plus direct, sans passer par la case délicatesse. Lola a connu les déceptions amoureuses en plusieurs volumes. Une encyclopédie, sans vraiment exagérer. Peut-être parce qu’elle s’attache trop, trop vite. Et Alan, il a eu le meilleur trophée. Celui du salaud. Lola l’a surpris avec une autre. Une fois. Elle a pardonné. Et il a recommencé. Plusieurs fois, trop de fois. Elle s’était pourtant persuadée que c’était le bon.

WILD HEART CAN’T BE BROKEN
On lui avait encore fait la remarque. Encore une fois, on lui avait dit qu’elle ne ferait pas l’affaire. Trop mexicaine, qu’on lui avait rétorqué. Lola ne correspondait pas, elle n’irait pas. Elle leur avait hurlé qu’elle était d’ici, qu’elle avait grandi ici. Probablement même qu’elle connaissait mieux cette ville que n’importe qui d’autre. On lui avait désigné la porte, sans un mot. Lola en avait assez. Trop à fleur de peau. L’annonce officielle de la mort de son père l’avait bouleversée. Personne ne l’avait cherché, au fond. Peut-être qu’il n’était pas mort d’ailleurs, Lola n’en saurait jamais rien, incapable de se souvenir de lui ou même du son de sa voix, de mots qu’il lui disait avant de dormir ou de son sourire. Lola ne s’en souvenait pas. Comme elle ne se souvenait pas de ce pays qui avait été le sien, un jour. Un jour lointain. Lola s’est toujours sentie américaine, quand bien même elle était obligée d’avoir une Green Card pour ça. Elle lui en voulait si fort, à sa mère, de l’avoir obligé à partir, de l’avoir privée d’une vie qu’elle croyait sans discrimination - bien loin d’entendre qu’elle l’aurait subi au Mexique aussi, trop espagnole cette fois. Elle lui en voulait tant qu’elle en provoquait des tensions, des crises auprès de ses aînés. Ses reproches ne devraient pas, c’était mieux pour eux. C’était comme ça. Pour leur sécurité. Discours qu’elle n’entendait pas, tant elle en voulait d’être aujourd’hui encore discriminée pour des origines sur le papier.


I’LL NEVER LOVE AGAIN
Il paraît que l’on ne s’en remet jamais réellement. Lola a été heureuse un instant. Un an, finalement. On lui a dit qu’elle avait précipité les choses. Et c’était vrai. Il paraît qu’on ne se relève jamais, de cette déchirure à la poitrine. Lola a eu le coeur brisé une énième fois. Non, je ne peux pas. Désolé. Les mots continuent de résonner dans son esprit. Elle a cru à un rêve, s’est pincée et a réalisé. Des larmes plein les joues, des rêves envolés et un coeur en morceau. Elle l’avait rencontré après une nouvelle déception. Le hasard, avait dit quelqu’un. Un beau hasard qui lui a permis d’y croire à nouveau - encore une fois. Lola a espéré que tout soit différent. Tout a été soudain, spontané. Jusqu’à cette demande, genou à terre, devant des milliers de gens. Lola ne s’y attendait pas. Il a demandé sa main lors d’un match de baseball. Petit coup monté de sa part, filmé sur la caméra centrale. Des larmes de joie, un grand oui et une sublime bague à son doigt. Lola a vécu le rêve ultime. Non, je ne peux pas. Désolé. Elle n’avait pas compris, elle n’a jamais eu d’explication. Il s’est enfui, devant familles et amis. Il l’a plantée devant l’autel, sans se retourner. Elle ne l’a même pas revu après ça, incapable de le regarder en face. La lune de miel non remboursable, elle l’a passée avec ses meilleures amies. Les cadeaux de mariage ont retrouvé le chemin des magasins, les remboursement celui des acheteurs. Les lettres de félicitations jetées. Les dizaines de mails d’excuses envoyés dans les courriers indésirables. Et la bague, toujours sur le porte bijou, comme pour lui rappeler de ne jamais plus commettre d’erreur.

