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long time no see does not mean i didn't miss you (adrian)

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@ Invité

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Jeu 14 Jan - 3:48
Assise derrière le volant de ma voiture, je ne cesse de verrouiller et déverrouiller mon téléphone pour voir si Adrian m'a posé un lapin. Et quand ce n'est pas mon pouce qui déverrouille mon cellulaire, ce sont les doigts de ma main gauche qui tapotent sur le volant au rythme de la musique qui émane du poste radio. Je stresse tellement à l'idée de revoir le jeune homme et tout mon corps a décidé de le montrer puisqu'en plus des doigts sur le volant, j'ai les sourcils froncés et la jambe qui sautille depuis que je me suis garée sur le parking il y a quelques minutes. Cela me semble tellement étrange et irréel de revoir Adrian après tout ce temps. Nos chemins se sont séparés il y a un petit moment et pas de la meilleure des façons qui soit. J'ai choisi la Formule un plutôt que lui et même si je sais que j'ai fais le bon choix à l'époque, il m'arrive fréquemment de m'en vouloir. Nous n'avions pas les mêmes priorités et je sais que je l'ai laissé tomber alors qu'il avait besoin de moi. Fuir devant la difficulté n'est pas quelque chose que j'ai pour habitude de faire mais si proche de mon rêve, j'ai déconné. Alors que je soupire, cherchant à faire disparaître ces pensées avant qu'il arrive, je déverouille à nouveau mon téléphone pour relire notre dernier échange. J'ai peur d'avoir donné la mauvaise adresse, de m'être trompée de jour ou même d'heure de rendez-vous. Je vérifie le tout et je me rends compte que je n'ai qu'une dizaine de minutes d'avance, mais que toutes les informations sont les bonnes. Et plutôt que de stresser dans ma voiture, je décide de me diriger vers le karting et de bien vérifier que la piste nous est bien réservée pendant deux heures. Je refuse de me retrouver face à un contre temps. Je dois admettre que le choix du lieu est tous sauf anodin. Le karting est quelque chose d'assez professionnel pour moi et je sais que je serai à l'aise dans le lieu. Si la discussion est gênante, il n'y aura qu'à sauter dans un kart et tourner en rond pendant quelques minutes. Cependant, malgré le côté professionnel de la chose, je ne suis pas là pour le compétition aujourd'hui. Je laisse mon casque de pilote de Formule un au placard pour retrouver le premier homme qui ait réellement compté pour moi. Et quand je vois une voiture s'approcher et se garer sur le parking, je sors pour l'accueillir. Hey. Que je souffle, lui faisant un léger signe de mains. Un peu étrange comme façon de saluer mon ex petit ami mais je ne sais pas comment m'y prendre. Le prendre dans mes bras pourrait être étrange - voire le brusquer - mais rester à deux mètres de lui me semble tout aussi bizarre. Ça va ? Que je demande alors qu'il se rapproche de moi. Viens, entrons, ils nous attendent. Et je sais que les premières minutes vont servir à nous habiller ; combinaisons, casque, gants, chaussures adéquates, on va avoir le droit à tout. Sans oublier les consignes de sécurité. Et je sais à ce moment précis, que j'ai bien fais de l'emmener ici parce que tout ça, tous ces préparatifs, ça va nous aider à briser la glace. Et moi, ça va me laisser le temps de me détendre.

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Ven 15 Jan - 21:53
Adrian est toujours en train de tergiverser avec lui même quand il claque la porte de son appartement. Parce qu’il ne sait pas si c’est une bonne idée. Il pensait déjà que tout cela était une mauvaise idée quand il lui envoyait des messages pour savoir comment elle allait. Quel con. A croire qu’il n’apprend pas de ses erreurs, Adrian. Il préfère replonger la tête la première dans des discussions plus que tardives avec la brune qui a partagé son lit plutôt que de passer à autre chose. Il est passé à autre chose depuis toutes ces années, il est sobre maintenant et il n’est plus vraiment tourné vers l’auto-destruction, il lui laisse encore un long chemin à parcourir, mais néanmoins, il se sent prêt à le faire le chemin. À se laisser guider par des envies positives plutôt qu’avoir envie de se détruire petit à petit, une fois de plus, avec le risque de perdre sa soeur pour toujours. Et il refuse. Sur le chemin qui l’emmène au karting, il laisse ses doigts pianoter sur le volant, et il sifflote au rythme de la musique qui sort des enceintes de sa voiture. Qu’est-ce qu’il va bien pouvoir lui dire ? Il se sent con, il se sent stupide d’avoir accepté parce qu’après tant d’années, il ne sait pas vraiment ce qu’il pourrait lui dire. Mais il fera un effort, parce qu’elle a été un jolie chapitre de son histoire alors il ne se voit pas fermer le livre avec irascibilité. Quand il voit le panneau qui indique le parking, il continue à siffloter comme si rien d’autre n’importait et il se gare le plus près possible du bâtiment parce que il sait que sa flemme légendaire et lui n’auront pas envie de retourner à la voiture sans quelques complaintes après les tours de karting. Les mains dans les poches de sa veste en cuir, il sourit quand il s’approche d’elle. Elle n’a pas changé. Ou est-ce qu’elle l’a fait mais qu’il n’a pas remarqué parce qu’il était encore abonné à elle et qu’il la voyait en photos dès qu’elle daignait en poster une ? Peut-être. Il n’en sait rien, en vérité. Hey, salut ! Ça me fait plaisir de te voir. Il est un peu trop causant Adrian mais il voit bien qu’elle est gênée alors il ne va pas jouer aux cons, pas maintenant du moins. Quand ils seront sur la piste, c’est une possibilité. Et il s’approche tout en répondant Oui, ça va, et toi ? Il voudrait la prendre dans ses bras pour lui offrir une accolade mais ce serait peut-être trop brusque alors il lui tient la porte pour qu’elle puisse entrer avant de prendre sa suite et regarder tout autour de lui. Il n’avait jamais foutu les pieds dans un karting Adrian, et il faut dire qu’il apprécie plutôt l’endroit. Il se laisse guider et garde toujours son regard d’enfant quand il donne sa veste avant de se rendre compte que le silence peut sûrement être gênant pour elle Je suis content d’être ici avec toi. avoue t-il, en récupérant ce qu’on lui tend Est-ce que c’est le moment où je t’avoue que j’étais persuadé que tu ne me répondrais pas ?  demande t-il, avec un sourire en coin tout en la regardant. Après tout, autant dire la vérité, non ?

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Sam 30 Jan - 22:38
Il y a des relations qui ne comptent pas le moins du monde pour moi. Il y a celles qui me vrillent l'estomac rien que d'y penser. Celles qui ne laissent qu'un goût amer en bouche. Celles qui me font vivre et rire. Et celles qui ont failli me tuer. Je ne sais pas réellement où je pourrais placer le fantôme de relations que nous allons essayer de ramener à la vie avec Adrian. Chaque minute qui passe me fait repenser à ces moments que nous avons vécu, ces souvenirs qui me laissent un sourire sur le visage mais comme une morsure de froid dans la nuque. Concentrée sur ma carrière et mon futur dans le sport, j'en ai occulté des moments de joie et de sérénité à venir. L'ambition avant le reste, une Haas bien droite dans ses bottes. Et la rupture causée par mon propre chef. Peur de foirer mon plus gros rêve et venir à en foirer ma relation. Des regrets, il y en a et il y en aura toujours mais avec son pas vers moi, je crois qu'il est temps d'enterrer ces derniers et d'avancer. Je l'attends, sur mon lieu de prédilection, pour jouer et profiter, discuter et se détendre, pour ne pas être coincés à se regarder dans le blanc des yeux parce que ça, ça me tuerait. Et puis, sans lui, je ne serais pas la femme que je suis aujourd'hui. Les relations, quelque soit leur nature nous forgent et nous forment et ça, je ne pouvais pas le nier. Et bien que le stress et l'angoisse sont avec moi, le voir, entendre sa voix et son sourire me font me dérider légèrement. Ça va... Je profite de mes quelques semaines de vacances avant de filer pour les essais. Que je dis en souriant au jeune homme. Il n'y a jamais trop longtemps de repos dans la Formule un et il l'aurait vu, si je n'avais pas refusé de l'épouser. Et il y a des jours où je me demande comment se serait passé notre relation, notre couple si j'avais dis oui. Les semaines loin de la maison, les semaines de vacances qui se comptent sur les doigts d'une main. Les heures passées au garage, entourée d'hommes. La petite chouchoute de l'écurie mais aussi celle qu'on critiquerait sans cesse. La pression médiatique qui a suivi mon arrivée en Formule un n'a pas été des plus simples. Si on en croit les magasines people, j'ai couché avec les trois quarts du circuit. Et je ne parle pas des trois quarts de mes coéquipiers et opposants - dix neuf hommes - mais bien de tous ceux qui trainent sur les circuits ; mécanos, propriétaires des écuries, management et tout ce qui va avec. Peut-être qu'on aurait pas survécu, que les choses auraient été pires pour lui, pour sa famille et sa santé. On ne saura jamais. Je suis contente aussi. Que je rétorque rapidement en lui souriant. Petit sourire qui disparaît quand il fait part de sa crainte. Mais... Pourquoi ? Je ne peux pas dire qu'on s'est quitté en bons termes mais je ne peux pas lui en vouloir de quoi que ce soit. Son état n'était pas des plus stables à l'époque, l'amour qu'on se portait n'était peut-être pas des plus pures mais pourtant... Je ne mange pas, tu sais. Que je souffle, pas moqueuse mais plus joueuse, lui donnant un petit coup de coude dans les cotes. Et tout proche de lui, à l'abris des oreilles baladeuses des employés du karting, je souffle Je suis contente que t'ai sauté le pas même avec cette appréhension. Parce que moi, je ne l'aurais jamais fais. Pas que je n'avais pas envie de renouer avec Adrian mais bien parce que je ne savais pas dans quel état le trouver. En colère, rancunier. Il y a tellement de possibilités et aucune d'elles ne disaient "il ne t'enverra pas sur les roses". Tu as déjà fait du karting ? Que je demande un peu plus fort, pour éviter que notre échange soit qualifié de messes basses. Il n'y a peut-être que des hommes ici mais il ne faut pas croire que ces derniers ne sont pas friands de potins.

