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(vicéïs) a trip to Paris.

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Mer 24 Mar - 21:21
C’était le jour J. Le jour J pour Victor et Briséïs. Ils devaient partir à Paris. A vrai dire, elle ne pensait pas que cela arriverait mais finalement si et elle en était très heureuse. Bien sûr, une part d’elle s’en voulait un peu de mentir à son fiancé mais elle avait envie de faire ce voyage. Ils partaient juste en amis tous les deux. Elle savait cependant que si elle l’aurait dit à Ezra, qu’elle partait avec le voisin il n’aurait pas vu cela d’un très bon œil. La brunette avait terminé sa valise, il ne restait que ses chargeurs et quelques bricoles. Elle avait encore quelques trucs à terminer au boulot pour aujourd’hui mais elle partirait assez tôt pour avoir le temps de retourner à l’appartement chercher ses affaires. Elle devait rejoindre Victor à l’aéroport directement. C’était mieux ainsi parce qu’elle n’avait pas envie qu’on la voit avec Victor et leurs valises ou de croiser son fiancé. Il devait travailler mais au vu de sa chance, sait-on jamais.

Son boulot terminé, elle se décide d’envoyer un message à Victor pour le prévenir. Elle avait aussi réservé un taxi pour se rendre là-bas. Ce serait plus simple et puis ce serait rapide, en espérant que cela circule bien sur les rues de New York ce soir. Ils avaient un vol du soir de sorte à arriver le matin. Elle en profiterait pour se reposer un peu car le vol serait long.

Le taxi la dépose et elle règle sa note avant de récupérer ses affaires. Elle entre à l’intérieur alors qu’elle cherche Victor des yeux. Elle finit par le voir au loin et lui fait signe de la main en souriant. Elle tire sa valise jusqu’à lui. « Hey.. salut. » Elle lui souffle en souriant. Oh, elle n’a pas oublié le fait qu’elle l’avait embrassé apparemment la dernière fois et qu’elle lui avait confié certaines choses qu’elle aurait préféré garder pour elle. Elle n’y pense plus parce qu’elle n’as pas envie que ce soit gênant entre eux. « Comment tu vas ? » Elle lui demande même si, partant en vacances ça ne pouvait qu’aller. « J’ai attendu ça toute la journée. » Elle lui souffle en rougissant.

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Dim 28 Mar - 18:48
Il n’avait pas prévu de rentrer en France de sitôt pour les vacances et si sa mère l’apprenait, elle risquerait de le tuer parce qu’il n’était pas rentré pour Noël mais il venait pour les vacances. Mais il ne venait pas seul. Il ne venait pas pour le plaisir mais pour le plaisir de Briséïs. Parce qu’elle lui avait parlé de son envie de voir Paris et il avait trouvé en cette envie une bonne idée pour revenir un peu au pays. Peut-être pourrait-il proposer à sa mère de venir le voir dans la capitale, après tout, en train ce n’était pas si loin que ça de sa ville natale. Alors si elle voulait le voir, elle devrait faire un effort et lui en ferait un autre. Alors qu’il attendait à l’aéroport, il envoyait des messages à Briséïs, ses lunettes de soleil sur le nez tandis qu’il attendait qu’elle arrive pour pouvoir embarquer. Il avait commandé le plus grand café possible à Dunkin’ Donuts même s’il savait qu’il allait forcément sombrer dans l’avion, il n’appréciait pas de dormir dans les avions pour une raison qu’il ne connaissait pas. Mais il savait bien qu’il allait le faire à chaque fois il pensait ne pas pouvoir dormir et Morphée le rattrapait trop souvent. Quand il la voyait arriver, il se levait, récupérer le café qu’il avait prit pour elle et récupérer sa valise. Il l’embrasse sur la tempe et lui tend son café « Moi je vais très bien, parce que je suis en vacances et que je vais à Paris. » sourit-il en prenant une gorgée de café. Et il peut la voir rougir ce qui le fait sourire. « Moi aussi. » avoue t-il, avant de lui faire signe de le suivre pour qu’ils puissent aller s’enregistrer au comptoir d’enregistrement, il ne valait mieux pas perdre de temps et louper l’avion, ce serait quand même triste. Et quand ils en avaient la possibilité, ils se retrouvaient dans l’avion pour huit longues heures.

Quand l’hôtesse de l’air indiquait qu’il fallait redresser son siège, Victor caressait doucement les cheveux de Briséïs pour la réveiller, conscient que ce geste était sûrement trop… trop. « On est arrivés. On va bientôt atterrir. » Et il s’attache, récupére son téléphone et les met dans sa veste qu’il a enfilé quelques instants plus tôt. Quand l’avion atterrit enfin, il se lève et s’étire, passe une main sur son visage encore endormi mais pas assez. Quatre heures de sommeil entrecoupé par des cris d’enfants, Victor aurait pu le balancer par le hublot si c’était possible. Quand ils sortent de l’avion, ils attrapent la main de Briséïs, comme si ce geste était normal mais ça ne l’est pas. Il ne peut s’empêcher de garder la main de la brune dans la sienne comme pour lui montrer que rien a changé avec ses aveux. Tout est comme avant. Puis il se rend compte qu’elle sera peut-être gênée alors il retire doucement sa main de la sienne pour la regarder « Désolé. Je ne veux pas que tu sois gênée. » explique t-il avant de guetter sa valise, et d’envoyer un message à son colocataire pour lui dire qu’il est bien arrivé. Histoire qu’il n’engage pas un avis de recherche comme il n’a pas de nouvelles de lui. « On ira déposer les valises à l’appartement et on va visiter après ? A moins que tu veuilles faire une sieste ? »

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Dim 28 Mar - 20:06
Briséïs avait toujours eu envie de voyager à Paris. En réalité, elle avait bien d’autres pays et endroits qu’elle aimerait visiter. Paris était en haut de la lister et ça allait être le cas d’ici quelques jours. Elle partait quelques jours avec son voisin officiellement même si elle avait dit qu’elle partait avec une amie et qu’elle allait travailler. En soit, cela pouvait également puisque Paris était la ville de la mode. Elle pourrait et s’inspirerait sûrement de certains endroits, certaines choses. Elle voulait en profiter aussi depuis le temps qu’elle n’avait pas été en vacances. « Ah oui ? Je me demande avec qui. » Elle lui dit en rigolant et le remerciant pour le café. Elle termine de boire son café avant de jeter le gobelet et de le suivre. Il fallait encore s’enregistrer et tout ça et puis elle avait hâte de partir. D’arriver surtout.

La brunette s’était mise à lire sur sa liseuse mais sentant ses paupières lourdes, elle a finalement lâcher sa lecture. Elle ferme les yeux un instant avant de s’assoupir et de bouger doucement quand elle sent qu’on la réveille. Heureusement, elle n’est pas trop chiante quand on la réveille, sauf lorsqu’elle est vraiment fatiguée ou malade. Elle a probablement une marque sur son visage qu’elle frotte doucement. « Déjà ? » Elle a un peu perdu la notion du temps alors qu’elle s’était endormie. Elle s’attache et attend qu’ils aient l’autorisation de sortir de l’avion. Elle ne dit rien quand Victor lui prend la main et elle secoue la tête quand il s’excuse. « Crois moi, niveau gêne j’ai eu mon lot la dernière fois. » Elle préfère en rire maintenant. « Et ça ne me dérange pas. » Elle se demande s’il a pris au sérieux la fois où elle lui a dit qu’il faisait du bazar dans son cœur. C’est toujours le cas, sauf qu’elle ne veut pas y penser et être perdue davantage. « Oh non, ça va, j’ai déjà dormi dans l’avion et je veux en profiter pendant qu’il fait jour. » Elle dormirait ce soir, elle avait le temps. « Et puis.. je veux manger mon premier pain au chocolat. » Oui, elle s’était entraînée sur quelques trucs même si son accent n’était pas fameux. Peut-être qu’après quelques jours ici, elle ferait mieux que ça. « Qu’est-ce que tu nous a prévu comme programme ? » Elle lui souffle avant de récupérer sa valise. Elle prend le bras de Victor pour se rendre à l’extérieur pour trouver un taxi et se rendre jusqu’à leur appartement alors qu’à l’intérieur, elle regarde partout autour d’elle.

