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A découvrir It's the most wonderful time of the year /tc the rip and family\
@ Invité
Noël, quelle belle période. J'adore cette fête en fait. Tout le monde est plus heureux, plus généreux, plus tout. Vive la magie de noël. Avec Teddy, ça fait déjà des semaines qu'on regarde des films de noël ensemble. Sur ma chaîne, je ne fais que des vidéos de noël depuis fin novembre. J'ai commencé par des idées cadeaux, puis une sur les décos de l'appartement. Plusieurs commentaires mentionnaient que j'avais beaucoup de décorations, mais pour moi, il y en a jamais assez. Des guirlandes lumineuses un peu partout. Un magnifique et grand sapin dans le salon où il y a déjà une tonne de cadeaux. Teddy sera encore extrêmement gâté cette année... Et il n'y a même pas les cadeaux de ses tantes et oncles! Heureusement qu'il n'est pas devenu un enfant roi à cause de tout ça.
Aujourd'hui, c'est enfin la journée de notre party en famille. Celle qu'on s'est construite avec le groupe de Karl. Malheureusement, Shawn travaille, donc il ne pourra pas venir. Tout est prêt. Enfin, presque. Moi, je suis loin d'être prête et il ne reste que le repas principal à terminer. Le reste, je l'ai fait en vidéo, donc c'est un gain de temps ! Les encas pour le avant souper et le après souper sont prêts. Et il y a quelques desserts qui sont prêts aussi, mais il me manque de la farine et quelques autres petits trucs pour les terminer ! J'ai alors envoyé Karl en chercher. J'ai pas le temps d'aller les faire des courses. Teddy, lui, il joue dans le salon en regardant un autre film de noël. Il est tellement mignon. Comme je ne peux plus avancer en cuisine, je décide d'aller dresser la table. Une belle nappe rouge habille la table et au centre de la table se trouve une guirlande de sapin lumineuse. Oui, il a de la déco partout. Assiettes, ustensiles et verre à thématique de noël se retrouve sur la table. Profitant que c'est bientôt l'heure que les invités arrivent, je vais aider Teddy à se changer et se mettre tout beau pour ce réveillon. Une fois mon fils prêt, c'est à mon tour d'aller me changer pour mettre la tenu que Karl m'a préparé. Une jolie robe noire juste assez sexy. Heureusement puisque mes parents m'ont dit qu'ils allaient venir faire un tour ! J'enfile une paire d'escarpin rouge et quelques bijoux. Le maquillage, je le laisse à Karl, il fait ça plus vite que moi de toute façon. De retour dans la pièce à vivre, je me fais accueillir par Teddy qui me trouve magnifique. Un petit bec et un merci plus tard, je refais le tour de l'appartement pour m'assurer que tout est prêt. Je sors même déjà les encas et quelques bouteilles d'alcool. Mais surtout, je m'assure que Karl n'a laissé aucun sachet visible nul part. Que tout est bien caché et là, c'est même pas pour Teddy principalement que je le fais, mais bien pour Tony. Je sais à quel point c'est dur d'arrêter et à quel point ça lui demande de venir fêter noël ici alors autant tout faire pour l'aider à se sentir bien. Je vais même garder à l'oeil Karl pour ne pas qu'il en prenne. Pour Tony. Et pour mes parents aussi ! Faudrait pas qu'ils fassent un scandale à cause de ça ou qu'ils me foutent la pression pour que je déménage de chez lui s'ils apprennent qu'il se drogue. Pense pas à ça, Angie, tout va bien se passer. Karl va arriver avec ce qu'il te manque, tu vas pouvoir tout terminer et tout le monde aura du plaisir.
Aujourd'hui, c'est enfin la journée de notre party en famille. Celle qu'on s'est construite avec le groupe de Karl. Malheureusement, Shawn travaille, donc il ne pourra pas venir. Tout est prêt. Enfin, presque. Moi, je suis loin d'être prête et il ne reste que le repas principal à terminer. Le reste, je l'ai fait en vidéo, donc c'est un gain de temps ! Les encas pour le avant souper et le après souper sont prêts. Et il y a quelques desserts qui sont prêts aussi, mais il me manque de la farine et quelques autres petits trucs pour les terminer ! J'ai alors envoyé Karl en chercher. J'ai pas le temps d'aller les faire des courses. Teddy, lui, il joue dans le salon en regardant un autre film de noël. Il est tellement mignon. Comme je ne peux plus avancer en cuisine, je décide d'aller dresser la table. Une belle nappe rouge habille la table et au centre de la table se trouve une guirlande de sapin lumineuse. Oui, il a de la déco partout. Assiettes, ustensiles et verre à thématique de noël se retrouve sur la table. Profitant que c'est bientôt l'heure que les invités arrivent, je vais aider Teddy à se changer et se mettre tout beau pour ce réveillon. Une fois mon fils prêt, c'est à mon tour d'aller me changer pour mettre la tenu que Karl m'a préparé. Une jolie robe noire juste assez sexy. Heureusement puisque mes parents m'ont dit qu'ils allaient venir faire un tour ! J'enfile une paire d'escarpin rouge et quelques bijoux. Le maquillage, je le laisse à Karl, il fait ça plus vite que moi de toute façon. De retour dans la pièce à vivre, je me fais accueillir par Teddy qui me trouve magnifique. Un petit bec et un merci plus tard, je refais le tour de l'appartement pour m'assurer que tout est prêt. Je sors même déjà les encas et quelques bouteilles d'alcool. Mais surtout, je m'assure que Karl n'a laissé aucun sachet visible nul part. Que tout est bien caché et là, c'est même pas pour Teddy principalement que je le fais, mais bien pour Tony. Je sais à quel point c'est dur d'arrêter et à quel point ça lui demande de venir fêter noël ici alors autant tout faire pour l'aider à se sentir bien. Je vais même garder à l'oeil Karl pour ne pas qu'il en prenne. Pour Tony. Et pour mes parents aussi ! Faudrait pas qu'ils fassent un scandale à cause de ça ou qu'ils me foutent la pression pour que je déménage de chez lui s'ils apprennent qu'il se drogue. Pense pas à ça, Angie, tout va bien se passer. Karl va arriver avec ce qu'il te manque, tu vas pouvoir tout terminer et tout le monde aura du plaisir.
@ Invité
- En mission d’urgence?
Jane passa derrière Karl, l’enveloppant de son parfum et de sa voix chaude et exotique… Elle se retourna pour lui faire face, souriante. C’est toujours difficile de cerner l’âge d’un métisse. Mais ce soir, Jane est aussi radieuse qu’un matin de ses 20ans, avec toute l’assurance de la femme adulte qui souhaite plaire.
Parce que Tony et elle s’étaient donnés rendez-vous.
- Je ne t’ai pas consulté cette fois, je me suis fiée à mon instinct…
Sous son long manteau noir, elle portait une robe de soie rouge éclatante sur laquelle une artiste avait élaboré un fin motif le libellule à la dorure… C’était peut-être même elle… Elle fit une vrille sur elle-même pour se faire admirer. Jane aimait être admirée. Elle ne portait que des escarpins noir et quelques diamants discret… Rien du glam tapageur qu’il lui connaissait, tout en richesse et en élégance.
- Tu crois que j’ai des chances avec Tony ce soir? Demanda-t-elle avec espièglerie.
Bien sûr…
- Je suis passée récolter quelques citrons, limettes, et du sirop de grenadine pour faire des drinks à Trevor… As-tu finis tes achats?
Suspendu à son bras, elle portait un sac qui devait contenir quelques bouteilles… Jane apportait les bulles… Elle avait du gout pour le champagne, elle avait le sens de l’événement!
Jane le suivit encore, faisant résonner ses talons sur le sol, jusqu’à ce qu’il soit venu à bout de sa liste, puis l’accompagna à la maison, l’aidant même à porter ses achats. Elle était de bonne compagnie. Elle était toujours de bonne compagnie. Elle avait demandé le divorce à Tony; ils étaient tous au courant… Et ils n’étaient pas rabiboché, pas encore… Mais Jane avait le chic de rendre les gens à l’aise, de se montrer spirituelle et d’éviter les sujets qu’elle ne souhaitait pas aborder.
Jane passa derrière Karl, l’enveloppant de son parfum et de sa voix chaude et exotique… Elle se retourna pour lui faire face, souriante. C’est toujours difficile de cerner l’âge d’un métisse. Mais ce soir, Jane est aussi radieuse qu’un matin de ses 20ans, avec toute l’assurance de la femme adulte qui souhaite plaire.
Parce que Tony et elle s’étaient donnés rendez-vous.
- Je ne t’ai pas consulté cette fois, je me suis fiée à mon instinct…
Sous son long manteau noir, elle portait une robe de soie rouge éclatante sur laquelle une artiste avait élaboré un fin motif le libellule à la dorure… C’était peut-être même elle… Elle fit une vrille sur elle-même pour se faire admirer. Jane aimait être admirée. Elle ne portait que des escarpins noir et quelques diamants discret… Rien du glam tapageur qu’il lui connaissait, tout en richesse et en élégance.
- Tu crois que j’ai des chances avec Tony ce soir? Demanda-t-elle avec espièglerie.
Bien sûr…
- Je suis passée récolter quelques citrons, limettes, et du sirop de grenadine pour faire des drinks à Trevor… As-tu finis tes achats?
Suspendu à son bras, elle portait un sac qui devait contenir quelques bouteilles… Jane apportait les bulles… Elle avait du gout pour le champagne, elle avait le sens de l’événement!
Jane le suivit encore, faisant résonner ses talons sur le sol, jusqu’à ce qu’il soit venu à bout de sa liste, puis l’accompagna à la maison, l’aidant même à porter ses achats. Elle était de bonne compagnie. Elle était toujours de bonne compagnie. Elle avait demandé le divorce à Tony; ils étaient tous au courant… Et ils n’étaient pas rabiboché, pas encore… Mais Jane avait le chic de rendre les gens à l’aise, de se montrer spirituelle et d’éviter les sujets qu’elle ne souhaitait pas aborder.
@ Invité
It's the most wonderful time of the year
Feat. The Rip and Fam
⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝
Noël, une fête qu’il aurait laissé tombé si ça n’avait pas été d’Angie et The Rip. Une fête qui de base, n’avait pas grande signification si ce n’était que elle fait de voir ses parents l’espace d’une soirée. Donc après un certain temps, la fameuse magie de Noël s’est rapidement effacé. Tout ça pour dire qu’il n’est pas trop fan de cette fête, mais pour son bien, il se laisse trainer dans ces fameux réveillons et diner de Noël qu’il voit comme une simple réunion des gens qu’il aime et leur potentiel à côté. Après, avec Miss Princesse de Noël comme meilleure amie, dur de faire autrement. Donc disons qu’il n’a pas hésité à accepté quand Angie lui a demandé d’aller chercher ce qui lui manquait pour finir la bouffe de dernière minute. Ça lui donnait un bon prétexte pour s’enfuir et de se retrouver seul ne serait-ce que l’espace d’un instant. Un court instant, puisque son moment de solitude se voit brisé par une odeur et une voix familière. Bon okay, ça aurait pu être pire, du genre que ça aurait pu être Tony. Quentin laissa échapper un léger rire à cette pensé. Il se tourna vers Jane, un sourire aux lèvres.
Tu me connais, hère to save the day.
Il la regarda de haut en bas et de bas en haut, l’admirait alors qu’elle fit un vrille et hocha la tête.
Ton instinct a bien parlé et quelle question.! Disa-t-il d’un ton qui voulait clairement dire Question stupide, c’est évident que oui! et avec amusement.
