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8 résultats trouvés pour photographie

I swear I'm not here for your eyes, but they are pretty tho.

Invité
9 r ; 476 v.
Dim 11 Avr - 14:40
Zion Doyle
idk what you’re talking about
ID CARD
{@=849}Zion Doyle{/@}
31 ans – Photographe
FEAT : feat Mark Fischbach
Divertissement et surprise sont de mises. Un homme qui vous dira que du Ashnikko goûte épicée la plus part du temps ou bien que le son de votre voix a une couleur particulière, merci à sa Synesthésie. Un activiste qui a le bien de ses pairs et de ses amis à poils (ou même sans poils) à coeur, il ira jusqu'au bout pour gagner leurs causes. Aimable avec le coeur sur la main, il en est malheureusement trop naïf et à la limite facilement influençable. Par contre, il ne suffit qu'une personne pour lui ouvrir les yeux pour qu'il devienne l'enfer pour qui osera abuser de lui.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain
Ethnie/origines : Coréen
Orientation : Pansexuel Polyamoureux
Situation : Célibataire
Occupation : Photographe, principalement pour GQ Magazine
Quartier : Queen
and what else ?
Qualités : Bienveillant, Généreux, Aidant, Bon Vivant, Réceptif, Zlatanesque
Défauts : Borné, Naïf, Joueur,
Passions : {#}photographie{/#} , {#}festival{/#} , {#}voyage{/#}
Communautés : Best friends lifesaving center, Les habitants du Oak Complex, Studio de danse, LGBT Center Manhattan.




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Est-ce que mes cheveux, ça compte ? J’veux dire, ils sont longs, ils me fatiguent, mais je sais pas si je veux les faire couper pour autant.! Non ? Okay. Alors mon plus gros problème ça serait quoi ? Ma gentillesse mêlé à ma naïveté. Les gens ont tendance à abuser du fait que je suis souvent prêt à me démener pour venir en aide aux autres et la plus part du temps, c’est bien après que je m’en rend compte..

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
L’adrénaline, l’humain et le voyage, tous réuni. Chaque année j’ai le même planning. Au printemps, je vais au Cap Nord pour l’Afrikaburn. En été, je vais à Rothbury pour l’Electric Forest Festival et ensuite, à Black Rock pour le Burning Man. Oui, j’y vais principalement pour y prendre des photos, les décors et l’ambiance étant trop bien pour ne pas les immortaliser. Par contre, je ne mentirai pas, J’ADORE le rush que ça me donne d’être là. Les possibilités qu’il y a, la capacité de nouer des liens avec tellement de gens. On y vit des expériences qu’on peut pas vivre ailleurs. Honnêtement, je ne me verrai pas vivre une vie banale sans avoir droit à ces touches de wildness.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
En bonne entente. Elle a bien vite réalisé qu’elle ne pourrait suivre mon mode de vie. J’ai été franc avec elle sur qui je suis dès le début, mais elle a voulu s’essayer. Elle a fait des efforts et moi aussi, mais au final, ce n’était pas fait pour elle. Elle a été bien franche avec moi, on en a parlé un long moment et après tout ça, on en est ressorti en très bons amis.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
Je te jure que je vais faire attention à moi, comme à chaque fois que j’y vais.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
Mes parents biologique sont mort j'avais 4 ans. Bien franchement, je ne me rappelle pas d'eux. Mes parents adoptifs par contre, eux j'ai une très bonne relation avec. Ils ont su me pousser dans la bonne direction et me soutenir quand j'en avais besoin. J'oserais dire que je dois les exaspérer parfois avec mes choix douteux et naïf (oui, on revient là-dessus), me le faisant savoir quand certaines choses ne sont pas net et que je dois revoir ma façon de penser. Je leur suis très reconnaissant pour ce qu'ils ont pu m'apporter et pour ce qu'ils font pour moi. Je veux pas être du genre lèche botte, mais je dirais que ce sont les meilleurs parents que j'aurais pu avoir.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
Beaucoup de bénévolat, frétiller ici et là, frivoler par moment. Sinon, passer du temps avec mes proches. Ça dépend vraiment de mon emploie du temps pour être bien franc.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
Par générosité, j’ai déjà fait des hum… activités physiques avec un homme de 67 ans parce que Monsieur voulait expérimenter ce que c’était de le faire avec un homme avant de ne plus en être capable à cause de sa maladie. Turns out, c’était une autre preuve que je suis naïf et que je gobe facilement les mensonges des gens..


this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Joshua
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ?   Jamais
Avatar à réserver : Mark Fischbach
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Pivette
Souhaitez-vous un mp d'intégration Nope

(William) Perfectly imperfect.

Invité
14 r ; 703 v.
Mar 16 Fév - 22:02
William McFaden
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=819}William McFaden{/@}
36 ans - senior special agent
FEAT : Matt Czuchry
Will ne connait pas sa famille biologique. Il a été abandonné devant un caserne de pompier à Londres alors qu'il avait à peine quelques jours --- Il a toujours gardé son accent anglais d'Angleterre --- William a été adopté alors qu'il avait 5 ans par une famille Américaine --- Il a grandit avec deux père et sa jeune soeur. Même si ce n'est pas sa famille biologique, il l'aime comme si. Il est très proche de sa petite soeur et de ses deux pères. --- Il adore le sport --- C'est un très bon cuisinier --- Sa carrière et son travail a toujours pris une grande place dans sa vie. --- Il a débuté sa carrière au NYPD pour finalement rejoindre le FBI ou encore une fois, il a su faire ses marques. --- Malgré son manque de temps, il est très attentionné envers ceux qu'il aime et peut se montrer romantique. --- Il ne dit jamais non à boire quelques verres avec des amis --- Il ne dit jamais non à une danse, encore plus accompagné de Jezabel --- Il n'a pas peur de prendre des risques --- Il sait garder son calme dans des situations de stress. --- Il s'entraine à tous les jours. --- Il fait attention à son alimentation.

QUICK AND DIRTY
Nationalité : Il est de nationalité anglaise.
Ethnie/origines : Ayant très peu d'information sur ses parents biologique, il assume qu'il est d'origine anglaise.
Orientation : Il ne s'est jamais donné une étiquette sur son orientation, mais il a toujours aimé les courbes féminine.
Situation : Comme il n'a pas encore signé les papiers du divorce que {@=674}Jezabel Wellington{/@} lui a laissé et selon son alliance au doigts, il est toujours marié.
Occupation : Il est agent au FBI. Avec les années, il a fait quelques différents départements. Il a débuté en tant qu'agent spécial spécialisé dans l'intelligence & surveillance division. Il a parfois aidé sur d'autres dossiers de d'autres divisions.  Il a ensuite travaillé outre-mer en tant qu'agent de liaison parmi les opérations internationales  à Londres contre le terrorisme international et il est désormais de retour à New York en tant qu'agent spécial senior du  Critical Incident Response Group (CIRG). Une unité répondant aux situations d'urgence (terrorisme, enlèvements, prise d'otage..)
Quartier : Depuis son retour, il reste dans un appartement dans le Queen (dans le Oak apartment building)

and what else ?
Qualités : Il est professionnel, diplomate, optimisme, capable de discernement, attentionné, charmeur et loyal
Défauts : Il peut se montrer méfiant, impulsif, ambitieux, sarcastique & obstiné
Passions : Il aime la {#}photographie{/#}, la {#}bière{/#}, le {#}café{/#}. Il aime se tenir au courant avec la {#}politique{/#}. Il est sportif en général. Rester assis n'est pas dans ses gênes. Comme il passe beaucoup trop de temps à son travail, on peut considérer {#}travailler{/#} comme étant un autre de ses passions.
Communautés :
Les habitants du Oak Complex
The Lift




