(wade) 'cause all your tricks are slipping away
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wade lowell
i need help
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@wade lowell 41 ans - gérant d'un club de jazz FEAT : daveed diggs Parmi tous les qualificatifs attribués à Wade sur les bancs de l’école primaire, clown de service et trop bavard sont probablement ceux qui se sont avérés les plus vrais jusqu’à la quarantaine. Immature, bien trop rigolo pour que ça ne cache rien et habité d’une passion débordante, vous le trouverez le plus souvent le sourire aux lèvres, dégageant une impression de confiance en lui dont seules ses plus proches fréquentations savent qu’elle n’est que feinte. En réalité, Wade ne croit en personne et surtout pas en lui-même. Et pour cause : il a magistralement foiré tout ce qu’il a un jour entrepris, de ses amitiés à sa tentative d’aller au community college, en passant par son mariage et, aujourd’hui, son club de jazz qu’il observe couler petit à petit sans trouver la formule qui le sauvera… | QUICK AND DIRTY Nationalité : américainEthnie/origines : juif du côté de sa mère, afro-américain Orientation : il vous dirait hétéro, dans les faits il n'y a jamais vraiment réfléchi. Situation : divorcé depuis deux ans, aimerait beaucoup refaire sa vie mais son divorce un peu bordélique a laissé des stigmates un peu trop profonds pour qu'il y soit vraiment prêt. Occupation : gérant d'un club de jazz qui coule lentement mais non moins sûrement, dans le déni le plus total de Wade. Quartier : Harlem and what else ? Qualités : doux, attachant, drôle, intéressant, attentif, empathique.Défauts : bordélique, immature, procrastinateur. Passions : la musique, la lecture, la planification de projets dans le vent Communautés : saberist academy, the outpost, meow parlour, scarlett casino |
that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
[cw: divorce, anxiety, peur de l'échec]
« We need to talk. » Stupide phrase, aux accents stupides, aux conséquences stupides, au sens encore plus stupide. We need to talk, of course we do, chaque foutu être humain sur cette planète a besoin de s’exprimer, Lauren, c’est pas nouveau, tu n’as pas le monopole de la parole, Lauren, tu n’es pas spéciale, Lauren. We need to talk. Pour parler, elle avait parlé. Et elle s’était rendue parfaitement claire. Aucun doute sur la question : en une demi-heure de conversation – soit dit en passant plus ou moins monopolisée, notre pauvre Wade n’ayant que peu d’arguments jouant en sa faveur qui n’aient pas été préalablement démontés par cette chère Lauren -, dix-huit ans de mariage étaient passés par la fenêtre. Vingt ans d’amour, sans prévenir, pouf, gone.
En visualisant la situation du côté de Wade, on aurait vite fait de le plaindre. Et d’une certaine manière, il n’est pas méchant, il n’a rien fait de mal, n’a blessé personne - du moins pas consciemment -, il mérite bien un peu de compassion. Lauren avait demandé le divorce sans aucun signe avant-coureur, piétinant allégrement tout ce qu’ils avaient vécu et tous les projets en cours. A commencer par le dernier en date, décidé sur le tard, celui d’avoir un enfant. Bref, Lauren l’avait littéralement cloué au sol, mis au pied du mur, brisé le cœur en mille morceaux. Lui qui n’avait jamais vécu seul s’est retrouvé du jour au lendemain livré à lui-même dans un studio ridicule – après avoir passé une dizaine de jours en enfer chez ses parents, bless their heart, mais on ne ressort pas indemne de ce genre d’expérience à trente-huit ans passés. Et on ne peut pas dire que cette histoire lui ait bien réussi. Au contraire.
