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The New Neighbor Next Door | Ft. Feyre

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Mer 8 Juin - 22:57
Cela faisait quelque chose comme trois semaines que Clarence habitait véritablement dans son nouvel appartement. Il avait signé le bail il y avait de cela plus d’un mois. Mais un enchaînement d’imprévus avait fait qu’il avait dû loger ailleurs quelques temps afin de rendre son nouveau chez-lui habitable. Parce que dans l’état… Pas d’eau. Pas d’électricité. Pas de meubles. Et une souris morte. Comprenez : il venait d’outre-Atlantique et avait réduit au plus possible la quantité de choses à faire venir d’un continent à l’autre. Les meubles étaient passés à la trappe. Mais ce n’était pas comme s’il en possédait des masses… il avait toujours vécu dans des meublés. Il partait de zéro. Mais déjà, après des semaines, Clarence était ravi d’avoir enfin un endroit à lui qui fut vivable et confortable. Il avait même une table et des chaises. N’était-ce pas merveilleux ? Mais ce n’était pas encore fini. Petit à petit, l’oiseau construit son nid.
Ce jour-là, il était sorti pour acheter des rideaux opaques pour la fenêtre de sa chambre. Mais allez savoir comment, il s’était retrouvé avec une facture shopping salée. Il s’en voulait un peu, autant pour son porte-monnaie que pour avoir succomber à ses pulsions consuméristes, propres à l’humain contemporain de beaucoup de régions du monde. Ce fut donc les bras chargés de sac qu’il arriva devant la porte de son appartement, légèrement essoufflé de sa marche depuis la station de métro la plus proche. Il posa toutes ses nouvelles acquisitions au sol afin d’avoir les mains libres pour se mettre en quête de ses clefs.
A ce moment là, l’une de ses nouvelles voisines arriva à son tour pour rentrer chez elle.
« Bonjour, » la salua poliment Clarence avec la sourire de circonstance, comme tout voisin respectable le ferait.
Tandis que la jeune femme lui rendait la politesse, il se rappela de ses activités de la veille.
« Au fait, je suis vraiment désolé pour le bruit d’hier. Je ne sais pas si vous l’entendiez. Si c’est le cas, vraiment désolé. » s’excusa-t-il.
Il avait installé son canapé. Et monté quelques étagères au mur. Comme il n’était pas très bricoleur, cela lui avait pris plusieurs heures ainsi que pas mal de coup de marteaux et perceuse. Sa voisine devait déjà le prendre pour le pire voisin du monde. A vrai dire, avant cet instant, il ne lui avait jamais adressé un mot autre que le bonjour de politesse. Il aurait peut-être dû la saluer et se présenter comme il se le devait.

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Lun 13 Juin - 19:40
♛  The New Neighbor Next Door
Je peux voir dans tes yeux que tu es vaincu. Tu essayes de faire semblant jusqu'à ce que tu le crois. Tu ferais mieux d'être engourdi et de ne pas ressentir. Oh Mais il y a un ciel au dessus si tu traverses le plafond, oh nous n'avons pas besoin de dire que nous sommes désolés. Nous n'avons pas besoin d'adorer l'art du paradis. Nous n'avons pas besoin de dire que nous sommes désolés


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 Courir. Jusqu’à point en finir. Courir. Pour tout oublier. Pour te sentir vivante. Le vent te gifla sur tes joues tandis que tu accélérais le pas. Courir pour ne pas regarder en arrière. Courir pour oublier un instant la douleur qui te comprimait ton corps. Pour combler le vide qui y habitait depuis cette nuit-là où ton mari t’as été cruellement enlevé. A ce souvenir, tu accéléras encore plus vite. Devant toi, Lumos ton berger australien jappa d’excitation. Depuis que t’es gamine, t’as toujours été fasciné de sport.  Du sport d’extrême au fitness tout y passait. C’était ton adrénaline. D’être à bout de souffle et comblé. Maintenant, tu faisais ça pour survivre. Pour sentir que tu n’étais pas une épave comme te le répétais sans cesse tes proches. Au moins, courir t’occupais ton esprit et te faisait sortir de chez toi ou de ton boulot. Ce dernier était devenu ton sanctuaire. Les envieux auraient été nombreux à vouloir un hôtel spa 5 étoiles comme sanctuaire. Toi, c’est devenu normale. Vivre dans le luxe depuis ton berceau, tu étais habituée à la beauté. Mas plus tu grandissais et plus rien ne te mettait des paillettes dans ta vie. Jusqu’à que tu rencontres Rhys. Tu ravalas des larmes qui commençaient à se former au coin de tes yeux. Lui était devenu ton paradis comme ton enfer. T’avais l’impression de vivre éveillé d’un cauchemar sans nom.  Et même su ça fait des mois que tu étais veuve, la douleur était toujours la. Présente. Blotti contre tes épaules. Logée dans ton cœur meurtri. Survivre était presque devenue facile. Tromper les apparences et montrer que tu allais bien. Tu savais que ça marchait sur certains mais tu voyais bien dans les yeux de ta jumelle June, qu’elle tu ne pouvais pas la tromper. Alors, tu trouvais toutes les raisons au monde pour fuir son regard. Pas facile quand tu habitais avec et travaillais avec mais t’avais trouvé l’occupation parfaite. Le footing.