that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

William a très peu de souvenirs de ses cinq premières années d'existence. Le jeune garçon n'a même pas de date de naissance précise. Il fut abandonné devant une caserne de pompier de Londres en Angleterre alors qu'il avait à peine quelques jours d'existence. --- Il fut dénommé William à l'honneur du pompier qui la retrouvé devant la caserne lors d'une froide soirée d'hiver. Sa date de naissance est le soir ou il a retrouvé; le 28 novembre. --- William a passé les cinq premières années de sa vie à voyager de foyer d'acueille à foyer d'accueille, dans l'espoir de trouver une famille d'adoption. --- Le seul héritage qu'il garde de ses cinq premières années en angleterre, c'est son accent qu'il a toujours garder. --- Alors qu'il avait cinq ans, le jeune garçon fut adopté par une famille Americaine; Aaron & Jamie McFaden. --- Peu de temps après son arrivé, ses deux papas adoptèrent une petite fille âgée d'un an, {@=758}Briséïs McFaden{/@}. Suite à l'arrivé de Bri, William a été très insécure par peur de rejet. Celle de devoir quitter une famille aimante, mais le jeune garçon a terminé par réaliser que malgré l'arrivé de la petite brunette, il avait toujours la chance d'avoir deux papas aimants et qu'ils n'allaient pas le délaisser de si tôt. Malgré qu'ils ne viennent pas des même parents, Will à toujours aimé et protégé sa jeune soeur Bri, tout comme s'ils partagaient le même sang. Ils ont une relation très fusionnels. --- William a eu la chance d'avoir deux pères formidable qui l'ont toujours encouragé dans tous ses projets. Dès son jeune âge, William désirait faire un emploi ou il pourrait aider les gens. Sauver des vies. Faire la différence dans la vie des gens. Il aurait aimé devenir médecin, mais le jeune garçon a très vite compris que ça prendrait beaucoup trop d'efforts et d'années d'étude. Son rêve se changea donc pour devenir un membre de l'ordre. Devenir un agent secret tout comme James Bond avait l'air bien mieux et demandait un peu moins d'effort. --- L'adolescence de William fut plutôt facile et banal; Il était sportif. Populaire grâce à sa belle tête. Sans être premier de classe, il avait de bonnes notes et c'était une bonne chose puisque l'un de ses pères était instituteur. Les bonnes notes étaient donc importantes chez les McFaden. --- Comme son deuxième père est propriétaire d'un restaurant, William a eu la chance d'apprendre à cuisiner par l'un des meilleurs chef cuisinier de New York. C'est aussi à son restaurant ou il a eu sa première expérience d'emploi en tant que serveurs durant les soirs et les fins de semaines --- William a fait ses études en "Law Enforcement" au CUNY John Jay College of Criminal Justice à New York. Il a ensuite rejoins le NYPD alors qu'il était âgé de 22 ans. Il a très vite fait ses marques dans le milieu. Après avoir été sur un gros dossier impliquant le FBI, on l'a approché pour rejoindre le FBI. Il a donc faire sa formation à Quantico alors qu'il était âgé de 25 ans pour ensuite être devenu agent spécial. Sa spécialité était le terrorisme, mais il a travaillé sur d'autres dossiers y compris un dossier de jeu illégal au casino ou il a fait le rencontre de {@=674}Jezabel Wellington{/@}. --- Jezabel et William se sont rencontrés alors que William enquêtait au casino ou Jezabel travaillait. William a arrêté Jezabel par erreur, la confondant avec sa collègue. La jeune femme n'a pas trop apprécié l'erreur sur la personne. Pour se racheter une fois l'enquête terminé, William a proposé à la belle jeune femme d'aller boire un verre. La jeune femme lui a mené la vie dure en changea la date du rendez-vous, mais ils ont malgré tout, terminé par boire un verre ensemble et ce verre a été le début d'une longue relation entre eux. Même si parfois Will a laissé passer sa carrière avant tout, il a toujours aimé Jezabel. --- Quatre ans plus tôt, on a offert à Will l'opportunité de travailler à Londres en tant qu'agent de liaison. C'était une très belle opportunité d'emploi et Jezabel accepta de le suivre dans l'aventure. À cause des risques du métier et du déménagement à Londres, William et Jezabel décidèrent de se marier. C'était d'abord par amour, mais aussi par protection puisqu'ils aménageaient dans un autre pays. S'il arrivait quelque chose à Will, il ne voulait surtout pas que Jezabel se retrouve devant rien. Malheureusement les années qui suivirent de furent pas très heureuses pour le jeune couple. William a souvent priorisé son travail laissant bien souvent Jezabel livré à elle-même seule dans un pays totalement différent. Jez enchaînait les petits travails. Ce qui a réellement brisé son couple, c'est la mort de sa belle-maman. Ça été très dure pour Jezabel et William travaillait trop pour réellement être présent pour Jezabel. Le coup de grâce a été le fait qu'il n'avait pas pu être présent à l'enterrement de sa belle-mère. Il aurait dû être présent, mais il avait eu une urgence sur le gros dossier sur lequel il travaillait et il n'avait pas pu se libérer. Jezabel a fini par retourner à New York, lui laissant simplement la demande de divorce qu'il n'a toujours pas signé d'ailleurs --- William a pris la décision à son tour de revenir à New York après avoir obtenu un nouveau poste intéressant. Se rapprocher de sa famille est pour le mieux. Sa jeune soeur semble avoir des problèmes et il ne veux pas signer les papiers du divorce avant d'avoir une discussion avec Jezabel, en souhaitant qu'elle lui laisse une nouvelle chance? Qu'ils retrouvent l'amour qu'ils avaient l'un pour l'autre avant le départ pour Londres. Il n'est pas prêt de tout abandonner maintenant. D'ailleurs, il porte toujours son alliance.



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Pseudo ou Prénom :  Domie (Dominique)
Age:  30 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Le syndrome de l'imposteur, l'endométriose (les problème de règles et tout ce qui s'en suit = l'histoire de ma vie),.
Avatar à réserver : Matt Czuchry
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Bazzart @ loudsilence
Souhaitez-vous un mp d'intégration Ça devrait aller, j'aime mes connections  Tag photographie sur I've got 99 problems 2153884322

Elio | All truly famous people wish fame had a switch

Invité
12 r ; 506 v.
Sam 26 Déc - 15:36
Elliot Edelman
small daddy issues
ID CARD
@”Elliot Edelman"
35 ans - Chef d’entreprise, showman, producteur
FEAT : Regé-Jean Page
Elliot est un jeune homme de 31 ans qui a fait des études dans une école de commerce réputée de New-York. Quelques années après avoir obtenu son diplôme, il fonde sa propre boîte, une agence de relooking et de coaching personnel pour les gens qui rencontrent des difficultés. Très rapidement, sa notoriété s’accroit, notamment par les réseaux sociaux ; son agence s’étend et il est contacté pour animer sa propre émission de relooking et de coach de vie. Son agent a alors l’idée de génie de redessiner complètement sa personnalité pour ses passages à la télé ; de jeune homme posé, réfléchi, presque réservé, gentil et à l’écoute, il dégage l’image d’un homme dur et sûr de lui, aux critiques acerbes et aux punchlines sévères. Ce dédoublement de sa personnalité lui cause des difficultés dans la vie de tous les jours, mais sa notoriété, qui ne cesse de s’accroître, dépend grandement de l’image qu’il renvoie. Dans la vie, avec ses proches et ses amis, Elliot est un jeune homme attentif et prévenant, loyal, très porté sur les luttes de son temps, le féminisme, l’écologie, l’égalité, les luttes contre les inégalités... Ce qui rend son dédoublement encore un peu plus complexe.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Il est de nationalité américaine.
Ethnie/origines : Sa mère est née en Rhodésie du Sud, à l’époque, et a été adoptée par ses parents, diplomates britanniques. Son père est américain.
Orientation : Bisexuel  
Situation : Célibataire, sa dernière histoire s’est mal terminée, sa fiancée l’a quitté car elle ne supportait pas la gestion de sa "célébrité".
Occupation : Chef d’entreprise, animateur, producteur.
Quartier : le Queens

and what else ?
Qualités : Intelligent, attentionné, réfléchi
Défauts : Réservé, pudique, discret
Passions : {#}mode{/#} {#}bien-être{/#} {#}photographie{/#}
Communautés : The Outpost, Best Friends live saving center






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Gérer la célébrité ? Ca fait terriblement arrogant, non ? Mais en réalité, c’est un peu son plus gros problème du moment. Gérer la notoriété, la réputation qu’il a, les obligations qu’on lui impute avec les réseaux sociaux, le caractère qu’on lui prête, les listes d’attente de gens qui veulent devenir les nouveaux clients de l’agence... Tout ça n’est pas toujours simple, d’autant que lui est plutôt du genre réservé, à l’origine.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Les réseaux sociaux sont effectivement une addiction bien ancrée dont il a du mal à se débarrasser. Toujours à l'affut de la vie des autres, des dernières tendances, des remarques qui pleuvent sur son Agence ou sa façon d'être / de faire, il a tendance à regarder un peu trop souvent son smartphone (d'ailleurs, aucune batterie ne lui résiste vraiment et il est contraint de se balader avec des chargeurs partout, de sa poche à sa voiture). Plus généralement, Elliot est très friand de technologies et de tout ce qui permet de s'amuser derrière un écran. Sinon, il dispose d'une addiction discrète mais néanmoins existante à la cigarette, au café, au thé, et aux voyages. Il adore voyager.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Par un jet de bague en pleine figure de celle qui a longtemps été sa petite-amie - et un peu moins longtemps sa fiancée. Ils étaient censés se marier, mais les plans ont changé quand elle a décidé qu'elle ne supportait plus ses changements d'humeur et de comportement récurrents. Elle a rompu leurs fiançailles et a failli mettre à mal la réputation d'Elliot sur les réseaux sociaux, se ravisant de justesse en mémoire de leurs belles années passées ensemble. Depuis, ils ne peuvent pas se croiser sans se crier dessus, ce qui cache sans doute une profonde affection frustrée, cela dit.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "J’arrive, je suis en route" en sortant de la douche.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elliot s’entend très bien avec ses parents, bien qu’ils soient séparés et assez différents l’un de l’autre. Il partage avec sa mère le goût du voyage, la curiosité de ses racines et un intérêt assez prononcé pour l’histoire ; avec son père un certain sens du business et une affection pour les animaux et les livres. Sa famille est très importante pour lui, elle représente un cadre sécurisant au sein duquel il se sent en sécurité, lui-même et bien.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Il lit, il voyage quand il peut, il fait du sport, apprécie une sortie de temps en temps... Une vie somme toute assez simple, mais qu’il aime animer pour ne pas être trop seul. Parfois, la solitude lui fait du bien, parfois elle l’angoisse. Il est aussi très tourné vers sa famille, à laquelle il rend visite plus que régulièrement. Il cuisine, aussi, et adore toutes les activités DIY qu’il peut trouver ou auxquelles il peut participer. Il fait aussi beaucoup de photographie.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il lui est déjà arrivé de prétendre qu’il avait un frère jumeau, pour se sortir de situations délicates lorsqu’il sortait et qu’on venait l’aborder pour lui parler de son agence ou de son émission. Il s’est même déjà fait insulter par un groupe de passants en raison de la personnalité qu’il arbore quand il enfile sa casquette de chef d’entreprise - dans ces moments là, en général, il s’en sort par la voie des lâches, en prétendant qu’il n’est pas l’homme auquel les gens s’adressent...