Cependant, si on se penche sur le point de vue de Lauren, les choses sont assez rapidement remises en perspective. Pour dire les choses simplement, elle avait partagé vingt ans de sa vie avec un adolescent qui n’a jamais évolué. Et c’était attendrissant, au début. Après tout, ils n’étaient que des gosses, quand ils se sont rencontrés. Wade autant qu’elle avaient grandi dans une certaine forme de précarité, le genre qui vous demande de faire taire l’enfant en vous à un âge bien trop jeune. Et là où Lauren avait construit toute sa personne sur la maturité qu’elle y avait gagné, son ex-mari, lui, avait au contraire décidé de s’autoriser tous les enfantillages qui lui passaient par la tête pour compenser. C’était devenu d’autant plus vrai au fil des années, alors que Wade multipliait les tentatives ratées de faire quelque chose d’autre de sa vie que des missions intérim, à commencer par le Community College qu’il s’était vu contraint d’abandonner après s’être planté en beauté dès la première année. Bref, au bout de vingt ans, Wade Lowell avait entrepris beaucoup de choses, n’en avait abouti aucune si ce n’était leur mariage – qui lui non plus n’aurait probablement pas dépassé le stade de projet si Lauren n’avait pas mis les pieds dans le plat -, et vivre avec lui avait fini par lui donner l’impression de partager son lit et son intimité avec un colocataire un peu lourd, certes adorable, drôle et prévenant, mais aussi et surtout complètement paumé.
Bref, toute cette histoire ne nous aura menés qu’à un divorce bordélique, plus subi d’un côté que de l’autre, sans aucun doute. Deux ans et demi plus tard, s’il aimerait vous dire le contraire, Wade ne s’en est pas totalement remis. A vrai dire, il avait jusqu’alors vécu sans trop se poser de questions, sans non plus réaliser ses galères, se contentant de se dire que les choses étaient telles quelles étaient et qu’il n’y changerait de toute évidence pas grand-chose. Depuis lors, cependant, c’est toute sa vie qu’il a remis en question. Epris d’un sentiment d’oppression intense, il a commencé par claquer toutes ses économies dans un long voyage autour du monde. Et si de bien des manières il y a débuté une reconstruction nécessaire, la sensation grisante d’être seul maître à bord n’aura fait qu’accentuer les petits détails qui l’avaient conduit à faire ce voyage. A une exception près : il aura trouvé la force nécessaire pour mener un projet à bien. En entier. De la formation nécessaire à la location d’une surface commerciale jusqu’aux petits détails, Wade a mis sa force et son courage de côté et a ouvert un club de jazz, une de ses nouvelles passions dévorantes.
Mais chassez le naturel et il revient au galop. Six mois après l’ouverture de son club, en plein cœur de Harlem, je pense qu’il est honnête de dire que rien ne va. Si Wade se voile encore un peu la face, persuadé qu’il ne s’agit là que des galères de tout business débutant, il ne peut ignorer les chiffres qui, loin de grimper malgré une fréquentation correcte des lieux, auraient plutôt tendance à tout juste suffire à rentrer dans ses frais. A deux doigts de devoir rendre son appartement et s’aménager une chambre dans son bureau, il serait temps pour Wade d’ouvrir les yeux et surtout de grandir un peu s’il souhaite prouver qu’il n’est pas si immature et irresponsable que ce qu’on dit.
[cw: divorce, anxiety, peur de l'échec]
« We need to talk. » Stupide phrase, aux accents stupides, aux conséquences stupides, au sens encore plus stupide. We need to talk, of course we do, chaque foutu être humain sur cette planète a besoin de s’exprimer, Lauren, c’est pas nouveau, tu n’as pas le monopole de la parole, Lauren, tu n’es pas spéciale, Lauren. We need to talk. Pour parler, elle avait parlé. Et elle s’était rendue parfaitement claire. Aucun doute sur la question : en une demi-heure de conversation – soit dit en passant plus ou moins monopolisée, notre pauvre Wade n’ayant que peu d’arguments jouant en sa faveur qui n’aient pas été préalablement démontés par cette chère Lauren -, dix-huit ans de mariage étaient passés par la fenêtre. Vingt ans d’amour, sans prévenir, pouf, gone.