NEVER ENOUGH
La honte l’a envahie. Elle n’avait pas prévu d’en arriver là. Des rêves plein la tête, des projets en pagaille et le néant. Lola a eu l’esprit trop vif, avec ses espoirs de gloire. Aujourd’hui, fauchée. Loyers en retard, factures impayées. Elle n’aurait jamais cru en arriver là, en choisissant ses rêves à la sécurité. Lola, pourtant, elle aurait dû se résigner. Toujours doublure, jamais de rôles. Toujours là, avec l’espoir malsain que l’actrice se blesserait et qu’il lui faudrait la remplacer. Ça n’arrivait quasiment jamais. Elle n’avait pas le succès espéré. Lola ne pouvait nier, elle commençait à paniquer. Ses soucis financiers, elle préférait ne pas en parler. Ni à ses amis, ni à sa famille. Encore moins à sa famille. Lola a tenté, espéré. Elle a commencé à travailler comme serveuse, comme pianiste. En attendant la gloire. Lola est définitivement dans le rouge. Lola, elle n’aurait jamais cru devoir faire ça. Tenter le tout pour le tout, gênée et incertaine de ce qu’elle faisait. Devenir mère porteuse pour de l’argent. Elle n’a rien dit. Pas tant qu’elle ne sera pas enceinte, de peur de revenir sur sa décision sous le regard de ses proches.



this session is gonna be different
lili/alicia ꕥ 26 ans
fréquence de rp : au moins une fois par mois ϟ fréquence de connexion : régulièrement, plusieurs fois par semaine ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 500 mots, mais je m’adapte ϟ avatar à réserver : gina rodriguez ϟ de quelle couleur sont les petits pois : qu’est-ce que c’est que cette chose ?  Arrow  ϟ comment avez-vous connu 99 ? une petite voix m’a soufflé l’adresse. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c’est certain, je vous aime déjà.  I love you
tumblr (gif) carolcorps (avatar)

straight hair, straight a's, straight forward (hope)

Invité
9 r ; 675 v.
Jeu 11 Juin - 21:54
hope fawkes
26 ans - doubleuse
FEAT : florence pugh  Jeune femme de vingt-six ans, on pourrait croire qu'elle a une vie parfaite. Elle est fiancée à son amour de lycée et vient de décrocher le rôle du personnage principal dans le nouveau dessin animé en vue. Bref on pourrait croire que tout va bien pour elle, si ce n'est du fait que travailler sur la série lui fait comprendre qu'il y a une partie d'elle qu'elle a refoulé un peu trop loin. Elle se rend compte qu'elle n'aime peut-être pas son fiancé comme il le faut et que son coeur se débat bien plus vite lorsque des femmes sont dans les parages. Elle se retrouve donc tiraillée entre l'idée de la vie "parfaite" qu'elle devrait avoir (ce qu'on lui a toujours appris) et ce qu'elle ressent à présent. Elle se demande si ce qu'elle peut vouloir (espérer) vaut vraiment la peine de gâcher son avenir et les attentes que les gens peuvent avoir d'elle. Difficile de penser que c'est le cas, quand toute sa vie, Hope s'est contentée de faire ce qu'on attendait d'elle et être la fille parfaite d'une famille parfaite (ou presque).
who am I
ꕥ âge : vingt-six ans.
ꕥ orientation sexuelle : se dit hétérosexuelle, mais la vérité, c'est plutôt un énorme point d'interrogation.
ꕥ situation : fiancée.
ꕥ occupation : doubleuse.
ꕥ quartier : queens.
ꕥ qualités : solaire, responsable, dévouée
ꕥ défauts : susceptible, contrôlante, hypocrite
ꕥ passions : {#}piano{/#}, {#}netflix-and-chill{/#} & {#}cuisinie{/#}
ꕥ communautés : les habitants du oak complex, saberist academy, lgbt center
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ parrain : oui!