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Cha / Bohemian Rhapsody
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Nope, mais je préfère qu’on me contacte avant d’aborder des sujets qui peuvent potentiellement être graves ou triggering avec mes persos.
Avatar à réserver :  Mathias Lauridsen
Crédit avatar utilisé dans la fiche: valruna (tumblr)
Souhaitez-vous un mp d'intégration Nope c’est bueno love

the last great american dynasty - pippa

Invité
19 r ; 474 v.
Sam 31 Oct - 19:11
philippa taylor
fit hot guys have problems too
ID CARD
{@=757}philippa taylor{/@}
25 ans - serveuse à l'overkill
FEAT : maude apatow
Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum.
Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine, des confins de la caroline du sud - conway, pas vraiment une grande ville, pas vraiment à côté de l'océan, son purgatoire personnel
Ethnie/origines : un dossier 123andme vraiment très unilatéral, de vagues origines finlandaises, rien de plus - wasp depuis le dix-huitième siècle.
Orientation : elle s'est toujours pensée hétérosexuelle, mais l'intérêt de remettre en question  l'intégralité de sa vie, c'est de douter de chaque chose
Situation : célibataire.
Occupation : après de brillantes études de droit, elle a prétexté vouloir passer le barreau new-yorkais, avant de se faire embaucher à l'overkill comme serveuse. pas la meilleure, on est d'accord.
Quartier : queens

and what else ?
Qualités : douce, à l'écoute, altruiste, curieuse, diplomate, sensible, réaliste, intuitive
Défauts : naïve, anxieuse, pessimiste, renfermée, timide, immature, sensible, râleuse
Passions : {#}photographie{/#} {#}cuisine{/#} {#}tennis{/#}
Communautés : overkill, UC






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
Le visage poupin, comme s'il n'avait pas grandi. Coincé en enfance, croissance perturbée par une famille bancale.
Comment on fait, quand on a tout, et qu'on n'est pas heureuse ?
Brillante, blanche, riche et jolie, elle coche chaque case du privilège ultime. Fille d'un sénateur conservateur absent mais d'une mère aimante, petite dernière après trois garçons, elle a eu les meilleures écoles, les cours de poney, et chaque chaîne du câble. Vacances d'été en Europe, d'hiver à Aspen, séjours linguistiques pour le Spring break.
Comment expliquer ce creux dans son cœur alors ?
Cet ennui mortel ?
Au commencent, il y a eu le désespoir. L'indifférence. Ses cris d'enfant qui résonnent dans une chambre vide. Le père qui déserte l'hôpital. Quelle utilité d'avoir une fille dans ses rangs. Il en a déjà une, et c'est un paquet d'emmerdes. Il aurait voulu un Philip, il aura une Philippa. La mère est aux anges. Enfin, un enfant a elle. Les trois aînés, des gosses déjà pourris gâtés, que des garçons. Enfin, elle a une fille. Et de l'amour, elle lui en donnera, oh oui elle lui en donnera. Peut être trop, si c'est possible. Pippa est une enfant couvée, éduquée à la dure. Un père politicien impose des mœurs quasi-religieuses. Surtout quand il a déjà fauté. Sa place au Paradis compromise, il mise tout sur l'apparence. 4 visages poupins, chérubins de l'Amérique puritaine. Raie au milieu, grands yeux clairs, l'image même du bonheur. Le flash pique les yeux quand on prend les photos, et aussitôt après, les sourires de surface s'effacent. Trois frères aînés. Ils auraient pu lui apprendre le foot, le basket et le skate board. Elle aurait dû se casser le poignet en essayant de faire comme eux. Mais rapidement, ils partent pour l'académie militaire. Et sa mère la couve. De rares amies, triées sur le volet. Le samedi matin, c'est catéchisme. Le samedi soir, soupe populaire. Le dimanche matin, les Collins expient leurs péchés à l'église. Et la semaine s'égrène, sans aucune surprise.
Elle n'a pas eu une enfance malheureuse. Elle a tout eu. Les jouets, les poneys, l'amour, la chaleur et le cadre. Il lui manque l'amour d'un père, sans doute, qui compense son comportement puant par une volonté excessive de protéger sa fille du monde extérieure. Mais au final, dès ses quinze ans, innocemment, les repas du dimanche midi accueillent des familles voisines, avec des fils de son âge. C'est à ce moment là qu'elle comprend, pour de vrai, qu'on attend d'elle qu'un beau mariage et de beaux enfants. Mais elle veut la fierté dans les yeux de son père. Elle veut qu'il l'exhibe, d'une certaine façon, et sentir la chaleur dans sa voix, rien qu'une fois, et voir ses yeux s'embrumer quand il l'évoque. Mais ils aiment quoi, ces républicains conservateurs ? Le pouvoir ? L'argent ? Les règles ? Tout ça à la fois ?
C'est le droit qu'elle choisi. Sans trop s'éloigner, sa mère est déjà au fond du gouffre de la voir partir.
Et puis, le vernis s'effrite.
L'aîné suit les traces de son père, une carrière politique à l'air prometteur--avant qu'il ne fricote avec des groupuscules d'extrême droite. Le second s'essaye a l'armée, mais il est rapidement renvoyé sur le sol de sa mère patrie pour un job de bureau-- les soirées de Karachi font un tollé. Le troisième est plus discret. Sans jamais les confronter, il s'éloigne peu à peu de la famille Collins. Le traumatisme de la thérapie de conversion est toujours aussi vif, dans son âme. Le regard sombre de son père lui rappelle chaque fois les épreuves qu'on lui a imposées.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : gigi
Age: twenty six
Avez-vous des triggers personnels ? maladie, mort 
Avatar à réserver : maude apatow
Crédit avatar utilisé dans la fiche: whrcrxxx
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec plaisir les chats, vous en avez déjà fait beaucoup, mais signant un retour dans le rp, je prends toute l'aide que vous proposez Tag photographie sur I've got 99 problems 2881807329

Zoella + Let us live like flowers.

Invité
22 r ; 684 v.
Mer 22 Juil - 5:21
Zoella Soumaya Wallace
23 ans - profession courte
FEAT : Gigi Hadid
Zoella, c'est une personne joviale, assez optimiste. Elle va vers les autres. Elle aime parler, mais surtout écouter. Elle a toujours la main tendue, peu importe à quel point on l'a repoussée et blessée. Des gens en profitent clairement, mais elle ne le voit pas toujours. Elle est capricieuse, un peu princesse malgré elle. Elle est extrêmement ordonnée, à la limite de l'obsession. Elle est aussi matérialiste, peu généreuse en ce qui concerne les biens physiques. Si elle n'hésite pas à offrir de son temps pour aider, il est rare qu'elle offre des cadeaux. Ayant été ballottée de foyer en foyer après que ses parents soient décédés dans l'incendie qu'elle a accidentellement provoqué, elle a fini par (trop) s'attacher à ses possessions.
who am I
ꕥ âge : 23 années, certaines plus faciles, d'autres intolérables. Mais elle avait raison. Le temps améliore les choses.
ꕥ orientation sexuelle : Elle se dit hétérosexuelle, mais elle est si amoureuse de l'amour, qu'elle pourrait bien tomber pour n'importe qui.
ꕥ situation : Célibataire. Elle aimerait que ça change, bien qu'elle ignore comment elle pourrait ajouter un petit-ami à son horaire.
ꕥ occupation : Infirmière depuis peu, elle vient d'obtenir un poste de soir et de nuit au centre médical de Richmond.
ꕥ quartier : {#}18{/#} Bedford Street, Williamsburg, avec son frère.
ꕥ qualités : ❋ Joviale ❋ Ouverte ❋ Rêveuse ❋ Altruiste ❋ Protectrice ❋
ꕥ défauts : ❋ Gourmande ❋ Bavarde ❋ Possessive ❋ Naïve ❋ Impulsive ❋
ꕥ passions : {#}écriture{/#} {#}instagram{/#} {#}photographie{/#}
ꕥ groupe : I NEED HELP
ꕥ communautés : EL HALITO, PLANNED PARENTHOOD
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ parrain : oui s'il-vous-plait cute  love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je me sens comme avant un oral lorsque j'étais encore au secondaire Tag photographie sur I've got 99 problems 245165265 J'ai 22 ans (et ce nombre me fait énormément paniquer), je suis maman d'un petit garçon de trois ans et demi, étudiante en éducation à l'enfance et éducatrice dans une halte-garderie. Et je ne sais déjà plus quoi dire, parce qu'à part tout ça et le rp, je n'ai plus grand temps Arrow J'aime beaucoup les memes, je ne sais pas nager et j'ai peur des zombies. Tag photographie sur I've got 99 problems 1380091441 Où je bosse, tout le monde me surnomme Doris, parce que mon niveau de concentration et ma capacité de mémorisation sont catastrophiques. Arrow

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Un? Bordel. Pretty?
ꕥ un film : UN?! La vie tout simplement?
ꕥ une série : J'ai déjà dit que j'avais du mal à prendre des décisions? Grey's Anatomy (?) Tag photographie sur I've got 99 problems 3309353901 Stranger Things? End of the fucking world?
ꕥ une chanson : Rock&Roll Suicide de David Bowie. Enfin une facile love
ꕥ un animal : Le cochon Tag photographie sur I've got 99 problems 3621181096
ꕥ un plat/dessert : Fondue au chocolat. Macaron?
ꕥ une boisson : Cappuccino glacé avec un jet de chocolat DU TIM HORTON. Tag photographie sur I've got 99 problems 1380091441
ꕥ une célébrité : David Bowie.
ꕥ un pouvoir magique : Se téléporter pour aller braquer une banque.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : L'inceste, la pédophilie, la zoophilie (et même les abus sur les animaux en général) ou toute autre déviance, je préfère éviter. cute


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i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

Jamila Khaldi + Elle se serait appelée Zoey si sa grand-mère paternelle n'était pas décédée le jour précédent sa naissance. Si cette femme qu'on disait aimante et maternelle n'avait pas fait une attaque à cet instant précis, si son père n'avait pas appelé sa propre mère -d'abord pour lui annoncer la bonne nouvelle, puis pour en apprendre une mauvaise- à ce moment-là, elle se serait appelée Zoey. Une anecdote d'apparence banale, qu'elle raconte parfois lors des fêtes. Pourtant, elle représente énormément pour Zoella. C'est cette histoire qui l'a toujours poussée à questionner les gens, à apprendre à les connaître et à les découvrir davantage. Elle ne connait peut-être pas sa grand-mère paternelle, mais c'est elle qui l'a rendue aussi ouverte et tournée vers les autres.

