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Family Business (ft. Javier)

@ Invité

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Sam 28 Nov - 14:14


Family Business




Javier & Eddy


Tu te rappelle parfois de ces fabuleux moments, ces dimanches matins à trainer, entre autres choses, au lit avec ton compagnon... surtout quand tu sais qu'aujourd'hui, comme le week-end dernier il va falloir t'extraire de la chaleur réconfortante des couvertures pour répondre à l'appel irrépressible du gamin roux en pyjama Batman qui gratte à la porte comme un chat affamé... "paaapaaaa" Pourquoi ta moitié voulait tellement des enfants déjà ? Sans doute un truc qui vient de sa famille. C'est clairement pas la tienne qui t'incite à perpétuer tes gènes à la base.

Pourtant tes rejetons tu les adores et votre complicité est indéniable, surtout pour jouer des mauvais tours. Tu es à cheval sur leur éducation... à ta manière. Le plus souvent ça ne plait pas vraiment à leur second parent. Comment ça on n'emmène pas des enfants au champ de course pour faire des paris le mercredi après midi ? Mais ils adorent les chevaux ! Généralement,  tu fais comme si tu ne voyais pas le problème, et tu prends soin de faire un mea-culpa grandiose pour te faire pardonner.

"paaaapaaaa" un seconde voix, plus aiguë, s'ajoute à la première. Tu soupires, te tourne vers la personne qui partage ta vie depuis plusieurs merveilleuses (et moins merveilleuses) années. "ton fils et ta fille te réclament..." Tu souris, espiègle. "tu as dit que tu ferais des pancakes." Alors oui, c'est parfaitement faux, mais tu as bien envie d'un petit déjeuner consistant pour oublier que les câlins du dimanche matin sont révolus jusqu'à la décennie suivante, à moins de mettre un réveil à 4 heures du matin. Pour la spontanéité on repassera. Et une nounou ? Ce serait bien une nounou.

@ Invité

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Dim 29 Nov - 15:38

What if... ?


Quelque chose réveille Javier et son premier réflexe est de s’envelopper tout autour de son compagnon comme un chat. Pendant une demi-seconde encore ensommeillée, son esprit part dans des contrées fantasques et sa main se fraie bientôt un chemin sous les couvertures et puis... Et puis l’appel de son gamin le ramène à la réalité. « Hmphr. » Il râle à demi contre la nuque d’Eddy, se demande si faire le mort est une option viable tout en sachant pertinemment que non, puis entend la seconde petite voix appeler à son tour. Contre lui, le rouquin bouge pour se tourner dans sa direction, et pointe l’évidence. Javier n'aime que moyennement l'utilisation des "ton" et "ta", mais le mensonge éhonté suivant lui arrache sans peine un léger rire. Eddy sait parfaitement sur quels boutons appuyer. « Oh, j’ai dit ça, moi ? » Il demande, ton et sourire joueurs sur les lèvres, avant que les gamins ne se mettent à montrer leur impatience par de nouvelles exclamations. Bon.  « Siiii, ya voy, cálmense... » il hausse un peu la voix à l’attention des petits, et se redresse sur un bras pour regarder son homme, cheveux légèrement ébouriffés et paupières encore épaisses de sommeil.

Selon ses calculs, sa phrase lui aura potentiellement fait gagner une minute de calme avant que les démons ne reviennent à la charge. Il est donc impératif d’en faire bon usage. Il choisit donc d’abord de lui voler un baiser, pas de grande surprise ici, et ensuite de finir de se redresser pour passer à califourchon sur lui. Oui, ça a pour effet de pousser la couette et de faire place au froid, ce qui va immanquablement faire râler son aimé, mais... comme ça ils seront deux à être réveillés. « Okay. Je fais des pancakes et tu me fais... autre chose. » lui propose-t-il, sourcils relevés en une expression équivoque. L'autre chose est ainsi laissée à son imagination, mais pas trop non plus ; d'autant moins au vu des mains baladeuses qui se permettent de s’en donner à cœur joie. Bon, la proposition n’est pas pour tout de suite évidemment, mais ils trouveraient bien cinq minutes de répit à un moment dans la journée... (l’espoir fait vivre).