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Sam 3 Avr - 15:05

Il ne savait pas si c’était une bonne idée de se retrouver à Paris avec Briséïs, loin de tout, loin de leur vie quotidienne assez monotone. Métro, boulot, dodo. Là ça allait changer et elle allait être loin de son mec. Non pas que Victor n’avait pas confiance en Briséïs quand elle lui disait que tout allait bien mais il avait toujours ce doute persistant, dans la tête qui ne voulait pas partir. Ce pressentiment ne le quittait pas et il le sentait au plus profond de lui, au creux du coeur et dans l’esprit. Il secoue positivement la tête quand elle lui demande s’ils sont déjà arrivs et il se précipite à l’extérieur de l’avion. « Ah je ne doute pas du contraire » rit-il un peu en avançant, restant tout de même les mains dans les poches quand elle lui dit que ça ne la dérange pas. Il ne veut pas s’imposer, ne veut pas lui imposer quelque chose. Victor avait plutôt l’habitude du décalage horaire mais il n’était pas sûr que ce soit le cas de Briséïs, qu’importe ce qu’elle veuille dire « D’accord alors. » répond t-il avant d’applaudir « Bravo ! » s’exclame t-il en tapant des mains face à son petit mot de français. Il souriait et s’humidifiait les lèvres. Il la laisse prendre son bras en prenant un air mystérieux « Programme surprise ! » rit-il avant de secouer la tête en continuant de rire « Non, aujourd’hui, c’est petite journée. On va aller à l’appartement, pour se poser un peu et on ira manger dans une petite brasserie pour le déjeuner aux alentours de Montmartre ! » Et après, ils improviseraient, Victor ne voulait pas lui avouer tout, il voulait lui laisser des surprises. Dans le taxi, il saisit sa main et entrelace leurs doigts comme avec automatisme, son regard qui se pose sur l’extérieur, Paris qui se matérialise sous ses yeux, ce qui le fait grandement sourire. Une fois arrivé devant l’immeuble haussmanien, il tape le code, salue le gardien et lui dit qu’il vient de la part de sa grand-mère, récupère les clés et monte jusqu’au troisième étage, avant d’ouvrir la porte et de rire quand il arrive dans le salon, une bouteille de vin du vignoble de ses parents qui trône fièrement au milieu de la table « Ma mère a laissé un cadeau, et ma grand-mère un mot. » Explique t-il en déposant sa valise « Au moins, on aura de quoi boire. Et pas plus d’un verre. » conclut-il en faisant un clin d’oeil, rappel de leur soirée où elle a finit ivre. Il en rit encore avant d’ouvrir les fenêtres qui donne sur l’avenue Montaigne, et il se tourne vers elle « Par quoi veux-tu commencer ? Je suppose que la cuisine a été remplie, si tu veux un café, pris sur le balcon. Ou tu veux sortir tout de suite ? »

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Sam 3 Avr - 18:06
Briséïs n’as pas oublié la dernière fois et en même temps, elle a eu assez honte comme cela. Elle ne veut pas s’en souvenir et puis bon, Victor doit bien se moquer d’elle comme cela. Quoique, ce n’était pas vraiment agréable pour lui de devoir s’occuper d’une jeune femme qui avait trop bu. Elle n’y pense plus parce qu’elle veut profiter de ce voyage à Paris, ces quelques jours. Ils viennent d’arriver alors elle sort de l’avion et ils récupèrent leurs valises pour se rendre à l’appartement. C’est Victor qui a tout organisé et puis bon, il connait beaucoup mieux Paris qu’elle qui n’y est jamais venue. Elle lui sourit, parce qu’elle s’est entraînée un peu à apprendre quelques mots. Bon, elle n’a fait que les plus faciles et de ceux qui lui serviront. Au pire des cas, elle avait un guide personnel. « Merci. » Elle lui souffle, curieuse de savoir ce qu’ils vont faire pour cette journée. Elle hoche la tête et tape dans ses mains face au programme. « Ce qui me semble déjà super comme programme. J’ai hâte. » Elle lui dit avec un sourire. De toute façon, elle avait hâte de tout découvrir dans cette ville même si une semaine n’y suffirait pas. Il y aurait tellement de choses.

La brunette regarde Victor un instant avant de reporter son intention vers l’extérieur. Il fait jour alors elle peut admirer la ville et Paris. Elle se dit qu’ils pourraient visiter la ville en bus mais une chose à la fois. Elle le suit dans l’immeuble, traînant sa valise et entrant ensuite à l’intérieur. « Elles sont gentilles et d’ailleurs si tu as besoin de les voir sans moi, je peux me débrouiller. » Elle ne va pas non plus s’imposer dans leur famille. Cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas vus elle suppose, elle n’allait pas lui enlever cela. Elle lève les mains en l’air, en guise d’innocence. « Je ne vois pas de quoi tu parles mais un verre suffira pour moi. » Elle lui dit en rigolant et avant de s’approcher de la fenêtre. « Tu ne mentais pas avec la photo, la vue est magnifique. » Elle lui dit avant de déposer un baiser sur sa joue. « Je vais nous préparer du café. » Elle ouvre un placard où elle suppose qu’il y a des tasses et en sort deux. Elle allume la cafetière et fouine pour trouver ce dont elle a besoin. Une fois prêt, elle lui tend sa tasse. « Tiens. » Elle le rejoint sur le balcon. « Ta vie ici ne te manque pas trop ? » Elle ne lui a jamais posé la question mais maintenant qu’ils sont ici. « Je crois que je pourrais m’habituer à être ici. » Avec lui.

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Lun 5 Avr - 18:10
« J'espère bien que tu as hâte ! » rétorque Victor, faussement choqué. Il ne manquerait plus qu'elle ne veuille rester qu'à l'appartement toute la sainte journée -ce qui ne serait pas pour déplaire à Victor, mais soit-. Son impatience était telle que Victor marchait sûrement trop vite pour la brune mais il avait hâte de se défaire de sa valise et de pouvoir se poser dans ce canapé qu'il adore. Une fois arrivés à destination, Victor espère secrètement que les lieux plairont à Briséïs, qu'elle sera heureuse de la vue que cela offre et surtout, qu'elle ne sera pas déçue de la simplicité des lieux. « Elles ne savent pas que je suis à Paris, en revanche, on pourra toujours aller manger un bout avec ma soeur si tu veux. » sourit-il avant d'ajouter « Je vais voir si elles veulent venir, mais je n'irais certainement pas au vignoble. » Non, parce que sa mère risquerait de croire qu'il a envie de revenir dans la famille et reprendre sa place, sauf que ce n'est pas le cas. Il sourit au souvenir de Briséïs un peu ivre et il secoue la tête « Un verre par jour, c'est très bien. » Et c'est raisonnable. Il s'éloigne sur le balcon quand elle propose de faire le café et il regarde la vue, dans l'attente d'une réponse de sa soeur, il regarde les passants qui passent sur le trottoir et se tourne vers elle quand elle lui apporte sa tasse. Tasse qu'il enserre entre ses deux mains avant de poser ses coudes contre le fer du balcon, alors qu'il hausse les épaules. « Honnêtement ? Non. J'aime ma vie à New York. J'ai toujours voulu me dépasser et je crois que New York est arrivé à un moment de ma vie où j'avais réellement besoin d'un but dans la vie, autre que le vignoble de mes parents. » explique t-il « Si je n'avais pas eu New York, j'aurais peut-être enseigné ici, mais j'avais besoin de voir ailleurs. » conclut-il avant de prendre une gorgée de café et se tourner vers elle. « Ah oui ? Tu as l'air plus épanouie depuis que tu es sortie de l'avion. » tente t-il, avant de déposer la tasse sur la petite table derrière Briséïs avant de la prendre dans ses bras, il l'enserre tout contre lui. Sa tête contre le torse de Victor, il ferme les yeux et dépose son menton sur le haut de la tête de Briséis « Je crois que je pourrais m'habituer ici aussi. En si bonne compagnie en tout cas. » Et il reste comme ça, le temps d'un instant, quelques longues secondes avant de se reculer pour récupérer sa tasse et boire une gorgée « Tu vas voir, la brasserie ou je veux t'emmener est vraiment chouette. » Parler de la suite de la journée pour ne pas flancher, pour ne pas la garder contre lui et ne pas sortir de cet appartement pour le reste de la journée.

