cassius -- paint my world a new grey
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cassius roskam
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@cassius roskam 24 ans - sans emploi FEAT : Dylan Rieder Cassius, c'était un gosse sans histoire, trop calme, toujours en retrait. Sa passion pour le sport, et en particulier le snowboard découvert à l'âge de dix ans, lui a ouvert un tout nouvel horizon, au point d'en devenir son unique but dans la vie. Quelques compétitions, beaucoup de rêves, et puis la dégringolade. Percuté par une moto (11.2019), il a perdu l'usage de ses jambes et se déplace depuis en fauteuil roulant. Les opérations multiples et la rééducation n'y ont rien fait, il commence à peine à accepter sa situation, et la prise de conscience du fait qu'il ne remontera plus sur sa planche le plonge dans une dépression profonde. Son séjour a l'hôpital a marqué le début de sa dépendance aux antalgiques, il ferait n'importe quoi pour ne plus rien ressentir. | QUICK AND DIRTY Nationalité : américaine.Ethnie/origines : papa est néerlandais, maman américaine. Orientation : hétéroromantique et demisexuel. Situation : célibataire. il ne fait plus rien de ce côté-là depuis son accident, Cass, il a trop honte, honte d'être coincé dans ce fauteuil, honte d'être limité dans ses mouvements, entravé, honte… et puis peur, aussi, peur de ne plus être à la hauteur, de ne plus savoir s'y prendre, de se ridiculiser. Occupation : les plans ont foiré, chaque fois qu'il a entrepris quelque chose. cancre sur les bancs de l'école, universitaire médiocre, il n'y a que dans le sport qu'il ait jamais trouvé une forme de reconnaissance de la part de ses pairs. mais, ça aussi, ç'a foiré. il faisait du snowboard, et il était sacrement doué, mais ç'a mal tourné et, les jambes immobilisées, il a tout arrêté. Quartier : le queens, springfield gardens and what else ? Qualités : direct, protecteur, réaliste, cultivé, observateur, combatif, responsableDéfauts : borné, impatient, fier, susceptible, rancunier, méfiant, pointilleux Passions : #tatouage #chien #comics Communautés : drive safe -- best friends life saving center -- cinéma du queens -- off the wall skate park |
that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Sans doute le fauteuil roulant dans lequel il est coincé depuis un an. S'il a encore des sensations cutanées partielles, il a perdu toute motricité, les lésions subies par sa moelle épinière étant trop importantes. Paraplégique, cela représente des aménagements conséquents dans sa routine et son logement, toute sa vie remise en question par une seconde de distraction, un motard trop pressé, un Cassius trop lent que pour l'éviter. Il en a voulu au monde entier. Il a perdu le sens de sa vie, perdu son autonomie, il est mal dans sa peau, mal dans sa tête, rien ne semble pouvoir lui rendre sa joie de vivre d'antan, lui qui avait trouvé un sens dans son métier et qui ne pourra plus remonter sur une planche, jamais. Il n'a pas envie de s'essayer à des sports adaptés, aurait l'impression d'être ridicule, complètement en dehors de sa zone de confort, s'accrochant bêtement à une époque révolue. Comme un autel dédié à sa vie d'avant, son appartement en porte encore les marques, coupes et médailles mises en vitrine, planches exposées au mur. Il refuse d'accepter, refuse d'avancer. Il a beau s'essayer à la thérapie musicale en apprenant la guitare, voir son psy toute les semaines et travailler avec son kiné, il n'en est pas moins isolé, autoexclu de la société de peur qu'on le voie comme lui se voit. Il n'en évite pas moins de se livrer, esquivant même les aides à domicile, ne supportant pas l'idée d'être dépendant de qui que ce soit, redevable et tributaire. Pas qu'il croit encore pouvoir se relever, mais accepter leur aide c'est accepter sa condition, et il est loin d'en être à ce stade.
Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Calmants, anesthésiques, antalgiques, médocs en tout genre, les produits se sont multipliés dans son organisme au cours de ses opérations, tout au long de son hospitalisation. Ç'a commencé comme ça, entre deux crises de larmes, deux pics de douleur insupportable. Ç'a commencé bêtement, il est tombé dans l'addiction comme dans un rêve, d'abord de façon superficielle, et puis tout d'un coup, profondément. Irrémédiablement. Pour calmer la douleur, faire taire les angoisses, retrouver le sommeil en dépit des cauchemars, il n'y voyait aucun mal, après tout c'était ce qui lui permettait de tenir, de dépasser l'envie de se laisser aller, couler. Il avait besoin d'être anesthésié, de pouvoir oublier, et c'est rapidement devenu un impératif, même une fois la douleur dissipée, il a trouvé le moyen de s'anesthésier et, Cass, il ne sait plus comment fonctionner sans. S'il n'a d'abord cherché que le bien-être (ou, à défaut, moins de mal-être), la dépendance s'est faite physique, et de plus en plus grande, son corps s'habituant, en demandant plus, toujours plus. Il sait, désormais, qu'il ne contrôle plus rien, qu'il a de loin dépassé le stade de la consommation occasionnelle histoire de se détacher de sa réalité. Irritable, tremblant, nerveux, les symptômes du manque sont de moins en moins évidents à masquer, alors il continue, c'est son excuse, une parmi d'autres, sa façon de justifier l'addiction, et l'escalade de celle-ci.
Alors oui, il en a, des addictions. De moins importantes aussi, les tatouages qui recouvrent sa peau, toile vierge qu'il fait disparaître sous l'encre. La cigarette, qu'il n'avait jamais touchée avant son accident, parce qu'il faisait attention à sa santé, parce qu'il se voulait athlète, sérieux et au régime sain. Les réseaux sociaux, aussi, pour y voir défiler la vie des autres, ceux qui continuent, ceux qui ont encore des choses à montrer, des expériences à vivre. Lui, il ne s'affiche plus que sporadiquement, là où il partageait systématiquement ses entraînements en story il y a encore un an de cela. Aujourd'hui, il poste surtout à propos de ses chiens, sa seule fierté.
Comment s’est terminé ta dernière relation ? Par message ? C'est loin d'être une fierté, mais il avait d'autres choses à gérer, Cass, et une rupture en bonne et due forme n'aurait fait que lui compliquer la vie. Il a passé des mois, après son réveil à l'hôpital, à repousser méticuleusement toute personne ayant fait partie de sa vie d'avant, sa vie de valide, quitte à se montrer agressif, voire carrément méchant. Il estime que c'est mieux pour tout le monde, refusant de représenter un poids pour son entourage, d'être à la traîne derrière ses amis, que son ex se sente obligée de rester à ses côtés alors qu'il n'a, selon lui, plus rien à offrir.
Le dernier texto que tu as envoyé ? Tomorrow at 2pm's great. (demain 14h c'est parfait)
Confirmation de son rendez-vous chez le psychologue, histoire qu'il ne puisse y échapper, se défiler. C'est qu'il n'a rien à signaler, Cass, rien de plus que la semaine précédente, ou celle d'avant, et celle d'encore avant. Il en est au même point qu'il y a un an, mentalement parlant, à peu de choses près, et sans doute le fait de ne pas s'ouvrir à son psy y est-il partiellement pour quelque chose, mais il n'est pas prêt. Toujours pas. Il pourra lui parler de la guitare, afin d'esquiver tout le reste, même s'il n'en est encore qu'à mémoriser les accords tout en désespérant d'avance de la difficulté de l'apprentissage autodidacte (mais hors de question de se livrer aux soins d'un professeur, il a bien trop peur d'être l'élève de trop, le différent, voire d'être éconduit, impossible à aider, son invalidité compliquant les choses pour une raison ou une autre – ses peurs n'ont pas besoin d'être logiques pour exister, non, Cass, il se construit sa montagne d'excuses, sa muraille de doutes, plausibles ou pas.)
Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Présents, volontaires, attentionnés, ses parents, il n'a jamais rien eu à leur reprocher, c'est peut-être le plus désolant dans l'histoire. Ils n'ont rien fait de mal, et pourtant. Pourtant, Cass, il ne les voit plus, ou si peu. Il les suit, à contre cœur, dans un groupe de soutien, les laissant croire qu'entendre leur version et leur expérience de l'accident qu'il a vécu peut l'aider, ou le faire parler. Les laissant s'imaginer qu'ils comprennent, à force d'écouter d'autres paraplégiques, qu'ils peuvent l'aider. Il les laisse l'infantiliser, lui verser à nouveau de l'argent mensuellement, conscient que c'est l'unique façon qu'ils ont trouvée pour le soutenir concrètement, puisqu'il ne leur parle pas. Mais, en dehors de cela, il les évite. Pour les protéger, se convainc-il, de lui, de son addiction, de la déception, de l'impuissance face à sa situation. Pour se protéger, en réalité, de leurs regards, leurs attentes, la pitié qu'il devine et ne supporte pas.
En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Après des études écourtées et une carrière de snowboard franchement mise en péril, il n'a pas fait mine de vouloir retenter quoi que ce soit. Il est jeune, qu'on lui dit et répète, il peut encore tout faire, reprendre des études, trouver un nouveau sens à vie. Mais, tout ça, c'est trop abstrait pour lui. Tout ça, ce n'est pas sa passion, ce n'est pas assez. Aspiré dans une spirale infernale de lassitude et d'abattement des mois durant, il s'est fermé, enfermé, jusqu'à ne plus supporter de passer ses journées avec lui-même, ses pensées et son malaise. Il a repris contact avec le monde extérieur à travers les jeux vidéos, les chats, les conversations de geeks au sujet de sa collection grandissante de comics et de ses films préférés (le septième art avait toujours eu un certain attrait pour lui, mais ce fut l'un de ses grands passe-temps après l'hôpital, et il a eu le temps de se forger une culture cinématographique solide et extensive.) Alors, c'est surtout cela, qu'il fait, lorsqu'il n'est pas chez l'un ou l'autre professionnel de la santé, ou bien perdu dans les affres de la dépendance. Il n'a aussi jamais cessé de prendre soin de ses deux chiens, Mars (berger allemand) et Romeo (dobermann), ce sont eux qui le motivent encore à sortir, à bouger et vivre, parce qu'ils ont besoin de lui, et que s'il ne tient pas bon par volonté et plaisir, il le doit par responsabilité. Il lui arrive encore de passer par le skate park, c'est plus fort que lui, même s'il n'envisage pas une seconde de s'essayer au parasport.
Un fait peu glorieux à nous raconter ? Vous avez combien de temps ? Il traîne quelques casseroles, Cass, des plus embarrassantes aux plus comiques. Dernièrement, il est surtout victime de sa fierté, et il se met dans des situations pas possibles pour prouver sa capacité à s'en sortir seul. La fierté a toujours été sa plus grande ennemie, en témoignent les cicatrices de toutes les figures de skate et de snowboard prétendument maîtrisées, et qui se sont souvent soldées par de spectaculaires chutes. Il a pu en rire en parlant des risques du métier une fois lesdites figures perfectionnées mais, à l'adolescence, les fanfaronnades lui ont valu son lot de points de sutures et quelques moqueries.
Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Calmants, anesthésiques, antalgiques, médocs en tout genre, les produits se sont multipliés dans son organisme au cours de ses opérations, tout au long de son hospitalisation. Ç'a commencé comme ça, entre deux crises de larmes, deux pics de douleur insupportable. Ç'a commencé bêtement, il est tombé dans l'addiction comme dans un rêve, d'abord de façon superficielle, et puis tout d'un coup, profondément. Irrémédiablement. Pour calmer la douleur, faire taire les angoisses, retrouver le sommeil en dépit des cauchemars, il n'y voyait aucun mal, après tout c'était ce qui lui permettait de tenir, de dépasser l'envie de se laisser aller, couler. Il avait besoin d'être anesthésié, de pouvoir oublier, et c'est rapidement devenu un impératif, même une fois la douleur dissipée, il a trouvé le moyen de s'anesthésier et, Cass, il ne sait plus comment fonctionner sans. S'il n'a d'abord cherché que le bien-être (ou, à défaut, moins de mal-être), la dépendance s'est faite physique, et de plus en plus grande, son corps s'habituant, en demandant plus, toujours plus. Il sait, désormais, qu'il ne contrôle plus rien, qu'il a de loin dépassé le stade de la consommation occasionnelle histoire de se détacher de sa réalité. Irritable, tremblant, nerveux, les symptômes du manque sont de moins en moins évidents à masquer, alors il continue, c'est son excuse, une parmi d'autres, sa façon de justifier l'addiction, et l'escalade de celle-ci.
Alors oui, il en a, des addictions. De moins importantes aussi, les tatouages qui recouvrent sa peau, toile vierge qu'il fait disparaître sous l'encre. La cigarette, qu'il n'avait jamais touchée avant son accident, parce qu'il faisait attention à sa santé, parce qu'il se voulait athlète, sérieux et au régime sain. Les réseaux sociaux, aussi, pour y voir défiler la vie des autres, ceux qui continuent, ceux qui ont encore des choses à montrer, des expériences à vivre. Lui, il ne s'affiche plus que sporadiquement, là où il partageait systématiquement ses entraînements en story il y a encore un an de cela. Aujourd'hui, il poste surtout à propos de ses chiens, sa seule fierté.
Comment s’est terminé ta dernière relation ? Par message ? C'est loin d'être une fierté, mais il avait d'autres choses à gérer, Cass, et une rupture en bonne et due forme n'aurait fait que lui compliquer la vie. Il a passé des mois, après son réveil à l'hôpital, à repousser méticuleusement toute personne ayant fait partie de sa vie d'avant, sa vie de valide, quitte à se montrer agressif, voire carrément méchant. Il estime que c'est mieux pour tout le monde, refusant de représenter un poids pour son entourage, d'être à la traîne derrière ses amis, que son ex se sente obligée de rester à ses côtés alors qu'il n'a, selon lui, plus rien à offrir.
Le dernier texto que tu as envoyé ? Tomorrow at 2pm's great. (demain 14h c'est parfait)
Confirmation de son rendez-vous chez le psychologue, histoire qu'il ne puisse y échapper, se défiler. C'est qu'il n'a rien à signaler, Cass, rien de plus que la semaine précédente, ou celle d'avant, et celle d'encore avant. Il en est au même point qu'il y a un an, mentalement parlant, à peu de choses près, et sans doute le fait de ne pas s'ouvrir à son psy y est-il partiellement pour quelque chose, mais il n'est pas prêt. Toujours pas. Il pourra lui parler de la guitare, afin d'esquiver tout le reste, même s'il n'en est encore qu'à mémoriser les accords tout en désespérant d'avance de la difficulté de l'apprentissage autodidacte (mais hors de question de se livrer aux soins d'un professeur, il a bien trop peur d'être l'élève de trop, le différent, voire d'être éconduit, impossible à aider, son invalidité compliquant les choses pour une raison ou une autre – ses peurs n'ont pas besoin d'être logiques pour exister, non, Cass, il se construit sa montagne d'excuses, sa muraille de doutes, plausibles ou pas.)
Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Présents, volontaires, attentionnés, ses parents, il n'a jamais rien eu à leur reprocher, c'est peut-être le plus désolant dans l'histoire. Ils n'ont rien fait de mal, et pourtant. Pourtant, Cass, il ne les voit plus, ou si peu. Il les suit, à contre cœur, dans un groupe de soutien, les laissant croire qu'entendre leur version et leur expérience de l'accident qu'il a vécu peut l'aider, ou le faire parler. Les laissant s'imaginer qu'ils comprennent, à force d'écouter d'autres paraplégiques, qu'ils peuvent l'aider. Il les laisse l'infantiliser, lui verser à nouveau de l'argent mensuellement, conscient que c'est l'unique façon qu'ils ont trouvée pour le soutenir concrètement, puisqu'il ne leur parle pas. Mais, en dehors de cela, il les évite. Pour les protéger, se convainc-il, de lui, de son addiction, de la déception, de l'impuissance face à sa situation. Pour se protéger, en réalité, de leurs regards, leurs attentes, la pitié qu'il devine et ne supporte pas.
En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Après des études écourtées et une carrière de snowboard franchement mise en péril, il n'a pas fait mine de vouloir retenter quoi que ce soit. Il est jeune, qu'on lui dit et répète, il peut encore tout faire, reprendre des études, trouver un nouveau sens à vie. Mais, tout ça, c'est trop abstrait pour lui. Tout ça, ce n'est pas sa passion, ce n'est pas assez. Aspiré dans une spirale infernale de lassitude et d'abattement des mois durant, il s'est fermé, enfermé, jusqu'à ne plus supporter de passer ses journées avec lui-même, ses pensées et son malaise. Il a repris contact avec le monde extérieur à travers les jeux vidéos, les chats, les conversations de geeks au sujet de sa collection grandissante de comics et de ses films préférés (le septième art avait toujours eu un certain attrait pour lui, mais ce fut l'un de ses grands passe-temps après l'hôpital, et il a eu le temps de se forger une culture cinématographique solide et extensive.) Alors, c'est surtout cela, qu'il fait, lorsqu'il n'est pas chez l'un ou l'autre professionnel de la santé, ou bien perdu dans les affres de la dépendance. Il n'a aussi jamais cessé de prendre soin de ses deux chiens, Mars (berger allemand) et Romeo (dobermann), ce sont eux qui le motivent encore à sortir, à bouger et vivre, parce qu'ils ont besoin de lui, et que s'il ne tient pas bon par volonté et plaisir, il le doit par responsabilité. Il lui arrive encore de passer par le skate park, c'est plus fort que lui, même s'il n'envisage pas une seconde de s'essayer au parasport.
Un fait peu glorieux à nous raconter ? Vous avez combien de temps ? Il traîne quelques casseroles, Cass, des plus embarrassantes aux plus comiques. Dernièrement, il est surtout victime de sa fierté, et il se met dans des situations pas possibles pour prouver sa capacité à s'en sortir seul. La fierté a toujours été sa plus grande ennemie, en témoignent les cicatrices de toutes les figures de skate et de snowboard prétendument maîtrisées, et qui se sont souvent soldées par de spectaculaires chutes. Il a pu en rire en parlant des risques du métier une fois lesdites figures perfectionnées mais, à l'adolescence, les fanfaronnades lui ont valu son lot de points de sutures et quelques moqueries.
this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : vespertine, appelez-moi Nawal
Age: 20 yo
Avez-vous des triggers personnels ? le suicide par pendaison et la maltraitance animale, lorsqu'ils sont détaillés. je préfère aussi être prévenue en cas de racisme et d'islamophobie
Avatar à réserver : Dylan Rieder (merci )
Crédit avatar utilisé dans la fiche: drake.
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec plaisir
Age: 20 yo
Avez-vous des triggers personnels ? le suicide par pendaison et la maltraitance animale, lorsqu'ils sont détaillés. je préfère aussi être prévenue en cas de racisme et d'islamophobie
Avatar à réserver : Dylan Rieder (merci )
Crédit avatar utilisé dans la fiche: drake.
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec plaisir
@ Invité
Celui là, c'est le vrai, l'officiel (j'ai même le tampon et le certificat d'authenticité) :
BIENVENUE !
BIENVENUE !
@ Invité
ohh te voilà enfin comme déjà dit, contente de te voir ici également
bienvenue officiellement à toi
bienvenue officiellement à toi
@ Invité
Bienvenue par ici !