all about my player
ꕥ petite présentation perso : alors je sais jamais quoi dire dans les présentations donc je m'excuse d'avance  :drama: moi c'est audrey ou dday, j'ai vingt-six ans et je viens du pays des caribous (aka le Québec). j'étudie en droit international, je commence d'ailleurs un doctorat sur le sujet à l'automne (rip moi-même). le confinement m'a fait redécouvrir mon amour de la cuisine, comme beaucoup de gens. sinon je suis fan des comédies musicales (the prom à jamais ma vie & wicked)(et notre-dame de paris) et des jeux vidéos (je suis en train de me refaire zelda : botw pour récupérer les 900 koroks adieu). ma série du moment est she-ra and the princesses of power (eh oui surprise), mais j'ai aussi beaucoup aimé x-company (qui est absolument pas dans le même registre oups). j'ai une passion pour l'histoire de la deuxième guerre mondiale. j'aime beaucoup star wars (clones wars à jamais) et les pins (comme on m'a déjà affiché dans la cb avant même que je m'inscrive sisisi)
sinon niveau rp j'aime essayer un peu n'importe quoi ! je suis soit extrêmement active, soit très peu active dépendant de ce qui se passe dans ma vie. (ça devrait aller, ayant ramené welzy ({@=589}Casey Serrano{/@}) avec qui j'ai déjà eu vingt rps différents ouverts en même temps  Tag piano sur I've got 99 problems 2153884322)(et avec qui je partage un cerveau). j'écris à la deuxième personne et même si j'ai tendance à laisser tomber les majuscules hrp, je m'en sers dans mes rps  :drama: (ah et j'aime beaucoup les parenthèses au cas où ça paraitrait pas)

et franchement, l'aveu du jour, j'ai jamais su dans un portrait chinois s'il fallait mettre ce qu'on serait en tant que livre/film ou juste en choisir un Arrow

petit portrait chinois
ꕥ un livre : à toi - kim thúy & pascal janovjak.
ꕥ un film : frozen.
ꕥ une série : galavant.
ꕥ une chanson : words fail - dear evan hansen.
ꕥ un animal : un chat.
ꕥ un plat/dessert : un coffee cake.
ꕥ une boisson : un espresso parce que je suis small et bitter.
ꕥ une célébrité : noelle stevenson.
ꕥ un pouvoir magique : lire dans les pensées.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : le suicide / les tentatives de suicide, mais ça dépend comment c'est abordé.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Sans aucun doute, les drôles d'idées qui te passent par la tête depuis que tu as commencé à travailler sur la nouvelle émission. Faut croire que t'étais complètement à l'ouest, comme si l'idée que deux femmes puissent s'aimer ne t'a jamais traversé l'esprit (parce que c'est le cas). En soit, cette réalisation n'est pas un problème, non, le problème, c'est plutôt que ça explique certaines choses que tu as enfoui au plus profond de ta personne (des regards dérobés vers la capitaine de l'équipe de cheer au lycée par exemple ou encore des papillons dans ton ventre dès que t'étais seule avec ta meilleure amie). Ça a aussi réveillé des sentiments que tu n'aurais pas cru possibles, jamais. Ça implique donc beaucoup de rougissements lorsqu'on te demande de lire certaines lignes d'une façon romantique, surtout quand ta co-star est dans les partages.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Le café, tu ne peux pas bien commencer une journée sans en avoir une bonne tasse (plus souvent deux). Comme bien des gens de ta génération, tu as une certaine addiction à ton téléphone, mais plus exactement à la capacité que ça te donne de rester en contact avec les gens. Ça implique beaucoup de temps passé à éplucher les réseaux sociaux, mais aussi à envoyer un nombre impressionnants de messages. Autrement, sans que ce soit réellement une addiction dans le sens littéral du terme, tu es très attachée à ta routine : commencer ta journée avec un café, suivi d'un jogging et d'un autre café. Bref les petites choses qui te donnent l'impression d'avoir un contrôle sur ta vie.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Il a demandé quelqu'un d'autre en mariage. Ça a complètement brisé ton coeur lorsque tu l'as vu tendre une bague en bonbon à une autre fille. Pour sa défense, vous aviez sept ans et la petite nouvelle était particulièrement jolie (quoi ?). Plus sérieusement, tu es toujours dans la même relation depuis des années, presque dix ans. Tu n'as rien eu de sérieux avant celle-ci, donc aucune (réelle) rupture à signaler. Autant dire que tu n'as pas beaucoup d'expérience dans les relations. T'en as qu'une véritable, mais au moins, tu peux te vanter d'avoir la relation parfaite (ou presque).