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Lun 5 Avr - 19:18
Elle ne peut s’empêcher de rigoler Briséïs à ses mots. Bien entendu qu’elle avait hâte de profiter de cette journée et des autres qu’ils avaient. Des journées pour profiter. Elle avait longtemps attendu ce moment de venir à Paris et même si, peut-être qu’elle aurait dû faire cela avec son fiancé, elle n’était pas là avec lui aujourd’hui. Elle ne voulait pas penser à cela parce qu’elle était bien ici. Loin des problèmes, elle pouvait échapper à tout le reste. « Bien entendu ! » Elle préférait ne pas lui dire qu’il risquait d’en avoir marre de la traîner dans Paris parce qu’elle allait être excitée et émerveillée par tout. Lui, il connaissait déjà tout ça. Elle avait encore tout à découvrir, autrement que dans les films et les romans. « Bien sûr oui avec plaisir, ça lui fera sûrement plaisir. » Elle ne savait pas trop quel genre de relations ils avaient, même s’ils semblaient proches. Elle avait vu une photo d’eux sur Instagram la dernière fois. Elle ne mentionne pas le fait qu’elle se demande comment réagira sa sœur. Elle ne veut pas que sa famille se fasse de fausses idées sur leur relation. « Tu as peur que je boive toutes leurs bouteilles c’est ça ? » Elle lui dit pour le taquiner car elle se doutait que ce n’était pas ça. Elle n’oserait même pas boire un verre d’ailleurs parce qu’elle n’aurait pas envie de se retrouver saoul encore une fois. Elle s’occupe de préparer du café avant de le retrouver sur le balcon. Il ne faisait pas très froid et c’était plutôt agréable. Elle boit une gorgée alors qu’elle l’écoute. « Je comprends oui.. et puis ce doit être autre chose que d’enseigner le français ailleurs qu’en France. » Elle suppose quand même que ce doit être bien en France aussi bien entendu et elle n’aurait pas dit non pour travailler à Paris même si elle appréciait sa vie new yorkaise. « Je suis contente que tu sois à New York. » Elle lui souffle en rougissant un peu. Elle ne serait pas présente ici sinon, ou pas dans ces conditions-là. « C’est parce que je suis heureuse d’être ici. » Elle l’était oui, et probablement épanouie aussi parce qu’elle savait qu’il ne se passerait rien de mal durant son séjour. Pas de dispute, pas de violence, rien. Elle avait juste envie de profiter. Elle sait qu’il ne disait pas ça par hasard mais elle est en sécurité ici. Elle l’est davantage quand il la prend dans ses bras alors elle se laisse aller tout en respirant l’air de Paris. Finalement, elle se dit qu’elle pourrait bien rester ici plutôt que de sortir. Non pas que ça la dérangeait dès le départ évidement. Ils avaient pourtant tout le temps de profiter de l’appartement en soirée. « Qu’est-ce qui nous oblige de rentrer ? » Elle souffle plus pour elle-même qu’autre chose. Elle était partie, mais on savait où elle était alors elle ne pourrait pas vraiment fuir éternellement. Elle retire sa tête de contre Victor, à contre cœur. « J’ai hâte de découvrir. Ta sœur t’as répondu ? » Sinon ils mangeraient tous les deux et la verraient une autre fois ou pour le goûter qui sait. Elle termine sa tasse de café avant de récupérer celle de Victor quand il a terminé pour la déposer dans la cuisine. « Bon, je commence à avoir faim, on y va dis dis ? » Elle l’avait prévenu, ou pas, qu’elle était excitée d’être ici non ? Il allait devoir faire avec. Elle lui attrape sa main parce qu’elle ne va pas le laisser ici. « Allez, faut qu’on aille manger de la baguette. » Oui, oui elle avait appris d’autres mots. En revanche, elle devait être un peu ridicule mais peu importe. « Paris n’attend pas. » Elle non plus d’ailleurs.
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Sam 10 Avr - 21:06
Victor secoue négativement la tête quand elle ose demander s'il a peur de la façon dont elle pourrait se comporter. Bien évidemment que non. « Non, c'est juste que si je donne la possibilité à ma mère de me voir au vignoble, elle va croire que je reviens. » explique t-il, d'une voix posée. Et Paris l'apaise Victor quand il y pense, même si c'est bruyant, même si les gens pressés qui klaxonnent ont décidé de se loger sous le balcon, il est plutôt heureux d'être ici. Surtout avec elle. Parce que pendant ce temps là, elle est loin de lui. « Oui, en vérité, je ne me voyais pas vraiment enseigner en France. Je l'ai fait mais ça m'a suffit. » explique t-il, baladé d'établissements en établissements, ne pas avoir assez de points pour rester, toutes ces choses avaient forcé Victor à penser à autre chose. Et il avait bien fait. Et il la regarde quand elle lui dit être heureuse. Il boit une gorgée de café et souffle un peu. Jamais elle ne lui avouera la vérité, il en est persuadé. Il aimerait qu'elle lui dise  la vérité, il pourrait lui promettre de ne pas s'énerver mais ce ne serait sûrement pas le cas. Alors à défaut, elle est là, dans ses bras et il est heureux. Il sourit comme un idiot en fermant les yeux, le soleil qui le berce un peu avant qu'elle ne se recule. Il aurait voulu la garder éternellement contre lui. Il entend sa question et déglutit un peu. Et si ses doutes étaient réels ? A sa question, il attrape son téléphone et secoue négativement la tête « Non, elle doit dormir. On verra pour ce soir. » prononce t-il en haussant les épaules, résigné. En même temps il était tôt. Et il ne l'avait pas prévenu avant. Alors pourquoi aurait-elle répondu du tac au tac ? Il rit face à son impatience et attrape les clés de l'appartement, son porte-feuille avant de la laisser prendre sa main en pouffant de rire. « j'ai l'esprit beaucoup trop mal placé. Mais oui, allons à la boulangerie si tu veux. Et non, Paris n'attend pas. » Il l'attire à l'extérieur, avant d'attraper sa main pour entrelacer leurs doigts, une fois de plus. Se mettant à avancer dans les rues de Paris, sa main toujours dans celle de Briséïs. Ils avancent dans le quartier et il montre une brasserie « Ça c'est une brasserie très chic, leur viande est excellente et le patron est vraiment cool. » explique t-il et il réfléchit « Si tu es prête à marcher, on peut aller voir la Tour Eiffel, c'est pas loin à pied !  Puis au moins ce sera fait ! C'est le matin il n'y aura pas tellement de touristes »