Oh j’espère que tu vas m’en faire aussi hein ! Presque, il me manque juste quelques petits trucs.
Il fini donc de ramasser ce qui se trouve sur sa liste, accompagné de la douce mélodie du claquement de talon, allez savoir pourquoi il aime ce son et, un coup les achats fait, retourne à la maison, accompagné de sa charmante Jane. Il la remercia d’ailleurs de son aide pour transporter le tout lorsque le tout est déposé à la cuisine et il disparu, à sa chambre. Il se changea rapidement, revenant en homme sombre, sobre, mais chic et regarda Angie.
Tu finis ça et après, tu passes sous le pinceau chérie.
Tu me connais, hère to save the day.
Il la regarda de haut en bas et de bas en haut, l’admirait alors qu’elle fit un vrille et hocha la tête.
Ton instinct a bien parlé et quelle question.! Disa-t-il d’un ton qui voulait clairement dire Question stupide, c’est évident que oui! et avec amusement.
Oh j’espère que tu vas m’en faire aussi hein ! Presque, il me manque juste quelques petits trucs.
Il fini donc de ramasser ce qui se trouve sur sa liste, accompagné de la douce mélodie du claquement de talon, allez savoir pourquoi il aime ce son et, un coup les achats fait, retourne à la maison, accompagné de sa charmante Jane. Il la remercia d’ailleurs de son aide pour transporter le tout lorsque le tout est déposé à la cuisine et il disparu, à sa chambre. Il se changea rapidement, revenant en homme sombre, sobre, mais chic et regarda Angie.
Tu finis ça et après, tu passes sous le pinceau chérie.
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PIVETTE
@ Invité
IT'S THE MOST WONDERFUL
TIME OF THE YEAR
TIME OF THE YEAR
Feat. THE RIP FAMILY
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La période avait une saveur particulière pour Dgee, il y avait la partie amusante, joyeuse avec la famille qu'elle s'était construite et qu'elle aimait plus que tout. Et le lendemain il y avait le repas de famille avec ses parents, qu'elle aimait de tout son cœur bien entendu mais depuis que sa sœur n'était plus de ce monde c'était une journée un peu étrange, elle finissait toujours par broyer du noir et sombrer dans les paradis artificiels. Mais depuis bientôt trois ans cela n'était plus le cas, plus depuis qu'elle était clean, elle broyait toujours du noir ce soir là mais sans se réfugier dans la drogue. Elle avait passé une partie de la journée à préparer les plats du lendemain, rien de très élaboré mais elle avait eu à cœur de les préparer elle-même pour ses parents, elle aurait donc l'occasion de profiter pleinement de la soirée avec ses amis.
Arrivée chez Angie et Karl, elle sonne et entre sans attendre qu'on vienne lui répondre, les bras chargés elle est accueillie par son filleule qui ouvre de grands yeux en voyant les paquets qu'elle porte. "Teddy … est-ce que t'as mis mon adresse sur ta liste pour le Père Noël ? Parce qu'il a déposé ça chez moi mais il y a ton nom dessus …" Voyant Angie apparaitre, Dgee lui adresse un clin d'œil qui veut clairement dire merci de m'avoir dit ce qu'il voulait pour que je ne lui offre pas de trucs trop nuls ! Suivant le gamin pour déposer les paquets sous le sapin, sortant un autre paquet aussi fin qu'une enveloppe elle passe sa main dans les cheveux de Teddy en la lui tendant. "J'ai entendu dire que t'étais triste de plus avoir tes beaux dessins sur ton plâtre, alors j'ai demandé à mon ami tatoueur de t'en faire de nouveau. Mais seulement pour les vacances hein on va pas t'envoyer à l'école avec des faux tatouages …" Revenant vers Angie elle la prend dans ses bras et lui glisse à l'oreille "Oui, promis ça part après deux ou trois douches …" La relâchant elle regarde autours d'elle. "On vous a abandonné ? Dis moi ce que je peux faire pour t'aider, je suis à tes ordres et je me changerai ensuite." Elle la suivie pour aller lui prêter main forte en cuisine et voyant les plats déjà préparés et ceux restant à faire elle éclata de rire. "Sérieusement Angie, je sais qu'on mange beaucoup mais tu vas pouvoir nourrir tout le quartier avec ça !"
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PIVETTE
@ Invité
- Bonsoir Angie! Dgee! Vous m’avez manqué les filles! Fit Jane avec une sorte de gourmandise.
Elles lui avaient manquée... Pour vrai. Et son grand sourire tout rouge était sincère. Jane posa les sacs sur le sol avec ceux de Karl…
- Je crois que tu trouveras tout ce qu’il te manquait là-dedans! Oh, est-ce qu’il reste de la place dans le frigo pour mettre le champagne au frais? Demanda-t-elle en se dirigeant vers l’électroménager… Le champagne est bien glacé mais il ne faudrait pas qu’il ait le temps de chambrer!
La belle métisse joua un peu à Tétris et réussi à caser l’inventaire… Elle enleva ensuite son manteau qu’elle roula en boule avant d’aller le jeter sur le lit de Teddy. Elle prit son temps pour faire la fête au gamin…
- Nous serons combien de convives? Qui sera là? Demanda-t-elle avec curiosité en revenant vers les filles. Pour ce soir, considérez-moi comme l’invité de Tony… demanda-t-elle avec un clin d’œil complice à l’adresse des deux filles…
Parce qu’il y aurait bientôt un éléphant dans la pièce. Jane n’aimait pas rendre les gens mal à l’aise. Elle avait poliment décliné toutes invitations de la bande afin de laisser l’espace à Tony. C’était évident qu’il souhaitait l’éviter… Jusqu’à maintenant… Et il n’y avait que Tony d’assez obstiné pour croire qu’elle allait revenir sur sa demande de divorce.
Elle n’avait pas été parmi eux depuis 2ans. Il y avait de quoi être mal à l’aise… Comment allait-elle se présenter? Comme la femme de Tony? Ou comme la future ex-femme de Tony? Statuquo.
- Oh! Et si on se préparait des cocktails? Je vous fais une variante Manhattan à la canne de bonbon?
Elles lui avaient manquée... Pour vrai. Et son grand sourire tout rouge était sincère. Jane posa les sacs sur le sol avec ceux de Karl…
- Je crois que tu trouveras tout ce qu’il te manquait là-dedans! Oh, est-ce qu’il reste de la place dans le frigo pour mettre le champagne au frais? Demanda-t-elle en se dirigeant vers l’électroménager… Le champagne est bien glacé mais il ne faudrait pas qu’il ait le temps de chambrer!
La belle métisse joua un peu à Tétris et réussi à caser l’inventaire… Elle enleva ensuite son manteau qu’elle roula en boule avant d’aller le jeter sur le lit de Teddy. Elle prit son temps pour faire la fête au gamin…
- Nous serons combien de convives? Qui sera là? Demanda-t-elle avec curiosité en revenant vers les filles. Pour ce soir, considérez-moi comme l’invité de Tony… demanda-t-elle avec un clin d’œil complice à l’adresse des deux filles…
Parce qu’il y aurait bientôt un éléphant dans la pièce. Jane n’aimait pas rendre les gens mal à l’aise. Elle avait poliment décliné toutes invitations de la bande afin de laisser l’espace à Tony. C’était évident qu’il souhaitait l’éviter… Jusqu’à maintenant… Et il n’y avait que Tony d’assez obstiné pour croire qu’elle allait revenir sur sa demande de divorce.
Elle n’avait pas été parmi eux depuis 2ans. Il y avait de quoi être mal à l’aise… Comment allait-elle se présenter? Comme la femme de Tony? Ou comme la future ex-femme de Tony? Statuquo.
- Oh! Et si on se préparait des cocktails? Je vous fais une variante Manhattan à la canne de bonbon?
@ Invité
It’s the most wonderful
time of the year
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Feat. The rip and fam
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À peine laisse-t-il le temps à Angie de lui répondre qu’il ramasse son paquet de cigarette et son briquet pour ensuite se rendre à la porte de la terrasse. Par respect au non fumeur, principalement pour Teddy, il va fumer à l’extérieur. Il prend place sur la chaise berçante se trouvant sur la terrasse , allumant sa première clope et la grille, lentement, mais sûrement. Il regarde la neige tomber du ciel et ça lui fait réaliser qu’il n’a pas pris son manteau avant de sortir. Et bien tant pis, ainsi soit-il. Il reste assis là, silencieusement à regarder la fumé de sa cigarette se mélanger avec sa respiration dans l’air froid. Chaque fois, en ce temps-ci de l’année, il ressent ce besoin d’isolation. Aussi étrange que ça puisse l’être avec lui, il est toujours plus calme, silencieux et ouai, quelque peu dépressif. Karl remonte ses jambes vers lui, posant les pieds sur la siège de la chaise et appuis ses bras sur ses genoux. Il fronce les sourcils en voyant sa cigarette entièrement grillée et la jette pour en rallumer une autre. Eh, s’il peut passer plus de temps dehors sans que les autres s’en rendent compte, alors soit ! En plus, ils ne sont pas encore tous arrivés, donc il n’est pas trop malpolis.
Bon, en toute honnêteté, il sait pas ça fait combien de temps qu’il est assis là, mais il sait qu’il est sur le point de passer au travers de son paquet de cibiche. Eh merde… Il tourne la tête pour regarder les femmes parler, s’activer. Ce qu’il les aime ces femmes, ça y’a pas à dire. Il doit s’avouer content qu’elles fassent parti de sa vie, parce qu’elles ont ce don de mettre de la joie dans son coeur. Bien souvent, il espère qu’il leur apporte autant de joie qu’elles peuvent lui apporter. Il secoue la tête de droite à gauche, pour se ressaisir un peu et rit silencieusement. Oui, il fait défaut son cerveau, mais c’est Karl. Karl restera toujours dur à suivre.
Bon, en toute honnêteté, il sait pas ça fait combien de temps qu’il est assis là, mais il sait qu’il est sur le point de passer au travers de son paquet de cibiche. Eh merde… Il tourne la tête pour regarder les femmes parler, s’activer. Ce qu’il les aime ces femmes, ça y’a pas à dire. Il doit s’avouer content qu’elles fassent parti de sa vie, parce qu’elles ont ce don de mettre de la joie dans son coeur. Bien souvent, il espère qu’il leur apporte autant de joie qu’elles peuvent lui apporter. Il secoue la tête de droite à gauche, pour se ressaisir un peu et rit silencieusement. Oui, il fait défaut son cerveau, mais c’est Karl. Karl restera toujours dur à suivre.
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PIVETTE
@ Invité
Je ne suis pas des plus surprises lorsque j’entends Teddy s’exclamé lorsque Dgee rentre dans l’appartement. Je me doutais bien qu’elle allait arriver un peu plutôt pour m’aider à tout finir. Elle fait toujours ça de toute façon. Je reviens vers l’entrée, juste à temps pour voir Teddy et Dgee se faire un gros câlin qui me fait sourire. Je remarque aussi très vite à quel point mon fils est surexcité par tous les cadeaux que sa tante à apporter. Je n’en doute pas une seule seconde, il va être très gâté encore cette année.
- Mais, pourquoi le père-noël a déjà apporté un cadeau s’il ne vient que ce soir ?