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Jeu 11 Fév - 20:02

Qui ne tente rien n’a rien voilà ce que s’est dit Adrian dès lors qu’il a vu Elisabeth. Non pas qu’il avait prévu de tenter quelque chose de stupide, puéril ou même inutile, il se dit que si cet après-midi se passe bien alors peut-être qu’il pourrait en partager d’autres. Ça lui ferait plaisir au barista, parce qu’il veut qu’Elisabeth voit qu’il va mieux. Qu’il va bien. Bien mieux que quand elle l’a quitté, il sait qu’elle a dû le supporter dans de sales états même si au fond, elle n’était jamais vraiment là. Il tentait de donner au change, faire semblant d’aller bien, de marcher droit, ne pas tituber, tromper qui le veut avec des bonbons à la menthe pour cacher l’odeur infect du whisky qu’il ingérait en cachette, le déodorant qu’il mettait parfois, alors qu’il n’était pas lui même, persuadé que ça éloignerait l’odeur de l’alcool parce qu’il avait encore fini minable. Minable et malheureux, pourquoi serait-elle restée avec lui ? Avec un raté comme il le criait haut et fort, un raté qui n’avait pas envie d’être sauvé. Elle semble aller bien et il est heureux Adrian Toi, prendre des vacances ? Qui êtes vous et qu’avez-vous fait à Elisabeth Haas ? Prononce t-il en riant un peu. Parce qu’il sait Adrian que si elle pouvait, elle continuerais sans cesse de rouler, elle continuerait sans cesse à être sur les circuits, loin du monde et de la civilisation. Il sait qui elle est, il sait ce qu’elle aime et il le saura toujours. Il se dit qu’il n’avait peut-être pas réussi à la percer réellement à jour mais il s’en fiche. Il est heureux d’être ici. A la question qu’elle lui pose après l’affirmation, il hausse simplement les épaules Je ne sais pas, je me suis dit que peut-être tu avais définitivement tourné la page. Enfin… Je l’ai fait aussi. Mais peut-être que tu n’aurais pas voulu revenir en arrière. Et lui reparler, apercevoir ce qu’ils auraient pu avoir, ce qu’ils ont raté aussi. Et peut-être qu’elle aurait pu penser, à tort, qu’il était resté le même. Et ne pas saisir l’occasion de pouvoir voir qu’il a changé, lui aussi. Et il ne peut s’empêcher de rire à sa remarque avant de lever les yeux au ciel et de laisser feindre un sourire sur les lèvres face à sa rétorsion et il la regarde suite à son murmure Je suis plutôt content de voir que tu vas bien alors je suis contente d’avoir sauté le pas aussi. Et heureusement que tu ne manges pas, je me serais inquiété. Répond t-il, un peu joueur avant de se reculer d’elle quand il voit les quelques regards curieux de ses collègues. Il ne voudrait pas qu’elle se fasse importuner quand il ne sera plus là. Oui ! Mais ça fait longtemps que je ne me suis pas tenu derrière un volant de courses. Admet-il, presque sûr qu’elle va le battre à plate couture. Il récupère alors l’équipement que l’on lui tend, avant de commencer à l’enfiler, un peu sceptique sur la tenue qu’il va arborer mais tant pis. On fait un deal ? Si je gagne, je gagne un truc, si tu gagnes, tu gagnes un truc ? Au moins quelque chose qui n’a pas changé c’est qu’il faut toujours me mettre une carotte au bout du nez pour que je sois motivé. Explique t-il, avec un clin d’oeil avant de la détailler un peu plus. Elle n’a pas changé pense t-il intérieurement avant de chasser d’un dodelinement léger de la tête, les pensées qui commencent à pointer le bout de leur nez.

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Mar 16 Fév - 14:50
Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire aux mots de mon ex petit ami. C'est vrai que je n'ai jamais été une grande fan des moments de pauses et encore moins des vacances. Depuis mon plus jeune âge, j'ai pour habitude de bouger, de courir et de passer plus de temps dans un quelconque moyen de transports que sur mes deux pieds. Et aujourd'hui ne fait pas exception à cette règle. C'est au karting que nous nous retrouvons, dans mon élément, comme si j'avais envie de lui montrer ce qu'il n'avait jamais vu - ou pu - voir à l'époque. Je n'ai pas le choix... Mais je dois avouer que j'ai hâte de retourner sur les circuits. Je pince mes lèvres, un peu honteuse de lui montrer que si lui a avancé et évolué durant toutes ces années, ce n'est clairement pas mon cas. Je suis toujours la même puce incapable de se stabiliser et de rester au même endroit. Je ne changerai jamais et peut-être qu'Adrian verra que je nous ai rendu service à l'époque, d'une certaine manière. Enfin, ce n'est plus au passé qu'il faut penser mais au présent. Et peut-être même au futur. La vie est trop courte pour vivre avec des regrets tu sais... Et puis, on ne revient pas en arrière à proprement parlé, on avance. Tous les deux, séparément mais peut-être un peu ensemble aussi. Je suis vraiment heureuse de l'avoir à nouveau à mes côtés, de pouvoir voir et entendre qu'il va bien. Son sourire, son calme, tout est différent mais pas dans le mauvais sens du terme. Parce que ce changement, je l'apprécie grandement. Et à ses mots, je sens mes joues rougir et je place une mèche rebelle derrière mon oreille, le sourire aux lèvres, toujours quelque peu sous le charme du beau brun. Je l'ai toujours vraiment aimé, jamais utilisé et si notre histoire a fini dans les choux, ce n'étaient pas les sentiments le problème, loin de là même. Rassurée qu'il ait déjà mis les pieds dans un kart, je sais que je n'aurais pas besoin de tout lui expliquer. Et son idée de deal m'arrache un sourire. Un peu plus de pep's et un enjeu, c'est tout ce que j'aime pour me motiver un tantinet plus. Toutes les semaines, c'est la possibilité de finir en pôle position et de gagner un grand prix. Je n'ai pas nécessairement besoin de cela pour me motiver mais ça aide toujours. J'aime beaucoup l'idée. Que je lâche en me dirigeant vers les casiers qui ont toutes les tenues lavées et gardées par les employés. J'ai la mienne, ma tenue personne, aux couleurs de mon écurie qui m'attend dans le premier casier. Les employés réapparaissent petit à petit et je sais qu'ils vont aider Adrian à se préparer. Et qui choisit quoi, mon petit âne ? Je glousse comme une idiote avant de me ressaisir rapidement. Je me racle la gorge et dis Je choisis pour toi et toi pour moi ? Ça te dit ? Et toi d'abord. Je vais quand même te laisser un petit avantage maintenant. Je lui adresse un clin d'oeil. Forcément, il n'aura peut-être pas un grand avantage une fois sur la piste. On y réfléchit en se changeant ? Que je demande au grand brun avant d'attraper les clés du casier que l'on me jette de l'autre bout de la pièce. Combi en mains, je file vers les vestiaires des filles où je brade ma tenue de civile pour ma tenue de pilote. Je prends quelques minutes pour attacher mes cheveux dans une succession de petites couettes centrales afin de passer le casque sans trop de gêne. Et une fois dans le hall, je regarde vers les vestiaires et lance Tu t'en sors Dawkins ? Dans ma seconde peau, je suis tout de suite beaucoup plus à l'aise et moins à stresser de tout ce qui pourrait mal se passer. Alors, si je gagne la course, qu'est-ce que je gagne ? Toujours très curieuse aussi, pas encore sûre de ce qu'il va gagner, ne cherchant pas à me caler sur lui pour lui trouver un 'gain' mais juste pour voir le degré de sérieux de la demande aussi. Vais-je gagner un donut de la station service au bout de la rue ou un dîner la semaine prochaine ? Ce n'est clairement pas la même chose.