Rayan Khaldi + Elle était la prunelle de ses yeux, son rayon de soleil. Il n'aurait pu imaginer sa vie sans elle et par sa faute, il n'aura jamais à le faire. C'était la fête des pères. Elle le savait, parce qu'ils en avaient parlé à l'école. Elle voulait lui faire plaisir, souligner ce jour spécial et le remercier pour tout ce qu'il avait fait et allait faire pour elle. Alors, elle lui a préparé des pancakes. Elle a peut-être échappé un peu trop d'huile dans le poêle. Elle a peut-être mis le rond trop chaud. Elle s'est peut-être laissée distraire trop longtemps. Ses souvenirs sont flous. Tout ce dont elle se rappelle, ce sont les flammes, chaudes, colorées, qui grimpaient vers le plafond, embrasant les rideaux de dentelle de grand-mère. Puis son père, qui s'est mis à la secouer, qui l'a traînée violemment jusqu'à l'extérieur. Elle a tenté de le lui dire, qu'il lui faisait mal au bras. Mais il l'a ignoré. Il l'a abandonnée sur le trottoir, puis il est retourné à l'intérieur pour maman. Elle a attendu longtemps, trop longtemps, mais ils ne sont jamais revenus. Ce sont les pompiers, puis les policiers et les travailleurs sociaux, qui se sont échangés le corps presque inerte de Zoe, poupée de chiffon que l'on a fini par déposer sur un lit quelconque, dans une maison bien trop petite pour une si grande famille, au bout de quelques heures.

Maya Williams + Complètement perdue, ne sachant plus qui elle était et à qui elle était, Zoella a réinventé sa vie l'espace d'un instant. Le nom de jeune fille de sa mère, celle dont les souvenirs s'estompent au fil des années, jumelé à une autre partie d'elle; une moitié de son second prénom. C'est sous cette identité qu'elle s'est rendue à El Halito pour la première fois. Elle avait 11 ans. Elle a été accueillie comme jamais. Les gens venaient la voir, lui parler. Ils s'intéressaient à elle, communiquaient sans que ça leur soit imposé, sans rien attendre en retour. Ils aimaient bien Maya. Elle y est donc retournée, de plus en plus souvent. Tous les soirs, plutôt que de rentrer directement à son foyer d'accueil du moment, elle allait faire ses devoirs à El Halito, entourée de gens qui la comprenaient pour la première fois.

Emily Oak + Elle était malade. Elle avait mal à chaque pas qu'elle faisait. Elle vivait dans l'incertitude la plus complète et pourtant, c'est elle qui lui a redonné espoir. Elles se sont rencontrées complètement par hasard à El Halito. Elles passaient leurs soirées à rêvasser. Ensembles, elles réinventaient le monde et Emily, elle lui faisait redécouvrir tous les beaux côtés de la vie. Graduellement, Maya est redevenue Zoella. Avec une amie aussi lumineuse qu'elle à ses côtés, elle n'avait plus besoin de se protéger. Leur lien s'est approfondi pendant quelques mois, jusqu'à ce qu'Emily ne disparaisse complètement, du jour au lendemain.

George&Mallory Wallace + Ils l'ont prise sous leur aile, alors qu'elle recommençait à peine à se remettre sur pied. Lorsque sa travailleuse sociale lui a annoncé la rencontre à venir, elle n'y croyait pas. Elle s'y est rendue sans sourire, sans maquillage. Elle répondait à coup de syllabes, des mots courts qu'elle leur crachait presque au visage. Des couples comme celui-ci, elle en avait déjà vu plusieurs. La plupart étaient motivés par l'argent. Ils se lassaient lorsqu'ils réalisaient que le maigre chèque ne valait pas tous les efforts. Mais eux, ils étaient différents. Elle l'a réalisé un soir de fête. Sa fête. Ils lui avaient préparé une surprise, mais elle n'est jamais rentrée. Elle a préféré sortir dans un squat, avec une bande qu'elle venait de rencontrer. Elle est rentrée aux petites heures du matin, encore assez à jeun pour comprendre l'ampleur de leur inquiétude. C'est à ce moment-là qu'elle a vu leur bonté et qu'elle a décidé de les adopter eux aussi.

Kit Wallace + Il est arrivé au bout de quelques mois, encore plus brisé qu'elle ne l'était. Il ne s'est pas laissé amadouer aussi facilement par les Wallace. Il se débattait, refusait qu'on l'aime et qu'on l'aide, mais elle s'est accrochée. Ils ont refusé de le laisser baisser les bras, de le laisser échapper à l'amour qu'ils souhaitaient lui offrir. Un processus long et laborieux, qui a porté ses fruits. Désormais, Kit fait parti de sa famille. Ils n'ont pas grands points communs et pourtant, ils se comprennent dans leurs silences. À ses côtés, elle se sent bien. En sécurité.

Hassan El-Fassi + Elle n'a de lui qu'un selfie dans son téléphone, des souvenirs vagues d'une soirée et un test de grossesse positif.



this session is gonna be different
ALIBI/Lydia ꕥ 22 ans
fréquence de rp : plus ou moins 5 jours sur 7. ϟ fréquence de connexion : Au moins un rp/semaine. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Entre 400 et 800. ϟ avatar à réserver : Gigi Hadid. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Après avoir relu le règlement en détail pendant 10 minutes en pensant trouver un code, je suis certaine que les petits poids sont noirs, parce qu'ils brûlent en enfer sisisi ϟ comment avez-vous connu 99 ? écrire ici. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J'aime le concept du forum et la qualité des annexes au niveau des explications concernant la communauté lgbtq+, le whitewashing et les divers troubles cutie C'est complet, bien expliqué. Le forum a l'air convivial malgré sa taille et les couleurs/le design sont sublimes  cutie Bref, je vous aimes déjà love
tumblr (gif) Ultraviolences (avatar)

someday we will foresee obstacles

Invité
19 r ; 1105 v.
Sam 4 Juil - 18:52
charlie jefferson
29 ans - développeuse jeux vidéo
FEAT : mackenzie davis
tw : agression sexuelle
Charlie est une jeune femme que la vie n'a pas aidée. Elle est née et a vécu les premières années de sa vie à Denver avec une mère prostituée et toxicomane qui a fait une overdose le jour où le père de Charlie est enfin revenu la chercher. Il a obtenu la garde de sa fille et l'a emmenée avec lui à New York où elle a vécu avec sa belle-mère et ses deux demi-frères plus âgés. Elle a été touchée et violée à répétitions par ces frères pendant des années. Dans son malheur, elle s'est plongée dans l'informatique et les jeux vidéo où elle a rencontré de nombreux amis. Le jour où elle en a parlé à son père, il l'a immédiatement prise au sérieux. Ses demi-frères ont été condamnés à 40 ans de prison. Charlie a été immédiatement prise en charge par son père uniquement, PDG d'IBM. Elle a été formée par lui et son équipe avant de s'émanciper et de développer son premier jeu vidéo qui a été un hit national. Aujourd'hui, elle vit dans une colocation de cinq autres personnes et travaille sur un prochain jeu tout en alimentant une chaîne YouTube qu'elle tient avec {@=613}Lukas Miller{/@} et où ils filment leurs passions : l'urbex et le gaming.
who am I
ꕥ âge : 29 ans
ꕥ orientation sexuelle : pansexuelle
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : développeuse indépendante de jeux vidéo
ꕥ quartier : queens
ꕥ qualités : attentionnée, captivante, conciliante, compréhensive, entreprenante, intuitive, inventive, leader, passionnée, protectrice, tenace.
ꕥ défauts : angoissée, bornée, caractérielle, entêtée, excessive, impulsive, nerveuse, renfermée, susceptible.
ꕥ passions : {#}urbex{/#} {#}lgbtq{/#}+ {#}cinéma{/#} {#}photographie{/#} {#}gaming{/#} {#}fantôme{/#} {#}bière{/#} {#}cyberpunk{/#} {#}youtube{/#}
ꕥ groupe : I need help
ꕥ communautés : club de théâtre du mardi soir + lgbt center + the lost planet
ꕥ scénario/pré-lien : normalement il s'agira du pré-lien Leah d'Amber, ici : escape game mais en attente d'approbation
ꕥ parrain : pourquoi pas ?