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Okay" en fin de conversation. Tu demandais à ton fiancé s'il voulait que tu récupères du poulet en rentrant du travail et il a dit oui. Donc t'as répondu okay, c'est rien de bien glamour, mais vous avez demandé le dernier texto. T'aurais quand même pu mettre un coeur, mais bon, personne n'est parfait. Au moins t'as pas écrit "k.".

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Tu dirais automatiquement qu'elle est bonne, tu t'efforces pour qu'elle le soit. La vérité, c'est que ta relation avec tes parents est plutôt tendue. T'en veux à ta mère d'avoir quitté ton père et tes rapports avec elle sont donc plus faux qu'autre chose. C'est un peu mieux avec avec ton père justement, même si tu dois avouer que tu ressens un certain malaise vis-à-vis de cette nouvelle famille qu'il vous a un peu imposé. Tu n'as jamais rien dit, essayant simplement de bien t'entendre avec tout le monde. Bon il y a aussi une petite gêne (honte ?) de ton côté quand aux drôles d'idées qui te passent par la tête depuis quelques temps, mais tu te vois difficilement leur en parler.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Un peu comme lorsque tu étais au lycée, tu t'occupes avec mille et une choses, touchant à peu près à tout. Tu fais du sport pour essayer de te maintenir en forme. Tu joues du piano, par habitude surtout, ça parvient toujours à te détendre. Tu cuisine, aussi, surtout les weekends et surtout des desserts. Sinon, t'aimes bien t'installer devant la télévision ou devant un film avec ton fiancé. T'es pas quelqu'un de compliqué au fond, il faut juste quelque chose pour occuper ton esprit et empêcher que tes pensées moins plaisantes t'envahissent.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? T'as volé des livres à la bibliothèque quand tu étais plus jeune. T'y as pas vraiment réfléchi, on t'a juste dit que tu ne pouvais pas l'emprunter tout de suite parce que tu avais déjà trop d'emprunts en cours. T'as attendu que la bibliothécaire soit occupée avec autre chose pour passer le livre sur le démagnétiseur et le mettre dans ton sac. T'as encore le livre à ce jour, avec les autocollants de la bibliothèque. Il est juste caché au plus profond d'une armoire, comme pour cacher cette honte que tu ressens encore (eh oui).

this session is gonna be different
dday / audrey ꕥ vingt-six ans ans
fréquence de rp : à tous les deux jours environ. ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? généralement j'essaie de tabler vers 500 mots, mais je peux faire plus ou moins selon le rp / le/la partenaire. ϟ avatar à réserver : florence pugh. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : (bjr j'ai bug à savoir si c'était un pièce ou pas) vert. ϟ comment avez-vous connu 99 ? je me souviens plus trop, bazzart je crois ? ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? vous comprenez pas ma haine pour les histoires du coup ça me fait trop trop plaisir de pouvoir éviter cette case  Arrow
fireladyazula (gif) isleys (avatar)

i'll never meet the ground (jake)