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Sam 10 Avr - 22:22
Elle ne comprenait pas trop les relations familiales Briséïs parce qu'elle n'avait pas eu ce genre de choses de son côté. La brunette avait toujours pu faire ce qu'elle désirait. Ses parents n'y avaient jamais rien vu de mal. Elle avait été adoptée alors c'était peut-être pour cela aussi. Peu importe tant que Victor faisait quelque chose qu'il aimait. "Ce serait dommage que tu restes ici en effet." Elle lui dit avec un sourire. Loin d'elle l'idée de se montrer égoïste en voulant qu'il reste avec elle à New York. Pourquoi est-ce qu'elle voudrait cela d'ailleurs ? Elle l'appréciait alors sûrement que ça lui ferait bizarre de ne plus l'avoir dans les parages. Elle hoche la tête. C’est Victor qui savait ce qui était le mieux pour lui. « Tu pourras toujours m’apprendre le français à moi. » En tout cas, elle avait envie de savoir et avait hâte également. Quelques mots au moins, même si elle en avait appris quelques uns afin de pouvoir venir ici. Elle continuerait d’en apprendre durant son séjour elle suppose. Elle profite de ce moment en la compagnie de Victor, restant contre lui. Elle apprécie ce moment de calme, de sérénité où elle ne pense plus à rien d’autre. Elle resterait bien ici pendant de longues minutes, des heures même. Elle avait tout de même envie d’aller visiter la ville alors il fallait bien qu’ils sortent de l’appartement. Cela ne servait pas d’insister pour l’instant auprès de sa sœur. Ils s’y étaient pris à la dernière minute alors elle n’était peut-être pas disponible, ce qui se comprenait. Ils tenteraient plus tard effectivement. « Oui bien sûr, quand elle veut. » Ce n’était pas parce qu’il l’emmenait en vacances ici qu’il n’avait pas le droit de voir sa famille, au contraire. Elle voulait qu’il profite tout de même.

Elle se lève pour qu’ils puissent sortir avant de froncer les sourcils. Qu’est-ce qu’elle avait bien pu dire ? « A quoi tu penses ? » Elle lui demande finalement, curieuse. Elle suppose qu’elle n’aurait pas dû, si ? C’est trop tard de toute façon. Elle finit par sortir en sa compagnie, sa main dans la sienne. Elle observe tout autour d’elle. « Il faudra qu’on vienne y manger alors. » Elle n’était pas très difficile en ce qui concerne la nourriture. Elle pouvait manger de tout et puis quand elle venait dans une autre ville, elle espérait bien découvrir la culture de celle-ci. « Tu rigoles, j’ai prévu le coup pour marcher. » Elle lui dit en rigolant. Elle avait enfiler des baskets pour ça après tout. « On peut j’y aller, j’ai hâte de la découvrir et.. » Elle continue d’avancer avant de lui dire pour l’embêter. « Au pire je monterai sur ton dos. » Elle n’était pas si grosse, mais pas non plus toute légère. Elle préfère aussi éviter le fait qu’il n’y ait pas beaucoup de touristes à ce moment. « On la montera hein ? » Il allait vraiment perdre patience avec elle.

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Dim 18 Avr - 19:10

Il pourrait revenir en France mais il n’en est pas certain. Parce qu’il aime sa vie à New York, se dire qu’il peut être qui il veut dans cette ville qui ne dort jamais, que durant son contrat ici il peut visiter ce qu’il veut comme ville, voir d’autres états, être le voyageur hors pair qu’il a toujours voulu être. Il secoue positivement la tête quand elle lui demande de lui apprendre le français, une moue indécise et un haussement d’épaules, il lui répond avec un sourire « Ça peut se négocier. » explique t-il, elle pourrait aussi apprendre toute seule. Il sait qu’elle est douée, il n’en doute pas. C’est paisible quand il l’a contre elle, mais il sait que ça ne durera pas longtemps. Et il sourit quand elle accepte de dîner avec sa soeur ce soir. Il est plutôt content Victor, elle lui a manqué quand même, malgré toute leurs engueulades, les mots trop haut et les éclats de voix. « Je lui dirais alors, et je suis sûre qu’elle nous fera sortir jusque tard dans la nuit. » rit-il, parce que c’est toujours comme ça, un bon repas et puis ensuite, une tournée des bars. Victor a hâte. En espérant que la brune tienne l’alcool, sinon ça risque d’être plutôt amusant. Il se pince les lèvres quand elle lui demande d’argumenter ses propos et il la regarde, un air malicieux dans le regard et il prend un air sérieux pour lui répondre « Disons que la baguette, dans ma tête ça sonne comme une métaphore sexuelle. » Pas besoin de lui faire un dessin, elle pourrait bien comprendre toute seule. « J’aurais pu te dire que tu allais manger la mienne, de baguette, mais bon. » rit-il avant de se mettre en route avant qu’elle ne lui colle une gifle. Et a l’extérieur, c’est comme s’il n’était jamais parti. Jamais, comme s’il n’avait pas mis un pied aux USA. « Je dirais à ma soeur qu’on se rejoigne ici. » explique t-il, parce qu’il sait qu’elle aime beaucoup cet endroit et il est plutôt heureux, et il lève un pouce en l’air quand elle lui dit avoir tout prévu pour marcher, sa main toujours dans celle de Briséïs. Il rit avant de lever les yeux au ciel « Je pourrais toujours te porter. » Après tout, pourquoi pas. Il a l’habitude de porter sa soeur qui saute de façon random sur son dos. Alors pourquoi ne le ferait-il pas avec elle ? Alors qu’ils avancent dans Paris, Victor reste à l’affût des types un peu louches et lorsqu’ils arrivent devant la Tour Eiffel, il paye leur accès et attend sans grande impatience que l’ascenseur arrive, regardant Briséïs et son téléphone à la main, qui elle, brille par son impatience, ils montent dans l’ascenseur et quand ils arrivent au sommet, il voudrait la filmer pour voir sa réaction. « On pourra aller boire une coupe, c’est ouvert depuis dix minutes. » propose t-il. Puis il attrape son téléphone pour pouvoir la prendre en photos avant d’être alpagué par un employé qui traînait dans le coin « Vous voulez que je vous prenne en photos les amoureux ? » demande t-il, et Victor se sent un peu gêné alors il regarde Briséïs pour qu’elle donne une réponse, après tout, lui ça ne lui pose pas de problèmes. Mais reste à savoir si elle, ça lui en posera un. Il ne veut rien imposer, c’est son choix et ses envies. Rien de plus.

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Dim 18 Avr - 20:12
Il est vrai que Briséïs lui a demandé de lui apprendre le français mais bon, elle ne va pas se vexer ni quoique ce soit si jamais il ne le fait pas. Elle a déjà appris des choses par elle-même mais bon, c’est toujours mieux en ayant un professeur. Et quel professeur. Elle lui adresse alors un sourire à ses paroles. « Je ferai tout ce que tu voudras. » Qu’elle lui dit en faisant mine de le supplier. Bon tout.. elle n’aurait peut-être pas dû dire cela. On ne sait jamais quelles idées elle pourrait lui donner. Elle hoche la tête parce qu’elle est contente également qu’il puisse voir sa sœur, sa famille. Elle est très proche de sa famille donc elle ne peut que comprendre. « Ca me dérange pas, on a tout le temps. » Elle savait aussi qu’à Paris, les gens vivaient la nuit et qu’ils aimaient sortir au restaurant, dans les bars ou simplement se promener. Elle n’était pas du genre à se coucher tôt de toute manière. Elle veillait souvent tard le soir ou ne rentrait pas très tôt. Elle ouvre la bouche puis la referme en réalisant la boulette qu’elle venait de faire. Il semblerait qu’elle devrait faire davantage attention à ce qu’elle disait. Elle n’avait pas du tout pensé à cela mais en y réfléchissant de plus près, ça prenait tout son sens. Elle devait probablement être aussi rouge qu’une tomate mais il n’y avait que Victor pour la mettre dans un état comme cela. Elle imaginait, et en fait non, elle ne devait surtout pas imaginer. Bon sang. Elle n’allait pas y survivre toute une semaine.  « Je.. okay je vais m’abstenir de dire des choses en français. » Elle lui dit en rigolant avant de le suivre parce qu’ils s’aventuraient sur ce genre de sujets cela risquait d’être dangereux. Elle était parfaitement sobre cette fois et Victor savait qu’il ne la laissait pas vraiment insensible même s’ils n’avaient plus évoquer le sujet depuis. « Vous devriez faire attention à vos mots aussi monsieur Aubertin. » Elle pourrait le prendre au mot et lui grimper dessus. « Puis j’aurais une meilleure vue comme ça. » Il était plus grand qu’elle et elle n’était pas si petite mais pas très grande non plus. Elle arrive enfin près de la Tour Eiffel et elle s’extasie devant pour la première fois. Elle a probablement l’air idiote mais qu’importe, elle ne comprend pas ce qui se dit autour d’elle de toute façon. « Je ne l’imaginais pas si grande. On monte ? » Ils étaient là pour ça de toute façon. Elle monte à l’intérieur alors que l’ascenseur commence à monter. Elle se tourne finalement vers Victor alors qu’ils arrivent en haut. « C’est gé-nial, on voit tout tu as vu ? » Est-ce qu’il allait la prendre pour une folle ? Oui. Il connaissait déjà cela Victor. « Oh oui on peut. » Elle hoche la tête alors qu’elle regarde l’homme, ne comprenant pas toute suite la demande. « Oui bien sûr, allez y. » Elle lui prête son téléphone pour qu’il prenne la photo. Elle n’est pas gênée par le terme, il ne pouvait pas savoir et puis, ils auraient pu. Elle retourne auprès de Victor le temps des photos, puis, elle dépose un baiser sur sa joue. « Merci. » Qu’elle souffle avant d’aller récupérer son téléphone et de remercier l’employé. « Tu veux voir ? » Elle lui propose avant de prendre sa main dans la sienne de nouveau. « Alors.. ce champagne ? » Juste un verre Briséïs, juste un si tu ne veux pas lui grimper dessus.

