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let's do the time wrap again feat Aidan

@ Invité

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Mer 18 Déc - 11:49
Le rocky horror pictures show m’attends, depuis le temps que je voulais intégrer une pièce de théâtre, ça a toujours été mon rêve secret, j’ai toujours aimé le théâtre et les comédies musicale, secrètement, je n’en ai jamais parlé à personne et finalement j’ai été pris pour ce rôle. J’ai laissé de côté l’entreprise, j’ai délégué comme toujours, j’envisage de plus en plus de partir, de la laisser à quelqu’un, mais je ne peux pas faire ça. J’ai laissé de coté aussi mes concerts, j’ai besoin d’une pause, d’être près de ma famille. La santé de ma mère me préoccupe, même si je sais qu’on ne dirait pas que je m’inquiète.

J’arrive à la salle de répétition et je vois le piano évidement c’est vers lui que je me dirige, dès qu’il y a un piano dans la pièce, c’est vers lui que je me dirige, parce que la musique m’appelle et je me mets à jouer l’air « let’do the time wrap again », j’ai toujours aimé cette musique, j’ai toujours aimé les personnages de ce show. Je ne m’arrête pas quand je vois Aidan entrer, pourquoi je m’arrêterais ? Je fini de jouer pour me décider à lui parler :

« Tu as réussis à sortir de ton lit ? »

Je lui dis d’un air mesquin, j’aime bien l’embêter et généralement il me le rend bien, on est deux fortes têtes, deux lions qui se battent en duel et il n’en restera qu’un à la fin … Du moins il faudrait, sauf qu’on doit apprendre à travailler ensemble et c’est loin d’être gagné.

@ Invité

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Sam 21 Déc - 18:25
Devoir te lever pour aller travailler... Voilà ce qui rythme ton quotidien depuis un peu plus d'un an maintenant. C'est le comble pour toi, qui pensais sincèrement pouvoir vivre ta vie sans travailler une seule fois ou alors en te contentant de poser devant un objectif pour les beaux yeux d'un photographe. Mais le théâtre t'appelle et tu te dois de participer à la répétition. Si au départ, tu arrivais tout le temps en retard et ne faisais pas le moindre effort, ton comportement a fini par changer petit à petit. Il faut croire que tu apprécies ce job plus que tu ne le laisses penser et surtout que tu as fini par y prendre goût, à la scène.

Quand tu arrives au théâtre, il n'y a que Thomas sur scène en train de jouer une des musiques du RHPS. Tu lèves les yeux au ciel, la connaissant par cœur, et tu l'observes, attendant que celui-ci finisse par remarquer ta présence et arrête de jouer. Mais non, il continue comme si tu n'étais pas là. Hého, tu existes ou bien... ? Il t'a bel et bien regardé en plus ! Pour qui il se prend celui-là, à t'ignorer délibérément ? Finalement, Thomas délaisse les touches de ce piano à la fin de la musique. « Comme tu peux le voir. Mais si j'avais su que c'était ta sale tête que je verrais en premier ce matin, j'y serais resté. » répliques-tu d'un ton sarcastique. Bon, c'est de la mauvaise foi pure et simple mais c'est plus fort que toi. « Bizarre, il n'y a pas encore une de tes groupies dans le coin ? ». Des mots que tu lui lances avec un sourire narquois, observant d'un air exagéré autour de toi. Tu ne comprends pas pourquoi mais Thomas a toujours été un des comédiens les plus demandés après le show. C'est peut-être le fantasme du pianiste...

@ Invité

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Dim 22 Déc - 11:50
Je m’arrête finalement de jouer à la fin de la musique, je ne me serais pas arrêté pour lui, que ça soit lui n’a rien de personnel, peut-être que si, mais peu importe et sa petite pique me fait sourire. Un sourire mesquin évidement. Je n’ai pas l’intention de le laisser dire et de me taire, c’est mal me connaître.