Invité
12 r ; 337 v.
Jeu 14 Mai - 22:50
jacob "jake" baker-shark
25 ans - étudiant à la julliard
FEAT : timothée chalamet jacob, c'est l'garçon qui pense que les étoiles peuvent atterrir dans la mer, c'est aussi l'bonhomme à la famille fusionnel mais aux idées qui virevoltent et qui rêve de chant et de danse sur des planches de bois craquée. c'est le petit gars tout frêle qui n'ose pas l'ouvrir quand il le faut mais qui devient un autre homme au contact de ses passions, qui s'habille de toutes les façons différentes et qui travaille quelques heures par semaine pour pouvoir se nourrir. c'est l'étudiant de la julliard au piano, boursier émérite qui fait la fierté de ses parents, il est l'enfant adopté d'une famille qui a eu trop de mal à concevoir d'enfant mais il a cependant une grande soeur biologique dont il a foi bien plus qu'en tout le reste.
who am I
ꕥ âge : 25 ans sur le papier, peut-être quelques mois de plus ou de moins que ce que les documents lui attestent
ꕥ orientation sexuelle : sûrement pansexuel, n'a de pré-requis quant à sa sexualité, indéfinissables sentiments qui se débattent dans sa cervelle
ꕥ situation : célibataire, n'a jamais connu l'amour, fuyant tout type de relation par peur  
ꕥ occupation : métier, études etc
ꕥ quartier : miranda heights
ꕥ qualités : loyal, avide de nouvelles expériences, vivant
ꕥ défauts : introverti, fuyant, maladroit
ꕥ passions : {#}art-du-spectacle{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}piano{/#}
ꕥ communautés : {#}lgbt{/#}, les habitants de miranda heights, {#}thelostplanet{/#}, {#}jade{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ parrain : oui, pourquoi pas ?  puppy
all about my player
ꕥ petite présentation perso :hola everyone Tag piano sur I've got 99 problems 176241234 j'm'appelle anaïs surnommée nana, j'ai 26 ans, j'suis très active en rp et j'suis du genre à aimer tous les gens. que ça soit du drama, du fun, des trucs loufoques ou simplement de manger un sandwich devant un movie, j'suis partante.

j'suis pas dérangé de faire des ouvertures de rp mais j'ai toujours peur qu'en face la personne soit déçue, donc prenez pas mal si j'vous demande de faire l'ouverture, c'est la timidité des premiers temps sur le forum, après j'me lâche et j'suis pas si timide que ça, bien au contraire sifle

j'suis une fana de drama inrp, j'aime quand ça chiale et quand ça souffre, mais j'veux d'la paix aussi et j'aime vraiment construire les liens... sur plusieurs mois (j'ai eu un perso, un ship, ils ont couché ensemble la première fois au bout de 1 an de rp... et on était à 6-7 réponses par semaine à des rp en cours. POUR VOUS SITUER SUR LE LONG TERME QUE J'AIME Tag piano sur I've got 99 problems 2958767705)

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : le livre du voyage, bernard werber
ꕥ un film : harry potter et le prisonnier d'azkaban ou interstellar
ꕥ une série : sense8
ꕥ une chanson : ben platt, waving through a window, dear evan hansen
ꕥ un animal : le louveteau
ꕥ un plat/dessert : une forêt noire
ꕥ une boisson : thé glacé à la pêche
ꕥ une célébrité : Michelle Obama
ꕥ un pouvoir magique : être capable de comprendre les animaux, ça serait fascinant

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : nothing, really

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Savoir si c'est p*tains de chaussures vont lui aller aux pieds. Ou peut-être est-ce son incapacité à appréhender qui il est. C'est un enfant qui n'a aucune connaissance de son passé, peut-être que des tares y sont ou seront révélés.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). il n'osera pas le dire mais c'est l'genre à regarder tous les derniers potins en date de ses artistes préférés, il est capable de se lever à 3 heures du matin pour attendre la sortie d'un single d'un chanteur qu'il adore. il se ronge les ongles, mauvaise addiction prise par sa soeur Jaz.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? quelle relation ? pas de relation. il a cru parfois être amoureux, a embrassé deux ou trois filles mais à chaque fois, il y avait une grande incompatibilité pour une raison qu'il souhaite comprendre.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Papa est passé chez moi ce week-end, il m'a donné son vieil appareil photo, j'ai trouvé des dossiers. Donne moi 5$ ou je les mets sur insta." pour sa soeur Jaz.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? La relation est incroyable et positive. Il a été adopté par Daniel Baker et sa femme, Olive Baker-Shark qui étaient déjà les parents d'une fille qui s'appelle Jaz. Il n'a jamais eu de souci à s'intégrer, mais les premiers temps ont été difficiles, Jake est arrivé dans cette famille new-yorkaise vers ses trois ans. Mais la suite... quelle belle histoire. Il a grandi dans un ranch, entouré de chevaux, de poules et de cochons, apprenant à réparer une voiture ou dans le petit planeur de Papa, à plusieurs mètres au-dessus du ciel.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Jake tente de se faire repérer pour être acteur ou artiste à Broadway. Il prend des cours de théâtre, gagne de l'argent en vendant des glaces, en étant mascotte pour une nouvelle marque de dentifrice, parcours et écume les parcs à la recherche d'une nouvelle espèce de fleurs... de tout ou de rien, c'est un jeune homme qui ne sait pas s'arrêter.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Une fois, il a pris une paire de ciseau et il a coupé une mèche de sa soeur pendant son sommeil. Ca partait d'une bonne intention, il voulait la mettre dans sa peluche pour la garder auprès d'elle mais elle s'est retrouvé avec un trou dans les cheveux.