@ Invité

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Sam 5 Déc - 17:18


Family Business




Javier & Eddy

Ton sourire s'élargit fatalement lorsque Javier remet ta parole en doute, se mutant pratiquement en grimace badine et tu acquiesces effrontément en te retenant de rire. On aurait du mal à t'enlever cette part de toi-même qui adore se faire taper sur les doigts par le maître d'école, ou qu'importe, une certaine figure d'autorité avec un grand A. Mais dans cette famille on aurait tord de croire que tu es le garnement le plus capricieux. Les trolls qui grattent à la porte sont les pires... Et quoi de mieux qu'une matriarche pour les remettre à leurs place, ne serait-ce que quelques longues secondes inespérées. Certes Javier a du poil au menton, mais va savoir par quelle fantaisie de l'imaginaire tu le visualises très bien façon portrait de Frida Kahlo, avec le chignon tressé, les fleurs et tout le tralala. Ça t'exciterais presque.

Et force est de constater que tu es loin d'être le seul a avoir l'esprit qui vagabonde ce matin. Tu frissonnes sans savoir exactement si c'est l'air froid se faufilant sous la couette ou la promesse que quelque chose d'un peu moins bonnet de nuit se passe dessous justement. Sans doute un peu les deux, avec un pourcentage un peu plus élevé pour le froid quand même. Oui, tu es frileux et tu n'apprécies qu'avec parcimonie qu'on joue sur ça... quoique... Bon. Ok. Dans un tel cas de figure tu ne vas pas te plaindre, encore moins ouvertement. Après tout, la proposition qui suit est plus qu'honnête. "hum..." Tu fais mine de réfléchir mais tu as les mains déjà trop baladeuses pour paraître un tant soit peu désintéressé. "C'est avec ou sans intérêts ?" Toujours bien se renseigner sur ce à quoi en s'engage, principe de base d'un bon contrat. Oui, même lorsqu'on a 2 enfants, un break, des poules et une cuisine Ikea. Surtout si c'est le cas.

Tu te serais bien acquitté de ta dette sur le champs pour tout dire. Les grognements qui retentissent de nouveau te ramènent à la raison. Tu as presque envie de demander si la porte est fermée à clé mais tu sais bien que non, hélas. Ça entrave malgré toi ton exploration et tu te redresses difficilement pour murmurer avec une lassitude toute théâtrale en roulant des yeux "Ce soir 22h30, RDV dans le cagibi, à coté de la machine à laver". On avait rarement fait plus scandaleusement tiède. Ça s'agite et d'ici quelques secondes la horde de gamins affamés allait annexer le territoire frontalier. Ça ne manque pas... quatre yeux ronds fixent depuis l'entrebâillement les adultes avant que l'ainé n'embraye avec curiosité : "VOUS FAITES QUOIIIIII ?"

Soyons franc, ça te démange de répondre on essaie de baiser tranquille comme ta propre mère l'aurait fait... rectification : elle l'a fait même si ta mémoire te fais un peu défaut sur ce point, le vocabulaire était probablement bien plus vulgaire. Tu sens que ce n'est pas vraiment la bonne approche néanmoins. Un nouveau soupir, tu regardes tes chères têtes pas du tout blondes. "on se chamaille ?" souris-tu avec de détourner le regard vers Javier. Tu as presque l'air sérieux. "avec les intérêts" Tu confirmes d'un geste de bref et précis de la tête "il va bien falloir ça".

@ Invité

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Jeu 24 Déc - 19:07

What if... ?

