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[flashback] castia ⚜ a million dreams

@ Invité

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Sam 11 Avr - 0:52

Cause every night I lie in bed
The brightest colors fill my head
A million dreams are keeping me awake
I think of what the world could be
A vision of the one I see
A million dreams is all it's gonna take


Le soleil nimbait de ses chauds rayons la ville, embrasant la capitale en cette fin d'après-midi. Un peu à l'écart de celle-ci, se tient cependant une querelle, à l'ombre des murs d'un palace de pierre blanche, à l'ombre des palmiers géants disposés dans la cour. Les ondes se perdent dans le champ des morts. Les mots tombent comme des pierres, coulent à pic dans les eaux tumultueuses qui agitent leur conflit. Le temps défile, lentement, sûrement, depuis bientôt dix minutes. Dix longues minutes où chacun se scrute, s'observe de son regard le plus mesquin, intimidant. Les yeux se plissent, la langue siffle tel un serpent, jetant son venin sans plus de cérémonie, clôturant le débat, stérile depuis son commencement. « Je te préviens.. si j'aperçois encore une seule mèche de tes cheveux dans ce type de rassemblement de.. de.. kelb.. » Quelques mèches venaient contraster sa coiffure de jais au peigne impeccable, épis diffus, enfants de la colère qui grondait en lui. Mais Dahlia n'avait pas dit son dernier mot, intrépide, et l'insolente osa rétorquer sur le même ton : « Kelb ?! Ils les ont insulté, roué de coups certaines des manifestantes ! Ce sont les gens comme toi, qui restent bras croisés bien assis sur leurs privilèges les vrais chiens ! Maman serait d'accord avec moi !! » Elle s'époumonait à présent, hurlant les deniers mots pour couvrir la voix grondante de son père, les yeux révulsés par la rage, le visage rendu écarlate de fureur. La bouche s'ouvre, dévoilant les crocs du diable alors que la main charnue se tend dans les airs. Le tonnerre éclate, et la foudre, suspendue au-dessus de son visage, est prête à tomber, fendre sur elle pour l'écorcher vive ; la calciner. Mais soudain, la providence fait son entrée. Le jugement non rendu, le regard n'en est pour autant pas moins haineux. Seule s'entremêle une lueur qu'elle reconnaît bien malgré elle, fantôme de ses nuits, hantise de ses jours. La douleur, la tristesse ; le manque. Maat, feu sa mère, leur manquait cruellement à tous deux. Et Dahlia, telle une harpie, la ramenait toujours dans leurs conversations, sachant que son père se refusait d'en parler, tentait d'oublier celle qui avait fait partie intégrante de leurs vies ; l'avait rendue meilleure. Les larmes montaient dans ses yeux, lançant pourtant moult éclairs à son patriarche, des lueurs de défi imprégnant ses prunelles. Elle avait dépassé les bornes. Mais il ne lui laissait pas grand choix. Ne plus aller manifester ? Et puis quoi encore ! Elle n'allait pas laisser ses amies risquer leur honneur, leur vie parfois sans les accompagner. Elle n'allait pas rester terrée là, à craindre le regard des hommes et obéir aux ordres d'un autre. Il ne comprenait pas. Ne voulait pas entendre un point de vue différent du sien. Il était si obtus qu'elle se demandait parfois comment sa mère avait réussi à faire pour s'octroyer autant de libertés, pour le faire accepter son point de vue. Elle était la douceur d'un fleuve calme, quand Dahlia était le tumulte des eaux troubles, le mugissement d'une cascade. Et parmi les rideaux d'eau vive, l’œil curieux distingua dans le reflet d'un autre ce qui avait mis en suspens son châtiment.