« Ça aurait été une bonne idée pour une fois, tu aurais peut-être dû y réfléchir, oh mais j’oubliais pour réfléchir il faut un cerveau qui fonctionne … quel dommage que le tiens soit rouillé. »

Je lui fais un grand sourire, s’il veut jouer à ça avec moi il va être mis rapidement au parfum. Je ne me laisse pas faire et je n’ai jamais eu ma langue dans ma poche, quand on sait que j’envoie chier mes propres directeurs. Ce n’est pas un petit artiste à en devenir qui me fait peur et la suite me fait doucement sourire.

« Non pas aujourd’hui, ça t’embête parce que tu ne peux pas te servir, ou alors tu es peut-être jaloux que je sois autant demandé. Oh c’est moche la jalousie. Très moche, un peu comme toi. C’est peut-être bien pour ça qu’elles ne veulent pas de toi. »

Je lui fais un sourire. Je suis carrément désobligeant et sans doute méchant, mais je ne me suis jamais vraiment remis en question. Je devrais évidement, mais je pas avec lui. On ne peut pas dire qu’on s’entende très bien, on a tous les deux des égaux surdimensionnés et c’est toujours un combat de coq comme aujourd’hui et je dois dire que ça m’amuse assez. Il a le don de toujours me surprendre et il ne se débrouille pas trop mal. C’est dommage finalement qu’on ne s’entende pas, je lui aurais appris pleins de choses.

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Lun 23 Déc - 16:51
Les hostilités sont lancées entre vous. Pour une fois, ce n'est pas toi qui a commencé... Bon, peut-être un peu car tu aurais pu te contenter de répondre normalement à sa question au lieu de rentrer directement dans son jeu mais c'est plus fort que toi. Tu ne supportes pas être piqué de n'importe quelle manière, surtout par Thomas, alors tu répliques à chaque fois quitte à ne faire qu'envenimer la situation. Peut-être qu'un jour, vous arriverez à vous entendre mais ce n'est pas prêt d'arriver visiblement. A croire qu'aucun de vous deux n'est capable de remarquer que vous vous ressemblez plus que vous ne le pensez et c'est pour cette raison que vous ne pouvez pas vous empêcher d'alimenter cette animosité évidente. « Pourquoi avoir un cerveau qui fonctionne quand tout ce qu'on me demande, c'est me pavaner sur scène ? J'ai d'autres qualités plus intéressantes à mettre en avant contrairement à d'autres. ». Tu le vises lui bien évidemment, inutile de le préciser. Thomas est assez grand pour le comprendre tout seul. Et en même temps, tu lui rappelles que tu as été pris pour le rôle de Rocky justement pour ton physique idéal contrairement à lui qui joue Riff Raff. Bon, certes, Thomas a droit à une séance de maquillage chaque soir avant la représentation pour être enlaidi mais quand même ! « Jaloux de qui ? De toi ? » que tu lui lances, prenant une mine exagérément ahurie qui se transforme très vite en un sourire narquois. Tu n'es jaloux de personne, Aidan. Du moins, c'est ce que tu essayes de te faire croire mais la vérité est tout autre. Depuis que tu as été déshérité par tes parents, tu envies tout le monde pour un oui ou pour un non. « Je préfère la qualité à la quantité. Tu devrais essayer de temps en temps, peut-être que tu serais moins frustré en me voyant. ». C'est faux, tu aimes être au centre de l'attention et cela se voit. Pourtant, depuis quelques temps, il y a bien une jeune femme qui prend un peu trop de place dans tes pensées. « Mais si elles veulent se satisfaire de peu avec toi, ce n'est pas mon problème. ». Tu hausses les épaules tandis que ton air arrogant ne quitte pas ton visage. Hors de question de te laisser faire face à Thomas.

hrp:

@ Invité

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Lun 23 Déc - 20:53
On dirait deux coqs qui se battent en duel et ça m’amuse. J’y prend goût surtout qu’il a toujours quelque chose à me répliquer et c’est bien pour ça que j’aime bien m’attaquer à lui. C’est une proie facile et intéressante, parce que contrairement aux autres il n’est pas autant prévisible. J’aime être surpris. Je croise les bras et je lui dis :

« Parce que les femmes aiment qu’on ne soit pas que des objets sexuel, femme ou hommes … avoir un cerveau c’est toujours mieux que d’être beau et peut-être que tu as la beauté, mais ça ne fait pas tout. »

Il pourra me dire qu’il est charmeur, qu’il arrive à les amadouer, mais au fond elles doivent bien finir par se lasser de lui. L’intelligence à toujours été mieux vu que la beauté, du moins c’est mon point de vue. Je suis amusé par la suite, il est bien placé pour me dire ça. Je sens bien malgré tout qu’il y a de la jalousie dans l’air et je lui dis :

« Frustré ? Je ne suis pas frustré, juste amusé de voir à quel point tu es si naïf et si seul. Il semblerait que je ne sois pas si moche que tu le penses, je n’aurais pas autant de succès. »

Et bim, je suis plutôt fier de moi pour le coup, toujours aussi mesquin. J’aime beaucoup toucher là ou ça fait mal. C’est ma spécialité.

« Peut-être que c’est peu, mais peu ne veut pas dire de mauvaise qualité, bien au contraire, je suis sur qu’elles peuvent de le confirmer. Quant à toi tu devrais essayer de baiser un peu, tu as l’air tout ramolli. »

Je lui fais un sourire, fier de moi, je ne suis pas sûr que ça lui plaise ce genre de remarque, mais je n’en ai absolument rien à faire. On se cherche beaucoup, c’est souvent ce que font deux fortes têtes et aucun de nous deux ne voudra lâcher le premier.

Spoiler:

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Mer 1 Jan - 19:28
Un sourcil haussé, tu observes Thomas comme s'il venait de te sortir la connerie du siècle. Ce qu'il te dit entre par une oreille et ressort de l'autre – tu sais très bien que c'est le cas pour lui aussi et que tes mots ne l'impactent en rien. Mais cela n'en reste pas moins amusant. « Tu cherches quoi, Morgenstein ? A me faire une leçon de morale sur ce qu'attend un homme ou une femme ? Continue, je t'écoute avec une très grande attention. Mais en attendant, il est préférable de se vanter d'avoir fini dans mon lit plutôt que dans le tien. ». La maturité dans chacun de vos propos : portée disparue. Il est pourtant vrai qu'avoir la beauté ne fait pas tout mais contrairement à ce qu'il prétend, tu es persuadé d'avoir quelques neurones qui fonctionnent correctement quand tu le veux bien. Tu n'es pas quelqu'un de bête... Juste sacrément con par moment et pourtant, tu t'es amélioré de ce côté-là depuis plusieurs mois. « Naïf et seul... Tu es sûr de t'adresser à la bonne personne ? Il suffit que je claque des doigts et j'ai tout ce que je veux autour de moi. » répliques-tu avec arrogance. Touché dans ta fierté, Aidan. Car Thomas vient de toucher un point sensible : tu es seul. Certes, tu renoues petit à petit avec ton passé mais... Tu sais bien que cela mettra du temps avant de redevenir comme avant et qu'une chose s'est brisée à ton départ du Gotha. Tu ne fais plus partie du même monde que tes amis, c'est indéniable. Un monde dans lequel Thomas, lui, a encore sa place. Et bordel, cela te fait sacrément chier de devoir l'avouer. « Tu me passes leurs numéros alors ? Je préfère vérifier par moi-même plutôt que de me fier à ton côté narcissique qui te pousse à croire en tes prouesses inexistantes. » que tu lui lances à sa réflexion avec ton sourire narquois qui revient presque aussitôt sur tes lèvres. L'hôpital qui se fout de la charité que de lui reprocher son côté narcissique quand on te connaît... « Mais si ma vie sexuelle te préoccupe tant que ça... Tu as peut-être une sœur à me présenter ? ». C'est demandé si gentiment.

