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long time no see does not mean i didn't miss you (adrian)

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Mer 21 Avr - 19:28

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Mar 27 Avr - 13:14

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Il est satisfait Adrian. Le coeur bat trop vite, la respiration est bien trop rapide, mais il est content. Ses lèvres qui se déposent sur celles d’Elizabeth une dernière fois, avant de s’éloigner et de se faire du préservatif qu’il balance dans la poubelle, avant de revenir près d’elle, alors qu’elle est de dos, ses lèvres qui se déposent contre sa nuque, et il lui murmure au creux de l’oreille « Je suis à deux doigts de te proposer de venir chez moi pour un autre round. » Et il s’éloigne avant de se rendre compte qu’il a été con et qu’il n’a pas de serviette. Putain. Il tente de se rhabiller, c’est un indicible fléau mais il parvient tant bien que mal. Sa ceinture qu’il boucle avant de le regarder « J’étais sérieux, tu viens chez moi ? Bon, il paraît que je te dois une pizza… » Mais est-ce que tout ce qu’il s’était dit avant compter toujours ? Peut-être, peut-être pas, mais tout ce qu’il savait Le Brun c’est qu’il n’avait absolument pas envie d’en rester là.

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Mer 28 Avr - 1:42


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Ma main contre le carrelage de la douche, je ferme les yeux lorsque je sens les lèvres d’Adrian sur ma nuque. J’attrape ses mains et les place autour de mon ventre. Seulement à deux doigts ? C’est triste. Que je souffle en le laissant filer. Et si lui se sent con de renfiler ses vêtements sans être séché, je le suis encore plus, complètement nue et mes habits dans le second vestiaire. Mes yeux dans les siens, mon corps complètement nu, je souffle C’est moi qui invite. Que je lui rappelle avant d’embrasser ses lèvres. Je pourrais recommencer le second round tout de suite mais je suis sûre qu’on aurait un problème ; les hommes ont besoin d’un peu de temps pour que tout le mécanisme fonctionne à nouveau. Par contre… Mon sac et mes affaires sont dans l’autre vestiaire… Et même si je suis sûre que personne ne sera là… Tu peux aller me chercher mes affaires ? Je ne suis pas pudique mais il y a des limites. Si je pouvais éviter de me retrouver toute nue sur les caméras du karting, ce serait vraiment sympa. Oh. Au fait... Que je souffle en attachant mes cheveux en un chignon - pire que dégoulinant. J’accepte volontièrement ton invitation à venir chez toi. Pas besoin de manger à la pizzeria. Et celle pour un autre round aussi. Les choses sont claires au moins comme ça. Le trajet jusqu’à chez lui risque d’être un peu long, chacun dans sa voiture, mais c’est pour mieux se retrouver. Mon regard sur lui, je frissonne légèrement et souffle Par contre, si tu veux que ça arrive, il va falloir que tu arrêtes de me regarder de la sorte... Parce qu’on ne va jamais bouger sinon ! Et je commence à avoir froid… Je ne dis pas que c’est lui qui va me sauter dessus - ses yeux sur moi me font craquer un peu plus - mais là, il faut se contrôler, enfiler son jeans sans petite culotte, monter sur Miranda Heights et profiter de la vue et de la vie aussi. Et avec Adrian, j’ai sacrément envie de profiter.