En visualisant la situation du côté de Wade, on aurait vite fait de le plaindre. Et d’une certaine manière, il n’est pas méchant, il n’a rien fait de mal, n’a blessé personne - du moins pas consciemment -, il mérite bien un peu de compassion. Lauren avait demandé le divorce sans aucun signe avant-coureur, piétinant allégrement tout ce qu’ils avaient vécu et tous les projets en cours. A commencer par le dernier en date, décidé sur le tard, celui d’avoir un enfant. Bref, Lauren l’avait littéralement cloué au sol, mis au pied du mur, brisé le cœur en mille morceaux. Lui qui n’avait jamais vécu seul s’est retrouvé du jour au lendemain livré à lui-même dans un studio ridicule – après avoir passé une dizaine de jours en enfer chez ses parents, bless their heart, mais on ne ressort pas indemne de ce genre d’expérience à trente-huit ans passés. Et on ne peut pas dire que cette histoire lui ait bien réussi. Au contraire.
Cependant, si on se penche sur le point de vue de Lauren, les choses sont assez rapidement remises en perspective. Pour dire les choses simplement, elle avait partagé vingt ans de sa vie avec un adolescent qui n’a jamais évolué. Et c’était attendrissant, au début. Après tout, ils n’étaient que des gosses, quand ils se sont rencontrés. Wade autant qu’elle avaient grandi dans une certaine forme de précarité, le genre qui vous demande de faire taire l’enfant en vous à un âge bien trop jeune. Et là où Lauren avait construit toute sa personne sur la maturité qu’elle y avait gagné, son ex-mari, lui, avait au contraire décidé de s’autoriser tous les enfantillages qui lui passaient par la tête pour compenser. C’était devenu d’autant plus vrai au fil des années, alors que Wade multipliait les tentatives ratées de faire quelque chose d’autre de sa vie que des missions intérim, à commencer par le Community College qu’il s’était vu contraint d’abandonner après s’être planté en beauté dès la première année. Bref, au bout de vingt ans, Wade Lowell avait entrepris beaucoup de choses, n’en avait abouti aucune si ce n’était leur mariage – qui lui non plus n’aurait probablement pas dépassé le stade de projet si Lauren n’avait pas mis les pieds dans le plat -, et vivre avec lui avait fini par lui donner l’impression de partager son lit et son intimité avec un colocataire un peu lourd, certes adorable, drôle et prévenant, mais aussi et surtout complètement paumé.
Bref, toute cette histoire ne nous aura menés qu’à un divorce bordélique, plus subi d’un côté que de l’autre, sans aucun doute. Deux ans et demi plus tard, s’il aimerait vous dire le contraire, Wade ne s’en est pas totalement remis. A vrai dire, il avait jusqu’alors vécu sans trop se poser de questions, sans non plus réaliser ses galères, se contentant de se dire que les choses étaient telles quelles étaient et qu’il n’y changerait de toute évidence pas grand-chose. Depuis lors, cependant, c’est toute sa vie qu’il a remis en question. Epris d’un sentiment d’oppression intense, il a commencé par claquer toutes ses économies dans un long voyage autour du monde. Et si de bien des manières il y a débuté une reconstruction nécessaire, la sensation grisante d’être seul maître à bord n’aura fait qu’accentuer les petits détails qui l’avaient conduit à faire ce voyage. A une exception près : il aura trouvé la force nécessaire pour mener un projet à bien. En entier. De la formation nécessaire à la location d’une surface commerciale jusqu’aux petits détails, Wade a mis sa force et son courage de côté et a ouvert un club de jazz, une de ses nouvelles passions dévorantes.
Mais chassez le naturel et il revient au galop. Six mois après l’ouverture de son club, en plein cœur de Harlem, je pense qu’il est honnête de dire que rien ne va. Si Wade se voile encore un peu la face, persuadé qu’il ne s’agit là que des galères de tout business débutant, il ne peut ignorer les chiffres qui, loin de grimper malgré une fréquentation correcte des lieux, auraient plutôt tendance à tout juste suffire à rentrer dans ses frais. A deux doigts de devoir rendre son appartement et s’aménager une chambre dans son bureau, il serait temps pour Wade d’ouvrir les yeux et surtout de grandir un peu s’il souhaite prouver qu’il n’est pas si immature et irresponsable que ce qu’on dit.
this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : k-ro
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ? mostly tout ce qui touche au vi*l et à la romantisation de relations abusives/toxiques, la violence de manière générale décrite de façon crue aussi.