La main retombe, molle, et le regard s'apaise, dangereux courroux, alors que l'un de leurs gardes attend un signe du maître des lieux. Dahlia ne veut pas se retourner, toujours braquée bien en face d'Osir. Elle ne veut pas céder ce combat. Têtue, elle refuse qu'une quelconque broutille raye du paysage ce sujet si important, si profond qu'ils abordaient. Certes, dans la violence des cœurs et des mots, mais au moins leurs langues prenaient-elles le temps de se délier. Pour une fois, pensa-t-elle. Mais son père semblait un autre. Le visage de marbre, traits impassibles, il fit un signe de tête à l'arrivant. « Il sont là, Monsieur. » Qui est là ? Le cerveau carburant à mille à l'heure, elle eut soudain un déclic. Castiel. Castiel venait leur rendre visite. Youpi, se dit-elle. Comme si elle n'était pas assez molestée au quotidien, il allait falloir qu'elle se farcisse quelques courbettes de plus. Elle leva le regard au ciel quand son père répondit à l'homme de les faire entrer, lui et son père. Car c'était de ça qu'il était question, toujours. Des affaires commerciales. D'argent. « Va te préparer. » lui souffla son père, d'un ton froid et neutre. Dahlia ouvrit la bouche, mais un regard de sa part suffit pour anéantir toute parole. Sinistre, il en devenait presque effrayant lorsque le dernier mot tombait. La discussion était close. Le champ de bataille désert, les armes jonchant le sol. Et Dahlia, tournant talons, sentait au fond de sa gorge un méchant arrière goût, l'amertume la gagnant. « Fichus américains.. » marmonna-t-elle entre ses dents en montant les marches de marbre blanc. Rejoignant le corridor principal, les innombrables lustres et palmiers semblaient scruter son passage, retenant leur souffle, immobiles. Elle ouvrit en trombe la porte de sa chambre, s'y engouffrant sans plus de cérémonie. Elle allait se changer, oui. Elle connaissait la chanson. Mettre une robe digne de ce nom, faire quelques courbettes, feindre des sourires honorés ; et se taire. Surtout, se taire. Finalement, les hommes iraient commérer dans leur coin et elle, se coltinerait le jeune américain sans manières. Il n'avait jamais bien compris les coutumes égyptiennes, ne semblait pas assez ouvert d'esprit pour entrevoir un environnement autre que le sien. Du moins, c'est ce qu'il lui avait prouvé, les dernières fois. Certes, ils étaient jeunes, mais elle ne voyait pas ce que ça y changeait. Du haut de ses presque dix-neuf ans, la jeune femme ne se rendait pas compte d'à quel point ils avaient changés. D'à quel point elle, avait changé. Levant les yeux au ciel, son humeur retombant peu à peu, la querelle avec son père non pas oubliée, mais remise à plus tard, elle finit d'enfiler l'une de ses robes préférées. Parme, elle était sertie de dorures sur les bretelles, et mêlait différents types de soie, tissus légers. Et alors qu'elle terminait, on toqua doucement à la porte. Déjà ?! Il ne manquait pas de toupet, son père, pour ne lui laisser que si peu de temps. Et venir jusqu'à sa porte, de surcroît.. sérieusement. Se calmant, elle inspira profondément. Ses grands yeux noirs devinrent brillants, ses lèvres s'étirèrent en un sourire chaleureux et en quelques pas, elle se retrouva souplement à la porte, l'ouvrant d'un geste doux. Le visage lumineux, les boucles de jais tombant en cascade sur ses épaules, ses charbons se posèrent de façon amicale sur... Castiel. Seul. Elle cilla. Ses sourcils se froncèrent légèrement, et d'une voix hésitante, elle souffla son nom. « Castiel ? » Était-ce bien lui ?

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Sam 11 Avr - 23:14


A million dreams
with, @Dahlia El Jaamil.