all about my player
ꕥ petite présentation perso : ea Tag photographie sur I've got 99 problems 1380091441 moi c'est Syu, bientôt 28 ans, habitante de la Terre à l'accent du Sud (du vrai  Tag photographie sur I've got 99 problems 3621181096 ). Ça fait plus de 15 ans que je suis sur les forums donc j'ai du vécu. Et j'aime beaucoup les personnages un peu atypique. Pour le moment, je suis en vacances mais d'ici septembre, j'aurais de nouveau un job à plein temps ! Je suis passionnée d'astronomie, de tatouages, de drag (vous verrez  Tag photographie sur I've got 99 problems 41284244 ), d'équitation et d'animaux, bref, j'aime pleins de trucs  Tag photographie sur I've got 99 problems 717540281

petit portrait chinois
ꕥ un livre : la longue marche de stephen king
ꕥ un film : tully
ꕥ une série : halt and catch fire
ꕥ une chanson : a lot more me de violet chachki
ꕥ un animal : cheval
ꕥ un plat/dessert : pâtes jambons fromage
ꕥ une boisson : volvic
ꕥ une célébrité : violet chachki ofc
ꕥ un pouvoir magique : invisibilité  hidebox

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : je n'ai aucun trigger. C'est bon pour vous ?  Tag photographie sur I've got 99 problems 41284244


that's my story / self diagnosis
tw : agression sexuelle

De grands yeux bleus comme l’océan, toujours un peu dans la Lune, toujours un peu tristes, cachés derrière des mèches d’un blond délavé, trahissent une vie qui ne lui a pas souvent souri.

Charlie est née dans une famille complètement éclatée. Sa mère exerçait le plus vieux métier du monde. Il lui avait fallu du temps, après la naissance de sa fille, pour retrouver le père. Trop de numéros, trop de contacts, trop de clients et pas assez les idées claires la plupart du temps. Cette femme un peu trop jeune passait son temps avec ses clients ou le nez plongé dans de la poudre de fées des temps modernes, planant bien au-dessus des nuages. Pourtant, pour une raison qui, encore aujourd’hui, reste un mystère pour Charlie, cette femme a réussi à s’occuper d’elle durant plusieurs années. Mais un jour, la solitude était peut-être trop présente, la tristesse et le désespoir aussi, qui sait. Un peu trop de poudre de fée, la voilà partie rejoindre Peter Pan au Pays Imaginaire, laissant Charlie seule et abandonnée, du haut de ses six ans, appeler sa mère, la secouer sans comprendre pourquoi maman n’ouvrait pas les yeux. Il paraitrait que le hasard fait bien les choses et que parfois, dans le malheur, la chance peut sourire malgré tout.
Un homme, client régulier de cette fée Clochette à une époque lointaine, passe la porte, choisissant bien son moment. Il découvre une femme qu’il n’a pas revu depuis des années, allongée sur le canapé, un liquide blanc et mousseux coulant de ses lèvres, yeux révulsés, et une enfant qui en avait déjà trop vu.

Le Pays Imaginaire n’était bel et bien qu’un rêve dont la mère de Charlie s’est réveillée quelques jours plus tard, un dossier reposant sur la table de nuit de la chambre d’hôpital. Il n’y a pas eu de procès, pas de dispute. Elle avait définitivement perdu la garde de sa fille. Celle-ci était déjà partie vivre avec son père, bien loin d’un monde aussi beau que destructeur, dans la grande ville, celle qui ne dort jamais, de New York. Adieu Denver et le centre des Etats-Unis, bonjour New York. Charlie a alors appris que son père avait quitté Denver plusieurs années auparavant pour prendre la tête d’IBM et avait bien longtemps dénigré ce message reçu, lui demandant de revenir à Denver car il était possible qu’il ait une fille. Elle a aussi appris qu’il avait depuis longtemps tiré un trait sur les tromperies à sa femme et s’était rangé – et le plus étonnant, elle lui avait pardonné –, qu’il avait deux autres enfants, deux garçons, plus âgés qu’elle de quelques années. Et elle a aussi appris qu’on ne pouvait même pas faire confiance à sa propre famille.

Onze ans, c’est tôt pour apprendre que la vie est une connasse.

Parait ta mère c’est une pute. Et tu sais ce qu’on dit, telle mère, telle fille.

Des mains, même celles d’adolescents, n’ont rien à faire sur le corps d’une si jeune enfant. Une main sur la bouche, l’un des deux frères la tenait tandis que l’autre « s’occupait de son cas » comme il disait. Ces mains, des années durant, elles se sont posées sur son corps sans que Charlie ose se défendre. Après tout, elle était la pièce rapportée, la petite fille d’une prostituée que son père allait voir quand sa femme ne l’attirait plus. Elle avait été acceptée dans cette famille et devait leur en être redevable. Alors, fermer sa gueule, ne rien dire, faire comme si tout allait bien. Mais tout n’allait pas bien et la jeune femme se renfermait de plus en plus dans sa petite bulle. Comme quasiment tous les jeunes de son âge, elle s’est plongée dans un tout autre monde, un monde virtuel fait de jeux vidéo et de forums. Ce sont toutes les personnes qu’elle a rencontrées à ce moment-là qui l’ont sauvée, en particulier une personne, Lewd. Lewd, un pseudo un peu bizarre appartenant à un jeune homme solitaire et mal dans sa peau au nom de Lukas. Pourtant, ce garçon, Charlie s’y est attachée, l’a comme pris sous son aile, croyant qu’il était le seul à avoir besoin d’aide alors que d’un côté, il l’a aidée aussi.

Se confier sur ses problèmes, sur ce qu’elle subissait quasiment tous les jours l’a déjà libérée d’un poids. On lui a plusieurs fois dit de porter plainte, mais Lukas a été le seul à lui donner rendez-vous à l’extérieur et à l’amener devant un poste de police. Même si elle s’est retrouvée tétanisée devant l’entrée du poste, voir que quelqu’un se souciait réellement d’elle lui faisait un bien fou. Alors non, Charlie n’a pas porté plainte. Lorsqu’un groupe de policiers leur a demandé ce qu’ils voulaient, elle s’est dégonflée et les deux ont pris leurs jambes à leur cou. Mais elle avait été à deux doigts de le faire et ça avait été un premier pas pour elle.

Lukas, je pense que je vais en parler à mon père…
Tu penses que c’est la solution ?
Je sais pas. C’est mon père, il tient à moi quand même, non ?


Un bruit retentit bruyamment derrière eux. Charlie ne bronche pas. Lukas fait un bond et se lève, cherchant des yeux la source de ce bruit dans les ténèbres. Elle se marre, la grande blonde qui le dépasse facilement d’une tête, car elle n’a jamais eu peur de ces lieux abandonnés, même de nuit. L’urbex, c’est une passion qu’elle s’est découvert. Sortir de chez elle la nuit sans craindre d’être découverte – car même si ses demi-frères racontaient à leurs parents qu’elle sortait la nuit, ils se demanderaient surtout ce que les garçons faisaient à la chercher en pleine nuit – avait déclenché un tout nouveau sentiment en elle, un sentiment de bien-être et de liberté qu’elle avait voulu faire partager à celui qui était rapidement devenu un ami proche et un confident. Peut-être pas pour son plus grand bonheur, à cet instant précis. Il est fort probable qu’il ne l’accompagne plus pour ses prochaines explorations, se dit la jeune femme sans savoir que c’est la première de nombreuses autres explorations, sans savoir non plus que cette discussion sans grand intérêt visible allait donner à sa vie un tournant complètement différent.

Elle ne se doutait pas que son père la croirait dès ses premiers mots sans même remettre une seule seconde sa parole en question. Elle était la plus importante à ses yeux et il ne laisserait plus rien ni personne la blesser. Pour les viols répétés d’une mineure par des mineurs devenus majeurs, les deux garçons ont écopé de quarante ans de prison de plus de cent mille dollars d’amende, condamnation loin d’être suffisante aux yeux du paternel mais qui aura au moins éloigné ces types d’elle.

Voyant la passion de sa fille pour les jeux vidéo et l’informatique, John l’a fait entrer chez IBM, en tant que stagiaire. Après tout, il avait pris la tête de l’entreprise mondiale et elle était sa fille, il pouvait bien faire ce qu’il voulait. Avec lui, elle a tout appris, tout ce qu’elle sait aujourd’hui de l’informatique et du codage. Il a été plus qu’un père et un sauveur, il a été un mentor jusqu’à ce que sa petite fille puisse voler de ses propres ailes vers un univers imaginaire qu’elle s’est créé. Que ce soit pour se sauver de son passé ou pour relâcher son imagination débridée, on ne le saura jamais. Charlie est devenue une développeuse de jeux vidéo. Le premier, elle l’a créé seule. Mutiny, c’était le nom qui est resté en tête des classements pendant quasiment six mois, un exploit pour un jeu indé qu’elle a développé seule sans la moindre aide. Ce jeu l’a immédiatement fait remarquer mais la jeune femme n’en a pas changé son mode de vie pour autant. L’urbex est resté sa plus grande passion qu’elle partage au reste du monde – ou du moins à ceux qui veulent bien la regarder – via YouTube et ce avec son ami, son autre sauveur, Lukas.