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Sam 8 Mai - 19:18
Deux entités qui ne font plus qu’une. Deux âmes qui se retrouvent après avoir été séparées si longtemps. Le silence des vestiaires, le souffle court et rapide. Deux corps qui s’enlacent pour finir par s’éloigner, après un dernier soupir, après un dernier geste charnel. Adrian voudrait l’entendre encore et encore, Adrian voudrait lui faire comprendre ce désir qu’il ressent pour elle, malgré les années qui ont finit par passer, de l’eau à couler sous les ponts, Adrian en a rencontré des filles, mais jamais aucune n’a eu tant de pouvoirs qu’Elizabeth a eu sur lui. Elizabeth avait cette place spéciale dans le coeur du brun, une place qu’aucune autre n’avait pu prendre, qu’aucune autre ne prendra. Parce qu’Elizabeth était et restera pour toujours sa plus belle histoire, celle qui lui a retourné le coeur, celle qui lui a fait exploser le coeur en mille morceaux. Véhémence de ce désir qui les lie tout les deux, Adrian sait au moment où il s’éloigne d’elle, qu’ils n’en resteront pas là. C’était trop beau, trop intense pour que ça reste ainsi. Peut-être qu’il devrait, peut-être qu’ils devraient en rester là pour rester sur un souvenir charnel, un souvenir unique. Mais le barista n’en a pas envie, le barista ne veut pas rester sur ce moment, il veut l’aimer, réapprendre à la connaître, ici, dans sa chambre, dans son salon, contre le pas de sa porte. Il veut réapprendre à la connaître partout et nul part à la fois. Ses sourcils qu’il hausse quand il l’entend faire des sous-entendus « Je peux en utiliser trois si tu veux. » prononce t-il avec légèreté, ses épaules qu’il hausse avant de passer une main dans ses cheveux. Et il sourit en embrassant le bout de son nez face à l’invitation « Ah! Parfait » Il aime bien se faire inviter Adrian, mais il sait pertinemment qu’il la remerciera à sa façon, comme à chaque fois. Une main qu’il passe dans ses cheveux pour ne plus ressembler à un chien qui vient de se prendre une averse, il la regarde quand elle parle de problème. Non, il n’y a pas de problèmes qu’il sache. Il rit un peu et opine du chef « Oui j’y vais ! » valide t-il avant de vérifier qu’il a bien tout le contenu de ses poche, habitude tenace de vérification. Alors qu’il se dirigeait vers la porte pour sortir, il se tourne vers elle pour l’écouter. Un sourire goguenard qui prend place sur ses lèvres, il ne peut s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure en la regardant, ravi d’imaginer ce qu’il pourrait se passer quand ils seront chez lui. Parce qu’il sait a peu près ce qu’il risque de se passer et les pizzas risqueront d’être froide, mais il s’en fiche un peu tant qu’il peut encore et encore la retrouver, comme avant, sans les défauts en moins. Il rit un peu à sa remarque avant d’hausser les épaules de façon innocente et une nouvelle main dans ses cheveux, il s’éloigne d’elle un temps, le temps de récupérer ses affaires, il vérifie qu’il n’a rien oublier et revient en lui tendant ses biens. « Je t’aurais presque dit de reprendre la voiture comme ça, en vérité. » dit-il, amusé, tout en se rapprochant d’elle pour lui murmurer au creux de l’oreille « Ça m’amuse de savoir l’effet que je te fais. » explique t-il en embrassant son épaule avant de se reculer, toujours avec un air enjoué. « Mais tu dois te douter que tu as le même effet sur moi, depuis toujours. Au moins quelque chose qui n’a pas changé avec le temps qui passe. » conclut-il en déposant rapidement ses lèvres contre celle de la brune, avant de s’éloigner pour enfin la laisser se rhabiller, ses yeux qui ne peuvent s’empêcher de la détailler une nouvelle fois, mais certainement pas la dernière.