Éclaté sur le lit tel une étoile de mer échouée, le jeune garçon d’à peine dix-neuf ans semble être au bout de sa vie. A dire vrai, c’est le cas. Si on lui demandait ce qu’il ressent au fond de lui à l’instant présent, il décrirait sûrement de l’impuissance, de la colère. Certes, une révolution a commencé à se créer dans le fin fond de son crâne. Deux, même. La première est un mal de tête tenace qui ne veut pas disparaître depuis deux jours. La deuxième est un stratagème mesquin et infantile pour éviter de devoir quitter cette pièce, cette chambre, cette antre de paix dont lui seul connaissait le code d’entrée. Avec Lola. D’ailleurs, cette dernière venait d’ouvrir la porte et soufflait d’exasperation. « Quoi ? » Il attend, impassible, le commentaire de la mexicaine. «  Tu crois que c’est le moment de te rebeller contre tes parents ? » Mhm. La réflexion n’est pas longue. Oui. C’est le moment idéal. Castiel n’aura pas suffisamment de temps pour répondre. « Non, Castiel. Ce n’est ni le moment, ni la période pour cela. » Pourquoi ? Parce que ses parents daignent enfin faire appel à lui ? C’est un peu tard quand même. « J’ai pas envie ... » qu’il souffle. Il n’a envie de rien. S’il le pouvait, il cracherait à leur visage qu’il est assez grand, qu’il peut se débrouiller seul. Malheureusement, son paternel juge qu’à son âge, il se doit d'obéir et de se taire. « Je vais rater des cours en plus, Lola ! Comme si j’avais besoin de ça. » Déjà que certains pensent qu’il est aider grâce à son nom de famille. Si, en plus, il arrive à passer en deuxième année en ayant manqué certaines étapes ... Se sera le drame. « Je dois faire ta valise. Vous prenez l’avion dès ce soir. » Super. Lola ne sera pas de la partie. C'était potentiellement la chose la plus réjouissante dans l'idée de faire pratiquement sept heures d’avion. « Heureusement que t’es supposé être de mon côté ! » Castiel se redresse, envoie un regard noir à sa nourrice et sort en claquant la porte de sa chambre. Il déteste le monde entier actuellement.

Et pourtant, presque vingt heures plus tard, le voilà entrain de descendre de l’avion privée de son père. Il porte la main à son front, déjà trop ébloui par le soleil égyptien. « Merci les coups de soleil à venir. » qu’il rumine pour lui-même. Il avait oublié qu’il faisait aussi chaud ici. La dernière fois qu’il y avait mis les pieds, il avait quoi ? Dix-douze ans. Ses souvenirs étaient, pour certains, quelques peu embrumés. La seule chose qui restait intact dans sa mémoire, c’était les boucles qui tombaient en cascade dans le dos de Dahlia. Ainsi que son tempérament de feu. Mais ceci est un point dont il préfère faire abstraction. Une chose à la fois. Il va commencer par poser silencieusement ses fesses à l'arrière de la limousine. Loin de son père. Proche de la vitre teintée. D’ici, Castiel pourra observer et admirer le changement de décor: des bâtiments dérisoirement bas et une clarté qui le ferait presque regrettait de ne pas avoir pris avec lui ses lunettes de soleil. Personne ne dit un mot dans la voiture et seul le chauffeur ouvrit la bouche pour les prévenir de leur arrivée. Un arrivé bien trop chaleureux au goût de Castiel. Mais bon, c'était le prix à payer pour que son père puisse encaisser quelques chèques. A moins qu’il soit ici pour en donner cette fois-ci ? Peu importe. C’est toujours la même histoire qui se répète. Il suit le cortège, tente de se souvenir des lieux, de s’en imprégner. Les salutations sont rapides, brèves. On le conduit rapidement dans ce qui va devenir sa chambre, le temps d’une durée indéterminée. Incapable d’attendre, il ressort. Le couloir lui est familier. Il est certain de pouvoir retrouver le dortoir de Dahlia. Ses pas l'amène jusqu’a une grande porte. Il y toque, espérant ne pas s'être trompé mais aussi tomber sur la personne qu’il convoitise. « Castiel ? » aurait-il tant changer que ça ? Parce que Dahlia, elle, est toujours là même. Juste plus grande et plus feminine. « Le seul et l’unique ! » Impossible de ne pas savoir que c’est lui : toujours ses cheveux chocolats ébouriffés, ce rictus de Monsieur je t’emmerde et le regard pétillant de malice. Il est l’inverse même de la jeune femme qui se trouve devant : protocolaire et qui suit les ordres. « Ça faisait un bail. Tu m’avais pas manqué. » Taquinerie ou vérité. Il laisse le choix à Dahlia de décider. « Tu permets ? Y’a pas assez de clim dans ma chambre et la tienne semble plus fraîche. » Pouvant tout aussi bien être traduit par « je déteste rester seul dans une pièce et devoir attendre bêtement ». « Y’a du grabuge dans ta ville. Tu l’sais ? » C’est pas les échos américains qui lui font dire cela. Plutôt les pancartes qu’il a parfois croisés, au détour d’une rue ou d’un carrefour. « Et au passage, tu sais pourquoi les paternels devaient se rencontrer ? J’ai pas eu le droit au topo. Que je sache si je peux me permettre quelques entorses à votre règlement ou pas. » Parce que les règles et lui, c’est pas la plus belle histoire d’amour.