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Jeu 4 Mar - 19:23

Les regrets il connaît Adrian. Il regrette beaucoup de choses mais la seule chose qu’il ne regrette pas c’est certainement sa relation avec Elizabeth, même si elle a terminé dans l’aigreur et la colère, l’animosité aussi, il ne peut s’empêcher de ne pas regretter. Ça devait se passer ainsi, c’était ce qu’il s’était dit à l’époque. Quand elle a dit non, quand elle l’a quitté et quand il a sombré comme la pauvre merde qu’il était avant de rentrer dans le centre de désintoxication. Il a avancé Adrian, tout seul, pas à pas. Sans personne. Sans sa soeur qui lui avait tourné le dos jusqu’à ce qu’il sorte du centre, sans sa mère qui était parti loin de lui, tout là-haut. Sans personne, il s’en est sorti tout seul et il est plutôt fier de lui pour le coup. Et il était encore plus fier d’agir correctement avec son ex après avoir osé reprendre contact avec elle. Toujours lui offrir un gain à Adrian pour qu’il accepte, et il était plutôt heureux qu’elle aussi le fasse. « On y réfléchit en se changeant. » conclut-il après ce qu’elle vient de lui dire et l’idée est toute tracée dans sa tête. Il sait ce qu’il va lui offrir. Enfin, ce qu’il lui offrirait si elle gagnait mais comme il a la rage de la victoire, pas sûre qu’elle le fasse. Loin de lui l’idée de lui mettre une plumée mais il était tout bonnement en train de rêver parce qu’elle était une des meilleures pilotes qu’il connaissait alors comment pouvait-il la battre ? Avec un coup du sort certainement. Tandis qu’il entrait dans le vestiaire et s’habillait, il réfléchissait encore à un gain et l’idée qu’il avait ne quitter pas son esprit. Il finit par finir de s’habiller, remonte la fermeture de la combinaison avant de garder son casque autour du bras et il lui répond en criant « Oui deux secondes ! » il se regarde dans un miroir d’appoint et se trouve ridiculement con mais ça passera. Quand il sort du vestiaire, il ne peut s’empêcher de rire quand il entend sa demande à peine a t-il franchi la porte et il la regarde, un brin de malice dans les yeux avant de lui dire « Si tu gagnes… Hm… Je te fais à dîner dans mon appartement, je met les petits plats dans les grands. » Et il lui sourit, avec cet air tout fier avant de la regarder en se pinçant les lèvres « Et moi, si je gagne, ce qui va se passer, qu’est-ce que je gagne , » demande t-il, avec innocence. Après tout, elle méritait au moins un dîner de la sorte et Adrian s’était passionné pour la cuisine depuis un certain temps alors il pouvait au moins faire en sorte de cuisiner son plat préféré. « Ne me dis pas que tu as prévu la même chose. » Après tout ça ne serait pas étonnant. Il la laisse mener la danse sur l’instant parce que c’est son lieu de prédilection ici, alors il ne veut pas la pousser alors qu’elle n’est pas prête. « On y va quand tu veux. C’est toi la maîtresse des lieux ici. »

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Sam 6 Mar - 19:10
tw : feu

Un signe d’acceptation en sa direction et je file dans les vestiaires pour m’habiller. Ah, cette combinaison, qu’est-ce que je l’aime. Il y a des tas de filles qui aiment une tenue spéciale dans leur garde robe, le pull parfait, la jupe parfaite, la robe parfaite. Ce que je comprends vraiment. Seulement moi, ce n’est pas une robe que j’aime plus que tout. Et si mon appartement venait à prendre feu, il n’y aurait que cette combinaison que je sauverais. C’est un peu comme ma seconde peau, comme le plaid chaud et rassurant que l’on passe quand on va mal. C’est complètement idiot mais c’est ainsi. Et si je garde toutes mes combinaisons une fois la saison terminée, ce n’est pas pour rien. Je ne peux pas ramener de coupes alors ça, ce sont mes trophées à moi. Et dire que je commence ma sixième année en Formule Un… Perdue dans mes pensées, je prends du temps à penser à ce que je pourrais donner au jeune homme s’il venait à gagner lors de la séance de karting qui nous attend. J’hésite grandement entre quelque chose de simple et presque impersonnel ou bien quelque chose pour nous retrouver, discuter un peu, puisqu’on aura enfin brisé la glace. L’idée en tête, je ne peux m’empêcher de le taquiner et de me proclamer déjà gagnante. Il n’y a AUCUN moyen que je finisse après Adrian. Sauf si je décide de ne pas y aller trop vite pour ne pas mettre douze mètres entre lui et moi. Et, si je le fais, ce ne sera pas pour son égo mais bien parce que mon gain, il me tente plutôt bien. Non, pas la même chose ! Je ne sais toujours pas cuisiner. Que je lance en riant légèrement avant de hausser les épaules. Dieu merci pour mon chef personnel qui m’apporte mes repas tous les jours. J’ai un régime bien spécifique à suivre pour le travail et à part mettre du vinaigre sur de la salade, je ne sais rien faire. Alors, à moins qu’il ait envie de manger une salade verte agrémentée de graines de courge, de tomates et de concombre… Mais j’allais te proposer de faire un picnic à Bryant Park. Au moins, rien besoin de faire, juste besoin d’acheter de quoi grignoter, bronzer, discuter - ok, ça ne s’achète pas - et peut-être de quoi jouer aux Aventuriers du Rail - histoire de l’écraser à nouveau. Ou un picnic au planétarium. Que je dis, me rendant compte que ça risque d’être pris de la mauvaise manière. Ça peut être romantique, non ? Shit. J’en sais rien, en fait. On verra selon le temps ! Et comment on s’organisera d’ici là aussi parce que je vais bientôt devoir sauter dans un avion pour l’autre bout du globe. Ah mais je suis prête moi ! Que je lance en lui donnant un petit coup d’épaule, me dirigeant vers la piste de karting et montant dans le premier kart que je vois. Enfin, si t’as tourné écolo, pas sur que de manger des chips de chez Lays soit quelque chose dont tu as envie. Une tournée des bars ! C’est bien ça. Et rapidement, ça fait tilt dans ma tête. Il ne boit plus d’alcool. Y a un super bar à eau qui a ouvert dans SoHo ! Genre il y a une piscine et tout. Et tu peux goûter plusieurs eaux ! Minéralisés, sans sel, pétillantes, plates. Avoue, ça vend du rêve ! Et ma connerie aussi, aucun doute là dessus. Mais je me rattrape comme je peux. Une soirée dans ce bar, voilà ce que tu as à gagner ! On ira quand il fera pas trop mauvais histoire de pouvoir profiter de la piscine. Parce que sinon, ça serait vraiment très idiot de boire un verre d’eau sans pouvoir profiter de la vue et des installations. Vraiment con...