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Mar 20 Avr - 20:11

Victor ne devrait pas la prendre au mot parce que ça risquerait de donner lieu à des situations plus qu’incongrues et il valait mieux qu’il garde ses mains dans ses poches rt sa langue dans sa bouche le garçon. Parce qu’il se souvient de ce qu’elle lui avait dit, elle se souvient de tout ce qu’elle avait dit en étant ivre et ça ne part pas de sa tête, même si ça devrait, même s’il ne devrait pas y penser. Il ne voulait pas polémiquer cent ans sur le reste de leur journée mais ce quille voulait pas non, c’était laisser passer les sous-entendus qui traversaient son esprit quand il entendait Briséïs qui parlait. Son accent des plus adorables mais sa phrase rempli sans le vouloir de sous-entendus, aller finir par l’achever. « Non, tu peux moi ça m’amuse. » rétorque t-il avant de poser une main sur son coeur pour prendre un air faussement choqué « Je vous demande pardon ? » demande t-il en continuant de marcher d’une démarche dansante. « Arrête de me tenter. » la stoppe t-il, avant d’arriver devant la dame de fer. Victor déteste cet attrape-touristes, les gens qui se croient tout permis, ceux qui poussent pour avoir accès plus vite à l’ascenseur mais il prend sur lui. Parce qu’il sait que ça fait plaisir à Briséïs. Et c’est le principal. Il sourit avec une certaine tendresse quand elle s’extasie et il hoche la tête pour la coupe de champagne, il pose à côté d’elle, une main sur sa taille et la rapproche de lui pour la photo avant d’embrasser sa tempe pour une deuxième photo, il sait qu’il joue à un jeu dangereux Victor, il sait qu’il ne devrait pas. Mais il en a envie. Il secoue négativement la tête, pas la peine de voir les photos, ce ne serait que remuer le couteau dans la plaie. Il ne doit rien se passer. Il ne peut rien se passer. Elle est fi-an-cée. Mais est-ce qu’on emmène une fille qui va se marier à Paris ? Est-ce qu’on accepte d’aller à Paris avec son voisin si on… Victor ne veut pas polémiquer cent ans avec lui même. Ça ne sert à rien. Ça ne sert à rien de se prendre la tête. Il se rapproche du bar et commande deux flûtes de champagne, donne l’une des deux à Briséïs et trinque avec elle avant de prendre une gorgée et de la regarder « Est-ce que j’ai le droit de dire que tu es belle ? Ou c’est aller trop loin ? » parce qu’il a besoin de savoir Victor. « Parce que j’ai pas envie de te gâcher ton voyage en te disant des trucs qu’il ne faut pas dire. Je sais bien que ce n’est pas New York ici, qu’on est que tout les deux. Mais je me dis qu’il faut qu’on s’impose des limites. J’ai pas envie qu’on fasse des trucs que tu regretteras quand l’avion se sera posé sur le tarmac de JFK. »

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Mar 20 Avr - 21:08
Elle a l’impression qu’il se moque d’elle Victor, rien de bien méchant mais elle lui donne toujours de quoi rigoler. Elle devrait arrêter de parler ou de faire quoique ce soit pour le coup. Elle n’avait pu s’empêcher de rougir quand il avait imaginé une toute autre chose. Elle le savait, qu’elle lui plaisait alors elle ne devait pas jouer avec le feu. Elle ne pouvait pas faire de bêtises parce qu’elle s’en mordrait sûrement les doigts. Elle se sentirait coupable et mal à l’aise, elle se connaissait. Elle ne devait pas parce que si Ezra l’apprenait, ce serait pire qu’elle ne pourrait supporter. « Tu te moques toujours de moi. » Elle lui dit avec un sourire. Oh. Qu’est-ce qu’elle avait pu dire encore ? Elle préférait ne pas chercher à comprendre et puis de toute façon, elle est accaparée par la Tour Eiffel devant elle. Elle jette un œil autour d’elle puis on leur propose de faire une photo ensemble alors elle ne dit pas non. Elle récupère son téléphone et le range finalement dans sa poche après la réponse de Victor. Elle le suit pour aller prendre une coupe de champagne. Une seule, parce que s’ils doivent boire du vin au repas, elle ne tiendrait pas. Elle boit une gorgée et pose son verre. « Il est bon. » Ce n’était peut-être pas le meilleur mais en même temps, ils n’allaient pas sortir leur meilleur champagne ici. Elle fronce les sourcils quand Victor redevient sérieux et elle comprend. Elle ne le met sûrement pas dans une simple position mais ils pouvaient être amis ? Qu’est-ce que tu crois Bri ? « Non, tu en as le droit. Sauf si tu trouves que c’est déplacé. » Elle n’avait pas envie de le mettre mal à l’aise mais elle se rendait compte que là, il pouvait l’être. « Je ne regrette pas d’être ici avec toi déjà, d’accord ? » Elle n’avait pas envie qu’il doute là-dessus ou qu’il se pose la question quand ils rentreraient. Elle avait voulu de ce voyage et elle se sentait bien ici. « Mais tu as raison, je ne veux pas que tu te sentes mal à cause de moi alors.. je suppose que tant que tu ne m’embrasses pas et qu’on ne va pas plus loin ça ira. » Elle se persuadait que c’était ce qu’elle voulait en tout cas. « Dis moi aussi s’il y a des choses qui te mettent mal à l’aise ou.. des gestes ou des paroles. Je ferai attention. »

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Jeu 22 Avr - 20:40
Victor ne se moquait pas, il trouvait juste ça mignon. Et il sait pourtant qu'il ne doit pas penser cela, qu'il ne doit pas se dire qu'elle est mignonne, quand elle sourit, quand elle rit. Il ne doit pas faire tout cela et si jamais ça se sait, il se doute bien qu'il finira en enfer. Mais bon, s'il peut aller en enfer après avoir fait plaisir à Briséïs, ça ne le dérangeait pas vraiment. Après tout, ils étaient là pour elle. Parce qu'au détour d'une conversation il lui avait promis de l'emmener et Victor est un homme de paroles comparé à Benjamin, il tient toujours ses promesses. Il n'avait cependant pas prévu qu'il devrait jouer les touristes mais quitte à faire les choses, autant les faire bien. Il attrape les deux coupes et boit une gorgée, en se calquant sur les gestes de Briséïs. Et puis les mots sortent, il aurait voulu être impassible. Ne rien dire,  ne rien ressentir. Mais il voulait qu'elle se sente bien. C'était le principal. « D'accord. » répond t-il avec un sourire avant de s'humidifier les lèvres et il prend une gorgée de champagne. Son regard qui se pose tout en bas. « Moi je m'en fiche. Enfin dans le sens où, je sais très bien qu'il ne se passera jamais rien. Parce que t'es fiancée. Parce que c'est comme ça. » explique t-il en soufflant avant de se tourner vers elle et doucement sa main se dépose contre la joue de Briséïs « Tout ira bien. » Et il retire sa main de la joue de la brune avant de prendre une nouvelle gorgée de champagne. « Mais il ne se passera jamais rien. Sauf si tu demandes, enfin je veux dire, jamais Ô grand jamais je tenterais un truc » Il hausse les épaules avant de pincer ses lèvres et vider sa coupe de champagne d'une traite et il la regarde « Alors si j'ai droit de te le dire, t'es belle. » Il lui sourit avant de passer une main sur sa barbe de trois jours avant de la regarder « Tu veux que je te prenne en photos ? Pour ton boulot. » Après tout, pourquoi pas.