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Mar 14 Avr - 20:15
Le regard chocolat se perdait dans les yeux charbon, pétillants de cette même malice que lorsqu'ils étaient enfants. Les cheveux légèrement ébouriffés, les habits soignés, mais quelque peu débraillés, le teint blafard des gens du Nord.. non, il n'y avait aucun doute. C'était Castiel qui se tenait devant sa porte. Et pourtant, presque idiotement, elle se mit à bafouiller son nom, comme mille questions muettes. Un appel vers le jeune homme, muet, ses iris quêtant réponse à ses interrogations, la brune restait interdite. Physiquement, il avait changé, mais même avec le temps, elle le reconnaîtrait immédiatement. Non. Ce qu'elle ignorait, c'était ce qu'il en était de son caractère, de sa personnalité. Et dans ce point d'interrogation, une lueur de doute dans les prunelles, l'espoir brillant, elle se demandait si peut-être, le jeune homme s'était enfin assagi. Mais alors que les premiers mots sortirent, sa bêtise le frappa en plein visage. Non, il n'avait définitivement pas changé d'un cheveu. Cillant devant cette pique, l'arrogant n'eût attendu aucune réplique pour enchaîner dans l'absurde, s'invitant dans la chambre de la demoiselle. Passant son bras comme s'il n'avait jamais existé, finissant d'ouvrir cette entrebâillement comme s'il était invisible, le voilà deux pas plus tard au beau milieu de son intimité. Lèvres entrouvertes, regard outré, les boucles de jais peinaient à cacher le désarroi du visage hâlé. Le soleil brillait peut-être au dehors, mais dans les yeux de Dahlia, l'étoile était morte, gigantesque trou noir aspirant toutes ses bonnes volontés pour bien se comporter.

Serrant les dents, la brune croise les doigts, n'ayant pas bougé d'un iota de l'entrebâillement. Si ses yeux charbon semblaient doux et amicaux, son regard s'était désormais transformé pour incendier le brun, qui semblait autant s'en soucier que d'une poussière dans le cul d'une vache. Dahlia tentait de garder son calme, sentant l'agacement monter en elle. Et pour cause, chaque mot qui semblait sortir de la bouche de l’énergumène était faite pour l'emmerder. Du moins était-ce l'effet provoqué. « Je sais.. » souffla-t-elle simplement, la gorge nouée lorsqu'il évoqua les manifestations. Ou plutôt le "grabuge", comme il le disait si éloquemment. Que dire ? Sinon que des femmes risquaient leur honneur, leur travail et leurs vies pour tenter de faire évoluer la société, se faisant cracher dessus, humilier, battre parfois par les autres. Femmes, hommes. Surtout les hommes. Même le gouvernement semblait n'avoir cure de heurter moralement, physiquement ces pauvres gens qui ne demandaient qu'à être écoutés, pacifiques. Même le gouvernement, montrait l'exemple, le plus mauvais qu'il soit, en prenant les armes et tirant, tuant, ces manifestant désarmés. Si elle n'avait pas été à cette manifestation-ci, elle était toujours marqué en elle par ses conséquences. Mais que lui dire ? Il semblait ne pas réellement s'en soucier. Il semblait ne pas avoir envie de comprendre. Aussi laissa-t-elle le sujet, le laissant mourir sur cette note de "grabuge", tentant d'évacuer l'irritation que l'inconscience de cette phrase amenait en elle.