Je ne peux que laisser échapper un rire à la question de Teddy. Il est très rapide mon petit bonhomme. Bien vite, il passe à autre chose et traîne sa tante jusqu’au sapin pour qu’elle y dépose les cadeaux. Je suis tout aussi intriguée par l’enveloppe qu’elle tend à Ted qu’il l’ait lui aussi. Bon, c’est sûr que son air intrigue laisse rapidement place à son air totalement enjoué et surexcité en apprenant qu’il va avoir des tatous comme son père. Et moi je ne peux que lever les yeux au ciel. J’ai déjà peur de son adolescence. Je sens qu’il va nous demander souvent pour des tatous.
Je prends ma meilleure amie dans mes bras et laisse un petit rire franchir la limite de mes lèvres aux paroles de mon amie qui se veulent rassurants.
- J’espère bien !
Je laisse échapper ces quelques mots avant d’hocher la tête à sa question.
- J’ai envoyé Karl faire quelques courses puisqu’il me manquant certains trucs pour tout terminer. Tu peux te changer tout de suite si tu veux, je le suis déjà alors on aura qu’à mettre des tabliers même si je crois que ce ne sera pas utile puisque tout est presque terminé.
Tout en parlant, j’ai regagné la cuisine, non sans lancer un regard à Teddy qui s’était déjà remis à jouer dans le salon. À l’exclamation de Dgee, je lève mes mains en l’air et fait une petite moue pour me rendre innocente.
- Si tu savais tous les invités qu’on attend, tu ne dirais pas ça. Puis, mes parents viennent alors j’ai pas le choix que tout soit parfait si je veux avoir le moins de commentaires possibles. En plus, ça l’air pire que c’est.
Je finis par rigoler doucement bien vite couper par la voix de Jane. Qu’est-ce que je suis contente de la voir ce soir. Et Teddy lui, il a déjà fait un câlin à son père pour ensuite le suivre à sa chambre tout en lui parlant du petit cadeau de Dgee.
- Bonsoir Jane. Tu m’as manqué aussi, tellement ! Je compte sur toi biche !
Je termine par m’adresser à Karl tandis que Teddy retourna à son jeu.
- Oh euh ! Essaye de lui trouver de la place sinon je peux en faire. Il y a surement deux trois trucs que je peux déjà sortir.
Le reste m’échappa puisque je remarque Karl partir sur la galerie avec ses cigarettes. Je me mordille la lèvre légèrement en me demandant s’il est ok. Au fil des ans, j’ai bien remarqué que la période des fêtes était toujours dure pour mon meilleur ami. Monsieur et Madame Karlson faisaient toujours de leur mieux pour être présent lors de cette période alors je n’ose même pas m’imaginer comment ça peut être dure pour lui à chaque année. J’ai aussi appris au fils des ans qu’il a besoin de s’isoler un peu alors je le laisse faire même si je le garde à l’œil sans qu’il ne le remarque.
- Hum ! Tout le groupe, grâce à monsieur Chatwood qui va s’assurer que Tony vienne. Il va aussi avoir mes parents et je crois que c’est tout en fait.
Je regarde mon amie en haussant les sourcils de façon suggestive avec un sourire amusé sur les lèvres.
- Ouuuh ! Tu as quelque chose à nous révéler ?
Je demande en rigolant tout en la poussant légèrement avec mon épaule.
- Je suis totalement partante ! J’ai besoin de courage pour affronter mes parents ce soir ! Je te laisse préparé ça et moi je file terminer le repas principal avec Dgee pour qu’elle puisse aller se changer elle aussi.
Avec un grand sourire, j’attrape les sac de courses remplis de ce dont j’ai besoin, aidé par Dgee. Tout en finissant de préparer le plat, je reprends la parole.
- Et sinon, quoi de neuf Jane ? Il doit bien y avoir du neuf en deux ans non ?
Je lui lance un regard en mettant les petites saucisses enrouler de bacon dans le four. C’est là que je remarque réellement que Karl est toujours dehors sans de manteau. Tout en écoutant mon amie, j’attrape le manteau de mon meilleur ami et celui de mon fils et je m’approche de mon fils. Je me penche à sa hauteur et lui tend les manteaux.
- Eh mon grand, tu veux bien apporter ça à papa ? Mets le tien aussi.
Il hoche la tête tout heureux et enfile son manteau avant de partir en courant dehors rejoindre son père. Pour ma part, je me reconcentre sur mes amies et la cuisine.
Teddy sorti sur la balcon et tendis le manteau à son père.
- Faut pas sortir sans manteau l’hiver papa, tu sais bien, tu me le répètes tout le temps.
Dit-il de sa petite voix tout en restant à côté de lui.
- Pourquoi tu es triste aujourd’hui ? C’est noël, faut pas être triste. Je t’ai fait un cadeau, tu vas en avoir un.
Demande-t-il avant de grimper sur les genoux de son père lorsqu’il a mis son manteau pour venir lui faire un gros câlin.
- Mais, pourquoi le père-noël a déjà apporté un cadeau s’il ne vient que ce soir ?
Je ne peux que laisser échapper un rire à la question de Teddy. Il est très rapide mon petit bonhomme. Bien vite, il passe à autre chose et traîne sa tante jusqu’au sapin pour qu’elle y dépose les cadeaux. Je suis tout aussi intriguée par l’enveloppe qu’elle tend à Ted qu’il l’ait lui aussi. Bon, c’est sûr que son air intrigue laisse rapidement place à son air totalement enjoué et surexcité en apprenant qu’il va avoir des tatous comme son père. Et moi je ne peux que lever les yeux au ciel. J’ai déjà peur de son adolescence. Je sens qu’il va nous demander souvent pour des tatous.
Je prends ma meilleure amie dans mes bras et laisse un petit rire franchir la limite de mes lèvres aux paroles de mon amie qui se veulent rassurants.
- J’espère bien !
Je laisse échapper ces quelques mots avant d’hocher la tête à sa question.
- J’ai envoyé Karl faire quelques courses puisqu’il me manquant certains trucs pour tout terminer. Tu peux te changer tout de suite si tu veux, je le suis déjà alors on aura qu’à mettre des tabliers même si je crois que ce ne sera pas utile puisque tout est presque terminé.
Tout en parlant, j’ai regagné la cuisine, non sans lancer un regard à Teddy qui s’était déjà remis à jouer dans le salon. À l’exclamation de Dgee, je lève mes mains en l’air et fait une petite moue pour me rendre innocente.
- Si tu savais tous les invités qu’on attend, tu ne dirais pas ça. Puis, mes parents viennent alors j’ai pas le choix que tout soit parfait si je veux avoir le moins de commentaires possibles. En plus, ça l’air pire que c’est.
Je finis par rigoler doucement bien vite couper par la voix de Jane. Qu’est-ce que je suis contente de la voir ce soir. Et Teddy lui, il a déjà fait un câlin à son père pour ensuite le suivre à sa chambre tout en lui parlant du petit cadeau de Dgee.
- Bonsoir Jane. Tu m’as manqué aussi, tellement ! Je compte sur toi biche !
Je termine par m’adresser à Karl tandis que Teddy retourna à son jeu.
- Oh euh ! Essaye de lui trouver de la place sinon je peux en faire. Il y a surement deux trois trucs que je peux déjà sortir.
Le reste m’échappa puisque je remarque Karl partir sur la galerie avec ses cigarettes. Je me mordille la lèvre légèrement en me demandant s’il est ok. Au fil des ans, j’ai bien remarqué que la période des fêtes était toujours dure pour mon meilleur ami. Monsieur et Madame Karlson faisaient toujours de leur mieux pour être présent lors de cette période alors je n’ose même pas m’imaginer comment ça peut être dure pour lui à chaque année. J’ai aussi appris au fils des ans qu’il a besoin de s’isoler un peu alors je le laisse faire même si je le garde à l’œil sans qu’il ne le remarque.
- Hum ! Tout le groupe, grâce à monsieur Chatwood qui va s’assurer que Tony vienne. Il va aussi avoir mes parents et je crois que c’est tout en fait.
Je regarde mon amie en haussant les sourcils de façon suggestive avec un sourire amusé sur les lèvres.
- Ouuuh ! Tu as quelque chose à nous révéler ?
Je demande en rigolant tout en la poussant légèrement avec mon épaule.
- Je suis totalement partante ! J’ai besoin de courage pour affronter mes parents ce soir ! Je te laisse préparé ça et moi je file terminer le repas principal avec Dgee pour qu’elle puisse aller se changer elle aussi.
Avec un grand sourire, j’attrape les sac de courses remplis de ce dont j’ai besoin, aidé par Dgee. Tout en finissant de préparer le plat, je reprends la parole.
- Et sinon, quoi de neuf Jane ? Il doit bien y avoir du neuf en deux ans non ?
Je lui lance un regard en mettant les petites saucisses enrouler de bacon dans le four. C’est là que je remarque réellement que Karl est toujours dehors sans de manteau. Tout en écoutant mon amie, j’attrape le manteau de mon meilleur ami et celui de mon fils et je m’approche de mon fils. Je me penche à sa hauteur et lui tend les manteaux.
- Eh mon grand, tu veux bien apporter ça à papa ? Mets le tien aussi.
Il hoche la tête tout heureux et enfile son manteau avant de partir en courant dehors rejoindre son père. Pour ma part, je me reconcentre sur mes amies et la cuisine.
Teddy sorti sur la balcon et tendis le manteau à son père.
- Faut pas sortir sans manteau l’hiver papa, tu sais bien, tu me le répètes tout le temps.
Dit-il de sa petite voix tout en restant à côté de lui.
- Pourquoi tu es triste aujourd’hui ? C’est noël, faut pas être triste. Je t’ai fait un cadeau, tu vas en avoir un.
Demande-t-il avant de grimper sur les genoux de son père lorsqu’il a mis son manteau pour venir lui faire un gros câlin.
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Angie lui explique avoir envoyé Karl en courses de dernière minute et lui propose de se changer pour l'aider ensuite, posant les mains sur ses hanches elle éclate de rire. "Heuuu Angie c'est de moi qu'on parle, tu sais que même avec un tablier j'suis capable de ressembler à rien après cinq minutes, j'te file un coup de main et ensuite je me change." Elle continue en disant que ses parents vont débarquer et là Dgee ouvre de grands yeux, elle sait que les relations entre Angie et ses parents ne sont par forcément toutes roses alors savoir qu'ils viennent ce soir, elle ne peut qu'imaginer dans quel état de nervosité peut être son amie. "On sera tous là alors peut importe ce que peuvent dire tes parents, nous on sait à quel point t'es au top." Elle ponctue sa phrase en collant un baiser sur la joue de son amie avant de suivre ses indications et s'affaire en cuisine, comme elle l'avait prédit elle se retrouve rapidement avec des taches, en cuisine Dgee est tout sauf délicate même si elle s'applique.
Au bout d'un moment une voix se fait entendre, Jane débarque en saluant les filles, Dgee a juste le temps d'apercevoir Karl qui après avoir été accaparé par Teddy se dirige vers la terrasse. Elle le connait, elle sait que les fêtes sont pour lui aussi un moment difficile à passer, ils ont ce point commun, elle a perdu sa sœur, lui ses deux parents. Ils sont semblables sur ce point-là elle pense à aller le voir mais elle sait qu'il préfère sans doute être seul pour l'instant. "Jane, contente que tu sois des nôtres ce soir, ça fait plaisir !" Au cours des deux dernières années durant lesquelles Tony avait disparu des radars elle avait vu Jane quelques fois contrairement à Angie. Elle était sincèrement contente de la voir, elle écoutant Angie parler des invités et Jane annoncé avec un clin d'œil qu'elle est l'invitée de Tony, Dgee sourit en écoutant son amie s'exclamer et demander des révélations. Levant les yeux au ciel Dgee rétorque en riant "Franchement vous deux je crois que j'arriverai jamais à savoir où vous en êtes …" Au dernières nouvelles Tony refusait toujours de signer les papiers du divorce, est-ce qu'il avait réussi à faire changer sa femme d'avis ? Affaire à suivre !