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Dim 14 Mar - 21:07
Il avait pensé que l’ambiance serait un peu plus électrique, un peu plus… étrange. Mais non, tout va bien, rien n’est compliqué. Tout semble aller comme s’ils ne s’étaient jamais quitté. Comme si Adrian n’avait jamais posé un genou à terre pour lui demander de l’épouser, pensant naïvement qu’elle allait accepter et que l’éternité leur serait destinée. Et il ne peut s’empêcher de rire face à sa remarque en plissant le front « Ah oui c’est vrai j’avais oublié à quel point tu étais une catastrophe en cuisine. » se moque t-il un peu avant d’attendre son possible butin. Un pique-nique. Pourquoi pas. C’était une bonne idée sachant que cela faisait une éternité qu’il n’était pas allé pique-niquer. La dernière fois c’était possiblement avec sa soeur. Il n’en sait trop rien. « Ça peut être une bonne idée. » Après tout, pourquoi pas ? « Et si je devais choisir, je choisirais le planétarium. » Parce qu’il a toujours aimé les planètes et toutes ces choses qui touchent aux étoiles ainsi qu’aux planètes. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle veuille commencer de suite, mais bon, c’est elle la reine de la piste après tout, il n’a rien à dire. Sauf quand elle lui propose une tournée des bars, il se sent un peu con. Ils pourraient mais il n’est pas bien sûr de résister s’il la voit s’enfiler des verres de bières ou tout autre alcool. Il n’est pas bien sûr de garder son calme si un type s’approche un peu trop près d’elle. Et il rit un peu quand elle tente de se rattraper « un bar à eau, quelle idée merveilleuse. » rétorque t-il en levant les yeux au ciel. Les gens ne savent plus quoi inventer. Mais il est plutôt content d’entendre qu’il y a une piscine. Il hausse alors les épaules, un peu par dépit « Alors oui, une soirée dans ce bar à eau ça peut le faire. Surtout s’il y a une piscine. » Il monte à son tour dans un kart et regarde Elizabeth, même s’il ne peut pas voir son visage, il est persuadé qu’elle est heureuse. Parce que c’est son domaine. Parce qu’elle est née pour être dans un kart alors ça l’aurait étonné qu’ils ne se retrouvent pas ici aujourd’hui. Trève de plaisanterie, Adrian reprend ses esprit et regarde le type en face de lui qui se prépare à lancer la course alors qu’il appuie sur l’accélérateur. Il ne fait pas bien le malin Adrian quand il est à deux doigts de se lancer sur la piste, mais là n’est pas le moment de reculer, encore moins quand il s’élance sur la piste pour le premier tour, prêt à tout pour gagner cette fameuse soirée dans un bar à eau, même s’il faut le dire, il ne serait pas contre lui faire à dîner chez lui. Ça fait bien longtemps qu’il n’a pas prit la peine de cuisiner pour quelqu’un d’autre que pour lui.

@ Dr Akopian

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Dim 14 Mar - 21:07
Le membre 'Adrian Dawkins' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dés de jeu' : 1

@ Invité

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Jeu 18 Mar - 2:08
À trop appréhender un moment, on pourrait finir par le gâcher. Et si j’ai sacrément appréhendé mes retrouvailles avec le Dawkins, je suis heureuse de voir qu’on ne se regarde pas dans le blanc des yeux depuis une demi heure. Non, la conversation est bon enfant, les taquineries aussi et la légèreté du moment me fait vraiment plaisir. Je ne sais pas comment j’aurais survécu si tout avait été tendu, bizarre et étrange. Adrian a été un homme important de ma vie et je ne l’oublierais jamais. Après tout, il a été mon premier réel petit ami, pas dans le sens où je me suis imaginée un bon nombre de relations mais bien parce qu’aucun n’a compté avant lui. Lui, c’était quelque chose d’adulte, de fort, d’important mais pas assez visiblement. J’avais ma carrière dans le viseur et lui, son reflet était dans le rétroviseur, en quelque sorte. Mais là, c’est mon passager et c’est aussi étrange qu’agréable. Alors un pique nique au planétarium, voilà ce qu’il y a à gagner. Que je souffle avec un léger sourire sur le visage. Au moins, je n'empoisonnerai personne et ça, c’est une jolie victoire. La dernière fois que j’ai cuisiné était lors d’un dîner de famille et nous avons fini par acheter des pizzas chez le pizzaïolo artisanal du coin, c’est pour dire. Et alors qu’on se dirige vers la piste, une nouvelle idée me vient et je fais une bourde, ma première bourde - parce qu’aucun doute sur le fait qu’il y en aura d’autres. Je voulais trouver autre chose que la bouffe pour nous lier mais j’aurais mieux fait de rester sur mes chips Lays et l’idée d’avoir les doigts tout gras et regardant les constellations. Eh ! Tu fais le malin mais j’ai visité un bar à eau à Berlin et c’était génial ! Bon, on est arrivé au bar à eau avec un bon gramme d’alcool dans le sang mais ça, il n’est pas obligé de le savoir. Tout pour voir mon corps dans un bikini, avoue le. Je roule des yeux, un sourire taquin sur le visage et lui passe devant pour monter dans mon kart. J’enfile mon casque et avant de baisser la visière, je dis Ce qui est con, c’est que la piscine est en extérieur sur le toit alors ça ne sera pas pour tout de suite. À moins que ça le botte d’être en maillot de bain dans l’eau chauffé alors qu’il neige ? Eh, ça peut être vraiment pas mal du tout comme scène, quand j’y pense. Je m’installe confortablement, passe ma ceinture et baisse la visière de mon casque. Sécurité avant tout, autant pour lui que pour moi, surtout si proche de la saison. Je crois que Günther me tuerait si je venais à me blesser. Que le meilleur gagne ! Que je crie alors que l’on démarre en fanfare. Et je ne sais pas ce qu’il se passe mais il trace et moi, je suis complètement à la ramasse. Je peste tout le long et quand il finit son tour avant moi, je dois dire que j’ai le sang qui boue comme il faut. Placée à nouveau à ses côtés, je tourne le visage de son côté et soulève ma visière. Les sourcils froncés, il doit pouvoir lire mon mécontentement sur le visage. La chance du débutant pour le tour de chauffe ! C’est ça Liz, on y croit. Bon sang, même moi je n’y crois pas, c’est d’un ridicule. Pablo va comptabiliser les poings, maintenant on tourne pour de vrais. Mais ce point, il l’a quand même gagné et j’espère que je vais rattraper mon retard. Au loin, le drapeau à damier est levé et je me concentre dans la course. Mode formule un / compétition activé. Et c’est le pied sur l’accélérateur que j’arrive dans le premier virage, un ralentissement et dérapage contrôlé, je continue ma course concentrée comme si je jouais ma vie. Ce n’est pas le cas. Par contre, ce que je joue, c’est bien ma réputation et un bout de mon égo en carton.

dé : 1 - Adrian gagne le tour et le point.
2 - Liz gagne le tour et le point.

résultat :
Adrian : 2 points.
Liz : 0 point.



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Jeu 18 Mar - 2:08
Le membre 'Elizabeth Haas' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dés de jeu' : 1

@ Invité

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Dim 21 Mar - 14:07
Il sait que si elle perd, elle va sûrement mal le vivre mais comment pourraient-ils faire tout les deux alors qu’ils sont de mauvais perdants ? Adrian est le genre de personne a balancer le monopoly par la fenêtre à la fin s’il a perdu ou même a essayé de tricher au Uno en inventant des règles tacites juste pour pouvoir gagner. Mais maintenant que quelque chose est en jeu, il se dit que l’enjeu est trop grand pour perdre, même s’il prendrait grand plaisir à lui faire un dîner chez lui (encore faudra t-il qu’il range ce qui traîne depuis trop longtemps). Il lève un pouce en l’air à l’idée du pique-nique et ne peut s’empêcher de rire face à sa seconde proposition qui aurait pu être bonne s’il n’était pas lui. Mais il voulait absolument tester un bar à eau, parce que peut-être que ça lui rappellerait ses folles années. Et il la regarde en levant ses sourcils rapidement quand elle lui parle de bikini « Et merde, tu m’as percé à jour, ça a été ma première pensée quand tu as parlé de piscine. Et je m’en fiche qu’il neige ou qu’il vante tant qu’elle est chauffé. Puis au pire, on aurait toujours un moyen pour se réchauffer. » Mais trève de plaisanterie et de beauferie, l’heure est à la course. Adrian s’installe, et fait tout ce qui est nécessaire pour être en sécurité. Il n’a même pas le temps de répondre à sa politesse parce qu’il est trop concentré sur le circuit, les deux mains sur le volant et les yeux qui fixent le circuit et ses obstacles. Ça lui fait du bien de rouler si vite et de ne penser à rien, pas même à Liz qui est sûrement près de lui, prête à en découdre, prête à gagner. Quand il termine le tour, un sourire de con se dresse sur ses lèvres et il secoue la tête de haut en bas avec un sourire amusé « Oui, la chance du débutant Darling, c’est ce qu’elle dise toute. » rit-il un peu avant de la regarder « Si on tourne pour de vrai alors ! J’ai hâte de pouvoir savourer ma victoire. » Un peu trop confiant le Dawkins quand on y pense. Mais il préfère rester digne et con que la laisser gagner. Même si techniquement, elle a beaucoup plus de chances que lui. Baissant sa visière une nouvelle fois, le pied sur l’accélérateur, il redémarre dès que c’est possible et reste une fois de plus concentré sur la route. Les yeux presque dans le vide comme si une autre personne avait prit possession de son corps. Ses dents qu’il serre dans les virages et il la double à quelques mètres de la ligne de fin de tour. Il relève sa visière avant de pincer ses lèvres « C’était encore le tour de chauffe ? » demande t-il avec un semblant d’amusement dans la voix, se pinçant la lèvre pour ne pas se mettre à rire et qu’elle sorte du kart pour lui en coller une. « Allez darling, tu peux encore te rattraper. » Et il fixe le fameux Pablo qui lance le troisième tour alors qu’il part à toute berzingue, bien trop concentré pour qu’elle perde.