« ..tu sais qu'on est pas en Amérique, ici ? Et qu'entrer dans la chambre d'une femme, seul et sans y être invité, pourrait causer.. comment tu dis déjà ? » Elle s'interrompt un instant, faisant mine de réfléchir, avant de reprendre du tac-au-tac : « ah oui ! Du grabuge. » Elle lui lança un regard réprobateur. Bon d'accord, elle n'était peut-être pas complètement passée à autre chose avec cette histoire. La brune soupira, levant les yeux au ciel alors qu'elle abandonnait finalement la partie. De toute façon, lui s'en fichait. S'ils les voyaient ensemble, ce serait forcément de sa faute à elle de n'avoir su s'adapter,  se monter assez courtoise pour lui proposer de se promener, ou n'avoir su être assez raisonnée pour ne pas l'aguicher. Ce serait sa faute, dans tous les cas, alors pourquoi y accorder la moindre importance ? De toute façon, comme Castiel disait, c'était une affaire entre leurs pères, et aucun d'entre eux n'en connaissait les tenants et aboutissants. Elle lui aurait bien posé la même question, d'ailleurs, s'il ne l'avait pas devancée. Elle se contenta d'hocher négativement la tête, ignorant la cause de tout ça.

Laissant la porte ouverte, refusant malgré l'affront de s'enfermer avec l'homme, sachant pertinemment la connotation que cela pouvait avoir, elle se rapprocha cependant, quittant son perchoir. Les mains coulent sur l'anse d'un fauteuil, se cachant presque derrière, de l'autre côté de la pièce par rapport à Castiel. Les doigts apposés sur le rebord du petit sofa aux coussin en kilim, tressés de rouge et beige, elle rompt le peu de silence - de répit - depuis l'arrivée du brun. « Tu n'as pas changé non plus.. » dit-elle avec un peu plus de chaleur qu'elle n'aurait voulue. Elle lui avait fait assez de reproches jusqu'alors, son courroux s'abattant sur l'invité au lieu de l'accueillir. Mais elle ne voulait pas non plus qu'il prenne ses aises.. et avec lui, tout état si rapide, si..désordonné. Respecter des règles ? C'était comme se demander pourquoi elles avaient été inventées avec lui. Aussi ne prit-elle pas la peine de s'énerver sur sa vision des choses, ajoutant calmement : « Pour ce qui est des coutumes .. » le corrigea-t-elle discrètement, « effectivement, rentrer dans la chambre d'une femme n'est pas vraiment bien vu. Encore moins en étant seul. Tu aurais pu te promener, appeler un des domestiques pour me faire signaler que tu étais dans tes appartements.. » Songeuse, le regard perdu dans le ciel, elle tentait d'énumérer toutes les clauses à ne pas faire..et il y en avait beaucoup. Mais lesquelles était-il susceptible de bafouer en premier ? C'était la question qui la taraudait, la faisant laisser en suspend sa phrase, rêveuse. Car c'était une chose, de ne pas respecter les coutumes de son hôte, mais c'en était une autre de l'associer à tout ça. Elle avait assez de discordes avec sa famille pour ne pas en rajouter. Aussi espérait-elle, malgré son tempérament de feu, qu'il ne lui causerait plus de problèmes. Mais c'en était bien trop espérer du jeune homme, assurément.

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