Lorsque Jane propose de préparer des cocktails, les yeux de Dgee s'illuminent alors qu'elle termine de préparer les plats qu'Angie lui a demander de réaliser. N'écoutant pas vraiment la suite de sa phrase elle la regarde en souriant. "Tu m'as conquise à "cocktails" Jane !" Détachant son tablier, qu'elle plie et dépose sur un coin du plan de travail, elle regarde les deux jeunes femmes. "Je crois qu'on est pas mal là, je file me changer, attendez-moi pour les cocktails !" Repassant dans l'entrée elle attrape son sac et le cabas en papier dans lequel se trouve sa tenue, avant de filer dans une chambre pour se changer, déposant sa tenue sur le lit, sans prendre la peine d'allumer la lumière, profitant uniquement de la lueure du couloir, elle quitte ses vêtements et enfile la combinaison noire au décolleté plongeant et fixe l'attache dans sa nuque. Elle laisse son sac à l'entrée de la chambre, et sa tenue précédente dans le cabas en papier. Revenant dans la cuisine, elle se présente aux filles, faisant un tour sur elle-même. "Alors ? C'est pas une robe certes mais j'ai fait un effort quand même …"
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PIVETTE
@ Invité
En réalisant ce que je viens de dire, j’éclate de rire. C’est vrai que ce n’est pas une très bonne idée pour Dgee qui finit toujours tâcher lorsqu’elle cuisine, ce qui me fait toujours rire lorsqu’on cuisine ensemble puisque, même si elle est très minutieuse, elle se salit toujours. Elle est pire que Teddy, j’oserais dire.
- Ça marche ! Tu sais où son les tabliers.
Je lui fais un clin d’œil avant de lui mentionner que mes parents allaient être des nôtres ce soir, ce qui explique le tout ainsi que mon état de nervosité. Je fais un petit sourire à ma meilleure amie pour accompagner mes paroles.
- Merci. Je crois bien que sans vous, je ne pourrais pas survivre à cette soirée.
Et nous voilà à nous affairer en cuisine pour que tout soit terminé le plus possible avant que les inviter arriver. Ainsi, je pourrais ranger la cuisine avant que mes parents n’arrivent et m’éviter des commentaires de ma mère à ce propos.
L’arrivée de Jane et le fait qu’elle nous dit de la considérer comme l’inviter de Tony me chance totalement les idées et je me redonne le sourire. C’est deux là sont très divertissant en fait. Je rigole même aux paroles de Dgee en les approuvant d’une hochement de tête.
Commençant à ranger la cuisine alors que Dgee termine le dernier plat, Jane nous propose un cocktail qui arrive à point ! Toutes les deux, nous sommes totalement partantes pour son cocktail remanier à sa façon.
- Oui, c’est bon. Va te changer maintenant ! Et merci pour le coup de main.
J’accompagne mes paroles d’une sourire. Puis, je vais à mon tour à l’entrée pour attraper les manteaux des deux hommes de ma vie que je laisse à Teddy pour qu’il aille retrouver son père. Une fois Teddy dehors et la porte refermée, je retourne auprès de Jane et continue de ranger la cuisine jusqu’à ce que Dgee reviennent et fasse un tour sur elle-même pour nous présenter sa tenue.
- Tu es magnifique ma chère amie ! Et je suis contente de voir que je ne suis pas la seule avec un décolleté, peut-être que ma mère va s’abstenir de commentaires à ce propos pour cette fois.
Dis-je un rire dans la voix. Les cocktails de fait, j’en prends un pour faire un toast.
- À ce noël enfin en famille à nouveau !
Parce que oui, je suis si contente qu’on fête à nouveau ce jour tout le groupe réuni, même si plusieurs ne sont pas encore arrivés.
- Ça marche ! Tu sais où son les tabliers.
Je lui fais un clin d’œil avant de lui mentionner que mes parents allaient être des nôtres ce soir, ce qui explique le tout ainsi que mon état de nervosité. Je fais un petit sourire à ma meilleure amie pour accompagner mes paroles.
- Merci. Je crois bien que sans vous, je ne pourrais pas survivre à cette soirée.
Et nous voilà à nous affairer en cuisine pour que tout soit terminé le plus possible avant que les inviter arriver. Ainsi, je pourrais ranger la cuisine avant que mes parents n’arrivent et m’éviter des commentaires de ma mère à ce propos.
L’arrivée de Jane et le fait qu’elle nous dit de la considérer comme l’inviter de Tony me chance totalement les idées et je me redonne le sourire. C’est deux là sont très divertissant en fait. Je rigole même aux paroles de Dgee en les approuvant d’une hochement de tête.
Commençant à ranger la cuisine alors que Dgee termine le dernier plat, Jane nous propose un cocktail qui arrive à point ! Toutes les deux, nous sommes totalement partantes pour son cocktail remanier à sa façon.
- Oui, c’est bon. Va te changer maintenant ! Et merci pour le coup de main.
J’accompagne mes paroles d’une sourire. Puis, je vais à mon tour à l’entrée pour attraper les manteaux des deux hommes de ma vie que je laisse à Teddy pour qu’il aille retrouver son père. Une fois Teddy dehors et la porte refermée, je retourne auprès de Jane et continue de ranger la cuisine jusqu’à ce que Dgee reviennent et fasse un tour sur elle-même pour nous présenter sa tenue.
- Tu es magnifique ma chère amie ! Et je suis contente de voir que je ne suis pas la seule avec un décolleté, peut-être que ma mère va s’abstenir de commentaires à ce propos pour cette fois.
Dis-je un rire dans la voix. Les cocktails de fait, j’en prends un pour faire un toast.
- À ce noël enfin en famille à nouveau !
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L'attention de son fils le touche, bien qu'il sait qu'il y a un peu de sa mère derrière tout ça. Karl remercie Teddy, lui donnant en même temps raison et prend donc son manteau pour l'enfiler. Il le laisse ensuite grimper sur ses genoux et les serre doucement. Il laisse échapper un soupire, forçant tout de même un sourire avec ses talents d'acteur. Alors là, si un cadeau m'attend, tu as bien raison, je ne devrais pas être triste. de contente-t-il de lui répondre, n'ayant aucunement envie de faire part de ses états d'âmes à cet enfant trop pur et innocent.
Il se berce lentement avec son fils dans ses bras alors qu'ils regardent les femmes s'amuser entre elles. Le regarde de Karl est par contre capté par le déplacement de Dgee, déplacement dont il comprend rapidement le but. Il détourne alors l'attention du gamin sur la neige, sans pour autant détourner son propre regard. Il ne peut se retenir que de laisser son regarde se promener sur ce que le peu de lumière lui permet de voir. Il y a ce petit sourire, plus sincère qui nait sur le coin de ses lèvres. Il secou légèrement la tête et se lève, déposant Teddy au sol. Il le regarde à nouveau. J'ai quelques trucs à faire à l'intérieur, dont rendre ta mère plus belle. Il accentu ses paroles dun clin d'œil. Tu peux jouer dehors si tu veux.
Sur ces paroles, il retourne à l'intérieur, allant ranger son manteau et va rejoindre les femmes. Il aborde un air faussement plus jovial, mais avec une teinte de contrariété dans les yeux. Alors ça ose porter un toast sans moi ? Vous m'en voyez peiné de toutes vous voir, verre à la main, mais de constater que les miennes sont vides.. Aussi sérieux veut-il rester, il est un peu dur pour lui de cacher l'amusement qui le tient.
Il se berce lentement avec son fils dans ses bras alors qu'ils regardent les femmes s'amuser entre elles. Le regarde de Karl est par contre capté par le déplacement de Dgee, déplacement dont il comprend rapidement le but. Il détourne alors l'attention du gamin sur la neige, sans pour autant détourner son propre regard. Il ne peut se retenir que de laisser son regarde se promener sur ce que le peu de lumière lui permet de voir. Il y a ce petit sourire, plus sincère qui nait sur le coin de ses lèvres. Il secou légèrement la tête et se lève, déposant Teddy au sol. Il le regarde à nouveau. J'ai quelques trucs à faire à l'intérieur, dont rendre ta mère plus belle. Il accentu ses paroles dun clin d'œil. Tu peux jouer dehors si tu veux.
Sur ces paroles, il retourne à l'intérieur, allant ranger son manteau et va rejoindre les femmes. Il aborde un air faussement plus jovial, mais avec une teinte de contrariété dans les yeux. Alors ça ose porter un toast sans moi ? Vous m'en voyez peiné de toutes vous voir, verre à la main, mais de constater que les miennes sont vides.. Aussi sérieux veut-il rester, il est un peu dur pour lui de cacher l'amusement qui le tient.
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PIVETTE
@ Invité
Teddy se blottit contre son père un grand sourire sur les lèvres content de savoir qu’il fait plaisir à son papa en ayant fait un cadeau. Il ne peut pas être plus heureux. Alors qu’il se laisse bercer par son père, Teddy joue avec le haut du manteau de ce dernier. Être avec son père le rend tout simplement heureux. Il l’aime tellement. C’est son héro ! Encore plus que Iron man ou Captain America. C’est pour ça qu’il fait une petite moue triste lorsque son papa le dépose au sol. Mais, bien vite il oublie tout ça pour défendre sa mère.
- Maman est toujours la plus belle d’abord.
Dit-il d’un ton totalement sérieux en posant sur Karl un regard tout aussi sérieux. Puis, il secoue la tête pour affirmer qu’il ne veut pas jouer dehors. Il suit donc son père et délaisser son manteau sur le canapé pour retourner jouer avec ses figurines dans le salon.
En voyant rentrer Karl déjà, je suis soulagée. Peut-être qu’un moment seul avec son fils lui a fait du bien après tout. Même si je sais que ce ne sera pas suffisant pour qu’il oublie sa peine de ne pas pouvoir être avec ses parents à ce moment de l’année.
- C’était à toi de rester avec nous et tu aurais participé à ce toast.
Je lui réplique, un rire dans la voix, avant de lui tirer la langue. Même si je sais pourquoi il s’est réfugié dehors, il faut bien que je reste moi-même avec lui, donc que je le charrie si je ne veux pas que la tristesse l’enveloppe au complet. Après conversation et moi qui passe sous les pinceaux expert de Karl, la sonnette retentie et la sérénité que je ressentais s’envole un peu. Tony n’arrivera pas avant encore un bon petit moment avec son père alors ça ne peut qu’être mes parents. Heureusement, j’ai fini de ranger la cuisine et tout est prêt. Même moi. Après une bonne inspiration et des paroles d’encouragement de mes amis, je marche jusqu’à l’entrée – en prenant le manteau de mon fils au passage pour le ranger – et ouvre à mes parents. Surprenament, ma mère s’abstient de tout commentaire et je vois mon père me lancer un clin d’œil lorsque ma mère examine ma tenue. Qu’est-ce que je l’aime. Je lui souffle un petit merci lorsque je l’enlace à son tour. Je les accompagne jusqu’au petit groupe déjà arriver et la conversation s’ensuit. Teddy accoure même jusqu’à ses grands-parents dans une joie immense. Le temps passe rapidement et nous n’attendons plus que Tony et son père pour que la fête commence réellement.