this session is gonna be different
elladora tonks/anaïs ꕥ 26 ans
fréquence de rp : si j'suis méga ultra motivée, all day everyday, mais j'suis relativement très active. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, sans trop peu d'exception. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'peux varier entre 200 et 500 mots, ma seule crainte c'est d'avoir quelqu'un qui accepte que je n'écrive pas forcément autant qu'elle  puppy ϟ avatar à réserver : timothée chalamet. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts couleur petit pois. ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur facebook. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? merci beaucoup d'avoir créé ce genre de bijou, un forum solaire, positif et qui m'a l'air vraiment humain. j'espère vraiment y trouver ma place Tag piano sur I've got 99 problems 717540281
tumblr (gif) solsken (avatar) managram

Anything more than whispers

Invité
25 r ; 1490 v.
Dim 26 Avr - 23:11
Priya Advani
30 ans – infirmière scolaire
FEAT : Tina Desai Priya est la fille unique d'un couple d'immigrés venus du Rajasthan (Inde) pour faire fructifier l'affaire familiale. Bien qu'elle soit née aux Etats-Unis, ses parents ont toujours tenu à ce qu'elle vive en accord avec la culture familiale, par la pratique religieuse où le respect des coutumes de leur caste. Si en face d'eux, c'est ce qu'elle fait, elle questionne de plus en plus ses pratiques et transgresse les règles quand elle est seule. Elle travaille aujourd'hui comme infirmière scolaire au lycée de Staten Island où elle désespère des principes d'éducation sexuelle qu'elle doit inculquer à ses élèves, ce qui entre en écho avec les questionnements personnels qu'elle a de plus en plus au sujet de sa propre sexualité, pas si hétéro qu'elle l'aurait crue. Pour autant, étant très introvertie et indécise, elle a du mal à s'ouvrir aux autres de peur de rencontrer un terrain hostile. Cette timidité maladive est un réel frein à ses ambitions, et se lancer une bonne fois pour toute, accepter de prendre des risques, est la seule thérapie possible.
who am I
ꕥ âge : Trente ans depuis peu, et bien que ça ne soit qu’un an de plus par rapport à l’année passée, le chiffre est symbolique et ça lui fait bizarre. Comme si la vingtaine était une sorte de post-adolescence, et qu’elle devenait adulte pour de bon, avec ce que cela implique de responsabilités.
ꕥ orientation sexuelle : Là ça devient compliqué… Comme beaucoup de gens, elle s’est supposée hétérosexuelle pendant des années, étant donné qu’elle ne sortait qu’avec des hommes. Mais elle n’a jamais été portée sur le sexe, trouvant même toujours une excuse pour masquer le fait qu’elle n’en avait tout simplement pas envie. Comprenez bien, là où elle a grandit, tout ce qui n’est pas hétérosexuel se voit dénier toute existence. Alors elle se pose des questions
ꕥ situation : Célibataire depuis plus d’un an, cette situation est un peu nouvelle pour elle car elle a été en couple pendant longtemps avec le même homme, qu’elle a finit par quitter. Il lui fallait une pause, histoire de se remettre les idées en place.
ꕥ occupation : Elle est infirmière scolaire au lycée de Staten Island depuis peu. Le public à l’air agréable, de même que l’équipe enseignante, et tenter d’aider les autres est une des valeurs principales autour de laquelle elle organise sa vie.
ꕥ quartier : Elle est née et a grandit à Staten Island, et habiter à nouveau le quartier de son enfance, elle le vit comme un retour aux sources, rassurant et facile à vivre.
ꕥ qualités : persévérante, empathique, prévenante, curieuse, travailleuse
ꕥ défauts : introvertie, peureuse, menteuse, hypersensible,  impulsive
ꕥ passions : {#}mode{/#} {#}thé{/#} {#}littérature{/#} {#}netflix-and-chill{/#} {#}piano{/#} {#}travailler{/#}
ꕥ groupe : groupe
ꕥ communautés : Lycée de Staten Island, cours de salsa
ꕥ scénario/pré-lien : c'est pas tout à fait ça, mais c'est ce pré-lien qui m'a inspiré Priya
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : oui
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Hello ! Seli au rapport (oui ça vient de Kaamelott). J'essaie de reprendre le rp et l'habitude d'écrire pour mes propres projets. Je ne sais pas encore très bien quel sera mon rythme d'écriture et de réponse, donc on verra.
Je viens d'avoir 25 ans (début avril) et franchement sans exagérer, tomber sur un forum comme ça c'est un cadeau d'anniversaire très sympa  cute j'adore l'ambiance et tous les sujets qui sont traités ici. J'ai fait seulement deux passages sur la CB mais je peux vous dire vous formez une super communauté que j'ai bien envie d'intégrer. Sinon, pour mes goûts et centres d'intérêts, je pense que tout est juste en dessous.
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates
ꕥ un film : Un long dimanche de fiançaille ou Amélie Poulain, un Jean-Pierre Jeunet dans tous les cas
ꕥ une série : Sense8 of course, mais en ce moment, je suis très One day at a time
ꕥ une chanson : Through the fire, de Larry Greene
ꕥ un animal : Un petit chat  Tag piano sur I've got 99 problems 3897432730
ꕥ un plat/dessert : Un bon vieux gâteau au chocolat, oh non… une key lime pie
ꕥ une boisson : Un thé au citron (oui j'aime le citron)
ꕥ une célébrité : Entre Stephanie Beatriz et Terry Crews mon cœur balance...
ꕥ un pouvoir magique : J'ai toujours rêvé de savoir voler