@ Invité
@Howard Kaddiks merciiii officiellement du coup
@Jaden Summers pareil, contente de te retrouver par ici
merci beaucoup
@Javier Aguilar mercii
@Jaden Summers pareil, contente de te retrouver par ici
merci beaucoup
@Javier Aguilar mercii
@ Invité
Bienvenue parmi nous !
@ Invité
mercii
@ Invité
le personnage a l'air trop cool
bienvenuuuuuue
bienvenuuuuuue
@ Invité
oww merci beaucoup
@ Debbie Sinclair
Pseudo : tara
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : en théorie, 1 fois par semaine
Multinicks : Jessica Doyle / Madison Reed
Avatar : nicola coughlan + nocreativejuiceleft (avatar) + plume (gifs) + aeairiel (code) + dolly parton (lyrics)
Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
Bienvenuuuue
@ Invité
- bienvenue
si tu as des questions n'hésite pas à contacter le staff
@ Invité
Bienvenue à toi !
@ Invité
Bienvenue sur 99
Bonne écriture a toi
Bonne écriture a toi
@ Invité
Tu tires une sale gueule
(Mais t'es beau quand même )
Bienvenuuuuue sur le forum
Ce que tu as déjà écrit, relire Cass J'ai hâte
- Spoiler:
@ Invité
Bienvenue officiellement par ici !! Bon courage pour ta fiche n'hésites pas si tu as besoin d'aide <3
@ Invité
mercii tout le monde, vous êtes des chats
je n'hésiterai pas en cas de question
@Bianca Earl
en voilà une façon de parler aux gens
(aaah je préfère ça )
merciii
mhaaan, j'ai hâte aussi vivement te relire et pleurer
je n'hésiterai pas en cas de question
@Bianca Earl
en voilà une façon de parler aux gens
(aaah je préfère ça )
merciii
mhaaan, j'ai hâte aussi vivement te relire et pleurer
- Spoiler:
@ Invité
Bienvenue officiellement
@ Invité
mercii
@ Invité
bienvenue parmi nous, en espérant que tu t'y plaises
@ Invité
merci beaucoup
@ Invité
présentation validée !
Just before we start... oh j'ai envie de lui faire des câlins à Cassius J'ai beaucoup aimé te lire, je te souhaite officiellement bon jeu parmi nous
Si jamais tu recherches des petits liens, n'hésite pas à aller remplir un sujet dans la section trouver des liens ça peut te permettre de détailler et rechercher les besoins de ton personnage ! Tu en trouveras le fonctionnement ici
Si ce système te fait un peu peur, n'hésite pas à visiter ce sujet qui récapitule toutes les choses mises en place sur le forum pour s'intégrer sans fiches de liens
Avant de te lancer, même si je suppose que c'est déjà fait en grande partie, n'hésite pas à prendre connaissance des annexes. Il n'y en a pas beaucoup et elles peuvent s'avérer franchement utiles ! N'oublie pas de renseigner tes triggers et tes warnings pour bien informer les membres de ce qui te dérange inrp ou sur ce que tu penses écrire Si ce n'est pas clair, n'hésites pas à aller voir du côté de esprit et concept, nous avons tout bien expliqué
Si tu le souhaites, tu peux même aller créer des petits scénarios ou pré-liens pour ton personnage dans cette section Et si tu as des recherches de liens spécifiques, ça se passera par là-bas !
Pour finir, n'hésite pas à venir sur la box et à profiter de notre flood amélioré !
Nous allons vous envoyer un mp d'intégration personnalisé, avec des suggestions d'intégration/de liens adaptées à votre personnage !
J'espère que tu passeras un bon moment sur le forum. En cas de besoin, nos boîtes de MPS sont toujours ouvertes N'hésite pas à nous contacter, tu trouveras toutes les infos sur qui nous sommes ici
@ Invité
merci beaucouuup
@ Contenu sponsorisé
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