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Jeu 22 Avr - 21:42
Elle n’avait pas envie que quelque chose soit gâchée Briséïs. Elle n’y avait pas pensé avant c’est vrai mais il pouvait se sentir mal à l’aise à cause d’elle, ou du moins parce qu’elle était fiancée. Oui, Victor avait dit que rien ne changerait mais elle lui plaisait et elle savait qu’il aurait voulu davantage. Elle ne pouvait pas comprendre parce qu’elle n’était pas à sa place mais en même temps, elle ne pouvait pas dire qu’elle était totalement insensible. Sauf qu’y penser ou le dire de nouveau à haute voix n’était pas une bonne idée. Qui sait où cela pourrait les mener ? Elle se demande si elle pouvait faire quelque chose pour qu’il ne soit pas gêné, pour que tout se passe bien durant ce voyage. « Je suppose que nous avons quelques années de retard. » Elle lui dit avec un petit sourire. Elle voudrait bien s’excuser encore une fois mais de quoi ? Elle savait en plus de cela que Victor ne voulait pas qu’elle le fasse sans arrêt. Elle hoche la tête et sourit à sa main contre sa joue. Tout irait bien. Elle ne voyait pas pourquoi ça ne serait pas le cas. « Je le sais que tu ne feras rien, je te fais confiance. » C’était idiot, ils ne se connaissaient pas depuis si longtemps que cela mais pourtant, avec lui, elle avait l’impression qu’elle pouvait lui faire confiance. Elle avait l’impression qu’elle pouvait être elle-même, lui dire les choses. Elle gardait quand même ses secrets, les parties qu’elle ne pouvait lui confier pour elle. Elle boit une nouvelle gorgée de son champagne. « Merci. » Elle lui souffle, ses joues se teintant de rouge encore une fois. Elle sort son téléphone pour lui donner. « Oh oui merci, tiens. » Elle pose sa coupe de champagne avant de se placer de sorte à ce que Victor puisse prendre quelques clichés. Elle le laisse faire et rigole. Elle le laisse prendre quelques photos avant de revenir vers lui. « Merci ! Tu veux que je te prenne en photo ? Non en fait, il faut bien que j’ai des souvenirs de toi ici aussi. » Elle voulait bien en garder, même si les souvenirs qu’elle aurait en tête seraient les meilleurs. Elle n’était pas sûre qu’elle voudrait repartir d’ici mais elle devrait bien. Elle le prend un peu à l’improviste en photo, parce que c’est les meilleures photos. « Est-ce que c’est mal si je te dis aussi que tu es beau ? » Elle lui souffle alors. C’était moins grave que d’être ici avec lui alors qu’ils n’étaient pas ensemble, non ? Elle était pourtant là où elle devait être et elle ne regrettait rien. « Tu veux redescendre ? »

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Mar 27 Avr - 12:59
Il est idiot Victor. Idiot de l’avoir emmené ici, idiot d’avoir cru qu’il n’aurait que faire de la savoir fiancé alors qu’il veut encore et toujours casser la gueule à ce type. Alors qu’il ne lui a rien fait. Et il n’a pas de preuves qu’il ait fait quelque chose à Briséïs alors pourquoi se prendre la tête. Pourquoi laisser les pensées interférer dans leur voyage ? Victor hausse les épaules à la remarque de Briséïs « Oui, de sacrées années de retard, si tu veux mon avis. » explique t-il avec amusement. Sa langue qui humidifie les lèvres. Mais il devait en profiter, il devait profiter de ce que Paris leur offrait parce que Victor n’était pas sûr qu’il rentrerait de sitôt en France alors pourquoi ne pas profiter une dernière fois de Paris. Et elle avait confiance, ses mots résonnaient dans tout l’esprit de Victor, peut-être qu’elle ne devrait pas avoir confiance. Peut-être qu’il allait la décevoir. Il n’en savait rien Victor et ça le rendait fou. Le champagne qu’il dégustait, il voulait réellement lui faire plaisir. Alors il faisait en sorte de tout faire pour qu’elle soit satisfaite et qu’elle n’ait pas envie de repartir aussi sec. Il récupère le téléphone de la brune pour faire quelque dizaine de photos. Il lui retend son téléphone et secoue négativement la tête quand elle lui demande s’il veut être pris en photos. Il ne préfère pas, il n’aime pas les photos Victor. Mais elle insiste et il ne regarde pas l’objectif, rien que pour l’embêter, bien trop occupé à siffler sa coupe de champagne d’une traite avant de la regarder. Il soupire un peu à sa question et la regarde « Non, tu peux. Tant que ça ne te fait pas de mal. » Même s’il ne voit pas pourquoi ça la blesserait. Il acquiesce à sa question, dépose les deux flûtes sur le bar et rentre dans l’ascenseur, les mains dans les poches pour finir par sortir à l’extérieur de la Tour Eiffel, un sourire bienveillant qu’il pose sur Briséïs. Il la regarde alors avec un sourire « Que veux-tu faire maintenant ? » il lui fallait à minima un café parce qu’il sentait que le jet las commençait à se faire sentir et il ne tiendrait pas l’après-midi à crapahuter ainsi. Une main qu’il passe sur son visage pour le frotter, il regarde la brune en attendant une réponse, tout en avançant les mains dans les poches. Son téléphone qui vibre, il le récupère et sourit « Ma soeur est d’accord pour aller manger à la brasserie ce soir. » il est plutôt content Victor, si bien qu’un grand sourire né sur ses lèvres « Bon par contre, ne t’étonne pas si elle fait des blagues très vaseuses, qui sont porté sur … la chose. Elle risque aussi de faire des sous-entendus. Mais elle est gentille, elle en a juste marre que je lui dise que je suis célibataire. »