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : Grossophobie + relations toxiques romantisées

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? J'ai l'impression de courir après un temps dont je ne dispose pas. Tout ce que je prenais pour acquis dans ma vie s'est envolé du jour au lendemain, et je dois tout reconstruire en un temps record, pour rassurer mes parents qui sont de plus en plus circonspects face à mes choix de vie. Enfin, dire que je leur ment serait plus honnête. Je gagne du temps, pour repousser le temps de la conversation gênante que nous allons avoir. Il faudra leur expliquer pour mon mariage avorté, pour mon déménagement brusque, pour la bouteille de rosé que ma mère a trouvé dans le frigo. Toutes des questions qu'ils me poseront auxquelles je n'ai pas de réponse à apporter. Quelqu'un aurait un tuto pour expliquer à ses parents qu'on est peut-être pas la fille qu'ils ont cru avoir pendant des années ? Alors que j'en était moi-même persuadée...

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Pour ce qui est des addictions habituelles (de celles dont on voir les flyers partout dans les infirmeries scolaires et dont les mômes se foutent royalement), rien à signaler. Mais mes amis de fac m'ont toujours dit à quel point j'étais une "workaholic", toujours à bosser, même quand c'était inutile. Mais depuis quand on peut bosser pour rien ? Et puis je dois bien travailler pour pouvoir me payer toutes les fringues qui me font envie, une bien belle obsession de l'apparence que m'a refilée ma fashion-victim de mère. C'est plus fort que moi, je peux difficilement passer devant une vitrine sans sortir avec le dernier blazer a la mode ou ne pas passer des heures devant des magazines de mode. Mais je me soigne, j'essaie d'aller un peu plus en friperie. Comme je suis difficile, je fais des économies.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Une fin bizarre pour une relation très bizarre. Ce sont mes parents qui m'ont présenté ce type pendant que je faisais mes études. Leur objectif était bien entendu qu'on se marie, comme ils l'appelaient de tous les vœux. Lui et moi on s'entendait bien, on a même emménagé ensemble mais… je ne saurai même pas dire ce qui a foiré. On était sur la même longueur d'onde, on aimait les mêmes choses, on avait tous les deux la même horreur de la foule. Du coup je ne sais pas pourquoi je n'ai pas voulu aller plus loin. Je lui disais sans cesse d'attendre. Alors on a attendu et je n'ai jamais été prête, même si nous avons annoncé notre mariage dans l'espoir que ça change quelque chose. J'ai laissé notre relation mourir avant d'y mettre un terme par honte il y a à peu près un an. J'ai ramassé mes affaires au milieu de la nuit et je suis partie. Je ne lui ai plus jamais parlé. Personne ne sait ce qui m'a pris, même pas moi. J'avais juste cette étrange certitude que je devais partir avant d'étouffer.

