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golden ticket ⚜ l'odeur du bois vous y guidera

@ Invité

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Lun 30 Mar - 23:44

Pioneer Works, Dahlia
Got a secret
Can you keep it?
Swear, this one you'll save
Better lock it in your pocket
Takin' this one to the grave


L'odeur du bois vous mènera au golden ticket. On ne pouvait pas faire mieux comme endroit, et pourtant, aucun signe d'un quelconque ticket. L'endroit donnait l'impression calme, tranquille, d'être identique aux autres jours. Pas de foule gargouillante comme plus tôt sur la placette. Pas de paillettes d'or ou de petits cailloux pour indiquer le bon chemin. « Tu t'attendais à quoi, Dahlia, à une pancarte clignotante disant "Ici" ? » marmonna-t-elle entre ses dents, pestant après seulement une demie heure de passée. Et bien, bonne nouvelle : le rez-de-chaussée était fait. Ainsi que dénué de tout indice. Soudain, une idée la percuta. Faisant volte-face, elle se dirigea en trombe - ralentissant immédiatement son allure après le troisième pas pour ne pas éveiller les soupçons - vers l'accueil. Un jeune homme était au guichet. Le saluant rapidement, elle osa : « Excusez-moi.. je sais que cette question peut paraître étrange mais.. vous n'auriez pas vu l'un des Bloomburg ici dans les derniers jours ? Par pur hasard, bien sûr, je suis une grande fan et.. » Le réceptionniste l'interrompit d'un signe de la main. Se penchant, il attrapa quelque chose derrière le comptoir. Dahlia ne comprenait pas. Quelque peu frustrée de ce silence, elle allait le presser quand il se tourna de nouveau vers la fausse rousse, lui souriant. Entre ses doigts, se tenait une petite enveloppe. Son regard charbonneux se posa tour à tour sur l'enveloppe, sur le jeune homme, puis de nouveau sur l'enveloppe. L'attrapant délicatement, elle lui sourit. « Merci.. » chuchota-t-elle, comme si quelqu'un put épier leur conversation. Qui n'en était même pas une, quand on y pense, merci au réceptionniste ! Se raclant doucement la gorge, elle tourna talon, lançant des regards tout autour. Mais une fois de plus, nulle âme ne semblait faire attention à la rouquine. Se calant dans un coin, dos aux murs, à l'abri des yeux indiscrets, elle ouvrit alors l'enveloppe dorée. A l'intérieur, se trouvait une lettre blanche, contenant une simple ligne, écrite noir sur blanc.

Hollywood et ses gangsters n’auraient pas mieux fait. C'est tout. C'est tout ce que contenait le fichu message. Certes, elle se doutait ne pas y trouver le ticket à la valeur en or, bien qu'un maigre espoir l'avait malgré elle habité. Mais elle ne s'attendait pas à si peu d'indices non plus. Pourtant, tout y était. Le bâtiment était composé en partie de bois. Il sentait le bois. Il sentait le bois.. pourtant, il n'y avait que des œuvres cinématographiques au rez-de-chaussée. Rangeant les indices au fond de son sac à main, elle se remit à marcher. Et cette fois, ses pas la pressèrent en direction du petit monte-charge, servant d'ascenseur pour monter aux divers étages d'exposition. Elle ne s'avouait pas encore vaincu. D'une part, parce qu'elle avait malgré tout trouvé quelque chose ici. Certes, ce quelque chose était au mieux indéchiffrable, au pire inutile. Mais c'était quelque chose. Et d'autre part, elle n'avait pas encore tout exploré. Se fiant à son instinct - et son odorat - elle se campa donc devant les grilles de métal, pressant d'un doigt assuré le bouton d'appel. Allez, plus vite. Si au départ, le besoin d'argent avait surgi, il était ici sublimé par le jeu, la peur, le mystère. Une véritable chasse aux trésors qui, pour les âmes d'enfants, réveillait un brin d'excitation et de folie dans la vie morne New-Yorkaise. Et au fond d'elle, elle se sentit un peu triste, en plus de cette excitation. Triste, parce qu'elle faisait cavalier seul. Elle l'avait voulu, elle l'avait choisi. Et si elle gagnait la course, elle n'aurait pas de problème à partager la somme. Pourtant, quelque chose la gênait. Depuis toujours, elle faisait les choses en solitaire. Du moins, depuis le trépas de sa mère. Elle avait des amies, en avait eu et en aurait. Elle avait une famille, aussi. Pourtant, elle était seule aujourd'hui. Par égoïsme ? Par protection ? Par fierté ? Qui sait. Elle s'entourait beaucoup, et pourtant lorsque venait les défis, le danger, elle était seule sur le front. Et si elle voulait effectivement cet argent afin de s'affirmer, de prouver qu'elle pouvait seule réaliser ses rêves sans être sous le joug d'un homme.. elle se sentait aussi idiote, de n'avoir personne avec qui partager ces émotions. Un petit cliquetis l'interrompit dans ses bavasseries mentales. Le monte-charge était là. Et elle, prête à s'y engager. Elle mènerait l'enquête, avec ou sans aide.