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Dim 9 Mai - 23:09
Je ne m’attendais pas à ce déroulement d’après-midi. Clairement pas. Et je me demande si lui avait tout ça en tête. Nous deux, dans les vestiaires à s’adonner à des plaisirs charnels, à un pan de notre relation que nous avons mis de côté il y a un bon moment déjà. Je n’en sais rien et je lui poserai probablement la question plus tard, si l’envie me prend. Parce que pour le moment, la seule envie que j’ai est de ne faire qu’un avec lui, de l’embrasser et de revivre ces moments autrement que par flash, dans mon esprit. Je ne suis pas de celles qui ruminent, qui rejouent l’histoire en changeant un petit élément pour voir ce que ça aurait pu donner en temps normal. Mais avec Adrian, cela me tente plus que je ne pourrai l’admettre. Juste voir. Mais ce n’est pas le passé qui va m’aider mais bien le présent - dans lequel je me perds - et le futur. Je ne sais pas de quoi il sera fait mais je sais que tant qu’il est dedans, tout ira bien. Oh tu sais me parler toi. Que je réponds du tac au tac, accompagnant mes mots d’un sourire et sentant clairement mes joues rougir quand ses lèvres se posent sur le bout de mon nez. Cette sensation, ce battement d’ailes dans le ventre m’avait manqué. Depuis que nos regards se sont quittés le jour où notre histoire s’est terminée, je ne l’ai plus jamais ressenti. C’est étrange mais tellement agréable. Et je sais que, malgré les années, Adrian a toujours cet effet complètement fou sur ma personne. C’est déstabilisant mais rassurant. Il y a des choses qui n’ont pas changé et ce n’est pas par manque d’amour et de sentiments que notre histoire a pris fin, ce qui est encore plus décevant. Les mots sortent plus vite que je ne le voudrais, je ne peux le nier, mais la sincérité avec laquelle ils sont prononcés ne me les font pas regretter. Il peut avoir tous les rounds qu’il veut, je ne vais pas mettre tout cela sur pause parce que j’en ai autant envie que lui, si ce n’est plus. Mon corps tout entier le crie et l’appelle mais il va falloir se contenir et se comporter comme des êtres humains avant de se sauter à nouveau dessus. Je me demande si les fois prochaines seront différentes de celle-ci. Là, c’est clairement le manque qui a dominé la chose, la force des retrouvailles, de voir que tout va toujours aussi bien. Tout ça quoi. Mon corps qui ruisselle, mes cheveux trempés qui gouttent, je plante mon regard dans celui d’Adrian lorsqu’il revient. J’attrape mes vêtements et plante mon regard dans le sien quelques secondes. L’envie se lit sur mon visage, sur mes dents qui pincent légèrement ma lèvre inférieure. Ses lèvres sur mon épaule, je souffle Ça t’amuse ? Je ne fais pas dans la comédie Adrian... C’est dit avec un sourire, avec les pommettes rosies par tout ce temps que l’on vient de passer ensemble et l’intensité du moment aussi. Plutôt que de me douter, je préfère le voir. Que je dis en glissant mes yeux sur son entre-jambe après son léger baiser. Ou le sentir. J’enfile mon tshirt, laissant mon soutien gorge sur le banc et regarde mon jean. Ah oui. J’avais pas pensé à ça. Je vais clairement pas pouvoir rester habillée longtemps. Je glousse en enfile le jeans, galérant légèrement parce que le slim me colle littéralement au corps et aux jambes. Vous voyez Ross avec son pantalon en cuir ? C’est un peu le même délire. De très légères gouttes bleus foncées apparaissent sur le jean, goutte d’eau absorbée par la matière et j’enfile rapidement chaussettes et baskets. Je n’ai jamais été la nana super féminine - encore que, qu’est-ce qu’être féminine ? - et l’Américain en a l’habitude, je crois. Mes affaires balancées dans mon sac, je m’approche de lui et enroule mes bras autour de sa nuque. Chacun sa voiture et on se retrouve chez toi ou tu préfères que je te dépose par ici avant de rentrer chez moi plus tard ? Que je demande. Parce que, il a peut-être gagné la partie de karting mais la pilote, c’est moi ! Mes yeux dans les siens, j’attends sa réponse pour qu’on file d’ici et qu’on profite l’un de l’autre dans un autre lieu. En tout cas, la poubelle part avec nous, je ne veux pas infliger ça à mes amis. Alors ? Que je souffle, mon souffle caressant ses lèvres, mes yeux glissants des siens à sa bouche. Bien se tenir, se contenir. Ça ne me connaît pas mais je suis prête à essayer.

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Mer 12 Mai - 23:10

Il ne sait pas comment il va faire pour arriver jusque chez lui, Adrian. Premièrement parce qu’il est trempé et que son jean le colle réellement. Secondement, parce que (presque) tout son corps est tendue et Elizabeth le rend fou. Plus que fou. Et il ne sait décemment pas comment il va faire pour tenir jusque chez lui. Ça lui semble presque impossible sur le moment. Mais il va tenter de le faire, parce qu’il est adulte, parce qu’il peut se tenir et réfléchir avec autre chose qu’avec son entrejambe qui le démange. Et Adrian ça l’amuse de la rendre folle, ça l’amuse de savoir l’effet qu’il a sur elle et il ne se prive pas de le lui dire « Moi non plus darling » rétorque t-il assez rapidement. Il ne peut s’empêcher de rire après que leurs lèvres se soient scellés le temps d’un instant « Oh, tu vas le sentir ne t’en fais pas pour ça. » Et il la regarde, ses doigts qui se balade sur le bras de la brune, son regard qui se plante sur son corps, ses yeux qui se baladent parce qu’il n’en a pas eu assez. Ou parce qu’il en veut encore. Et il regarde son téléphone quand elle parle du temps que ses vêtements resteront sur son dos, il range son téléphone dans sa poche en la regardant « Tant mieux, ce n’était pas au programme. » rétorque t-il tout en la regardant une fois encore. Il ne peut s’empêcher de la regarder quand elle se rapproche, encore et ses bras s’enroule autour de la taille de Liz, ses mains qui squattent impunément dans les poches arrières de son jean pour la coller un peu plus à lui. Il réfléchit un instant, ses mains toujours dans les poches d’Elizabeth et il hausse simplement les épaules « On peut aller dans ta voiture, et tu me redéploies ici quand tu repars. » Et il l’embrasse, ses lèvres qui papillonnent contre la mâchoire avec qu’il ne lui murmure au creux de l’oreille « Ça me permettra de m’amuser encore plus. » conclut-il avant de saisir sa main, la laissant récupérer tout ce qu’elle veut récupérer pour finir par monter dans sa voiture, sa main qui se glisse sur la cuisse d’Elizabeth avant d’attendre qu’elle ne démarre, avant de reprendre la route ensemble, pour un temps. Avant de reprendre un bout de chemin tout les deux, comme avant. Et pour combien de temps ?

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