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Mer 1 Jan - 20:33
J’ai un petit rire. Il n’en manque pas une. Non mais vraiment, pour qui il se prend celui-là ? Ce qu’il m’agace avec ses grands airs et avec ses petites phrases toutes faites. Je le secouerais bien. Inspire, expire, on sait tous ce que ça peut donner quand je suis vraiment en colère et il n’a pas envie de voir ça et je risque d’avoir des ennuis si je m’énerve réellement après lui.

« Mais va te faire foutre mon grand, tu n’as aucune idée de quoi je suis capable et tu serais étonné de ce que je sais faire … je suis multi talent, n’oublie jamais ça. »

Je suis d’une grande arrogance et je le sais, tout le monde le sait, même lui c’est pour ça qu’on se crêpe le chignon et au fond j’adore ça. Ma langue de vipère est bien pendue et je peux continuer toute la soirée si il faut et moi j’ai l’avantage de me taper des femmes et des hommes, j’ai plus d’expérience. Ca devient carrément un concours de virilité, c’est un peu pathétique, on est encore que des gamins au fond. On se croitait au lycée. Je sais que j’ai touché un point sensible et si j’avais un peu de jugeotte je me rendrais compte que ça lui fait mal, mais je ne suis pas près de m’arrêter sur ma lancée. Je ne vois pas pourquoi je l’épargnerais. Je n’ai pas besoin de faire semblant de l’apprécier, je ne suis pas hypocrite.

« Tu n’es pas le seul à avoir tout ce que tu veux, mais moi au moins j’ai une famille qui m’aime. »

Et toc dans ta tronche, bon c’est un peu petit et si ça trouve il en a une aussi, mais si il prend si mal le fait d’être seul, peut-être qu’il n’en a pas et j’espère juste qu’il ne va pas se souvenir que j’ai tué mon père, si je pense que je vais l’étrangler lui. Je suis peut-être entrain d’entre sur un terrain glissant. J’ai un sourire quand il me demande leurs numéros du tac au tac je réponds :

« Si tu veux, je suis partageur tu sais, les plans à trois j’aime ça … »

Je souris et je sors mon téléphone, il ne m’aura pas sur ce coup-là, j’ai gardé des tas de numéro et ça ne m’embête pas de les lui filer. Même si ça serait beaucoup trop gentil et qu’il va finir par croire que je lui fais des avances alors que ce n’est pas le cas. Je lève les yeux au ciel et je lui réponds :

« Je n’ai pas de sœur tu le sais, je n’ai qu’un petit frère. »

Je me ferme un peu, c’est lui qui marque un point, mon frère est un sujet sensible. Il a une maladie mentale qui fait qu’il a beau avoir quinze ans il agit comme un gamin de huit ans et j’évite de parler de lui et s’il est comme ça c’est parce que mon père frappait ma mère pendant sa grossesse et je n’aime pas beaucoup aborder le sujet.