C'est ce même Lukas qui, un jour, la voyant stagner sur un nouveau jeu en développement - syndrome de la page blanche, qu'ils disent - qui a pris les choses en main. A nouveau, il l'a sortie de sa torpeur et l'a sauvée. Connaissant l'imagination débordante de son amie, il l'a un jour, sans réellement la briefer ou lui en parler au préalable, présentée à son patron. Son tout nouveau patron qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, un grand type à l'air mature et peut-être un peu distant. Le mec l'a dévisagée tandis que Lukas vantait des qualités que Charlie ne pensait même pas avoir. Et ça a marché. Elle a été embauchée comme ça, sans même avoir à postuler, sans avoir à montrer un CV qui aurait été bien maigre, à part si le patron avait entendu parlé de Mutiny. Et ainsi, quelques jours plus tard, elle a posé le pied dans son tout premier environnement de travail : The Escape Game Revolution.

Elle ne pense pas être un jour capable de vivre une vie normale. A vingt-neuf ans, elle vit dans une colocation dans le Queens avec cinq autres personnes. Ses relations ne durent pas car elle ne sait pas s’investir suffisamment. Son travail est plus important que tout. Elle est trop vraie, trop humaine, ne sait pas cacher ce qu’elle ressent mais ça ne convient pas à tout le monde. Elle vit la tête dans les lignes de code ou dans des bâtiments désaffectés qui tombent en ruine. Elle vit sa vie sur un coup de tête, comme si tout pouvait s’arrêter sans crier gare.



this session is gonna be different
syu ꕥ 27 ans
fréquence de rp : pour être safe, on va dire 1 rp/mois. ϟ fréquence de connexion : 5/7 jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? je n'ai aucune préférence, je privilégie la qualité et non la quantité. ϟ avatar à réserver : mackenzie davis. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts ?  quooi  ϟ comment avez-vous connu 99 ? je ne saurais plus le dire, ça fait plusieurs mois que je bave sur ce forum et j'ai enfin trouvé le courage de m'inscrire grâce à Lukas  Tag photographie sur I've got 99 problems 3220843774  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? merci, Jean-Pierre.
tumblr (gif) ichi (avatar)

keep a place for me (tomas)

Invité
27 r ; 1965 v.
Mar 2 Juin - 14:29
tomas allen
18 ans - lycéen
FEAT : jaeden martell
Garçon débrouillard, né dans un schéma familial bancal. Papa est parti y a des années et maman est en cure de désintox. il traine souvent dans les rues avec son vieux vélo au lieu d'être en cours. lui et sa soeur vivent maintenant chez la demi-soeur de leur mère, dont ils ne savaient rien. la cohabitation est assez tendue, Tom veut que les choses retrouvent leur cours normal. rebelle sur les bords, très têtu, trop d'émotions refoulées.
who am I
ꕥ âge : dix-huit ans, parfois l'impression d'en avoir le double.
ꕥ orientation sexuelle : pas vraiment fixé sur la question, même si les filles attirent plus son regard
ꕥ situation : célibataire, il a d'autres choses à gérer que des amourettes.
ꕥ occupation : lycéen en dernier année dont la présence se fait de plus en plus rare en classe.
ꕥ quartier : le Bronx, dans un appartement miteux avec sa soeur, et Bambi.
ꕥ qualités :  aventureux, malin, persévérant, observateur.
ꕥ défauts : impulsif, angoissé, moqueur, accusateur, perdu.
ꕥ passions : {#}cinema{/#} {#}photographie{/#} {#}comics{/#} {#}geek{/#} {#}vélo{/#} {#}casquettes{/#}
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : {#}LeLycéedeStatenIsland{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : scénario de {@=506}Bambi Matthews{/@}
ꕥ parrain : nope

all about my player
ꕥ petite présentation perso :24 ans, je vis au uk, je passe ma vie à regarder des films (mon qg c'est le cinéma), j'aime manger, j'aime les chiens (surtout les gros nounours), je n'aime pas les choux de Bruxelles et Marine Le Pen.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : his dark materials
ꕥ un film : interstellar
ꕥ une série : true detective
ꕥ une chanson : Ain't no sunshine, bill withers
ꕥ un animal : mon chien
ꕥ un plat/dessert : le brownie
ꕥ une boisson : le jus de mangue
ꕥ une célébrité : james mcavoy, mon mec
ꕥ un pouvoir magique : pouvoir se téléporter

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : //


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...au fond, il a toujours su qu'il finirait seul, tom. une sorte de presentiment, une épée de Damocles qui le suivait partout où il allait, une sentence prête à tomber à tout moment. pendant longtemps, il a essayé de se convaincre que toutes les familles galèraient, qu'aucune n'était parfaite. ce n'était pas faux, mais c'était se voiler la face sur ce qui se passait sous leur toit. un père aux abonnés absents qui passait plus de temps dehors qu'avec sa famille, facile à irriter, facile à agacer. une mère dont l'esprit est loin, que l'addiction empêche de vivre normalement. et tout le monde qui fait semblant. tout le monde qui ferme les yeux. il était jeune, Tom, quand il a compris qu'il devrait se débrouiller pour aller à l'école, pour faire ses devoirs, pour manger autre chose que des céréales au diner. il était jeune quand il a compris qu'il ne ferait jamais comme les autres enfants. personne ne viendrait jouer à la console chez lui, il ne ferait pas de beau poème hypocrite pour la fête des mères, il ne parlerait jamais de sa famille. tout ce qu'il le retenait de lever les voiles, c'était Nina, sa cadette. elle non plus n'avait pas demandé d'atterrir ici pourtant tout comme lui, elle devrait s'y faire. les Allen ont les regardait du coin de l'oeil, on chuchoter dans leur dos, on plaignait les gosses. puis, le paternel est parti sans plus revenir. ça ne changeait pas grand chose au fond, mais cette peur rongeante de l'abandon ne lâchait plus Tom désormais. en plus d'endosser le rôle de grand frère, il avait également celui de père pour Nina. Jusqu'à ce que l'état de la mère s'empire et qu'on l'envoie en cure. Il s'en veut, Tom, de ne pas avoir pu aider sa mère, de ne pas avoir fait plus. les choses auraient été différentes. maintenant, il se retrouve avec Nina, chez la demi-soeur biologique de leur mère, qu'il ne connait pas, qu'il n'a jamais vu et dont il n'a jamais entendu parler. il se débrouillait très bien tout seul, ils n'ont pas besoin d'elle. personne ne les a jamais aidé, et ils n'ont pas besoin de sa pitié. Nina, c'est tout ce qui lui emporte, tout ce qui compte à ses yeux. tout ce qu'il fait, c'est pour elle. il ne compte plus le nombre de dérouillées qu'il a pris en voulant la protéger ou la venger. il peut tout accepter pour lui, mais ne veut que le meilleur pour sa petite soeur. ◊ Tom est arrivé dans l'appartement du Bronx avec son sac sur le dos, son bonnet vissé sur la tête et les mains dans les poches. il avait beau crier, la décision était prise pour lui et il n'avait pas son mot à dire. tant que leur mère serait en cure, ils vivraient chez Bambi. L'idée était loin d'être réjouissante pour l'adolescent. personne ne pouvait comprendre ce qu'ils vivaient, personne ne s'était jamais réellement préoccupé d'eux. alors, il compte les jours jusqu'à la sortie de sa mère, pour que tout redevienne comme avant, pour qu'on arrête de les prendre en pitié. alors, il fugue, il sèche les cours, il lui tient tête sur tout et sur rien pour qu'elle abandonne, qu'elle lâche prise. pour retrouver leur mère plus vite, pour qu'elle baisse les bras. il le voit bien, tom. on les a juste refiler à quelqu'un d'autre qui ne les veut pas, non désirés partout, aimés nulle part. ◊ vu qu'il n'avait pas de famille, à part sa soeur, Tom se l'est construite. un groupe d'amis qui se connait depuis l'âge des couches, toujours fourrés ensemble, chacun avec son vécu et son caractère bien à lui. ils passent le plus clair de leur temps à se disputer, mais c'est leur façon de tenir les uns aux autres. surtout que Tom, il les compte sur les doigts de la main ses amis. dur à apprivoiser, compliqué à intriguer. ◊ une chambre aussi en bordel que l'intérieur de sa tête. des fringues trop grandes, souvent perdu dans des pensées qui s'emmêlent. un vélo tout rouillé qu'il ne vendrait pas, même pour des millions, un carnet remplis de gribouillis qu'il n'ose pas montrer, des moments d'égarements les yeux dans l'écran bercé par les images. l'âme d'un rebelle dans un corps frêle, la rage qui brûle la cage thoracique, allergique à l'injustice. qui encaisse les coups, qui encaisse les déceptions. un leader peu confiant, un grand frère protecteur, un bon gars qui fait de son mieux, ce qui n'est pas toujours assez. il est ailleurs, tomas.



this session is gonna be different
mulder ꕥ 24 ans
fréquence de rp : j'essaye d'écrire au moins un rp par semaine en genéral. ϟ fréquence de connexion : en ce moment, presque tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? en général j'écris en "il" et je fais entre 500 et 1000 mots. ϟ avatar à réserver : jaeden martell ϟ de quelle couleur sont les petits pois :  jojopasur . ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart, le qg ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je remplis vite tout ça, promis  Tag photographie sur I've got 99 problems 3771816116
tumblr (gif) skatevibe (avatar)

damn hell dreamer.