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Jeu 29 Avr - 14:50
Des années de retard oui. C’était le cas de le dire mais à quoi bon se remettre à faire le monde parce que ça ne changerait rien à l’histoire. Ils ne pouvaient pas changer le passé, seulement le présent et le futur mais il ne se passerait rien avec Victor. Du moins, pas plus qu’il ne s’était déjà passé la dernière fois. La brunette hochait la tête, ne disant rien de plus. Il ne servait à rien de continuer sur ce sujet. Elle ne voulait pas non plus se prendre la tête. Ils étaient là, ensemble. Elle avait longtemps attendu ce voyage en sa compagnie et elle ne regrettait rien. Ni maintenant. Ni dans quelques temps. Elle voulait rester dans cette bulle où elle pouvait tout oublier en sa compagnie. C’était ainsi qu’il la faisait sentir, une femme qui méritait d’être aimée à sa juste valeur. Elle se sentait en sécurité avec lui mais il y avait des choses qu’elle ne pouvait dire. Elle prend son appareil pour prendre quelques photos de lui. « Tu sais que les meilleures photos sont celles où on ne regarde l’objectif ? » Elle lui dit avec un sourire. Elles étaient naturelles ainsi, sans qu’il ne fixe un point en particulier. « Non, pas du tout. » Pourquoi est-ce que ça ferait du mal ? Elle ne voyait pas. Elle ne disait rien de mal, si ce n’est la vérité. Elle n’allait pas le nier non plus mais encore une fois, elle ne voulait pas se lancer sur ce genre de sujet. Elle range son téléphone dans sa poche alors qu’ils sortent de la grande dame de fer. « Oh super alors, j’ai hâte de la rencontrer. » Elle espérait que les choses se passeraient bien tout de même. Elle était très famille alors elle savait que c’était important et puis Victor n’avait pas l’occasion de la voir souvent. « D’accord donc je comprends mieux pourquoi.. c’est de famille du coup ? » Elle lui dit en rigolant. Elle le taquine plus qu’autre chose et puis même si elle rougissait souvent, elle n’était pas dérangée. « Je peux la comprendre. » Elle lui dit avec un petit sourire mais non, elle n’allait pas faire comme s’ils étaient ensemble. Elle ne voulait pas faire semblant pour que sa sœur le laisse tranquille un peu avec cela. Enfin, ils ne pouvaient pas lui mentir tout de même. « On pourrait aller faire un tour en bateau tu crois ? » Elle lui demande parce que la Seine n’est pas si loin. « Ou tu veux manger ou boire quelque chose ? » Ils ne s’étaient pas vraiment reposer, si ce n’est quelques minutes après avoir déposé leurs affaires.

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Lun 3 Mai - 17:53
Victor secoue la tête quand elle lui parle de la photographie, il ne savait pas et il faut bien dire qu'il n'a jamais regardé de conseils en photographie puisque les seules photographie qu'il fait sont les photographies de paysage ou des selfies, alors bon, les compositions et tout le toutim, très peu pour lui. Il n'avait pas du tout l'âme créative, alors c'était presque inconcevable pour lui qu'il sache quelque chose sur la photographie. Quand ils sont enfin libérés de l'afflux de touriste, Victor est on ne peut plus heureux de savoir que sa soeur va les rejoindre. Même s'il a un peu peur de ce qu'elle va dire ou faire. Il prend un air faussement choqué quand elle semble se moquer de lui et il rit à gorge déployé à la suite. « Peut-être! » s'exclame t-il tout en continuant à avancer. Et il sourit quand elle dit comprendre « Après en même temps toutes les filles que j'ai dans le viseur ont un copain ou même plus, un fiancé alors bon, comment voulez vous que je m'en sorte ? » demande t-il avec un ton dramatique, les lèvres pincées. Il ne peut s'empêcher de la taquiner à son tour et quand elle lui demande pour le bateau, il secoue négativement de la tête « Il faut réserver et ce n'est pas pour aujourd'hui, mais c'est prévu. » explique t-il, il avait prévu ça pour un brunch sur la seine. Mais pas aujourd'hui. « Je t'avouerais que je ne dirais pas non à un café. » demande t-il, les traits qui commencent à se tirer un peu plus. Même s'il voulait qu'elle profite un maximum, il n'était pas vraiment un surhomme, ni même un super-héro (il n'avait pas cette prétention) alors il aimerait bien se poser un peu. Il continue à avancer et se passe une main derrière la nuque, il ne dirait pas non à un massage non plus mais il sait qu'il peut toujours rêver. « Tu veux vraiment pas qu'on aille se poser à l'appartement ? Promis, on ressort cet après-midi !  &raquo Parce que la, Victor, il irait bien dormir un peu au fond de lui. Avec elle dans ses bras. Au choix.

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Lun 3 Mai - 21:26
Elle prend quelques photos Briséïs parce qu’elle a envie de garder un souvenir de ce voyage tous les deux. Elle a envie d’avoir quelques photos qu’elle pourrait regarder quand elle serait chez elle. Elle se doutait bien que ce voyage n’arriverait qu’une fois. Elle ne partirait pas tous les jours avec Victor à Paris, non pas qu’elle ne le voulait pas. Elle lui donne un petit coup de coude pour le taquiner. « Mon pauvre Victor. » Elle lui dit avant de venir déposer un baiser sur sa joue. « Il y en a beaucoup de filles ? » Non parce que bon, ça ne serait vraiment pas de chance pour le coup et en même temps, elle préférait qu’il n’y en ait pas tant que cela. Egoïstement. Elle ne pouvait rien exiger, elle n’en avait pas le droit et puis elle avait un fiancé. Ce n’était pourtant pas le moment de débattre dessus. Elle était partie pour ne pas se prendre la tête. « Oh, tu as prévu des surprises alors. Je suis curiesue. » Elle lui dit avec un sourire. Pas de bateau aujourd’hui mais une autre fois et elle appréciait cela. « Alors va pour un café. » Elle ne disait pas non même s’ils en avaient pris un à l’appartement. Elle aimait toujours cela et puis elle suppose que le café ici est différent que celui de New York. Elle se tourne vers Victor. « Tu as mal quelque part ? On peut arranger ça. » Elle ne sait pas mùais elle a l’impression. Peut-être que c’était la fatigue parce qu’il y avait le décalage horaire, même s’ils étaient partis la nuit et arrivé le matin mais on ne pouvait pas dire qu’ils avaient dormis correctement. « Tu sais que tu peux me le dire ou demander si tu as besoin, viens on rentre à l’appart alors. » Elle lui dit en attrapant son bras. « Désolée, je suis contente d’être ici et je n’ai pas pensé au fait que tu pouvais être fatigué. » Elle savait malgré tout que si elle se poserait alors elle finirait par s’endormir. « C’est à moi de m’occuper de toi du coup. » Elle lui dit avec un petit sourire alors qu’ils prennent le chemin de l’appartement. Elle le suit parce qu’elle ne connaissait pas le chemin comparé à Victor. « Je te prépare un café et un truc à grignoter ? » Elle pourrait se débrouiller avec les moyens du bord.