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Jeu 2 Avr - 19:06
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PATRICK VAN HALSEN
51 x artiste en vogue
Lunettes de soleil sur le nez pour se faire discret, il porte une chemise blanche qui porte quelques traces de peinture ancienne. Il est ami avec les Bloomburg mais un peu agacé par cette chasse. Ses indices pourront être vrais tout comme vous perdre  golden ticket ⚜ l'odeur du bois vous y guidera 2958767705  


Il est en retard ! En retard à cause de cette fichue chasse aux trésors qui a rendu l'entrée au Pioneer Works compliquée. Ahlala et il n'y avait pas que des jeunes en plus, aussi des vieux ! Comme s'ils allaient le trouver, ce fameux golden ticket. Patrick, lui, savait où il était. Du moins, il en était persuadé vu qu'il connaissait les Bloomburg. Leur amour pour les chasses aux trésors l'avait toujours laissé perplexe mais bon... Il n'allait pas leur en vouloir, chacun avait ses passions ! Mais les siennes, elles n'ennuyaient personne.

Le monte charge est prêt à se refermer quand il appuie sur le bouton. Une rouquine, du moins, une femme portant une perruque rousse est au fond, l'air aussi perdu que lui est agacé. Il la rejoint en soufflant d'agacement.

- Ne me dites pas que vous cherchez le golden ticket ! Pourquoi diable êtes-vous venue ici alors ?

Patrick roule des yeux en retirant ses lunettes alors que le monte charge commence déjà sa montée. Ne la laissant même pas répondre, il continue sur sa lancée :

- Je serais vous, mon chaton, j'irais plutôt vous saouler ! les Bloomburg font des chasses aux trésors depuis leur adolescence, vous n'êtes pas prêt de le trouver ! Ah !

Oui, le peintre a l'air quelque peu agacé par toute cette agitation dans SON Pioneer works. Pourquoi ne peut-on pas laisser les artistes tranquilles ?


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Jeu 2 Avr - 19:47
Le monte-charges enfin arrivé, la brune s'engouffre dedans. Prête à refermer les portes de métal, elle avise un homme prenant sa direction. Lunettes de soleil noires opaques, chemise blanche tâchée de traces non identifiées, elle devine sans mal à son allure pressée et la direction empruntée qu'il souhaite monter, lui aussi. Se poussant au fond de la plateforme, elle le regarde monter à ses côtés, lui adressant un poli mouvement de tête avant de détourner le visage, soucieuse que son identité soit percée à jour. Le laissant appuyer sur le bouton, elle ne dit mot, n'ose pas lui demander de s'arrêter au premier étage pour elle. Sa voix pourrait la trahir. Et si elle psychote sur son identité, paranoïaque, une pointe de curiosité l'habite également. Qui est cet homme ? Il semble.. habitué. Et son visage, malgré les lunettes, lui dit vaguement quelque chose. De dos, elle ne peut néanmoins pas plus apercevoir ses traits, frustrée. Sans doute est-ce pour le mieux pour elle. Elle n'avait qu'à prétendre ne pas être là, le laisser descendre et appuyer ensuite sur.. Soufflant d'agacement, il la coupe dans ses pensées, lui adressant directement la parole. Interloquée, surprise de ce revirement soudain, elle rétorque : « Je vous en pose des questions ? » Plus sur la défensive qu'elle n'aurait voulu, elle se rattrape, reprenant pied, alors que l'homme ôte ses lunettes. « Pardon.. Monsieur. Mais il n'y a pas que vous qui passez une sale journée. Et oui, je cherche le ticket. J'ai mes raisons. » Plongeant ses charbons dans le regard irrité de l'homme, elle fronce légèrement les sourcils. « Je.. vous connais ? » demande-t-elle.