La proposition vient naturellement, aussi naturellement que ses mains glissent sur le corps de son amant, qui pour sa part préfère s'enquérir des termes exacts du contrat. Javier a bien envie de lui répondre qu'il espère toucher plus que des intérêts, si Eddy voit ce qu'il veut dire. Mais l'intérêt qu'il lit dans ses yeux lui démontre qu'ils sont sur la même longueur d'onde. Cependant, ça recommence à s'agiter à la porte, ce qui pousse Eddy à ça et ses ardeurs et à faire une contre proposition.
Javier rit légèrement à ce rendez-vous qui lui est donné, « Oh~ »  Oui, c’est incroyablement tiède mais clairement, il est arrivé à un stade où même ça lui paraît incroyable et suffit à provoquer une éclosion de désir non maîtrisée. Il espère qu’il s’agit là d’une promesse, parce que dans tous les cas, les détails sont déjà gravés dans sa tête. Il ne manquerait pas d’arrêter son rouquin et de l’enfermer dans ledit cagibi pour cause de non présentation à son redressement judiciaire... une dette est une dette. Mais ça, Eddy le sait bien.
La minute de répit s'achève lorsque la porte s'ouvre dans un petit grincement, qui aurait pu passer inaperçu si les mômes n'avaient pas aussitôt demandé ce qu'il se passe.  Javier jette un regard à Eddy, comme s'il sent presque qu'il est sur le point de dire quelque chose qu'il ferait mieux de garder pour lui, mais se voit rassuré par la réponse qui sort finalement de ses lèvres. « on de chamaille, en silence. » reprend-il, comme pour prouver aux deux petits que Oui, ce concept est faisable.
Eddy capte alors son regard, soudain sérieux, pour juger que les intérêts seront finalement nécessaires, et l'affirmation lui fait hausser les sourcils. « Attention aux promesses. » un air faussement menaçant passe sur son visage tandis qu'il le met en garde, puis s'efface au profit d'un sourire.
« Bon, qui veut des pancakes ?» il lance, sans même regarder les gamins qui se mettent à crier des 'moi' et des 'oui' et Javier n'écoute pas vraiment le reste des revendications à base de sirop et de myrtilles, tandis qu'il se lève et enfile un pantalon à la va vite. Il se penche vers son amant pour lui signaler, « T'as trente minutes si tu veux. » et lui déposer un baiser sur les lèvres. Autant qu'il profite de ce temps tranquille, pendant que lui prépare ça avec les monstres...



@ Invité

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Sam 2 Oct - 18:30


Family Business




Javier & Eddy

Tu ne sais pas si le message sur le silence est passé, sans grande surprise on dirait que non puisque celui sur les pancakes enclenche immédiatement une nouvelle vague d’agitation et de piaillements joyeux dans le couloir. Pas sur qu’un « on ne court pas dans l’escalier » ait beaucoup plus de succès. Le lit se vide, tu fais l’étoile (pas sur le clavier) comme si tu essayais de toucher chaque extrémités du matelas avec tes pieds, tes mains et ta tête. Tu as sans doute l’air con comme ça et ça te fait rire tout seul les yeux collés dans le blanc éclatant du plafond. Au fond, il y a quelque chose qui te rend fondamentalement heureux dans cette situation pourtant si banale. Des oreilles trop mous, des enfants turbulents, un petit déjeuner trop sucré et des menaces conjugales… aaaah, c’était peut-être ça le bonheur (ou l’enfer).

Et parfois, tu dis bien parfois, il fallait savoir faire preuve d’honnêteté et s’acquitter de ses dettes. Mais entre la théorie et la dure réalité existait une gouffre qu’on appelait le quotidien. Finalement, dans ses imprévues pour le moins…. imprévus… Ils pouvaient y avoir une certain charme. Comme une séquestration dans un cagibi. C’était mieux qu’un vieux garage désaffecté sur des dock. Si si, tu le jures. Au moins là ça sentait la lessive et pas la pisse, le poisson et l’essence, bizarrement. Le frisson de l’aventure…

Et là, tu te souviens que tu ferais mieux déplacer quelques paquets de lessive justement, au cas où ton agent de police préféré opterait pour une fouille corporelle un peu trop sportive. Bien évidement, c’est là que tu caches les cadeaux de noël, d’anniversaires, de fête des pères…  Tu en as pas l’air mais tu sais faire preuve de générosité, presque autant que de témérité. On ne saurait pas vraiment dire si ça vient de ton éducation, ou son absence, en fait. Comme quand maman cachait ses fameux extras dans une vielles boites de macaronis périmés sur la dernière étagère du placard de droite. Celui avec la porte qui t’ai tombé sur le coin de l’oeil plus d’une fois. On s’égare là quand même, et ça a bien fini de te réveiller.

Alors tu te lèves sans attendre, tu enfiles tes pantoufles. Oui, tu es frileux des pieds aussi et en plus ça amortie vachement bien les sons. Ta première mission du matin, c’est donc de t’infiltrer dans le cagibis l’air de rien, avant même d’avoir pris ton thé. L’oreille tendu pour ne rien rater de ce qui se passe dans la cuisine, tu sens germer un plan B, un plan C, et même un plan Z. Après tout, tu es un professionnel… enfin, tu étais un professionnel. C’est comme vélo, ça ne s’oublie pas. Sauf que tu fais pas de vélo, parce que déjà tu es plus foot que tour de France, et que tu as une voiture. Tu te faufiles dans la chambre de ton fils, tu récupères les draps, roulés en boule dans tes bras avant de descendre le plus silencieusement possible.

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