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Dim 21 Mar - 14:07
Le membre 'Adrian Dawkins' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dés de jeu' : 1

@ Invité

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Dim 21 Mar - 17:29
Mes yeux sur Adrian, je ne peux m’empêcher de rire à sa réflexion. Je devrais trouver cela dégradant, presque insultant mais c’est bien le genre de choses que j’aurais pu dire. Et de nombreuses femmes se diraient que mon comportement est contre-productif, qu’on ne peut pas se dire féministe et accepter ce genre de remarques mais je pense qu’un bon nombre de ces personnes ont oublié qu’être féministe veut dire vouloir l’égalité homme-femme avant de vouloir tuer tout et tout le monde. Les autres causes sont différentes et je ne cesserai de le répéter. Il faut croire que je te connais toujours bien. Que je lance avec un clin d’oeil, plus pour rebondir sur le fait que je l’ai percé à jour qu’autre chose. Et installée dans ma petite voiture de karting, j’espère bien réussir à gagner la course comme il se doit. Il a beau être un débutant, ne pas savoir y faire avec un karting, je refuse de lui laisser une quelconque avance. De toute façon, personne n’aime gagner à la déloyale, ça fait perdre toute valeur au gain. Bien entendu, quand mes collègues se crashent, c’est tout à mon avantage mais une victoire avec douze personnes restantes sur la piste et une avec tout le grid encore présent au moment de passer le drapeau à damier sont deux sensations bien différentes. Et si finir dernière lors de courses officielles ne me gêne pas vraiment - ce n’est jamais plaisant mais nous sommes les vingt meilleurs au monde alors, je me console avec ça - mais alors face à Adrian, le discours est bien différent. Eh bien, j’espère que ce n’est pas le discours qu’elles ont quand t’es au lit avec elles hein. Que je lâche avec un sourire qu’il ne peut pas voir. Par contre, ce qu’il peut clairement voir, ce sont mes yeux qui le mettent au défi de donner la meilleure course de sa vie. Et le salop, c’est qu’il le fait ! Il arrive avant moi une seconde fois et je peste comme si ma vie était en jeu. Mon poing sur le volant, je ne lui réponds même pas parce que je risquerais d’enlever mon casque et de lui lancer au visage. Ce n’est pas l’envie qui m’en manque mais amocher ce doux minois serait un crime, pour commencer, et je n’ai jamais rien fait d’anti jeu, ce n’est pas aujourd’hui que cela va commencer, je le promets. Sauf que voilà le troisième tour qui démarre et le constat est le même, j’arrive sur la ligne de départ-arrivée quelques millièmes de secondes après lui. Avoues t’as trafiqué mon kart ! Avoues le ! Que je lance à Adrian, en le regardant droit dans les yeux après avoir relevé la visière de mon casque. Je me lève et regarde autour de moi. Je suis la seule femme ici et je peste intérieurement. Et mon index accusateur pointe en direction du propriétaire du karting. Carlos ! Comment tu peux me faire ça ? Avoue, t’as trop serré mes freins et c’est pour ça que je perds de la vitesse dans les virages ! Je me laisse retomber dans le kart et dévisage Adrian. C’est mort. Si tu gagnes, tu cuisines ! Ça devait être s’il gagne, direction le bar à eau, mais je refuse qu’il gagne deux fois - ok, la vue sur New York sera pas mal ainsi que celle sur Adrian mais ça, je le garde pour moi. Alors c’est le moment de ralentir Dawkins ! Parce que mon corps en bikini, tu ne vas pas le voir si tu continues comme ça. Et mes yeux sur Pablo, je fonce quand le drapeau est baissé. Je n’ai jamais été croyante mais je prie les Dieux pour réussir à le doubler et remonter légèrement dans la course. Bordel !

dé 1 : Elizabeth s’arrête, enlève son casque et quitte la piste, rageant comme une enfant.
dé 2 : Elizabeth rit et propose de repartir une cinquième et dernière fois, pour la forme.


dé : 1 - Adrian gagne le tour et le point.
2 - Liz gagne le tour et le point.

résultat :
Adrian : 3 points.
Liz : 0 point.

@ Dr Akopian

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Dim 21 Mar - 17:29
Le membre 'Elizabeth Haas' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dés de jeu' : 2

@ Invité

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Mer 24 Mar - 20:38
Adrian est comme un gamin, un gamin qui vit son rêve de gosse, même s’ils en avaient d’autres. On dirait un enfant qui finit enfin par vivre ce qu’il avait attendu toute une vie, avec une tête remplie de rêves et de projets. Et puis, vivre cela avec Elizabeth, elle qui la laissait partir, parce qu’elle ne voulait plus de lui. Parce qu’elle ne voulait pas l’épouser pour vivre de sa passion, pour vivre de formule 1 et de voitures qui roulent vite. Il ne peut s’empêcher de rire quand il dit qu’elle le connaît toujours aussi bien et il incline simplement la tête pour ne pas le contredire. Quand il roule trop vite, trop rapidement, les mains sur le volant, la concentration à son maximum il est plus qu’heureux de voir qu’il gagne le premier tour. Il était presque à lui répondre mais il ne préfère pas le faire pour rester concentrée, si il se mette à parler de parties de jambes en l’air, il est sûr qu’il va perdre. Et il est plutôt heureux de ne pas l’avoir parce qu’il gagne le second tour, le grand sourire de la victoire sous le casque . Il se lance sur le troisième tour et il a faillit perdre Adrian mais une fois de plus ça s’est joué à quelques centièmes de secondes. Et il balance son poing en l’air quand il gagne avant de se tourner vers Elizabeth qui peste, il rit, mais il ne rit pas longtemps quand il voit qu’elle est agacée au plus haut point « Trafi-quoi ? » demande t-il après avoir relevé la visière de son casque avant de continuer « Comme si j’avais que ça à faire de trafiquer ton kart, je préfère gagner à la loyale ! Sans trafic sans rien ! » Et il la voit s’énerver sur un de ses collègues, ou un mec du karting. Il prend une tête choqué quand elle lui dit qu’il cuisine et il hausse les sourcils « Pardon ? Et le bikini ? » Ah oui non, ce n’était pas prévu au programme ça. Il voulait la voir dans cette piscine, et au bar à eau, voir ce super bar à eau révolutionnaire et goûter des bouteilles d’eau pétillante de grande qualité. Il n’a pas le temps de réfléchir ni même de râler qu’il baisse la visière et repars pour un dernier tour. Il ne lui reste que la ligne droite et les deux mains sur le volant, il appuie sur l'accélérateur, la double et il s'arrête à la ligne d'arrivée, il tape dans ses mains et relève la visière avant de sortir de son kart et de retirer son casque, un grand sourire victorieux sur le visage. « Bon. Je sais, je dois te faire manger. Mais dans ce cas-là. Tu m'invites au bar à eau quand même. » Et il se rapproche d'elle avant de lui murmurer au creux de l'oreille, amusé « Et si t'as envie de te faire passer toute cette colère, on peut toujours finir chez moi, j'ai un bon moyen pour te détendre. » Et il se recule pour déposer son casque avant de faire craquer sa nuque. Parce que toute cette tension, ça ne fait pas du bien aux muscles. Allons bon.