Le dernier texto que tu as envoyé ? A Ryan Newman : L'Overkill, t'es sure ? tu connais pas un endroit plus calme ???

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? J'ai toujours été proche de mes parents, étant leur unique fille sur laquelle ils ont fondé leurs espoirs. Aucun frère ou aucune sœur pour me décharger un peu. J'ai l'impression pourtant que nous vivons dans deux dimension parallèle mais difficilement conciliables. Chez eux, on parle Rajasthani et Hindi, on brûle de l'encens sur l'autel de Vishnu, on ne mange pas de viande et surtout on ne boit pas d'alcool. Tout ça dans un joli pavillon de banlieue de Staten Island… J'ai grandi là dedans, et ça me convenait bien jusqu'à ce que je sois une ado bien plus intéressée par les dernières séries, les dernières fringues à la mode et son téléphone portable. J'ai commencé à transgresser les règles à cette époque, et ça continue aujourd'hui. Et ils commencent à peine à s'en rendre compte. Nous sommes vraiment proches, et c'est peut-être ce qui rend douloureux le sentiment que nous avons de vivre sur deux planètes différentes et que nous avons de plus en plus de mal à nous comprendre.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je passe principalement mon temps chez moi, à trainer en chemise de nuit ou en robe de chambre. Enfin, trainer c'est un bien grand mot. Disons que je sort assez peu car je déteste les endroits bondés. Je lis pas mal, j'apprend de nouvelles partitions au piano, et surtout, je regarde pas mal Netflix les soir après m'être commandé une Ropa Vieja chez le traiteur cubain du coin (ne le dites pas à ma mère). Je suis un peu trop tranquille diraient certains. Récemment, sur un coup de folie sans doute, j'ai décidé de m'inscrire aux cours de salsa que Ricardo Diaz organise après qu'il ait affiché un prospectus au lycée. Je suis terrorisée à l'idée de me ridiculiser devant des inconnus, mais quelque part, j'ai toujours rêvé de savoir danser.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il y en pas mal, surtout ces derniers temps. Que voulez-vous savoir ? La façon dont j'ai trahi les préceptes de ma caste Agrawal en consommant à foison alcool et viande sans demander pardon pour mes actions ? La façon dont je mens continuellement à mes parents sur mes habitudes soi-disant religieuses et la raison pour laquelle je ne suis pas mariée aujourd'hui ? La façon dont j'explique à des lycéens que l'abstinence est un moyen sûr de se protéger du VIH car c'est une consigne obligatoire ? Ou encore la façon dont j'ai laissé mon couple s'étioler, tout ça parce que je n'avais pas envie de coucher avec mon fiancé ? J'en parle peu, peut-être que je devrai…

this session is gonna be different
Seli ꕥ 25 ans
fréquence de rp : au minimum une réponse par semaine. ϟ fréquence de connexion : une fois par jour au minimum. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je peux m'adapter mais je fais en général en 400 et 500 je dirai. ϟ avatar à réserver : Tina Desai. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : C'est une question piège ?  tomato  ϟ comment avez-vous connu 99 ? Complètement pas hasard en surfant sur le net. Je suis arrivée via l'avatar de quelqu'un mais je ne sais plus qui  sifle ... ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? C'est ici qu'on demande un parrain la meuf complètement paumée ? sinon  uuh .
tumblr (gif) solsken (avatar)

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