- Maman est toujours la plus belle d’abord.
Dit-il d’un ton totalement sérieux en posant sur Karl un regard tout aussi sérieux. Puis, il secoue la tête pour affirmer qu’il ne veut pas jouer dehors. Il suit donc son père et délaisser son manteau sur le canapé pour retourner jouer avec ses figurines dans le salon.
En voyant rentrer Karl déjà, je suis soulagée. Peut-être qu’un moment seul avec son fils lui a fait du bien après tout. Même si je sais que ce ne sera pas suffisant pour qu’il oublie sa peine de ne pas pouvoir être avec ses parents à ce moment de l’année.
- C’était à toi de rester avec nous et tu aurais participé à ce toast.
Je lui réplique, un rire dans la voix, avant de lui tirer la langue. Même si je sais pourquoi il s’est réfugié dehors, il faut bien que je reste moi-même avec lui, donc que je le charrie si je ne veux pas que la tristesse l’enveloppe au complet. Après conversation et moi qui passe sous les pinceaux expert de Karl, la sonnette retentie et la sérénité que je ressentais s’envole un peu. Tony n’arrivera pas avant encore un bon petit moment avec son père alors ça ne peut qu’être mes parents. Heureusement, j’ai fini de ranger la cuisine et tout est prêt. Même moi. Après une bonne inspiration et des paroles d’encouragement de mes amis, je marche jusqu’à l’entrée – en prenant le manteau de mon fils au passage pour le ranger – et ouvre à mes parents. Surprenament, ma mère s’abstient de tout commentaire et je vois mon père me lancer un clin d’œil lorsque ma mère examine ma tenue. Qu’est-ce que je l’aime. Je lui souffle un petit merci lorsque je l’enlace à son tour. Je les accompagne jusqu’au petit groupe déjà arriver et la conversation s’ensuit. Teddy accoure même jusqu’à ses grands-parents dans une joie immense. Le temps passe rapidement et nous n’attendons plus que Tony et son père pour que la fête commence réellement.
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Karl ne peut qu’être amusé par la façon que Teddy défend sa mère. Toujours la plus belle, tout est une question de point de vue. À ses yeux, la plus belle, c’était quelqu’un d’autre, mais il ne mentirait pas en disant qu’Angie avait son charme. Il fait un peu le bougon quand Angie lui rétorque qu’il n’avait qu’à rester. Il a une illumination éphémère dans son regard quand il entend sonner et qu’il voit ensuite les parents d’Angie apparaitre dans la pièce. Il ne prend pas deux secondes avant de se retrouver à serrer la mère d’Angie dans ses bras. Mama Flores. Maintenant que tu es là, la soirée va être parfaite.! Il adore cette femme, la seule constance dans son enfance. Limite, elle avait été plus une mère pour lui que sa propre génitrice l’aurait jamais été. C’est elle qui lui a empêché de perdre la tête avec tout ces changements et qui lui a évité la solitude en ramenant sa fille avec elle. Pour ça, il lui est éternellement reconnaissant. Il n’aurait donc pas imaginé un Noël sans elle, ça n’aurait pas été complet. Quant au paternel, il se contente de lui serrer la main avec un sourire bien poli. Lui, il ne le connait pas aussi bien. Ça a beau faire des années qu’Angie est dans sa vie, il n’a jamais été proche de son père. Après, lui était beaucoup moins présent dans sa vie. C’est pas lui qui venait travailler pour les Karlson non plus, donc c’est bien normal. Karl s’éloigne ensuite à la cuisine pour lui-même se servir un verre de fort, il a l’impression que ça ne lui fera pas de tord.
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PIVETTE
@ Invité
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Avant sa soirée chez Angie et Karl, Tony a quand même une assez vaste liste de quêtes à accomplir. Pat Chatwood en ville, il n’est certes pas question de le laisser tout seul la veille de Noël. Concrètement, il est évident que la star du blues country ne serait pas resté tout seul, il avait pas mal de monde à New-York à visiter et qui l’auraient accueilli avec joie et justement, il se devait de faire plusieurs arrêts à divers endroits. En ville. Plus tôt dans la semaine, Tony avait tout bonnement dit à Ezekiel qu'ils se verraient chez Angie, mais quand Ezekiel a affirmé qu'il n’avait pas été invité, tony s’est enquit de ses projets pour ce soir là et comme le frère de son amie et son épouse n’avaient pas grand chose de prévu, Tony avait sauté sur l’occasion pour lui dire que maintenant si et qu’il l’invitait, lui. De toute manière, avec Angie, pour Noël, quand y’en pour dix, y’en a pour environ quarante. Ezekiel ne semblait pas trop convaincu à la base, mais de toute évidence il avait fini par le convaincre parce qu’il lui avait demandé si c’était possible de récupérer son épouse au passage à Manhattan. Pas de problème, de toute manière il faut passer par Manhattan pour aller chez Angie. Parce que c’est à Manhattan.
Alors donc, depuis la fin de l’après-midi, Pat et Tony vadrouillent entre les diverses invitations du bluesman. Ravi d’accompagner son père, qu’il n’a pas vu depuis plusieurs mois à vrai dire, il rencontre et/ou revoit des tas de gens qu'il n'avait pas vu depuis des lustres. Ces deux dernières années, pour Noël, il s’était réfugié à Québec, mais cette année, il ne pouvait pas ne pas passer la veille de Noël avec sa tribu. C’était obligé. C’était essentiel. C’était vital. Et comme Pat avait des trucs les jours suivants Noël à New-York, eh bien c’était plus pratique et ça lui évitait de prendre l’avion pendant la nuit. Ils avaient convenu d‘aller à Québec plutôt vers la nouvelle année.
Bref, Pat et Tony avaient déjà pas mal festoyé à chacun des arrêts. Parce que bon, tout le monde leur offrait un petit verre. Heureusement, dès le 3e arrêt, Tony avait convenu de conduire lui-même, parce que bon, tous ces arrêts étaient pour Pat après tout. C’étaient ses amis, c’était plus prudent que Pat prenne un p’tit verre à chaque arrêt et que Tony conduise.
-Va falloir qu’on y aille , chuchote le fils au père,sinon on va arriver et Teddy va devoir aller se coucher.
-Mais il va quand même pas se coucher si tôt… c’est Noël…
-Si on pars maintenant, on va être ok… faut aussi aller chercher la femme d’Ezekiel… qui nous attend dans l’auto...
-Ah, oh, ouais, ok…
Le temps de dire aurevoir et recommencer une courte discussion avec tout le monde, Tony réussit finalement à traîner son père vers l’auto et ils y montent, son père commentant qu'il était temps, parce qu’il commence à être un peu trop ivre. Tony réplique que c’est pas parce qu'il n’a pas essayé de les faire sortir avant et Pat éclate de rire, avouant qu'il le sait bien. Tony s'installe derrière le volant et regarde dans son miroir pour y voir Ezekiel.
-Et ? T’as fini ton emballage ?
-J’espère que ton épouse ne sera pas trop contrariée du retard, c’est ma faute , dit le bluesman, les yeux trop brillants pour être sobre.
-Oh, parlant de cadeaux, est-ce que tu voudrais les glisser en douce sous le sapin pendant que p’pa et moi on va distraire Teddy ?
Un dernier arrêt pour prendre madame, et tandis que Zeke sort pour aller chercher son épouse, Pat va s’installer à l’arrière en marmonnant avec une pointe de fierté que c’est pas vrai qu’il va rester devant et laisse une dame froisser sa robe à l’arrière, ce à quoi son fils pouffe de rire, mais le laisse faire, il a le droit, quoi. Et puis bon, le VUS de Tony est quand même assez spacieux, devant ou derrière, seule la vue diffère et peut-être un peu d’espace devant les genoux. Une fois tout le monde à bord et les présentations effectuées, ils filent tout droit vers le penthouse d’Angie et Karl. Un trajet animé par les deux Chatwood qui entretiennent une conversation enthousiaste avec madame. Et ils arrivent, se stationnent, récupèrent les cadeaux et montent les étages par l’ascenseur privé. Tony en profite pour expliquer à Zeke où est placé le sapin et les cadeaux et comment s’y rendre. Monsieur Chatwood, lui, chargé de sa précieuse guitare, qu’il n’aurait pas laissé derrière lui pour tout l’or du monde, et de quelques bouteilles d’eau pétillante, parce qu’à son âge, trop d’alcool c’est mauvais pour l’estomac, suit Tony de près, pour cacher la présence des cadeaux qui suivent. Tony ne prend pas la peine de frapper. Et pourquoi donc ? Ils sont attendus, non ? Et puis ça risque de plus capter l’attention sur lui et son père plutôt que sur les deux poseurs de cadeaux. Et puis les poseurs de cadeaux sont des surprises pour Angie.
-JOYEUX NOËL !!!
-Joyeux Noël les jeunes !
-Oh ! Alors je ne suis pas le seul à devoir traîner mon père chez mes amis , s’exclame-t-il avec bonne humeur en remarquant les parents d’Angie.
-Oh, merveilleux, je vais me sentir moins seul parmi les ados.
@ Invité
- Tony m’a invité. Il viendra, n’en doutez pas, assura Jane.
Pas seulement parce qu’elle se servirait de chaque prétexte pour lui balancer le divorce dans les dents. Mais d’un point de vue moins pratique, parce qu’elle le souhaitait ardemment. C’était leur premier noël. C’était spécial.
Elle disposa des coupes devant elle sur le comptoir et se trancha un quartier de lime.
- Nous avons conclu un genre de trêve, Fit-elle évasivement.
Mais aucun des deux n’avait abandonné le champ de bataille, de toute évidence. Habilement, Jane dévia de ce sujet qui était après tout personnel et surtout tout confit de variables inconnues.
- J’ai beaucoup vendu… La galerie roulait sur l’or, ses finances alimentées par toutes sortes de contrats artistiques… Je me suis également beaucoup vendu : levée de fond, fondation, événementiel, et gala… Mais j’ai un peu moins travaillé sur mes projets personnels… Je crois qu’il est temps d’y revenir… Aucun mensonge, seulement une formulation soignée. J’ai un contrat à terminer, je peins la toile de fond d’un spectacle dramatique… Je ferai une pause ensuite. Expliqua-t-elle en terminant de parer les verres.
Jane versa l’alcool, le jus, et un peu de glace pilée façonnée en boule de neige. Elle avait l’art et la manière d’en dire peu tout en discutant agréablement.
- Ta mère a quelque chose contre les décolletés? Demanda-t-elle en déboutonnant quelques boutons de son corsage. La robe de Jane n’avait rien de cintré, ni de révélateur, mais la soie en était vaporeuse… Elle se mouvait autour d’elle en chatoyant à chacune de ses respirations. Comme ceci? Encore un? Fit-elle, provocatrice… Tu sais, Angie, ce n’est pas parce que c’est la famille et qu’on les aime qu’on doit accepter une relation abusive…
Jane lui fit un clin d'oeil de connivence et fronça soudainement les sourcils, signe d’une profonde interrogation :
- Humm Je vais mettre des cerises dans le verre de Teddy! Elle suspendit son geste : Les enfants aiment les cerises, non? Il va falloir que j’apprenne ça… Ça doit dépendre des gamins… Elle sourit à ses deux copines… Parce que j’ai dit à Tony que je voulais des enfants, alors…
Elle leur passa les verres :
- À la spontanéité et aux bonnes surprises!