@ Dr Akopian

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Mer 24 Mar - 20:38
Le membre 'Adrian Dawkins' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dés de jeu' : 1

@ Invité

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Ven 26 Mar - 1:18
Je n’arrive pas à croire que je me fais littéralement éclater par un rookie. Il y connaît rien Adrian, moi j’ai passé ma vie dans un kart et y a rien à faire, je me fais écraser comme une araignée sur le sol. Et moi qui ne suis pas trop mauvaise perdante… Là c’est une toute histoire, j’ai envie de lui lancer mon casque à la tronche et de quitter la piste en râlant. Seulement, ce n’est pas un comportement acceptable et je refuse de me remettre à cela. Je compte bien me rattraper et quand au troisième tour, il finit premier encore une fois, je vrille complètement, accusant tout le monde autour de moi. Ce n’est pas possible autrement. J’ai un kart pourri ou alors c’est Adrian qui a lancé un sort quand je lui ai dit ce qu’il avait gagné si je venais à perdre. Ce n'est pas possible autrement. Je ne vois aucune autre explication. Et si lui doit jubiler, moi je me sens complètement ridicule. Je l’ai quitté pour la formule un et il me tue complètement à la F1 pour bébé. Parce qu’on commence tous par le kart, les courses de kart avant d’avancer, d’être le petit bout qui avance dans l’immense machine qu’est la Formule un et le Motorsport en général. Pas de bikini ! Que je ronchonne en reprenant ma place dans mon kart. Rien à gagner, c’est décidé. Je vais déjà perdre ma dignité aujourd’hui alors vraiment… Quoi que bon, le pauvre Adrian n’y est pour rien. On repart pour un dernier tour et le fait que cette fois, j’arrive première rebooste ma confiance et bien comme il faut. Un dernier tour, que je perds. Je fulmine sous mon casque et je reste les mains sur le volant, serrant ce dernier, pestant contre moi-même et contre ce maudit karting où je viens littéralement de me ridiculiser. Je pourrais dire que je l’ai fait exprès mais personne n’y croirait. Je retire mon casque, fais bouger mes cheveux pour les remettre en place et le regarde quand il s’approche de moi, son sourire victorieux. Ok. Tout le monde y gagne comme ça. Que je souffle en me relevant rapidement. Il me murmure quelques mots à l’oreille et je pince mes lèvres. Mon visage se tourne vers lui et il y a deux options à cette réflexion : la féministe en moi qui lui enlève l’option de me détendre comme il faut ou… Si tenté que tu saches encore me détendre... J’hausse les épaules et garde mon casque sous le bras. Pas vraiment un défi mais… un peu je crois. Cela fait bien longtemps qu’on a pas passé du temps ensemble. Et je suis sûre qu’il est capable de me dire qu’il sait toujours se servir de ses dix doigts ou bien même qu’il s’est entraîné pendant mon absence. Ces pensées, elles m’arrachent un sourire et quand je le regarde s’étirer, je lance Toi aussi, semblerait que t’ai besoin d’être détendu. Et moi, je ne baisse pas ma voix, je ne cherche pas à garder cela entre nous. Je pose mon casque à côté du sien et m’étire doucement. J’ai gagné en souplesse en plus... Je mordille légèrement ma lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire et quand je vois ce sourire sur son visage, je lance Arrête de me regarder comme ça tu veux. Si j’ai été gentille sur le karting, je n’hésiterais pas à te plaquer au sol pour te montrer qui est la plus forte. La guerre des égos, acte 2 scène 1.

@ Invité

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Dim 28 Mar - 18:38
La chance du débutant, ça le connaît à Adrian et preuve en est aujourd’hui. On peut dire qu’il a souvent été chanceux aux jeux. Et une fois de plus, la chance lui souriait quand bien même il était en train de vexer Elizabeth, au point qu’elle lui propose un dernier tour. Mais il aurait presque envie de ne pas accepter histoire qu’elle ne se vexe pas. Mais il accepte. Il aurait presque envie de ralentir pour qu’elle puisse gagner, mais il se dit que si jamais il fait ça, elle va le chambrer pendant longtemps et ça finira par le gonfler et l’agacer au plus haut point. Quand bien même Adrian est bon perdant, il n’avait pas envie de perdre contre elle. Et le voilà qu’il passe la ligne d’arrivée avant elle, il est fier comme un coq Adrian, il sait bien qu’il a déclenché la guerre à l’instant où il a passé la ligne d’arrivée mais il s’en fiche. C’est le jeu, qu’il va lui répondre. Il a tout de même envie d’aller au bar à eau et il est content de devoir cuisiner pour elle. « Parfait ! » Il veut lui cuisiner quelque chose, lui prouver qu’il est encore aussi doué qu’avant dans la cuisine et dans un autre domaine comme lui prouvent le murmure qu’il lui fait à l’oreille, il explose de rire à sa remarque avant de se calmer en pinçant ses lèvres « C’est comme faire du vélo, ça ne s’oublie pas ses choses là. » Il se souvient exactement de ce dont elle a besoin pour se détendre et ce qu’il doit faire pour la détendre. Il se pince la lèvre et la regarde avec un sourire en coin « Ah mais je ne dis pas le contraire. » Il sent les regards sur eux et s’en fiche, parce qu’il aime bien faire parler Adrian, il espère juste que les mecs qui sont dans le coin n’importuneront pas Elizabeth par la suite. Il la regarde en ouvrant la bouche, parce qu’elle lui coupe le sifflet et il ne sait pas quoi dire, pour une fois, il ne dit rien et il ne sait pas quoi dire. Il dépose son casque et s’éloigne un peu, et il lève les bras pour s’étirer encore avant de revenir près d’Elizabeth « Tu peux toujours me montrer ta souplesse dans les vestiaires. » Et il ouvre le haut de sa combinaison pour arrêter d’être trop serré avant de regarder les collègues de Liz et la regarder pour finir par s’éloigner avec elle « On va manger un bout après ? Où tu m’abandonnes, seul… à ma peine ? » demande t-il avant de remettre une mèche de cheveux sauvage derrière son oreille et que ses doigts s’attardent sur la clavicule de la brune avant qu’il ne se recule « On va se changer ? » s’enquiert-il avec innocence au creux de son oreille, sans vraiment préciser qu’ils aillent chacun dans un vestiaire. Parce qu’après tout, il a bien envie de s’amuser Adrian.

@ Invité

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Lun 29 Mar - 20:00
Mauvaise perdante ? Face aux dix-neuf meilleurs coureurs du monde oui, non. Face à Adrian et sa chance du débutant ? Clairement. Je n’arrive pas à croire qu’il me passe devant autant de fois. Et bien entendu, lorsque je gagne, je me sens pousser des ailes. Non, au lieu de rester sur cette victoire - d’un tour donc défaite générale - je préfère qu’on se lance dans un dernier tour de circuit. Et j’aurais mieux fait de me casser une jambe. Parce que, sans surprise, je finis derrière lui une nouvelle fois. J’ai vraiment l’impression que le monde est contre moi et ça me rend folle ainsi que désagréable. Je peste intérieurement et le bonheur sur le visage d’Adrian ne me fait même pas plaisir. Peut-être dans quelques minutes lorsque la colère sera descendue. Mais pour le moment, on redéfinit les règles du pari - aucune logique me diriez vous mais si ça ne nous gêne pas, c’est le plus important. J’attends de voir ça alors. Que je lui réponds, soutenant son regard. Oh, il ne va pas me prendre de court le petit. Hors de question. Il a déjà bien trop pris aujourd’hui et j’ai besoin de recevoir un peu. Un petit confident boost en quelque sorte. Et je n’hésite pas à ajouter une couche de plus. Son absence de réaction, la lueur dans ses yeux montrent que j’ai réussi l’impensable : lui clouer le bec et le prendre de court et ça, ça me motive encore plus, je dois bien l’avouer. Je pourrais oui. Que je finis par souffler, attrapant mon casque avant de me diriger vers ces dernières. Mes yeux suivent sa main et je sens une légère arythmie. Il me faut quelques secondes pour revenir à ce moment précis. Je n’oserais pas être si cruelle… On peut aller manger un bout, tu choisis, j’invite. Je viens de perdre la course alors c’est ma manière de dire félicitations, en quelque sorte. Sa main sur son épaule, son corps qui se penche sur moi, je souris largement et remonte la fermeture de sa combinaison. J’ai toujours rêvé de déshabiller un homme dans l’une de ses tenues. Et le problème de la combinaison c’est qu’elle moule toutes les parties du corps. Et si moi, c’est ma poitrine que l’on imagine - pas vraiment - sous le tissu, lui c’est un peu plus bas que ça se passe et que le tissu risque de se tendre. Je pense même qu’on a tellement transpiré dans cette folle course qu’il va falloir prendre une douche. Mes yeux dans les siens. Il nous aura fallu une vingtaine de minutes pour passer de “mon dieu j’appréhende” à “et si on reprenait - presque - de là où on a arrêté”. J’attrape son casque et vais le déposer - ainsi que le mien - sur le comptoir à l’entrée. C’est l’heure de la pause, non ? Que je demande à l’équipe avec un large sourire. Je suis une habituée mais ce comportement est bien différent pour moi. Rapidement, ils déguerpissent et je retourne vers Adrian. On en était où déjà ? Je souffle ses mots en le plaquant doucement contre les casiers dont il était proche. Mes lèvres très proches des siennes, mon regard dans le sien, je souffle On allait se changer… Je ne quitte pas son regard et mes mains se posent sur chacune de ses épaules Et prendre une douche. Enfin, arrête moi si je me trompe. Que je souffle doucement, mes yeux quittant les siens pour se poser sur ses lèvres et sur sa barbe. Bon sang que j’en ai envie mais je lui laisse le choix de refuser, je serai frustrée mais pas vexée.