Invité
26 r ; 1291 v.
Mar 7 Avr - 14:11
yorgos nikos
27 - barman
FEAT : zayn malik
t'es un impulsif, yoyo. et un sanguin. il n'est pas rare que tes poings s'écrasent contre les murs quand serrer les dents ne suffit plus à contenir ta colère. t'aimes pas être contrarié, tu détestes ça même et tu réagis très mal quand on ose. tu gueules plus que tu ne parles, tu sais comment te faire entendre et comprendre. t'as l'âme d'un combattant, mais aussi d'un minable toxico. t'es un homme loyal, avec un cœur d'or dans le fond, seulement t'es entouré d'une carapace de pierre brûlante. te toucher consume. t'es protecteur envers tes potes surtout mais aussi un peu avec tous ceux qui te sont chers. t'es un brin séducteur quand ton humeur s'y prête et souvent tu repars avec une nouvelle personne. t'es un peu dur, un peu macho parfois mais tu finis toujours par laisser sa chance à tout le monde. en revanche t'es rancunier et une fois qu'on t'as causé du tord, à toi ou à une personne qui compte tu n'oublies pas et le pardon tu connais pas. contrairement à ce qu'on peut s'attendre de toi, tu réfléchis beaucoup avant de parler et d'agir. t'étais peut-être pas un bon élève à l'école mais tu n'en restes pas moins intelligent et aussi très observateur. être bon enfant te connaît, tu n'hésites pas à sortir des répliques de dessins animés, et tes blagues laissent souvent à désirer. tu sais aussi être travailleur et sérieux quand la necessité est à l'assiduité. tu as des qualités que tu sais mettre à profit quand ça t'arranges mais tu imagines que tes défauts sont plus nombreux, eux. on dit de toi que tu dois faire attention à tes chevilles, un jour elles vont gonfler et tu te reconnaîtras plus dans le miroir. ouais yoyo, t'es prétentieux et t'aimes te faire mousser. t'as un grand ego, il est à la hauteur de ta fierté. t'es pas un gars méchant mais faut pas te chercher car tu pourrais facilement le devenir. t'essayes sans cesse d'évoluer, de changer, et pour l'instant, ça réussit partiellement. au moins quand tu parles, t'as un petit sourire. enfin.. quand t'es pas trop blasé.
who am I
ꕥ prénom, nom : yorgos on t'as ainsi appelé par caprice, ou alors par folie ; sous l'effet de son crack elle a accouché du beau bébé que tu étais, t'as assigné à jamais le premier prénom qui lui venait. nikos, nom ironique aux yeux de ton âme ; l'as-tu déjà vu, ce géniteur, en ouvrant les yeux sur le monde ? ta mémoire te trahit, tu ne te rappelle de rien d'autre que son absence cuisante
ꕥ surnom : déjà petit, ton prénom était pour toi ridicule à dire, tant il brûlait tes lèvres si l'envie te venait de l'épeler. t'as choisit la facilité tel que tu es ; deux syllabes, yoyo et des rougissements de honte pour le restant de tes jours.
ꕥ origines, éthnie : quittant son foyer après ta naissance à Héraklion, gravée au 14 décembre, ta mère vient s'installer à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Orléans, puis refait un autre voyage jusqu'à NYC, où elle daigne enfin à se poser, toi dans ses bras. aurais-tu pu être mieux là-bas ou ici, tu ne le sauras jamais ; américain, grec aussi, pas si fier que cela, tu oublies d'où tu viens en enchaînant parfois les pintes.
ꕥ âge : 27 étés arides, au vent pourtant doux, où tu vivait tantôt en plein désert, tantôt en courant au côtés des vagues. tu t'mettais torse nu face au soleil, le laissant te brûler si fort, si bien que ses rayons ne te font aujourd'hui plus que des caresses doucereuses. tu te dis immunisé face aux aléas du temps, mais au fond ton feu te consumera vivant.
ꕥ orientation sexuelle : pour toi, les conquêtes ne définissent pas ce que tu préfère. tant que tu ne trouvera pas ta perle, aucune case ne te correspond vraiment. tout dépendra d'elle, de lui, de cette personnes qui tu sais, partagera ta vie. mais tu sais aussi que tu n'y est pas près.
ꕥ situation : tu traines parfois dans les bars la nuit, quand t'es pas de service, félin à l'affut de sa proie. tu t'approche d'elle, et parfois de lui, charmeur, et l'on te comprend bien vite. mais jamais tu ne l'a emmenée chez toi. non, tu ne les laisserais pas t'approcher de si près. on ne te fera pas le coup du coup de foudre, t'es un célibataire, célibatard et sans remord tu le dis tout haut. les sentiments à la guimauve rose c'est pour les autres. tu toi tu fermes ton coeur et t'ouvres ta grande gueule.
ꕥ occupation : t'es passé partout, t'as tout fait, du concierge au garagiste, sans jamais trouver ta place. toi tu voudrais chanter à t'en casser la voix, gratter des cordes à t'en écorcher les doigts, mais manque de bol, tu te retrouves toujours là où tu n'aimes pas être, et, pour l'instant, tu te contente de chanter des berceuses aux beaux verres. barman va. tu pense pouvoir te débrouiller seul, tu le fais très bien et bien qu'ayant les moyens d'avoir plus, t'as ce qui te suffit pour continuer. alors tu étudies le jour, tu travailles la nuit, pour ne pas dormir seul dans ton petit studio d'étudiant, ou vivre de ton héritage.
ꕥ quartier : à NYC depuis tes 3 mois, sûrement pas le plus jeune bébé à voyager, mais à coup sûr le plus touché. t'as jamais voulu bougé depuis ce jour là, ta mère a éteins le peu d'âme de voyageur que t'avais. et depuis que t'es parti de chez elle, tu te terre à Brooklyn, au 30 bedford street, williamsburg - {#}hipster{/#} - voulant bien disparaître.
ꕥ qualités : loyal, travailleur, observateur.
ꕥ défauts : prétentieux, coléreux, impulsif.
ꕥ passions : l'art. dans toutes ses formes, et ses humeurs. la {#}musique{/#}, la {#}photographie{/#}, la {#}poésie{/#}.. même les tags sur les murs t'arrives à les trouver fascinant. et puis, ce n'est peut-être pas reluisant, mais l'herbe t'affriandes. la {#}marijuana{/#}, avec ses voluptes doucereuse, sa fumée chattemite. après y'a ta {#}moto{/#}, et sa vitesse libératrice, et l'adrenaline qui te prends quand tu l'enfourches.
ꕥ communautés : - {#}JADe{/#}, cursus musique. tu travailles fort pour ne pas puiser dans les fonds que ta mère met sur ton compte en banque chaque mois.
- The Outpost, où t'aurais aimé avoir un autre rôle. plutôt que de servir les alcooliques au bar, t'aurais bien aimé monter sur scène. mais bon, on ne possède pas toujours ce que l'on veut.
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oh ça oui keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :en vrai, je suis en train d'écrire cette description à peine réveillée, parce que j'ai totalement décalé mon sommeil. je m'ennuie un peu beaucoup et j'ai envie d'écrire un truc poétique sur moi, sauf que ça va paraître niais et je déteste être niaise. donc j'écris ça pour les stalkeurs de l'aprèm qui le liront en premier et pour les rêveurs qui se languissent et s'ennuient. donc me voici, dickens. pourquoi dickens ? si j'avais envie de me donner un air dark j'aurais dit à cause du diable, mais la vérité c'est que le diable me fait peur, l'enfer n'en parlons même pas. en fait, y'a longtemps j'avais lu olivier twist de charles dickens - oui, c'est un livre très bien - ça m'a plut et puis je l'ai gardé. donc voilà je suis une fille, j'ai 23 ans - je commence à vieillir, y'a même des rides qui apparaissent -, je suis étudiante - et je regrettes ma décision dans des moments.. comme maintenant - et j'aimes le poulet et les bananes. j'aimes pas l'avocat et je déteste les épinards, titeuf a beaucoup influencé mes goûts. je suis potterhead, harmonizer et camren shipper. d'ailleurs j'adores shipper tout le monde à tord et à travers. j'aimes lire - je lis littéralement tout - et j'essayes de convertir mon frère aux mots, mais ça marche pas vraiment. et enfin, je suis venue sur ce site parceque j'adores rp. voilà. j'ai tout dit. keur sur vous keur
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : diabolic de S.J.Kincaid
ꕥ un film : to the bone de Marti Noxon
ꕥ une série : prodigal son de Chris Fedak et Sam Sklaver
ꕥ une chanson : the stigma - boys don't cry de As it is
ꕥ un animal : une panthère
ꕥ un plat/dessert : une crème brûlée à la vanille
ꕥ une boisson : un malibu sunrise
ꕥ une célébrité : lauren jauregui, ne serait-ce que pour ses yeux
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : les scènes d'agressions sexuelles. ce terme même me donne des frissons. à part cela, je suis capable de lire à peu près tout, même si écrire certaines choses peut m'être difficile.