Oui, elle avait parlé au pluriel… Quitte à lui faire peur, autant mettre toute la gomme… Mais encore, l’idée était folle mais ne lui déplaisait pas tant que cela…
Elles auraient tout le temps d’en reparler… Jane n’avait pas d’amie proche… Seulement des collaborateurs.
Et alors qu’Angie allait accueillir ses parents, Jane accrocha Karl. Elle lui soutira le verre de fort qu’il venait de se verser et le remplaça par une jolie coupe, bordée d’éclat de canne de noel et remplis d’un cocktail frais d’une belle couleur rouge père-noël.
- Essai plutôt ceci! Suggéra-t-elle, parce qu’il était tôt et que la soirée pouvait être longue. Un cocktail léger, fruité, et nettement moins fort que celui qu’il s’était versé.
Jane leva son verre en une silencieuse invite. Pas besoin de grand discours avec Jane, seulement cette étoile incandescente dans la pupille de ses yeux noirs.
- Et ensuite tu iras porter ceux-ci aux parents d’Angie! Et veille spécifiquement à donner ce verre à sa mère, s’il te plait. L’instruisit-elle avec au coin des lèvres un sourire carnassier.
Le verre de madame était semblable aux autres… Peut-être était-il d’une nuance un peu plus rouge? Parce que Jane y avait dilué une quantité impressionnante de colorant alimentaire en gel, le genre qui tache… Madame parfaite aurait les dents roses pour le reste de la soirée!
Elle aligna d'autre coupe sur le comptoir, préparant les verres des Chatwood...
Pas seulement parce qu’elle se servirait de chaque prétexte pour lui balancer le divorce dans les dents. Mais d’un point de vue moins pratique, parce qu’elle le souhaitait ardemment. C’était leur premier noël. C’était spécial.
Elle disposa des coupes devant elle sur le comptoir et se trancha un quartier de lime.
- Nous avons conclu un genre de trêve, Fit-elle évasivement.
Mais aucun des deux n’avait abandonné le champ de bataille, de toute évidence. Habilement, Jane dévia de ce sujet qui était après tout personnel et surtout tout confit de variables inconnues.
- J’ai beaucoup vendu… La galerie roulait sur l’or, ses finances alimentées par toutes sortes de contrats artistiques… Je me suis également beaucoup vendu : levée de fond, fondation, événementiel, et gala… Mais j’ai un peu moins travaillé sur mes projets personnels… Je crois qu’il est temps d’y revenir… Aucun mensonge, seulement une formulation soignée. J’ai un contrat à terminer, je peins la toile de fond d’un spectacle dramatique… Je ferai une pause ensuite. Expliqua-t-elle en terminant de parer les verres.
Jane versa l’alcool, le jus, et un peu de glace pilée façonnée en boule de neige. Elle avait l’art et la manière d’en dire peu tout en discutant agréablement.
- Ta mère a quelque chose contre les décolletés? Demanda-t-elle en déboutonnant quelques boutons de son corsage. La robe de Jane n’avait rien de cintré, ni de révélateur, mais la soie en était vaporeuse… Elle se mouvait autour d’elle en chatoyant à chacune de ses respirations. Comme ceci? Encore un? Fit-elle, provocatrice… Tu sais, Angie, ce n’est pas parce que c’est la famille et qu’on les aime qu’on doit accepter une relation abusive…
Jane lui fit un clin d'oeil de connivence et fronça soudainement les sourcils, signe d’une profonde interrogation :
- Humm Je vais mettre des cerises dans le verre de Teddy! Elle suspendit son geste : Les enfants aiment les cerises, non? Il va falloir que j’apprenne ça… Ça doit dépendre des gamins… Elle sourit à ses deux copines… Parce que j’ai dit à Tony que je voulais des enfants, alors…
Elle leur passa les verres :
- À la spontanéité et aux bonnes surprises!
Oui, elle avait parlé au pluriel… Quitte à lui faire peur, autant mettre toute la gomme… Mais encore, l’idée était folle mais ne lui déplaisait pas tant que cela…
Elles auraient tout le temps d’en reparler… Jane n’avait pas d’amie proche… Seulement des collaborateurs.
Et alors qu’Angie allait accueillir ses parents, Jane accrocha Karl. Elle lui soutira le verre de fort qu’il venait de se verser et le remplaça par une jolie coupe, bordée d’éclat de canne de noel et remplis d’un cocktail frais d’une belle couleur rouge père-noël.
- Essai plutôt ceci! Suggéra-t-elle, parce qu’il était tôt et que la soirée pouvait être longue. Un cocktail léger, fruité, et nettement moins fort que celui qu’il s’était versé.
Jane leva son verre en une silencieuse invite. Pas besoin de grand discours avec Jane, seulement cette étoile incandescente dans la pupille de ses yeux noirs.
- Et ensuite tu iras porter ceux-ci aux parents d’Angie! Et veille spécifiquement à donner ce verre à sa mère, s’il te plait. L’instruisit-elle avec au coin des lèvres un sourire carnassier.
Le verre de madame était semblable aux autres… Peut-être était-il d’une nuance un peu plus rouge? Parce que Jane y avait dilué une quantité impressionnante de colorant alimentaire en gel, le genre qui tache… Madame parfaite aurait les dents roses pour le reste de la soirée!
Elle aligna d'autre coupe sur le comptoir, préparant les verres des Chatwood...
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Revenue dans la cuisine, Dgee accepta bien volontiers le cocktail que lui tendait Jane, levant son verre et le faisant tinter avec celui des deux autres, elle y trempa rapidement les lèvres, fermant les yeux et appréciant le mélange. Elle l'écoutait parler avec Angie des histoires de décolletés dont Mama Flores n'était pas toujours très friande sur sa fille, c'était précisément la raison pour laquelle elle avait choisi sa tenue, elle savait que sa mère ne ferait sans doute pas de commentaires, ou en tout cas pas autant qu'elle l'aurait souhaité si Dgee révélait d'avantage d'épiderme que sa fille chérie. Elle faillit s'étrangler et recracher le liquide en entendant les paroles de l'improvisée barmaid. Avalant sa gorgée avant de tousser elle braqua son regard sur Jane en se demandant si elle avait bien entendu ou si ses oreilles lui avaient jouer un tour. "Donc tu veux divorcer, mais avoir des enfants avec Tony … donc plus divorcer ? Whaou ça, ça tient du miracle de Noël !" Dgee savait à quel point Tony pouvait être tenace, presque autant qu'elle, et il avait clairement fait comprendre que jamais il ne signerait ses papiers, en tout cas c'est ce qu'il lui avait dit lorsqu'il était venu chez elle lorsqu'ils avaient repris contact. Si aujourd'hui elle parlait d'enfants, ils avaient dû trouver un terrain d'entente. Ces deux-là, le jour où elle comprendra ce qui leur trotte dans la tête, elle serait en lice pour le prix Nobel ou quelque chose du même genre. Lorsque la sonnette retentit et qu'Angie va ouvrir, Dgee passe la tête dans le couloir pour voir que les nouveaux arrivant sont les parents d'Angie, après les avoir salués poliment, elle fait un clin d'œil à son amie après avoir vu le regard réprobateur de Mama Flores sur son décolleté sans pourtant faire aucune remarque. Retournant dans la cuisine elle surprend les indications de Jane concernant le cocktail de la mère d'Angie elle sent qu'elle prépare quelque chose mais préfère ne pas s'en mêler, se contentant de siroter son cocktail.
Un peu plus tard, les voix familières de Tony et son paternel retentissent dans le hall, en se dirigeant vers eux pour les saluer, serrant son ami dans ses bras, puis faisant de même avec Pat elle aperçoit qu'ils ne sont pas seuls, elle reconnait rapidement le frère jumeau d'Angie accompagné d'une jeune femme qu'elle ne connait pas. Saluant Zeke et la demoiselle, elle sent en voyant le regard de son amie qu'elle n'était pas au courant de cette visite surprise. Laissant tout ce petit monde, Dgee attrape son manteau et décide de disparaitre un moment sur la terrasse. Emmitouflée dans le lourd vêtement, elle plonge la main dans la poche, en ressort son paquet de cigarettes dont elle en tire une et la cale entre ses lèvres avant d'y bouter le feu, replaçant le paquet au fond de la poche, elle fait quelques pas et, s'appuyant à la rambarde, Observe les toits qui s'offrent à sa vue. Le léger brouhaha de l'intérieur lui confirme qu'elle avait besoin de respirer un instant. Elle aime ce genre de soirée, mais d'un coup elle a eu un trop plein d'émotions qui commençaient à se manifester. Angie avec toute sa petite famille d'un côté, bien qu'elle ignore l'état actuelle de la relation des jumeaux. Tony, Jane et Pat de l'autre. Elle savait qu'elle faisait partie de tout ça, mais là sur le moment c'était un peu trop pour elle. Observant les volutes de fumées se mêler à celles de sa respiration dans le froid, elle profitait d'un peu de calme avant de retourner à l'intérieur plus tard.
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PIVETTE
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J’avais pas tant envie d’y aller à la base. Moi et la multitude de gens, on fait deux. Mais bon, Khaled m’a fait réaliser que ça ne devrait pas serte si mal. Après tout, ce sont tous des gens que je connais depuis longtemps, pas d’inconnue alors ça devrait le faire. En même temps, ça me donnera une occasion de présenter Yuma à Angie. Je suis sur en plus qu’elles vont bien s’entendre, tant que son histoire familiale reste dans le néant.
Pendant que les Chatwood font le tour des mille et une connaissances du paternel, j’emballe le cadeau que j’ai acheté à la dernière minute pour Teddy. C’est pas l’idéal faire ça dans une voiture bien franchement, mais faut faire avec ce qu’on a. Et puis, ça me fait au moins quelque chose à faire pendant que j’attend ces deux êtres bien trop sociables. Parlant des loups. Je redresse la tête en entendant la voix de Tony qui s’adresse à lui. Je me contente de lui montrer le cadeau emballé avec un petit minimum de fierté. Je ris silencieusement.
Peu importe, c’est pas moi qui va endurer sa furie si c’est le cas. Dis-je en riant.
Je donne alors les indications à Tony pour qu’il se rendre jusqu’à notre demeure où je débarque pour aller chercher Yuma. Je ris en voyant que Pat à décidé de s’asseoir à l’arrière pour laisser place à la femme en avant. Une fois à l’intérieur, je présente ma femme aux deux hommes et on part. Je suis bien content de voir qu’elle s’entend très bien avec eux. Heureusement que ces cinq dernières années, je l’ai aidé à perfectionner son anglais parce que sinon, ça n’aurait pas été très beau à voir. On serait probablement pas venu à vrai dire. Quoi que ça aurait été drôle à voir. Lorsqu’arrivé, j’écoute les indications de Tony quant à l’emplacement du sapin. Et donc lorsqu’on arrive à l’étage du penthouse que je n’ai pas vu depuis des lustres, Yuma et moi nous nous faufilons sans se faire voir par Teddy, jusqu’au sapin où l’on dépose les cadeaux. Nous revenons par la suite au troupeau et, avant même que je n’aie le temps de réfléchir à mes paroles, je répond à l’affirmation de Pat.
Hey viejo ! N’essaie pas de te rajeunir en nous traitant d’ado.