Avatar à réserver : Daveed Diggs
Crédit avatar utilisé dans la fiche: nocreativejuiceleft
Souhaitez-vous un mp d'intégration non babe
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ? mostly tout ce qui touche au vi*l et à la romantisation de relations abusives/toxiques, la violence de manière générale décrite de façon crue aussi.
Avatar à réserver : Daveed Diggs
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Souhaitez-vous un mp d'intégration non babe
@ Invité
AT LAAAAAST IL EST LÀ trop hate d'en lire plus et de le voir en rp, ça va être ouf (sidenote j'aime sponsorisé toute une fiche + le profil, does wonder for my ego ) bon courage pour cette nouvelle fiche bb
@ Invité
Oh wow je meurs Ce début de fiche me vend du rêve par cargaisons
Rebienvenue k-ro
Rebienvenue k-ro
@ Invité
Je te souhaite une re-bienvenue avec ce compte ! Amuse toi bien avec celui-ci également !
@ Invité
Salut bg, rererererebienvenue
@ Invité
Merciiii tout le monde
@ Invité
Re bienvenu
@ Invité
Re bienvenue
@ Invité
Waaaaaah, il a l'air trop doux !
Reeeeeeeeeeeeeeee-bienvenuuuuue !
Reeeeeeeeeeeeeeee-bienvenuuuuue !
@ Invité
Rebienvenue chez toi et bonne continuation pour ta fiche
@ Invité
Merci merciiii bon il est temps d'avancer par contre
@ Invité
J'appose ici mon approbation afin que ça soit officiel +++ mais tout le monde aura compris que je suis déjà conquise
@ Lizbeth Walsh
Pseudo : harleen. / marion
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : le week-end, 1 ou 2 la semaine.
Multinicks : uc --
Avatar : olsen. + lunpand (sign.) code/: nocreativejuiceleft gif/: lonelywolfgifs lyrics:/ ellahenderson & tom grennan
Trigger : sexual assault, child abuse.
Warning : /
Age : trente-quatre ans. (20/02)
Nationality : américano-irlandaise
Origins : irlandaise, italienne.
Religion : atheist.
Status : single mom, in a relationship w/ Jasper
Orientation : bisexuelle.
Work : cheffe étoilée @ The Modern in MoMA.
Home adress : brooklyn
Communities : #cours de cuisine du samedi matin
#famille du Dawson circle
#the overkill
#the lift
Summary : Lizbeth est issue d'une famille de trois enfants, une soeur un peu plus âgé et un frère plus jeune qu'elle. La famille s'est étendue avec la fille de Lizbeth âgée de quatre ans, qu'elle a eu alors qu'elle était tout juste séparée du père de la petite. Cheffe étoilée dans le restaurant du Plaza Hotel, elle évolue dans un monde où le machisme est très présent et où elle compte bien remettre à leurs places les hommes qui pensent qu'elle n'a pas sa place dans "leur" cuisine. Très proche de sa famille elle ne supporte cependant pas réellement les crises existentielles de sa mère et la pression que ses parents mettent à son petit frère. Elle tente tant bien que mal de leur faire comprendre qu'il peut bien faire ce qu'il veut, tant qu'il est heureux, elle n'hésite pas à leur dire ce qu'elle pense. Et elle refuse catégoriquement que sa mère puisse garder sa fille de peur qu'elle ne veuille lui offrir une éducation à sa façon et Lizbeth préfère encore que son frère la garde, ou avoir recours à une nounou plutôt que de la laisser à sa mère ou même à son père.
welcome home baben validée avec plaisir
@ Contenu sponsorisé
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