Le regard coule sur l'homme, revenant à la tâche non identifiée sur sa chemise. Visiblement une trace de peinture. Qui pouvait bien peindre au beau milieu de.. Soudain, la connexion se fit, percutant. De but en blanc, elle lâcha : « Monsieur Van Halsen ! » Oubliant de baisser la tête, trop subjuguée par l'excitation, elle repartit de plus belle, les yeux brillants : « Je suis une grande admiratrice de vos œuvres ! Surtout votre travail avec l'artiste Madlin en 2015, le croisement des deux arts est une de mes expositions favorites ! Vous peignez aujourd'hui ? » Un flot chaleureux découlait de ses mots, désormais, bien trop heureuse de rencontrer l'un des artistes contemporains les plus célèbres - ou du moins les plus riches - de l'époque. Comme quoi, le bâtiment n'avait vraiment rien à envier à Broadway et ses décors en carton. Ici, l'art était bien plus réel, presque palpable. Avisant le regard agacé - ou était-ce de la surprise - de l'homme, elle se présente immédiatement.. « Veuillez me pardonner, je m'appelle.. » se rappelant qu'elle était sous couverture, ne voulant pas ébruiter les ragots sur sa famille - après tout, elle ne connaissait pas personnellement cet homme - elle mentit. A moitié. « ..Emily. Une étudiante..ordinaire. Tout à fait banale. Mais passionnée par le monde artistique ! » se dépêche-t-elle d'ajouter, voulant tout de même faire bonne impression. C'était idiot. Il ne se rappellerait pas d'elle de toute façon. Et même si c'était le cas, elle serait "Emily, l'étudiante rousse banale". Great job.

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Sam 4 Avr - 17:28
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PATRICK VAN HALSEN
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Lunettes de soleil sur le nez pour se faire discret, il porte une chemise blanche qui porte quelques traces de peinture ancienne. Il est ami avec les Bloomburg mais un peu agacé par cette chasse. Ses indices pourront être vrais tout comme vous perdre  golden ticket ⚜ l'odeur du bois vous y guidera 2958767705  


Si un regard pouvait faire taire, c'était bien celui de Patrick. Mais visiblement, l'inconnue était toute heureuse de le reconnaitre ce qui le fit rouler des yeux ostensiblement. Il n'avait pas que ça à faire.

- Et bien Emily l'ordinaire, ne me faites pas perdre mon temps ! Allez chercher ce golden ticket même s'il n'est pas ici, et débarrassez le plancher ! Oui je peins en ce moment mais visiblement, la chasse aux trésors vous importe plus que l'art !

La fin de sa remarque se superposa au brouaha d'arrêt du monte-charge. Le 2ème étage était atteint et oui, il exposait ici en ce moment. Le travail et le stress engendré par tous ces inconnus dans le lieu, ça n'aidait pas son caractère déjà peu agréable. Est-ce qu'il était un peu jaloux de l'attention portée à cette chasse et non à son boulot ?

- Sérieusement.... Pourquoi pensez-vous que les bloomburg l'ont caché ici ? Vous les imaginez, vous, déranger des artistes ô combien importants pour notre société avec tout... ça ?

Cette fois-ci, il était plus sérieux, sincèrement soucieux de tout ce bazar au Pioneer Work !  Il sortir du monte-charge en laissant le choix à l'inconnue de le suivre ou non.