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Lun 6 Jan - 14:54
La première insulte fuse et elle vient du côté de Thomas. Cela ne fait qu'agrandir ton sourire narquois, plutôt fier de toi de l'avoir fait craquer aussi vite. « J'ai touché un point sensible, à ce que je vois. Multi talent mais incapable de parler sans m'insulter. Sinon, tu m'invites à aller me faire foutre avec qui ? Simple curiosité. ». Tu peux comprendre pourquoi c'est aussi insupportable pour le reste de la troupe de vous avoir tous les deux à la même soirée d'après show. Cela se termine toujours de la même manière : dans un concours de joutes verbales pour essayer d'avoir le dessus sur l'autre. Et là, ce n'est que le début de la journée alors tu ne préfères même pas imaginer ce que cela va donner pour les heures à venir... Mais pour une fois, il n'y a personne autour de vous pour profiter de ce spectacle. Sauf qu'il s'attaque à ta famille, ta si précieuse famille qui ne signifie plus rien à tes yeux comme tu signifies plus rien aux leurs. Tu le fusilles du regard et fait un pas en avant, presque prêt à lui mettre ton poing dans la gueule pour lui faire ravaler ses paroles. C'est ce qu'il cherche alors tu tentes de te calmer, fulminant intérieurement. Cette fois-ci, c'est lui qui a touché un point sensible. Faisant partie du Gotha, Thomas sait très bien que tu as été déshérité. La nouvelle a vite fait le tour il y a quelques semaines, nul doute qu'elle est arrivée jusqu'à ses oreilles vue ce qu'il ose te lancer dans la tronche. Morgenstein, sombre connard.« Oh le petit Morgenstein a besoin de l'amour de sa pauvre mère ? A ta place, je m'abstiendrais de parler de famille vue l'état de la tienne. ». Tu sais juste que son père est mort, rien de plus. Tu ne t'es jamais intéressé à lui avant de le voir débarquer dans la pièce et même au Gotha, tu ne te rappelles même pas de lui tant il ne t'a pas marqué. Insignifiant, voilà ce qu'il est contrairement à toi. Pourtant, tu as plus de points communs que tu le penses avec lui mais l'animosité qui te gagne à chaque fois que tu le vois t'aveugle totalement. « Je rêve ou tu me dragues là ? ». Les sourcils haussés, tu l'observes de haut en bas avec une mine dégoûtée. Jamais de ta vie tu ne finiras dans le même lit que lui, même si c'est ton fantasme féminin qui se trouve au milieu de vous deux. « Je savais bien que ta haine envers moi cachait autre chose. Mais je suis désolé de t'annoncer que tu n'es pas mon type. Tu t'en remettras, tu penses ? ». Tu te fous ouvertement de sa gueule, lui souriant à pleines dents. « Dommage pour la sœur... J'aurais bien aimé te montrer comment je traite les femmes avec un exemple concret. Peut-être une de tes employées alors ? ». Tu as beau dire cela d'un ton sérieux pour le faire croire à Thomas, tu es loin de penser ce que tu dis. Tu veux bien être un connard, mais tu ne t'amuses pas non plus à jouer avec n'importe quelle fille juste pour prouver que tu as raison. Il y a des limites à la connerie tout de même. Pas sûr que Thomas ait de limites lui par contre.

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Mar 7 Jan - 11:57
Je souris parce qu’il me fait rire. Il a l’air étonné que sois le premier à l’insulter, mais ce n’était qu’une question temps. Il me connaît, je suis grossier, pas seulement avec lui, avec tout le monde. Il ne devrait pas être surpris.

« Le jour ou je te parlerais sans t’insulter c’est que je t’apprécierais et ce jour n’est pas encore arrivé et je fais ce que je veux. Si j’ai envie de te dire merde je te le dirais, je me fou pas mal de la bienséance. »

Il le sait, je ne me suis jamais préoccupé des codes sociaux, pourquoi faire ? De toute manière tout le monde s’en fou.

« Et tu le fait avec qui tu veux avec le pape si ça te chante. »

Je ne sas pas pourquoi j’ai dis ça, peut-être parce qu’il me sort par les yeux et que je suis de mauvaise humeur et ça ne risque pas de s’arranger, quel idiot, je sais pourtant que la famille est un sujet à ne pas aborder quand on vient de famille riche, parce que les apparences sont trompeuses et que souvent il y a beaucoup moins de paillettes à l’intérieur qu’à l’extérieur et sa remarque sur ma mère me blesse, un point pour lui, je crois qu’on est ex aequo, balle au centre.