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Lun 5 Avr - 21:49
Force est de constater que peu de choses ont changés entre Adrian Dawkins et Elizabeth Haas depuis qu'ils se sont séparés. Cette attraction qui les anime émane dans tout l'endroit et Adrian est plutôt heureux pour le coup. Son regard dans celui de Liz, il ne détourne pas le regard, il reste là, son regard sombre qui se plonge dans celui noisette de la brune. Le brun écoute Liz qui parle, et il se retient de lui appuyer ses propos. Il aimerait se départir de sa combinaison mais il y a trop de monde et puis, il ne sait pas comment elle le prendrait. Son estomac est en corrélation avec son esprit puisqu'il est heureux. Heureux de se dire qu'ils vont bientôt aller se nourrir. Parce que c'est un estomac sur pattes Adrian, encore quelque chose qui n'a pas changé. « Pizza. » déclare t-il, solennellement. Une main sur son estomac. Le regard d'Adrian qui se penche sur la main de Liz qui remonte sa fermeture, il dépose une main sur celle de la brune, avant de la retirer subitement quand il parle de déshabillage. Le rythme cardiaque qui s'accélère, un sourcil qui se hausse quand elle la regarde. Une fois de plus son regard se plonge dans celui de Liz et il opine du chef, une douche. C'est une bonne idée. « Ah, je valide pour une douche. Mais seulement si c'est avec toi. » explique t-il avant de la voir s'éloigner. Il se mord la lèvre en la regardant partir, et se perd dans ses pensées un instant jusqu'à ce qu'elle revienne. Là, si proche. Mais elle pourrait être plus proche. Il le sait Adrian. « Hmm.. » il fait mine de réfléchir alors que son sourire s'agrandit, sourire en coin qui ne cesse de devenir plus grand quand elle se rapproche, sa langue qu'il passe sur ses lèvres et il hoche positivement la tête en souriant « Oui, une douche. C'est bien ça. » prononce t-il, d'une voix a moitié étouffée. Un raclement de gorge qui brise le silence, Adrian saisit son visage en coupe, avant d'écraser ses lèvres contre celle d'Eli. C'est presque irréel, ce baiser est rempli de sentiments contradictoires, alors que les mains d'Adrian se colle dans le dos de la pilote pour la coller contre lui. Elle a ce pouvoir sur lui qui n'est pas parti, et qui ne partira certainement jamais. Il s'écarte un peu d'elle, ses lèvres qui glissent le long de sa mâchoire puis de son épaule avant qu'il ne fasse glisser la fermeture de sa combinaison, lentement, précautionneusement, son regard qui se plante dans celui de Liz, comme pour avoir son approbation, comme pour savoir, pour voir si elle n'a pas changé d'avis.

@ Invité

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Mer 7 Avr - 17:25
Malgré les blessures, malgré le temps passé, voir que les choses n’ont pas tant changé que cela avec Adrian me fait un bien fou et me rend vraiment heureuse, je ne peux pas le nier. Si on s’est séparé, ce n’est pas par manque de sentiments, manque d’amour ou de passion mais bien parce que ce n’était pas le bon moment. Et le retrouver là, à quelques semaines de la saison me fait relativiser légèrement. Y a pas de panneau dans lequel ne pas tomber mais je sais que ce moment me fera tout remettre en question lorsque j’aurai mes fesses dans l’avion en direction de Bahreïn. Mais je crois que je suis prête pour cela, pour manger les conséquences de mes actes et de l’attraction qui nous lie toujours, des années plus tard, des années sans se voir. Le repas de choix... Que je souffle en souriant légèrement. Rien de plus simple et je crois que c’est clairement ce dont on a besoin tous les deux, de simplicité. De manger une pizza, de rire, de faire la course, de se défier pour profiter. Je sais bien que la prochaine fois que je viendrais, tout le staff du karting me posera mille et unes questions, je ne me gêne pas pour les congédier. Je sais que l’endroit n’est pas ouvert au public pour le moment et s’ils sont là, c’est pour nous. Mais nous n’avons clairement pas besoin d’eux pour prendre une douche, loin de là même. Ça ne sera que plus agréable si la voie est complètement libre. Et elle l’est rapidement. Mon corps proche de celui d’Adrian, un sourire en coin sur le visage et lorsque sa langue glisse sur ses lèvres, je soupire doucement, pinçant mes lèvres et souffle Arrête donc ça tu veux. Parce que ce n’est pas trois fois sûr que je sois capable de me contenir s’il continue ainsi. Je sais bien que nos plans ne sont clairement pas faits pour qu’on se contienne mais un minimum quand même. Ses lèvres contre les miennes, j’ai l’impression de faire un bond en arrière mais en ayant vécu ces cinq années loin l’un de l’autre. Un retour dans le passé mais en étant nous même, ces personnes que nous sommes au présent. Les yeux fermés, mes nerfs réagissent à chacun de ses baisers sur ma peau. Et c’est lorsque je ne sens plus ses lèvres sur ma peau que je rouvre les yeux. La palpitant qui déraille, le corps qui en redemande, mes mains se glissent dans les cheveux d’Adrian et je souffle Il y a des tas de caméras ici... Et je sais bien que personne ne regardera les enregistrements mais bon, si je pouvais éviter de me faire filmer en train d’embrasser - et plus - Adrian, ça m’arrangerait. Ma main droite quitte ses cheveux et se glisse dans la sienne. Je fais quelques pas en direction des vestiaires et à deux pas d’entrer dedans, je me tourne pour le regarder. Je plonge mon regard dans le sien et souffle Toujours partant ? Je le suis mais je ne t’en voudrais pas si…. S’il change d’avis, s’il préfère aller se doucher tout seul, s’il pense que c’est trop dangereux, s’il ne veut pas renouer avec celle qui lui a dit non quand il avait un genou à terre. On ira toujours manger une pizza. Parce que la bouffe, c’est sacré et que je ne peux pas lui en vouloir. Sa peau sur la mienne, l’eau qui coule sur nos corps, j’en ai envie mais rien contre son accord. Au pire, ce sera les yeux fermés que je vivrais ce petit fantasme, que je vivrais ces moments qui ont fait partie de notre quotidien pendant quelque temps. On fonce ou on s’arrête ? Tant qu’on est sur la même longueur d’onde, ça me va. Mes yeux le déshabillent et je m’arrête quand je retrouve son visage. Ce n’est pas un animal, tu peux te contenir Elizabeth. Tu peux le faire.