Puis, j’assimile ce que sa réplique signifie. Je promène mon regard permis les gens, saluant les gens au passage, puis je m’arrête vers mes parents. Je ne savais pas qu’ils étaient au rendez-vous ce soir. Tout comme ils ne savaient pas que j’y étais. En fait, ils ne savaient même pas que j’étais revenu. Well, surprise. Je leur fais un câlin puis leur présente le femme mystère, leur expliquant qu’il s’agit de ma femme dont je leur ai parlé. Sans aucune considération pour les autres, ou bien par automatisme, tout ce que je leur dis sort en espagnole. J’ai trop l’habitude de discuter avec mon père et Yuma dans cette langue. Je me tourne ensuite vers Angie que je traine de force pour un câlin, elle ne s’en sauvera pas. Je lui désigne Yuma et, avec un petit sourire mesquin, je lui dis ; Elle, c’est ta belle-soeur maintenant. Cette dernière sourit d’ailleurs à Angie et lui fait une accolade typique de la personne tactile qu’elle est.
Pendant que les Chatwood font le tour des mille et une connaissances du paternel, j’emballe le cadeau que j’ai acheté à la dernière minute pour Teddy. C’est pas l’idéal faire ça dans une voiture bien franchement, mais faut faire avec ce qu’on a. Et puis, ça me fait au moins quelque chose à faire pendant que j’attend ces deux êtres bien trop sociables. Parlant des loups. Je redresse la tête en entendant la voix de Tony qui s’adresse à lui. Je me contente de lui montrer le cadeau emballé avec un petit minimum de fierté. Je ris silencieusement.
Peu importe, c’est pas moi qui va endurer sa furie si c’est le cas. Dis-je en riant.
Je donne alors les indications à Tony pour qu’il se rendre jusqu’à notre demeure où je débarque pour aller chercher Yuma. Je ris en voyant que Pat à décidé de s’asseoir à l’arrière pour laisser place à la femme en avant. Une fois à l’intérieur, je présente ma femme aux deux hommes et on part. Je suis bien content de voir qu’elle s’entend très bien avec eux. Heureusement que ces cinq dernières années, je l’ai aidé à perfectionner son anglais parce que sinon, ça n’aurait pas été très beau à voir. On serait probablement pas venu à vrai dire. Quoi que ça aurait été drôle à voir. Lorsqu’arrivé, j’écoute les indications de Tony quant à l’emplacement du sapin. Et donc lorsqu’on arrive à l’étage du penthouse que je n’ai pas vu depuis des lustres, Yuma et moi nous nous faufilons sans se faire voir par Teddy, jusqu’au sapin où l’on dépose les cadeaux. Nous revenons par la suite au troupeau et, avant même que je n’aie le temps de réfléchir à mes paroles, je répond à l’affirmation de Pat.
Hey viejo ! N’essaie pas de te rajeunir en nous traitant d’ado.
Puis, j’assimile ce que sa réplique signifie. Je promène mon regard permis les gens, saluant les gens au passage, puis je m’arrête vers mes parents. Je ne savais pas qu’ils étaient au rendez-vous ce soir. Tout comme ils ne savaient pas que j’y étais. En fait, ils ne savaient même pas que j’étais revenu. Well, surprise. Je leur fais un câlin puis leur présente le femme mystère, leur expliquant qu’il s’agit de ma femme dont je leur ai parlé. Sans aucune considération pour les autres, ou bien par automatisme, tout ce que je leur dis sort en espagnole. J’ai trop l’habitude de discuter avec mon père et Yuma dans cette langue. Je me tourne ensuite vers Angie que je traine de force pour un câlin, elle ne s’en sauvera pas. Je lui désigne Yuma et, avec un petit sourire mesquin, je lui dis ; Elle, c’est ta belle-soeur maintenant. Cette dernière sourit d’ailleurs à Angie et lui fait une accolade typique de la personne tactile qu’elle est.
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PIVETTE
@ Invité
Je fis un sourire soulagé à Jane lorsqu’elle nous affirma que Tony sera des nôtres. Teddy sera aux anges de savoir que toute la famille sera là. Même Edge devrait faire un tour ce soir, j’espère juste que Teddy sera encore debout à ce moment-là. À sa réponse évasive sur l’état de la relation entre Tony et elle, je bouge simplement mes sourcils de façon suggestive avant de rire.
- C’est bien ! J’ai vu ça passer sur les réseaux toutes ces levée de fond, gala et tout ça. De ce que j’ai vu, très bien réussis. Oh et pendant que j’y pense, j’aimerais refaire un peu le décor de l’arrière-plan de mes vidéos alors quand tu auras le temps, fait moi signe, j’aimerais faire de la pub a des artistes d’ici qui débute. En tout cas, j’ai toute une idée de projet avec ça alors on pourrait aller prendre un café bientôt pour que je t’explique le tout, t’es partante ?
Je regardais mon amis préparer les verres et j’avais juste encore plus hâte d’y goûter. Je hausse les épaules à la question de Jane en poussant un léger soupire. Puis, bien vite, j’éclate de rire. Qu’est-ce qu’elle est folle, mais qu’est-ce que je l’aime. Elle m’a manqué mine de rien.
- J’en suis consciente, ne t’inquiète pas. J’ai arrêté de leur parler lorsque j’ai eu Teddy puisque ma mère n’arrêtait pas de faire des commentaires sur le fait que j’avais eu un enfant hors mariage et tout ça, mais ça va un peu mieux maintenant alors j’essaie de faire attention. Puis, tu sais, mes parents sont encore beaucoup croyant et pratiquant – surtout ma mère – alors voir sa fille dévoiler beaucoup de son corps, ça la fait capoter. Elle m’a déjà dit que j’allais aller en enfer si je continuais comme ça. Mais, c’est ma mère et… je l’aime malgré tout.
Je reste choquée aux paroles de Jane un instant avant de taper dans mes mains, une grand sourire sur les lèvres.
- Oh mais c’est génial ! Mais rassure moi… C’est avec Tony que tu veux des enfants !? Et le divorce, tu l’oublies !? Et oui Teddy aime les cerises.
Et un toast plus tard, je vais ouvrir à mes parents. Bien vite, ma mère passe a Karl et rigole à ses paroles avant de lui pincer la joue touché par ses paroles comme toujours. Quelques fois, j’ai l’impression qu’elle le préfère à moi, mais j’ai appris avec le temps que ce n’était pas ça. Elle lui apporte l’amour maternel qu’il n’a pas eu en grande quantité par le passé et si c’est pour ça, je suis prête à partager ma mère avec lui. Ma père lui, il joue déjà avec son petit-fils tellement il est gaga de ce dernier. Et Teddy aime tout autant son grand-père. Lorsqu’ils sont tous les deux, ils sont inséparables. C’est beau à voir. Mes parents remercient Karl pour la boisson et je retiens du mieux que je peux un rire en voyant les dents roses de ma mère lorsqu’elle sourit. Je noie mon rire dans une gorgée de mon cocktail en cherchant le regard de Jane. Je suis certaine que ce n’est pas un accident, mais, honnêtement, je ne lui en veux aucunement.
Un peu plus tard, la porte s’ouvre et la voix de Tony arrive à nous avant même qu’on ne le voit. Mon père se fait alors délaisser par Teddy au profit de ce dernier arrivé puisque mon fils saute des bras de son grand-père et court en criant un grand « Tonton Tony » en lui sautant dans les bras. Il salue, toujours des bras de Tony, le père de ce dernier. Je rigole ensuite aux paroles de Tony et de son père.
- Eh non ! Avant, c’est eux qui devaient nous traîner, maintenant c’est à notre tour !
Je lui réponds en lui faisant un câlin pour le saluer à mon tour, maintenant que Teddy était de retour sur les genoux de son grand-père. Puis, en me reculant après avoir saluer Pat, je remarquer Zeke et une femme qui m’est inconnue, mais que je devine être sa femme. Je fige, tout simplement. Je ne sais pas quoi faire, comme réagir, quoi dire. Heureusement que dans tout ce brouhaha, ça passe légèrement inaperçu. Dire qu’il y a encore quelques secondes, mon plus gros stress pour ce soir était la présence de mes parents et là, maintenant, leur présence ne me dérange plus aucunement. Zeke et sa femme viennent de surpasser tout ça. Je ne peux même pas compter sur Dgee puisque je la vois sortir sur la galerie. Merde ! Qui les a invités ? Je n’étais pas prête à le revoir et à rencontrer sa femme moi. Je ne voulais surtout pas les rencontrer le jour de Noël. Merde, merde, merde. Je vois, en revanche, que ça semble ravir nos parents de le voir là avec sa femme. Bien sûr qu’ils sont contents, il est marié lui. Il suit les vrais étapes de la vie lui. Je suis tellement sous le choc de le voir ici que je me laisse totalement faire lorsqu’il me traîne de force dans un câlin que je finis par lui rendre parce que je ne peux jamais refuser un câlin de mon frère. Et ce, peu importe à quel point je lui en veux. À la présentation que Zeke me fait de sa femme, je lui jette un regard noir bien vite couper par le câlin de cette dernière. Je suis tellement surprise par cette accolade que je lui rends à peine avant qu’elle ne se recule. Je ne réalise même pas qu’il ne m’a jamais dit son nom lorsque Teddy arrive à mes côtés et qu’il me pose une question. La question plutôt.
- Maman, c’est qui eux?
Je sèche un peu en le prenant dans mes bras avant de lui répondre, pas très sûr de moi.
- Lui, c’est Ezekiel mon… jumeau, mon frère et elle, c’est sa femme. Je le voix froncer les sourcils pour comprendre la situation, donc je décide de lui simplifier la tâche en lui expliquant grossièrement la situation. Ils viennent de revenir en ville après avoir passer plusieurs années au Mexique, c'est pour ça que tu ne les as jamais vu mon grand.
Je n’ose pas lui dire pour la dispute entre Zeke et moi, donc je ne dis rien. Je suis soulagée de voir que ça semble lui convenir puisqu’il repose son regard sur les deux invités surprises.
- Vous êtes mes autres tontons et tatas alors ?
Demande-t-il simplement. Qu’est-ce que la vie peut sembler simple à travers les yeux d’un enfant.
- C’est bien ! J’ai vu ça passer sur les réseaux toutes ces levée de fond, gala et tout ça. De ce que j’ai vu, très bien réussis. Oh et pendant que j’y pense, j’aimerais refaire un peu le décor de l’arrière-plan de mes vidéos alors quand tu auras le temps, fait moi signe, j’aimerais faire de la pub a des artistes d’ici qui débute. En tout cas, j’ai toute une idée de projet avec ça alors on pourrait aller prendre un café bientôt pour que je t’explique le tout, t’es partante ?
Je regardais mon amis préparer les verres et j’avais juste encore plus hâte d’y goûter. Je hausse les épaules à la question de Jane en poussant un léger soupire. Puis, bien vite, j’éclate de rire. Qu’est-ce qu’elle est folle, mais qu’est-ce que je l’aime. Elle m’a manqué mine de rien.
- J’en suis consciente, ne t’inquiète pas. J’ai arrêté de leur parler lorsque j’ai eu Teddy puisque ma mère n’arrêtait pas de faire des commentaires sur le fait que j’avais eu un enfant hors mariage et tout ça, mais ça va un peu mieux maintenant alors j’essaie de faire attention. Puis, tu sais, mes parents sont encore beaucoup croyant et pratiquant – surtout ma mère – alors voir sa fille dévoiler beaucoup de son corps, ça la fait capoter. Elle m’a déjà dit que j’allais aller en enfer si je continuais comme ça. Mais, c’est ma mère et… je l’aime malgré tout.
Je reste choquée aux paroles de Jane un instant avant de taper dans mes mains, une grand sourire sur les lèvres.
- Oh mais c’est génial ! Mais rassure moi… C’est avec Tony que tu veux des enfants !? Et le divorce, tu l’oublies !? Et oui Teddy aime les cerises.