« Mais la mienne ne m’a pas déshérité, c’est plutôt toi qui est pauvre, ça va pas trop dur à gérer ? Tu as appris à aller travailler ou tu ne continues de rien faire de ta vie ? »

Un point pour moi, il n’avait qu’à pas me chercher sur ma mère, bon c’est moi qui est commencé, mais j’aime avoir le dernier mot alors je ne me débine pas et je sais que ça ne dois pas être facile pour lui, mais je n’ai pas le souci qu’il a et je ne l’aurais sans doute jamais, même si je sais que le succès peu partir du jour au lendemain, mais j’ai l’entreprise de mon père, donc je ne me fais pas trop de soucis. Le travail je connais, lui non.

Je lève les yeux au ciel, je le drague moi ? Non du tout, mais si il le croit, je peux peut-être le faire flipper un peu et lui faire croire que c’est le cas. Je suis un bon comédien, sinon je ne serais pas dans le trop. Je lui souris avant de répondre :

« Et quoi ? Ça te dérangerait ? »

Je me pince la lèvre, rentrer dans son jeu n’est pas tellement difficile, il va avoir tellement la trouille que ça soit vrai, j’ai hâte de voir ça. Quant au reste … je le prends cette fois plutôt mal, nouveau point pour lui, c’est un vrai combat de coq.

«Je n’ai pas besoin de voir comment tu les traites et tu peux demander à qui tu veux, si tu ne sais pas sortir avec d’autres femmes avec lesquelles je suis sorti c’est que tu as un gros problèmes, ce ne serais pas toi qui aurais envie de moi ? »

Retourner la situation, le mettre mal à l’aise et avoir la balle dans mon camp. Je me rapproche un peu de lui, histoire qu’il ne sache plus trop où il est.

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Mar 14 Jan - 13:16
Un autre point en commun avec Thomas : toi-même tu te fiches pas mal de la bienséance. Une raison de plus qui t'a fait prendre la sortie du Gotha et de la haute new-yorkaise tout court. Tes parents n'ont jamais supporté ton manque de manière, eux qui ont toujours tout fait pour que tu ressembles au fils qu'ils ont rêvé d'avoir. Il est clair que tu n'as jamais correspondu à aucun de leurs critères... et voilà où cela t'a mené. « Fais attention à tes arrières, Morgenstein. Le manque de bienséance peut te mettre dans des situations assez merdiques. Je te dis ça par expérience. Conseil d'ami, tu vois ? Je peux être sympa quand je veux. ». Pourtant, tu ne dis pas cela pour être sympathique, loin de là même. Simplement pour lui faire comprendre qu'à force de se comporter de cette manière, il risque de te piquer ta place de connard arrogant de service – que ce soit au sein de la troupe ou du Gotha tout court. Pas sûr qu'il la veuille. Toi, tu te fiches pas mal de l'image que tu renvoies à présent car tu t'estimes de toute façon mieux que les bouseux de service mais Thomas... Il a l'air d'y tenir. Il continue à parler de ta famille, utilisant le mot déshérité qui a une légère tendance à te hérisser les poils. Tu ne supportes pas que l'on te renvoie à la gueule ce que tes parents ont fait. C'est juste humiliant de savoir qu'il ne te reste de ta famille qu'un simple nom. Un nom avec une valeur autrefois mais plus maintenant. Du moins, pour toi. « Qu'est-ce que tu crois que je fous là, abruti ? Tu crois que je m'étale des paillettes sur la gueule chaque soir pour le plaisir ? Tu m'as pris pour la fée clochette ou quoi ? ». Oups, Thomas a visiblement réussi à te faire sortir de tes gonds avec un simple mot. Bravo à lui. Le ton hausse entre vous sans même que tu en prennes réellement compte. De toute façon, c'est trop tard, il a réussi à activer le bouton pour lâcher l'enfoiré qui sommeille en toi. « Venant d'un type qui n'a rien fait de soi-même et qui doit tout à papa et maman, tu m'excuseras mais... Ton avis, je me torche avec. ». Dans ta colère, tu deviendrais presque poétique. Tu es extrêmement mal placé pour lui envoyer ce genre de remarque à la gueule en sachant que si tes parents ne t'avaient pas déshérité, tu serais sans aucun doute toujours là à dépenser leur argent sans te soucier de travailler ou non. Mais à présent tu peux le dire : tu sais te débrouiller. Contrairement à tous les blaireaux du Gotha qui ne valent rien sans leur argent. Blaireau dont fait partie Thomas, ne l'oublions pas. « Ouais, ça me dérangerait. Si je dois me prendre quelque chose par derrière, je préfère encore que ce soit de la part de la drag queen du coin. Quoi qu'au moins avec toi, je ne risquerais pas de sentir grand chose. Laisse-moi y réfléchir, tu veux ? ». Tu pues l'arrogance à plein nez. Le lion est lâché, Thomas a réussi son coup. Et maintenant, il se rapproche de toi. A quoi il joue, celui-là ? Tu recules tout en l'observant, les sourcils froncés. « Essaye seulement de tenter quoi que ce soit avec moi et les touches de ton piano se retrouveront gravées à vie sur ta tronche. ». Tandis que tu continues de t'éloigner de lui, tu ne remarques pas que tu es à deux doigts du rebord de la scène.