that's my story / self diagnosis
en vrac - (poupée en chiffon, marionette de tes voiles) fut un temps où t'étais au fond du trou, malade de ta vie. adolescent à peine diplômé, perdue dans son existence, sans personne à qui s'accrocher. fallait qu'on t'aides, fallait qu'on te remarques. puis cette musique est arrivée, sauveuse. t'as remonté la pente lorsque l'orphéon entra dans ta vie. tu débutas par le chant,commençant par valser ta voix au rythme des mélodies que t'entendais le soir dans les bars. tu enchaîna en apprenant à te servir d'une guitare, à gratter ses cordes et à taper sur une batterie, plus violemment que tu ne tapais des poings. t'as appris que la vie n'est pas si triste lorsqu'on prend la peine de la vivre pleinement, en rajoutant à son blanc taché de gris et de noir, un peu de couleurs vive, de bonnes aubades, d'amis bien choisis.
(tes peurs et tes névroses, fleur fanée qui danse au vent) t'es astraphobe mon gars. t'as peur du caractère incontrôlable et destructeur du tonnerre. tu deviens presque hystérique le soir, seul, lors d’un orage et tu te caches en tremblant sous ta couette. t'as une telle peur de la lumière qu’tu préfère vivre la nuit. mais tout ça personne ne le sait, personne n'est là pour t'aider. en même temps, t'es pas si douée pour monter tes faiblesses. t'as honte d'être ainsi. tu te contentes donc de te serrer contre ton chien, espérant les tumultes diluviens passent enfin.
(pile vers ton coeur, passé la barrière de l'épiderme) t'es tout en couleurs. des tatouages dessinés partout sur le corps. une oeuvre d'art quand tu marches sur le sable d'une plage. ils sont tellement beaux, mais tellement significatifs. t'es pas le genre de personne à te tatouer sur la peau à jamais, tout et n'importe quoi, sur un coup de tête. l'on croirait bien, mais non. quand tu souffres, quand t'es triste, tu met sur ta douleur des mots et sur ces mots des images, tu dessines, tu peints au fusain et tu t'amène chez ton tatoueur préféré. ces dessins retranscrivent ton histoire. floue certes, compliquée peut-être mais sincère. tu craches sur ceux qui te pointent du doigts derrière ton dos, sans te connaître. t'aimerais juste leur dire, à ta mère, à ce monde de fous, qu'avant de juger, faut venir lire. les mots sur ta peau.
(époque de folie, tes yeux cachent le noir de tes nuits) ton carnet d'adresse est bien garni, les potes t'en manques pas, mais tu voues une une place particulière pour ton coiffeur. c'est bon c'est certifié, t'aimes la folie. mais pour toi, changer de coloration de cheveux tout les mois n'en est pas vraiment. toi tu trouves que chaque couleur représente le nouveau départ que t'essayes désespérément de prendre à chaque fois. ouais, t'es un petit sensible quand ton humeur est à la poésie. te regarder différent dans le miroir, te fais sentir différent au plus profond de ton cœur. et puis, comme toujours, pour ceux qui grincent des dents, un petit majeur. t'aimes pas rester discret, toi t'aimes te faire remarquer. te démarquer des autres, t'as toujours su le faire, même avant, même avec ces vêtements miteux. oui, même avec du rose sur la tête, tu restes ce mec charmant, dangereux, que l’on désire approcher mais dont on sent la froideur.
(battement cardiaque pseudo-palpitant, ecchymose à vif) ta tête est tout le temps en bataille. non pas à cause d'une quelconque mode de mèches coiffées-décoiffées, comme tout le monde a l'air de croire. plutôt à cause du nombre de fois où tu passes ta main dans tes cheveux. était-ce nerveux, tu n'en sais rien, tu ne te contrôle même pas. mais bon ça t'arrange tant que l'on affirme qu'ça t'ajoutes un côté sauvagement sexy. tu pinces tes lèvres, tu passes un doigt sur ta mâchoire et des fois tu lances des clins d'oeil à tout va. tu fais des trucs stressants et tu ne t'en rend pas compte. grand hyperactif que tu es. tu tapes des phalanges sur la table, tu bouges tes genoux en fonction du rythme éléctro qui se joue dans ta tête. ta vie est rythmée, rythmique, contrôlée par une mélodie qui ne s’arrête jamais.
(la dope comme seul moteur, lumière tel la marée basse) ça ne te plaît pas forcément mais t’es toxico. les lèvres bleues, le teint blanc quand t’es en manque. des cernes plein les yeux quand tu emplis tes insomnies de ces odeurs libératrices de la drogue. t’as tout essayé. du shit à la coke, t’as tout insurgité mais rien ne va, rien ne marche. même au bord de l’overdose, t’arrive pas à dormir, t’arrive pas à te lâcher. t’es insomniaque et peut-être que c'est bien pour ça que t'as commencé avec ces racailles au lycée. ça fait si mongtemps, mais rien ne change. c'est sûrement ta plus belle erreur. tu sors la nuit, tu te bourres la gueule au maximum, mais tu reste là, tu restes conscient, jamais ivre mort, on te croirait immunisé. tu titubes dans les rues, tu pues l’alcool, tu pues le crack, mais les gens vont vers toi, tes potes t’entourent. t’aimerais pourtant juste leur crier dessus de dégager, de te laisser tranquille. mais tu ne peux pas, car t’as peur de rester seul. encore. même dehors. mais tu consultes une vieille psy deux jours par semaine, la psy que tu considère comme une bonne tante, comme une épaule contre laquelle t'avachir. la seule qui daigne à te répéter que ça va aller.
(sentiments qui fument à vif, et boom, coeur qui s'agite) t'aimes pas l'amour, toi le grand poéte, toi le musicien passioné. t'aimes pas les films à l'eau de rose, les films de noël, les comédies musicales. ces films où ils se foutent des gens à ton avis. où on tombes amoureux sous les flèches de cupidon, comme des merdes. y a plus qu'ils vomissent des licornes. pour toi, quand tu tombes t'as mal. amoureux ou pas. un coup de foudre, ça électrocute, ça brûle, ça tue. des flèches, ça transperce, ça fait saigner. aucune chance que ça te fasse bu bien. est-ce par réalisme ou par fatalité, tout cela t'horripile. t'es hanté par l'image d'un père absent, d'une mère devenue négligente dès son remariage avec ce bourge, d'un amour inexistant. tu ne perçois pas la vie d'une autre façon. les couples que tu vois dans la rue, les petites familles, tu les regardes mal. ils te font mal. mais tu persistes à dire que t'es pas jaloux.
(tes désirs ont pris le dessus, mais un jour tout s'en va) t'as arrêté les études, un temps. t'aurais pu continuer depuis le début, mais penser à la dette que t'auras envers ton beau-père te fit renoncer. ta mère disait medecine, son mari disait droit, mais toi, tu voulais faire de la musique, des notes, des mélodies. alors t'es parti, tu les a abandonné, pour vivre tes rêves loin du poison qu'ils représentaient. tu regardes ici et là, tu va à droite à gauche, tu te trouves de quoi vivre, et tu vis. pleinement. pas le temps aux économies, elles partent toutes à juilliard. tu t'es acheté une moto, t'as passé ton permis, tu sillonnes la ville en tes jours de congé, de vacances, sans t'arrêter. tu te balades en deux roues noire, rutilante, cuir sur les épaules, cuirasses aux jambes. tu veux t'épuiser. mentalement, physiquement. pour reprendre ton travail au top de ta forme en voyant à quel point les dimanches, ça craint. mais tu trouves pas ta place. t'es barman, et tu te forces à aimer. mais ce que t'aimes vraiment c'est ces soirées, où, enfin bourré, tu chantes pour le monde, pour les bars, pour les boites, tu fais le DJ, le guitariste, le batteur, la voix, et finalement t'es bien payé, pour tout ça. c'est ce que t'aimerais faire, mais on te lances toujours un seau d'eau froide à la gueule. vivre de ta musique est dur, que tu sois ou non un grand passionné.
(t'as marché droit, malgré tes sentiments qui titubent) regardes-toi dans le miroir, vois-tu toujours la même image ? celle que tu voyais chaque soir avant de sortir de ton cocon. oui tu voyais ton reflet, énervé, névrosé, sanguin. tu voyais aussi ton ombre derrière, démon refoulé, mutilé. tu voyais plus loin derrière ton lit, les draps froissés, froids. ton placard collé au minuscule plan de travail de ta cuisine. le frigo ouvert où se collaient quelques bières. ton bureau où se mêlaient plusieurs feuilles de cours, plusieurs journaux que tu noircissais d'encre, assis sur ta chaise en bois, où trônait sans scrupule une guitare, penchée, sur le point de tomber. la porte de ta salle de bain ouverte sur l'eau qui coule de la baignoire dont tu laissait le soir le robinet ouvert sans même t'en rendre compte, ton parquet inondé, tes vêtements en tas de merde par terre, mouillés. et tu sais que tu finiras par nettoyer négligemment, la poudre blanche qui se mélange au liquide transparent.
(relation épistolaire, une nuit t'as oublié de vivre) mais voilà qu'aujourd'hui, c'est pas ton miroir en face de ton lit que tu fixes en te réveillant, c'est des cheveux blonds qui recouvrent ton nez, te chatouillant, te faisant éternuer. tu la vois sous ses couvertures  respirant régulièrement, et tu te bornes à vouloir te rappeler de son prénom. encore une autre sans valeur, dont l'identité t'échappes. des bouteilles d'alcool vides ornent le sol, et tu lèves rapidement en prenant tes vêtements jetés plus loin. tu évites les mégots écrasés sur le carrelage, de tes pieds nus, et sors ainsi. torse à peine recouvert par ce tissu déchiré, chaussures perdues que tu n'essayes même pas de retrouver, tu démarres ta moto et te casses, voulant juste t'éloigner.



this session is gonna be different
dickens/lela ꕥ 23 ans
fréquence de rp : moyennement rapide, c'est selon mon inspiration. ϟ fréquence de connexion : presque chaque jour, et si ce n'est pas la journée ce sera au moins le soir. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris moi-même en moyenne vers les 1000 mots, mais cela dépend en grande partie de mon partenaire. ϟ avatar à réserver : zayn malik. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge et brin ambré avec une petite touche azurite.. je suis sérieuse T-Tϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, par hasard  keur ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est vraiment trop beau ici cute
tenor (gif) kane (avatar)

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