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Dim 9 Mai - 21:19
Victor secoue la tête à la question de Briséïs avant d’hausser nonchalamment les épaules « Non, quelques une mais celle qui reste toujours dans ma tête et mon esprit est fiancée alors bon, il faut bien que je trouve une solution quelque part. » Il aimait bien la taquiner et il savait qu’elle ne le prendrait pas mal, après tout il ne faisait qu’émettre une vérité dont elle était au courant. Pourquoi se vexerait-elle ? Parce qu’il lui disait qu’il y en avait une autre ? Il n’en y avait pas vraiment d’autres, que des filles qu’il ramenait de temps en temps à l’appartement après avoir swiper vers la droite, rien de plus, rien de moins. Et puis, au fond, elle n’avait pas grand chose à dire puisqu’elle avait quelqu’un et que les pensées que Victor pouvait avoir ne resterait que des pensées. Parce qu’il ne se passerait rien, même s’il le souhaitait au fond de lui. Il était quelqu’un qui respectait les autres et surtout leurs relations alors ce qui se passait dans sa tête resterait dans sa tête. Il secoue la tête positivement à l’évocation des surprises et ne peut s’empêcher de sourire, si elle savait. Elle n’aurait pas le temps de penser. Puisqu’il comptait bien les occuper tous les jours de la semaine. Et quand elle accepte d’aller boire un çafé, il est très heureux. Parce qu’il a besoin de caféine pour pouvoir vivre décemment. Il lui offre un petit sourire en coin quand elle lui demande pour ses douleurs et répond alors « Oui, j’ai mal a la nuque, je pense que j’ai dû dormir dans une sale position dans l’avion et du coup ça se réveille. » explique t-il en se pinçant les lèvres avec une petite grimace. « Je t’avoue que je ne dirais pas non à un massage pour le coup. » Même si ce serait sûrement dépasser la limite invisible qu’il s’était imposé dans son esprit mais tant pis. Il avait vraiment mal et il n’arriverait pas à faire passer la douleur seul. Le bras de Briséïs contre le sien, il avance en soupirant « Et tu recommences encore à t’excuser. » dit-il en riant un peu avant de reprendre « Ce n’est pas grave, je pensais aussi que je pourrais assumer la journée mais visiblement, non. » Et puis s’ils sortaient ce soir, il fallait qu’il soit réveillé, sa soeur ne lui permettrait pas de sortir l’excuse de la fatigue. Il ne peut s’empêcher de glousser comme un adolescent quand elle fait un sous-entendu et se racle la gorge pour reprendre une contenance « Oui, c’est ça, il faut que tu t’occupes de moi. » prononce t-il avec un sourire goguenard avant d’avancer jusque l’appartement. Quand ils arrivent à l’appartement, il ouvre la porte et se débarrasse des clés et de sa veste dans la coupelle de l’entrée avant de la regarder « Oh oui, pourquoi pas. Par contre, je ne sais pas si ma grand-mère a fait les courses avant. Donc ça se trouve il faudra qu’on aille en faire d’ailleurs. Mais normalement, elle m’a dit qu’on aurait de quoi se nourrir à l’arrivée alors. » Il hausse les épaules et la laisse vaquer à ses occupations alors qu’il en profite pour se changer et troquer son pull contre une chemise et changer de jean, quand il revient dans la cuisine, il est toujours en train de boutonner sa chemise, comme si c’était normal avant de la regarder « Je ne pouvais rêver meilleure accompagnatrice quand j’y pense. Tu sais comment je prend mon café et ça c’est réellement cool. » Parce qu’elle n’allait pas poser tant de questions que ça, il s’approche alors d’elle, et doucement, il pose ses lèvres contre son front, avant de se reculer « Tu me promets que tu ne penseras qu’à ce voyage durant cette semaine ? » Il ne voulait pas que les pensées négatives interfèrent dans son esprit. Il ne voulait pas qu’elle passe de mauvais moments parce que son esprit était parti à New York. Il voulait qu’elle soit là où elle était et pas ailleurs. Parce qu’elle méritait le meilleur et penser à celui qu’elle avait laissé ne lui ferait que penser à toutes ces choses négatives qui régissent sa vie là-bas et Victor ne souhaitait pas ça.

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Lun 10 Mai - 15:32
Pourquoi est-ce qu’elle pose cette question Briséïs ? Pourquoi est-ce qu’elle a envie de savoir ? Une part d’elle souri parce qu’elle est la seule dans la tête de Victor. Pourtant, est-ce qu’elle a le droit de penser ainsi ? Non. Elle était fiancée et il lui avait dit. Il ne peut rien se passer entre eux et elle n’a pas pour autant envie qu’il y ait une autre femme mais elle ne peut rien exiger. Elle se tait. Elle ne continue pas sur ce sujet parce qu’elle sait que ça pourrait prendre une direction qu’ils ne voudraient pas. Ils étaient ici, ils étaient bien alors pourquoi tout gâcher ? Elle voulait profiter de ces jours qui passeraient bien trop vite à son goût. « Je ne dis pas que je suis une très bonne masseuse mais je peux essayer d’arranger ça à l’appart alors. » Elle lui dit avec un sourire. Elle n’avait pas d’huiles ou quoique ce soit mais ce n’était pas si compliqué. Elle tenterait de faire partir un peu la douleur. « Je te jure que je l’ai pas fait exprès. » C’est une mauvaise manie chez elle. Elle a dû s’excuser un bon paquet de fois avec Victor mais pour le coup, elle n’avait pas fait attention. « C’était quand même un paquet d’heures de vols, c’est normal. » Il n’était pas un super héros et puis bon, il en faisait déjà beaucoup alors finalement, un peu de repos ne serait pas de refus. Elle rentre à l’intérieur de l’appartement et dépose ses affaires. « T’en fais pas, je vais sûrement trouver de quoi faire et puis si on mange avec ta sœur, je suppose qu’il faut qu’on fasse de la place. » Briséïs avait tout de même envie de connaître la culture de Paris ainsi que la cuisine. Si c’était pour manger les mêmes choses qu’elle pouvait manger à New York, ce n’était pas vraiment la peine. Elle récupère les deux tasses puis lance une machine à café. Elle trouve des œufs, du lait et d’autres trucs alors elle décide de préparer des pancakes. Elle en prendrait bien aussi. Elle se retourne vers Victor quand celui-ci revient. Elle ne peut s’empêcher de rougir en le voyant. «C’est une question d’habitude. » Parce que ce n’est pas le premier café qu’ils prennent tous les deux. Elle sait que Victor a des doutes sur son fiancé mais elle ne veut pas y penser maintenant. Elle ne veut pas lui dire, même si elle n’aime pas pour autant lui mentir. Elle veut se sortir de là toute seule, sans impliquer qui que ce soit. Elle ne veut pas qu’il soit blessé. « Bien sûr, je ne peux que penser à nous deux dans cette belle ville. » Elle lui dit avec un sourire avant de déposer les pancakes dans l’assiette. « Et maintenant, tu devrais manger ça tant que c’est chaud. » Elle récupère les deux tasses de café et lui en tend une. « Tiens. Installes toi. » Elle le laisse faire puis se pose derrière lui. Elle pose ses mains sur sa nuque. « C’est ici que tu as mal ? » Elle lui souffle avant de commencer à masser cet endroit. « On sera mieux sur le lit, si tu préfères. » Ce serait plus confortable, mais là encore, elle manque peut-être de faire une boulette.

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Mar 18 Mai - 21:41

Pourquoi il a la nette impression que ce massage est une mauvaise idée Victor ? Pourquoi il se dit que ce n’est absolument pas quelque chose à faire ? Mais il a envie de plonger la tête la première, il a envie de se jeter dans le grand bain, sans brassards, sans rien. Sauter la tête la première dans un monde de questionnements, dans un monde où les questions n’obtiendront jamais de réponses. Parce qu’après tout, elle est fiancée, il sait si bien lui dire. Que ce n’est pas une bonne idée mais il s’en fiche, elle sera sa mauvaise idée « Oui, puis la prochaine fois, j’achèterais les coussins de grand-mère, tu verras, je serais trop beau. » rit-il en prenant la pose. Et plus que la douleur dans la nuque, il a faim et Briséïs a l’air de le savoir. Il s’éclipse pour se changer, se sentir un peu plus frais. Et la bonne odeur qui émane de la cuisine lui fait du bien et lui donne l’eau à la bouche. L’odeur du café et des pancakes, c’est peut-être l’une de ses odeurs préférées quand il y pense. Et il est presque satisfait de savoir qu’elle ne pensera qu’à eux deux durant tout ces moments avec lui. Mais est-ce que ce serait la vérité ? Sûrement pas. Quand elle lui râle un peu dessus (gentiment) il récupère la tasse de café et en boit une gorgée avant de prendre un bout de pancakes pour finir par s’installer convenablement pour qu’elle puisse le masser. Il ferme les yeux, sa tasse de café qu’il a posé sur la table basse en face de lui tout comme les pancakes et il sent un frisson qui lui parcourt l’échine quand elle commence son massage. Et il hoche positivement la tête rien qu’un petit peu, en s’humidifiant les lèvres. Et il hausse simplement les épaules quand elle lui propose d’aller s’allonger sur le lit. « Allez viens, tu le répètes assez que nous ne faisons rien de mal. Et puis promis, je sais me contenir. » rétorque t-il avec un sourire en coin avant de saisir sa main pour l’attirer jusque la chambre.Il se promet que ce sera la seule et unique fois qu’il partagera son lit. C’est une promesse solennelle qu’il se fait alors qu’il s’allonge sur le ventre après avoir viré ses chaussures et croiser ses bras sous son menton, ses yeux qui se ferment tandis qu'il prononce « Tu fais les meilleurs massages. » Et puis il ne se sent pas partir Victor, Briséïs qui le masse et il se contente de répondre à ses questions par des onomatopées avant de sombrer dans les bras de Morphée, sans aucune gêne, sans aucune honte. Foutu jet lag.

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