Et un toast plus tard, je vais ouvrir à mes parents. Bien vite, ma mère passe a Karl et rigole à ses paroles avant de lui pincer la joue touché par ses paroles comme toujours. Quelques fois, j’ai l’impression qu’elle le préfère à moi, mais j’ai appris avec le temps que ce n’était pas ça. Elle lui apporte l’amour maternel qu’il n’a pas eu en grande quantité par le passé et si c’est pour ça, je suis prête à partager ma mère avec lui. Ma père lui, il joue déjà avec son petit-fils tellement il est gaga de ce dernier. Et Teddy aime tout autant son grand-père. Lorsqu’ils sont tous les deux, ils sont inséparables. C’est beau à voir. Mes parents remercient Karl pour la boisson et je retiens du mieux que je peux un rire en voyant les dents roses de ma mère lorsqu’elle sourit. Je noie mon rire dans une gorgée de mon cocktail en cherchant le regard de Jane. Je suis certaine que ce n’est pas un accident, mais, honnêtement, je ne lui en veux aucunement.
Un peu plus tard, la porte s’ouvre et la voix de Tony arrive à nous avant même qu’on ne le voit. Mon père se fait alors délaisser par Teddy au profit de ce dernier arrivé puisque mon fils saute des bras de son grand-père et court en criant un grand « Tonton Tony » en lui sautant dans les bras. Il salue, toujours des bras de Tony, le père de ce dernier. Je rigole ensuite aux paroles de Tony et de son père.
- Eh non ! Avant, c’est eux qui devaient nous traîner, maintenant c’est à notre tour !
Je lui réponds en lui faisant un câlin pour le saluer à mon tour, maintenant que Teddy était de retour sur les genoux de son grand-père. Puis, en me reculant après avoir saluer Pat, je remarquer Zeke et une femme qui m’est inconnue, mais que je devine être sa femme. Je fige, tout simplement. Je ne sais pas quoi faire, comme réagir, quoi dire. Heureusement que dans tout ce brouhaha, ça passe légèrement inaperçu. Dire qu’il y a encore quelques secondes, mon plus gros stress pour ce soir était la présence de mes parents et là, maintenant, leur présence ne me dérange plus aucunement. Zeke et sa femme viennent de surpasser tout ça. Je ne peux même pas compter sur Dgee puisque je la vois sortir sur la galerie. Merde ! Qui les a invités ? Je n’étais pas prête à le revoir et à rencontrer sa femme moi. Je ne voulais surtout pas les rencontrer le jour de Noël. Merde, merde, merde. Je vois, en revanche, que ça semble ravir nos parents de le voir là avec sa femme. Bien sûr qu’ils sont contents, il est marié lui. Il suit les vrais étapes de la vie lui. Je suis tellement sous le choc de le voir ici que je me laisse totalement faire lorsqu’il me traîne de force dans un câlin que je finis par lui rendre parce que je ne peux jamais refuser un câlin de mon frère. Et ce, peu importe à quel point je lui en veux. À la présentation que Zeke me fait de sa femme, je lui jette un regard noir bien vite couper par le câlin de cette dernière. Je suis tellement surprise par cette accolade que je lui rends à peine avant qu’elle ne se recule. Je ne réalise même pas qu’il ne m’a jamais dit son nom lorsque Teddy arrive à mes côtés et qu’il me pose une question. La question plutôt.
- Maman, c’est qui eux?
Je sèche un peu en le prenant dans mes bras avant de lui répondre, pas très sûr de moi.
- Lui, c’est Ezekiel mon… jumeau, mon frère et elle, c’est sa femme. Je le voix froncer les sourcils pour comprendre la situation, donc je décide de lui simplifier la tâche en lui expliquant grossièrement la situation. Ils viennent de revenir en ville après avoir passer plusieurs années au Mexique, c'est pour ça que tu ne les as jamais vu mon grand.
Je n’ose pas lui dire pour la dispute entre Zeke et moi, donc je ne dis rien. Je suis soulagée de voir que ça semble lui convenir puisqu’il repose son regard sur les deux invités surprises.
- Vous êtes mes autres tontons et tatas alors ?
Demande-t-il simplement. Qu’est-ce que la vie peut sembler simple à travers les yeux d’un enfant.
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Pour vrai, il est très heureux d’être là. Excité et enthousiaste. Il les a tous revu, depuis, mais c’est la première fois qu’il les revoit tous ensemble. Et pour quelque chose de festif qui n’a rien à voir avec le groupe. Noël, c’est bien. C’est joyeux. C’est amusant. C’est familial. C’est festif. Il est franchement heureux d’être là. Ils seront tous là. Dès son arrivée, la petite foule migre vers eux et il en est ravi. Purement ravi. Dgee est la première à l’atteindre et il la serre fort fort.
- Tonton Tony !
Et ça, c’est de loin l’appel le plus merveilleux du monde ! Il se penche, juste assez pour réceptionner le petit garçon dans ses bras et le soulève avant de le serrer contre lui.
-Heeey ! Joyeux Noël Teddy ! Il le repose au sol et retourne vers son son grand-père maternel, le temps que Tony prend pour saluer tout le monde, parce que c’est un petit garçon bien élevé, mais Tony sait très bien que Teddy lui fera visiter sa chambre. Il lui a dit chaque fois qu'il se sont vu. Tony sait déjà qu'il a des trucs troooop cool à lui montrer. Il embrasse ensuite AngieJoyeux Noël, Angie. J’espère que tu vas aimer ton cadeau. dit-il sans préciser de quel cadeau il s’agit. Elle va le découvrir assez rapidement elle-même.
Il va rapidement saluer les parents d’Angie avant de voir Jane qui sort de la cuisine. Ça tombe bien, il voulait y déposer les bouteilles qu’il a apportées. Il s’y dirige donc et absolument rien n’aurait pu freiner son avancée, sauf peut-être un mur très épais, mais encore là, c’est pas sûr, il aurait réussi à faire le tour sans ralentir. Ou ouvrir une porte, va savoir. Mais y’en a pas.
-Hello, toi , dit-il en passant pour aller déposer les bouteilles sur le comptoir, puis il rebrousse chemin.
Un tendre baiser, aussi naturellement que peut l’être Tony. Une parfaite abstraction des deux ans où il a évité tout le monde. Il fait semblant que ça n’existe pas, parce qu’il n’a jamais signé les papiers. Et puis il a sagement accéder à toutes ses demandes, dans la mesure du possible et du raisonnable, alors il ne fait semblant de rien. Sauf évidemment, il fait semblant qu’elle n’a jamais demandé le divorce. Et puis son oeil accroche celui qu'il n’avait pas encore vu.
-Oh ! C’est là que tu te cache ! Viens ici, toi ! dit-il en délaissant Jane et ne laissant aucune chance à Karl de pouvoir « venir ici ».
Il rejoint Karl et lui plaque les mains sur les joues et le tire vers lui pour lui plaquer un vigoureux baiser sonore sur les lèvres. Ok, ouais, ça faisait longtemps, ça ! Pratiquement trois ans, à vrai dire. Non, en fait, trois ans certainement. Il manque Edge, qui n’est pas encore arrivé pour le moment, mais la perspective de tous les revoir lui fait un bien fou, comme si ça lui enlevait une tonne sur les épaules. Il sait qu’en ce moment, ils ne sont pas tout à fait en routine normale, c’est une fête de Noël. Il sait que ça ne sera pas toujours aussi facile et… comment dire, source de bonheur et de plaisir. Il y aura des moments difficiles, il le sait. Mais c’est franchement les personnes avec qui il veut être, se dit-il en cherchant Dgee du regard.
@ Invité
- Eh bien Dgee, comme le souligne Angie, il n’est pas nécessaire d’être marié pour ça et Tony ne fait pas nécessairement partie de l’équation. Ça dépend de lui! Expliqua Jane et de moi…
Elle n’avait certainement pas renoncé à son idée de l’écarter de sa vie. Elle prenait simplement un chemin plus tortueux. Est-ce que c’était malhonnête? Pas dans la mesure ou Tony n’en ignorait rien. Elle reviendrait vers lui si c’était son choix. Elle reviendrait vers lui s’il cherchait vraiment à la retenir, non par habitude, mais par une réelle démonstration de volonté.
- Bonsoir Tony. Elle lui sourit. Un sourire tout rouge en rappel à la soie de sa jolie robe.
Pas de compliment? Un baiser! D’accord! Un beau baiser! Un autre peut-être? Elle fit mine de l’enlacer peut-être pour lui dire qu’elle était heureuse de le voir là… Mais l’attention de son mari n’est plus sur elle, déjà.
La jalousie? Est-ce que c’était le genre de Jane? Pas du tout! Est-ce qu’elle pensait que ça pouvait taper sur les nerfs de Tony? Humm Fallait voir, non? Jane s’interrogea sur ses talents d’actrice. Après tout, elle ne jouait pas l’artiste, elle était une artiste… Non, c’était indigne d’elle et évident. Elle se détourna. C’était leur truc à eux… Elle était un satellite au même titre qu’Angie là-dedans.
À quoi pourrait-elle s’intéresser maintenant? Tient, qui c’est ceux-là? Jane se dirigea vers ceux que Tony avait emmenés et se présenta elle-même au frère et à la belle-sœur d’Angie.
- Bonjour! Je suis Jane! Joyeux noël! Dit-elle tendant la main et en distribuant des verres.
Elle ne s’identifia pas comme la petite amie ou la femme ou même la future ex-femme de Tony. Par contre une fois les présentations faites, elle alla se faufiler sous le bras de papa Chatwood, glissant affectueusement ses bras autour de sa taille.
- Patrick, ça fait longtemps!
Elle n’avait certainement pas renoncé à son idée de l’écarter de sa vie. Elle prenait simplement un chemin plus tortueux. Est-ce que c’était malhonnête? Pas dans la mesure ou Tony n’en ignorait rien. Elle reviendrait vers lui si c’était son choix. Elle reviendrait vers lui s’il cherchait vraiment à la retenir, non par habitude, mais par une réelle démonstration de volonté.
- Bonsoir Tony. Elle lui sourit. Un sourire tout rouge en rappel à la soie de sa jolie robe.
Pas de compliment? Un baiser! D’accord! Un beau baiser! Un autre peut-être? Elle fit mine de l’enlacer peut-être pour lui dire qu’elle était heureuse de le voir là… Mais l’attention de son mari n’est plus sur elle, déjà.
La jalousie? Est-ce que c’était le genre de Jane? Pas du tout! Est-ce qu’elle pensait que ça pouvait taper sur les nerfs de Tony? Humm Fallait voir, non? Jane s’interrogea sur ses talents d’actrice. Après tout, elle ne jouait pas l’artiste, elle était une artiste… Non, c’était indigne d’elle et évident. Elle se détourna. C’était leur truc à eux… Elle était un satellite au même titre qu’Angie là-dedans.
À quoi pourrait-elle s’intéresser maintenant? Tient, qui c’est ceux-là? Jane se dirigea vers ceux que Tony avait emmenés et se présenta elle-même au frère et à la belle-sœur d’Angie.
- Bonjour! Je suis Jane! Joyeux noël! Dit-elle tendant la main et en distribuant des verres.
Elle ne s’identifia pas comme la petite amie ou la femme ou même la future ex-femme de Tony. Par contre une fois les présentations faites, elle alla se faufiler sous le bras de papa Chatwood, glissant affectueusement ses bras autour de sa taille.
- Patrick, ça fait longtemps!
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