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Dim 5 Avr - 22:40
Ne jamais rencontrer ses héros. C'est une devise que Dahlia peine à faire appliquer, à New York. Et pourtant, elle pourrait y mettre du sien, faire un effort pour arrêter la discussion là : l'homme l'y incite. Qu'elle s'en aille, et avec elle, toute la folie de cet événement qui venait troubler les lieux calmes et paisibles, les artistes qui ne demandaient qu'à s'exprimer. Elle entendait les arguments. Mais à eux, s'opposaient les siens, vibrant de logique. Son raisonnement était précis, et c'était peut-être ce qui risquait de la mettre en déroute. Ce n'étaient pas des scientifiques, qui avaient caché le billet au montant d'or, mais bien des célébrités. Et si elle-même en était une, bien que par défaut, elle ne tenait pas celles-ci pour haute estime. Mis à part les artistes. Et pourtant, avec son air bougon, l'homme aux coups de pinceaux avisés, semblait manquer de relief dans cette histoire ; d'objectivité. Si bien qu'il finit par la frustrer. Courroucée, elle rétorqua du tac-au-tac : « C'est faux ! ... Monsieur » s'empressa-t-elle de rajouter par politesse. Chose que l'autre se gardait bien de manifester à son égard. Etaient-ils tous comme ça, aussi.. imbus d'eux-mêmes ? Certes, son travail était magnifique, et elle se demandait parfois quelles émotions avaient été les leurs à cet instant où acrylique et toile se muaient en une danse raffinée, une valse langoureuse aux couleurs éternelles. Quelles avaient été les pensées, les idées qui avaient germé dans l'esprit du créateur. Mais à cet instant, elle se gardait bien de l'interroger sur ses toiles, sentant que l'homme en avait très clairement après cette chasseu aux trésors ; et elle était son exutoire.

« L'odeur du bois vous y mènera.. le bâtiment étant constitué pour moitié de bois et abritant chevalet, toiles et parfois mêmes sculptures de bois, c'est une option envisageable pour l'y cacher. De plus, les odeurs sont plus fortes dans les endroits fermés. » expose-t-elle calmement, mettant son raisonnement au clair pour que le peintre comprenne. La comprenne. Alors que le monte-charges atteignait le second étage, elle hésita une fraction de seconde à peine, avant de lui emboîter le pas. Elle voulait entendre sa réponse, son point de vue face à ce raisonnement. Le trouvait-il juste ? Le trouvait-il idiot ? Nul ne raisonnait pareil, et si Dahlia espérait trouver cet argent, la curiosité la bouffait plus encore. Le besoin de reconnaissance, aussi. Elle n'aimait pas qu'on sous-entende qu'elle n'avait pas réfléchi à la question. Qu'elle n'avait pas bien réfléchi à quoi que ce soit, tout court. Elle pouvait se trouver au mauvais endroit, elle le concevait. Mais elle souhaitait entendre une justification rationnelle si tel était le cas. Et pas une énième mascarade bourrue juste pour se passer les nerfs. « Par curiosité, vous auriez cherché où, vous ? » lui demanda-t-elle, poliment, mais avec insistance, sourcils froncés. Pas qu'elle s'empresserait d'aller à cet endroit, juste qu'elle voulait entendre un autre point de vue, aviser un autre angle d'attaque. Peut-être avait-elle raté quelque chose. Mais quoi ? Elle, l'ignorait.

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Dim 12 Avr - 21:11
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PATRICK VAN HALSEN
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Lunettes de soleil sur le nez pour se faire discret, il porte une chemise blanche qui porte quelques traces de peinture ancienne. Il est ami avec les Bloomburg mais un peu agacé par cette chasse. Ses indices pourront être vrais tout comme vous perdre  golden ticket ⚜ l'odeur du bois vous y guidera 2958767705  


Elle suivait, l'agaçait déjà alors que patrick n'avait qu'une envie, disparaitre dans son atelier et arrêter de penser à ce fameux golden ticket ! Les bloomburg avaient eu un sacré culot de donner ce lieu comme potentiel endroit.
Marchant rapidement, il se retourna brutalement en entendant la question de la jeune femme.

- C'est un joli raisonnement mademoiselle mais vous avez oublié un détail : les bloomburg ont en horreur ce lieu, ils le trouvent pas assez accessibles au public ! Trop euhm... Hipster ? Cher ? Incompréhensible ? Je ne sais plus dans cet endroit, bien qu'en bois, vous n' verrez jamais Michael aller au delà de l'accueil !  

Il la regarda encore quelques secondes avant de reprendre, d'un ton dès plus sérieux.

- Vous perdez vote temps ici, les Bloomburgs sont riches mais ils n'ont jamais perdu leur amour pour les choses simples. Sur ce, je vous laisse j'ai du travail, moi !