@ Invité

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Jeu 23 Jan - 18:53
J’ai un sourire hautain quand il me donne ses conseils d’avis et je lui réponds du tac au tac :

« Tu peux te les mettre où je veux tes conseils. Je m’en passerais vu à quoi ta vie ressemble, je m’en sors clairement mieux que toi. »

Prends-toi ça dans la tête. Je ne suis pas près de le laisser tranquille celui-là. Il me cherche il me trouve et je suis d’humeur à lui balancer des saloperies tout au long de la journée. Je peux jouer à ça toute l’après-midi si il le faut, je suis très doué pour ça. Je ris cette fois quand il me dit qu’il n’est pas là pour le plaisir. C’est bien dommage pour lui et je lui réponds :

« Dommage, pourtant tu es plutôt doué, même si clairement tu as pas grand-chose à dire, tu devrais continuer à jouer ce genre de rôle, ça ne sera pas trop difficile pour toi, sinon tu peux aussi te reconvertir en gigolo. »

Je lui fais un grand sourire, quand je vous disais que j’étais doué. Je continue dans les amabilités, mais j’adore ça, surtout avec lu. Il me cherche, il me trouve. Je hausse un sourcil quand il me dit que je dois tout à mes parents. Il se trompe complètement.

« C’est complètement faux et tu le sais. Tu crois que c’est mes parents qui m’ont poussé avec être pianiste ? J’ai appris seul et je suis entré au conservatoire, certes j’ai eu leur aide à ce moment-là, mais le reste je l’ai fais tout seul, ça s’appelle le talent. Et je n’ai pas fait le tour du monde pour rien non plus, alors non je n’ai pas eu tout d’eux et je me fou pas mal de l’entreprise de mon père. La musique me rapporte beaucoup plus. »

Il sera surement étonné de l’apprendre et ça le fera un peu taire. Je sens sa moquerie, mais je ne me vexe pas pour ça. Il n’a pas vu à quoi elle ressemble :

« C’est souvent ceux qui l’ont petite qui disent ce genre de chose. Je ne suis pas du tout complexé, tu peux me vanner autant que tu veux là-dessus, ça ne me touchera pas. »

Dommage pour lui, ce n’est pas ce genre de remarque qui vont me vexer. Je souris un peu plus quand il me dit de ne pas trop m’approcher et de ne rien tenter. Il n’est plus aussi sur de lui maintenant. Il s’est pris à son propre jeu. Je me contente de sourire et je lui dis :

« Alors la prochaine ne t’aventure pas sur ce terrain là, tu ne sais pas de quoi je suis capable. »

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