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Sam 17 Avr - 22:34
Elizabeth aura été et sera toujours celle pour qui Adrian aurait tout donné, en dehors de sa soeur et de sa défunte mère. Il lui aurait donné tout ce qu’elle désirait si c’était ce qu’elle voulait mais visiblement, une demande en mariage n’avait pas été quelque chose qu’elle souhaitait, à l’époque. Mais Le Brun doit bien constater qu’elle a toujours ce pouvoir d’attraction sur lui, que quoiqu’elle fasse, malgré les années, il sera toujours autant attiré par elle. Et tout ceci est indéniable. « Repas de choix, ou repas de la flemme. » rétorque t-il presque du tac au tac. Mais il se fichait bien du repas qu’ils allaient partagés tant qu’il était avec elle et qu’ils finissaient la soirée ensemble. Ça aurait pu être un sandwich au beurre de cacahuète ou même à la confiture, il n’en aurait rien eu à faire parce qu’elle était près de lui. Quand elle s’éloigne, il sait que c’est pour la bonne cause et il est plutôt heureux qu’elle le fasse plutôt qu’ils en restent là et que la tension ne cesse d’augmenter encore et toujours jusqu’à atteindre son paroxysme. Un visage innocent se dresse sur son visage quand elle lui demande d’arrêter. Il fait mine de ne pas comprendre avant de sourire. Parce qu’il a bien compris et il sait pertinemment ce qu’il peut faire pour la rendre folle. Et il s’amuse à le faire Adrian, parce que bon, ça fait longtemps. Puis il ne se l’avouait pas entièrement mais elle lui avait manqué. Réellement. Il ne veut pas revenir en arrière, pas même quand elle lui parle des caméras qui se trouvent au dessus d’eux, à les espionner presque contre leur gré. Il la regarde, continue de la sonder et automatiquement, quand elle glisse sa main tout contre la sienne, il entrelace leurs doigts, c’est un automatisme flagrant dont il fait preuve, signe qu’il n’est pas entièrement guéri de leur cinq ans de séparation. Il voit bien qu’elle veut ben faire, qu’elle ne veut pas qu’il se sente forcer et il ne l’est en rien. Ils sont deux adultes consentants, qui sont à deux doigts de se retrouver comme ils ne l’ont pas fait depuis longtemps et Adrian sent son coeur qui bat dans ses tempes, il sent son bas-ventre qui le démange. Il sait pertinemment que la finalité de l’histoire de cette journée, c’est avec qui l’écrira. Pas avec une autre femme, avec elle, celle qui aurait dû être sa femme si tant est qu’elle eut dit oui. « Arrête. » prononce t-il simplement avant de la regarder bordel qu’elle est belle se murmure t-il à lui même. « Après, la pizza. » Et il l’attire dans les vestiaires, là où les caméras sont inexistantes. Sa main qui l’attire contre lui alors que ses lèvres flirtent tout contre son cou, sa mâchoire, son épaule. Puis sa main dézippe la combinaison qu’elle porte tandis que ses lèvres s’attardent sur son buste, juste à la naissance de sa poitrine. Doucement, il la colle contre le mur adjacent à la porte d’entrée du vestiaire qu’il verrouille, sa main qui termine de dézipper sa combinaison et d’une voix rauque il lui murmure au creux de l’oreille « Je croyais que ton rêve c’était de déshabiller un homme dans l’une de ses tenues. » Il attrape alors l’une de ses mains pour la guider, jusqu’à la fermeture éclair « Réalise ton rêve, sinon c’est moi qui me déshabille, et si on attend encore, je pense que je vais avoir du mal. »

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Dim 18 Avr - 22:47
Mes yeux dans ceux d’Adrian, il pourrait me dire tout ce qu’il veut que je dirais oui. Enfin, presque. Nous avons bien vu que cela n’est pas vrai il y a des années de cela. Et l’idée de manger des pizzas - à la pizzeria ou à la maison - m’enchante déjà. Pas pour la nourriture - et Dieu seul sait à quel point j’aime la bouffe - mais aussi parce que ça va être un moment simple et c’est tout ce que j’aime. Je ne suis pas de celles qui aime les grands restaurants, devoir se mettre sur leur trente et un et tout ce qui va avec. Je ne vis pas pour me faire voir et me faire regarder mais bien pour vivre de beaux moments. C’est la compagnie qui prime avant tout le reste et je sais qu’avec Adrian, je vais forcément passer un moment de qualité ; un moment empli de rire et de blagues pourries qui me feront chavirer. Je le sais. S’il y a plusieurs années, j’ai refusé la demande du jeune homme, ce n’était pas de gaieté de coeur. Ce n’était pas le bon moment ni pour l’un, ni pour l’autre et j’ai fait un choix des plus égoïstes. Cependant, je ne regrette pas réellement mon choix parce que je doute que nous serions l’un en face de l’autre aujourd’hui si nous avions sauté dans cette union. Peut-être que l’on s’est sauvé l’un et l’autre. Je n’en sais trop rien. En tout cas, ce soir, je ne veux pas penser à cela. Je veux simplement profiter de l’instant présent. Vivre dans le passé ne sert à rien et bon sang que le présent est agréable, surtout quand il a ses yeux sur moi. Ma combinaison pourrait presque s’enflammer d'elle-même. Et quand il mordille sa lèvre, j’ai l’impression que c’est moi qui m’enflamme. Dieu que j’aimerais rester là jusqu’à la fin des temps mais ça n’est pas possible. Chez lui comme chez moi, ça titille de partout et ce petit tour en kart - cette défaite cuisante - a bien chauffé les troupes. Et dans le vestiaire, mon corps contre le sien, ses lèvres qui se baladent sur ma peau, je souris doucement, glissant mes mains dans ses cheveux, profitant du moment. Mon dos contre le mur, je cherche son regard et Dieu que ça m’échauffe encore un peu plus. C’est gentil de te dévouer quand même... Que je souffle alors que ma main fait doucement glisser la fermeture. Psht ! Pas touche. Que je rajoute rapidement, enlevant sa main de la mienne. C’est mon fantasme. Pas le tien. Je l’embrasse du bout des lèvres et souffle J’attendais juste la bonne personne avec qui le réaliser. Parce qu’on ne va pas se voiler la face, j’aurais pu le réaliser bien des fois. Dix-neuf fois précisément. Moins tous les hommes en couple ou mariés. Bon, pas tant que ça finalement, mais ça aurait pu arriver. Même avec ceux en Formule Deux, Trois ou Quatre. Il aurait pu s’en passer des choses mais non. Et la zipette entre l’index et le pouce, je la fais descendre doucement, juste pour le faire patienter et le voir trépigner d’impatience de la sorte. La fermeture ouverte totalement, mes mains près de ses parties, je glisse mes yeux dans le bleu des siens et je souris. Oh, si tu penses que ça va être si rapide, tu rêves. Mes mains remontent le long de son torse, sur le tshirt qu’il porte et je passe ces dernières sur ses pectoraux avant de finir sur ses épaules puis ses bras, emportant le tissu dans le mouvement. Et lorsque j’arrive aux poignets et plus précisément à ses mains, j’entrelace mes doigts avec les siens. Mes lèvres trouvent les siennes pour un baiser plein de tendresse rapidement transformé en baiser fougueux. On est dans le vestiaires des hommes, mon sac est dans l’autre pièce. Ce qui veut dire que je n’ai rien pour nous protéger. Je souffle ces mots alors que mes mains quittent les siennes et se glissent entre le tissu de la combinaison et ses fesses. Elles aussi, elles m’ont manqué. Dis moi que t’as toujours ce qu’il faut avec toi. Que je soupire contre ses lèvres en continuant de faire glisser la combinaison, embrassant ses lèvres par intermittence. Prête à taper mon meilleur sprint s’il le faut. Un dernier effort avant de filer sous la douche et d’en faire un autre tout aussi différent mais que j’attends encore plus. Le corps à bout, la peau qui brûle - et celle de la poitrine tendue - réceptive à chacun de ses baisers, de ses regards, de ses touchers. Prête à passer à la vitesse supérieure alors que le tissu tombe à ses chevilles. Bordel de merde. Cet homme. Le seul que j’ai aimé. Et celui que je n’ai jamais été capable d’oublier. T'es... Beau, magnifique, parfait. Ton corps m'avait manqué, tes mains aussi. Et tes yeux, j'en rêve encore au milieu de la nuit, quand je n'arrive pas à trouver le sommeil. Et je suis pendue à tes lèvres, à tes gestes, j'en redemande et j'ai hâte de te retrouver de cette manière aussi. Voilà ce que j'ai envie de lui dire mais rien ne sort réellement. Le souffle saccadé, mes mains qui profitent de son corps, le moment suspendu... Le rêve, en quelque sorte.

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Mar 20 Avr - 19:14

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