Et il disparut dernière la porte, la refermant dans un claquement légèrement dramatique

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Mar 21 Avr - 12:17
Elle avait eu tord. Faux, sur toute la ligne. Elle qui se pensait petit génie, venait de redescendre de son piédestal avec force, amertume. S'éclipsant de ses côtés, l'homme ne lui tira aucun sourire, la laissant seule sur le seuil de son échec. Contemplant toute l'étendue de sa bêtise et de sa naïveté, Dahlia savait que cette chasse était terminée pour elle. Dommage. Elle voulut y croire, pourtant, faire tout ce qui était en son pouvoir pour faire plier l'homme, faire plier le destin de lui donner cette raison de recommencer. Elle avait fauté en prenant un raccourci, grillant les étapes et sortant du droit chemin. La vie l'avait bien vite rappelée à l'ordre. Désormais, elle tentait la chance, espérant un petit coup de pouce du destin. Mais ni l'un ni l'autre ne semblaient répondre favorablement à ses desseins, ses rêves futurs. Elle n'allait définitivement pas refaire le monde, avec cet argent. N'allait ni aider ses prochains, ni monter quelque entreprise. Si elle voulait aider les femmes, elle devrait emprunter ce chemin qu'elle avait jusqu'alors ignoré, dévié tant il était calme, long, ardu et semé d'embûches. Elle serra doucement les poings, fronçant les sourcils. Prenant une inspiration, elle releva alors la tête, et pour se donner du courage, lança, plus pour elle-même que pour quiconque : « Je n'abandonnerais pas ! » Mais sa voix fut plus forte qu'elle ne pensait, et une femme sortit en trombe d'une des salles, pointant un méchant index dans sa direction. Dahlia fit volte-face sans demander son reste, faisant demi-tour avec rapidité. Hésitante, le regard tenté par le monte-charges, elle savait que celui-ci tombait parfois en panne. Aussi fila-t-elle sur sa gauche à travers le couloir pour échapper aux invectives de la femme. Fiouh. Il s'en était fallu de peu. Il ne lui restait plus qu'à fouiller discrètement les autres étages, au cas où le billet se cacherait derrière un tableau, au détour d'une sculpture. Elle n'avait plus grand espoir, mais elle préférait finir la zone pour en être certaine. Elle n'aime pas laisser les choses en plan, Dahlia, même s'il y a une chance infinitésimale qu'elle le trouve, d'après les dires de l'artiste. Attendant encore quelques minutes, elle revint sur ses pas et s'engouffra dans le monte-charges, faisant le moins de bruit possible. Elle allait changer de plan, et tenter le troisième et dernier étage. Peut-être aurait-elle plus de chance avec la collection "WoodyWood" ? Et alors qu'elle attendait que l'ascenseur monte, son regard se posa sur les lattes de bois de celui-ci, se demandant s'il n'y avait pas un faux fond. Elle s'adonna ainsi à regarder les lattes de bois, espérant trouver une cache. Quoi ? Elle pouvait toujours rêver.

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Lun 4 Mai - 20:15

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Mer 6 Mai - 17:22
Manquant rentrer dans quelqu'un, elle l'aperçoit alors : Mrs Bloomburg. La célébrité la salue, et elle en fait de même, trop étonnée pour sortir du monte-charges. Un bar. Ancien. Sursautant légèrement, son cerveau cogitant à toute allure, la Bloomburg se percha à son oreille pour lui susurrer un indice. Pour elle. Ha ! Que Mr le peintre ronchon aille se rhabiller, elle avait bien fait de venir ici et de persévérer. Un endroit qui grince. Ok. Fastoche. Ou pas. Alors que les effluves d'amande et de rose s'estompent, les jambes graciles s'élançant aussi vite pour sortir du monte-charges que pour y entrer, la brune reste un instant là. Hagarde. Avait-elle rêvé ? Cette scène s'était-elle réellement produite ? Oui, et il n'y avait plus une seconde à perdre : Direction, le Monro !

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Mer 6 Mai - 17:39
@Dahlia El Jaamil je t'invite à aller rejoindre Eilis et Willow par iciii https://99problems.forumactif.com/t2931-deux-soeurs-a-la-recherche-de-la-bonne-fortune-willow-eilis#55971

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