Tu jetas un coup d’œil à ta montre. Tu avais profité d’un instant calme et rare de jour de congé pour partir courir avec Lumos. T’avais échappé à June qui voulait te kidnappé pour je ne sais quel raison. Pas que ça te genais de faire des activités avec ta jumelle, tu adorais ça et tu l’adorais. Juste qu’aujourd’hui, t’avais besoin d’être seule. T’avais même prétexté un mal de tête pour rentrer plus vite chez toi. Mal de tête qui serait venu si tu aurais resté plus longtemps avec elle. Tu tournas à droite et tes yeux se posèrent sur la maison que vous avez achetée dans le Staten Island. Elle faisait la même taille que les autres maisons. Même si t’étais dans le luxe, vous avez eu besoin de tranquillité et ce choix de quartier te le donnait. La ruelle qui te permettait d’aller chez toi arriva dans ton champ de vision et tu ralentis pour marcher. Faisans descendre ton rythme cardiaque, tu détachas Lumos qui partis vers la maison pour retrouver ses gamelles. Du coin de l’œil, un détail t’attira l’attention. Ton nouveau voisin qui avait fait du shopping vu les nombreux sacs qui étaient alignés devant sa porte d’entrée. Il était nouveau depuis quelques secondes et à part les politesses, tu ne lui avais jamais parlé. La faute à ta vie qui résumais à se lever tôt pour courir et partir au boulot ensuite et y rester jusqu’à la nuit tombe. Oui. Il y avait mieux comme vie pour une adulte de trente deux ans mais c’était ta vie. Du moins, c’était devenu ta vie il y a quelques mois. Avant, elle n’était pas comme ça. Tu sursautas de surprise quand la voix du voisin te sorti de tes pensées pour te saluer. Tu lui retournas esquivant un sourire tandis qu’il s’excusa du bruit de la vielle. Quel bruit ?

Après avoir ouvert la porte pour permettre à ton chien de t’enfuir dans ta maison, tu partis à la rencontre du voisin. «  Y a pas de mal. Enfin pour être honnête, je n’ai rien entendu et je ne pense pas que ma sœur non plus. Nous fin je suis très rarement chez moi. Mon boulot occupe tout mon temps. » C’est bien parce que tu le veux. Même June te disais que tu en faisais trop pour cet hôtel. Même tes parents te le disaient alors qu’ils étaient fier de l’investissement que vous avez fait dans l’héritage familiale. Mais c’était plus fort que toi. Tu avais besoin de t’occuper l’esprit. C’était soit ça soit sombrer de chagrin. T’avais trouvé que ça et même si avoir une vie sociale était importante, toi tu l’as mis de côté depuis ce jour là. Au fond de toi, tu savais que Rhys ne voulait pas que tu coupes du monde. C’est pourquoi, sans trop savoir pourquoi, tu tendis la main au voisin. Il sera fier de toi. « Je m’appelle Feyre et celui que vous avez certainement vu tout à l’heure s’appelle Lumos. Ca vous dit un thé glacé ? Je meurs de soif. » Tu te gifla mentalement à ses mots. Lumos débarqua quelques minutes après te faisant revenir à tes esprits. Vivant. Tu étais vivante. Et tu devais survivre. «  Si vous n’aimez pas le thé glacé, je dois avoir quelque chose de plus fort. » Même si tu doutais de leur emplacement. June avait jugé bon de les planquer depuis qu’elle t’avait retrouvée saoule au bout milieu  du salon peu de temps après votre emménagement ici. Alors, t’’esperais que ton voisin opte pour le thé glacé sinon t’étais mal.


CODAGE PAR AMATIS

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Ven 17 Juin - 13:58
D’un caractère très poli, Clarence ressentit la nécessité de s’excuser auprès de sa voisine pour le bruit de la veille. Celle-ci balaya ses inquiétudes en affirmant qu’elle n’avait rien entendu, tandis que son chien filait à travers la porte qu’elle venait d’ouvrir. Elle précisa la place proéminente de son travail dans son quotidien. Une workaholic, hein ? Clarence trouvait cela très américain. Oui, très américain. Elle s’approchait de lui.
« Vraiment ? J’avais l’impression que Staten Island en entière m’entendait. »
Se pourrait-il que les logements new-yorkais soient mieux isolés que ceux du Nord-Pas-De-Calais, son dernier lieu de résidence avant de revenir aux Etats-Unis ?
La jeune femme se présenta, elle ainsi que son chien, en bonne et due forme en lui tendant la main. Clarence la lui serra en lui souriant.
« Enchanté, moi c’est Clarence. »
Il évalua la dénommée Feyre d’un œil discret. Elle paraissait aimable, en tout cas à ce premier abord. Elle avait un beau sourire et portait une tenue de sport. Elle lui proposa de l’inviter à boire un thé glacé. La remarque qui suivit lui parut un peu étrange, mais il décida de ne pas y prêter attention. Le chien, prénommé Lumos, attira son regard. L’animal était intrigué par sa présence et le laissait le renifler, lui et ses sacs.
« Du thé glacé, ça m’ira très bien, ne vous en faites pas. »
Il ne refusait jamais du thé, de toute façon. Même un affreux thé bon marché aromatisé au caramel ou poire-chocolat  – quelle insulte (oui, c’est toi, Lipton, qu’on dévisage).
« Je vous rejoins dans cinq-dix minutes, si cela ne vous dérange pas. » dit-il en désignant ses nombreux sacs.
Elle aussi, elle allait sûrement vouloir enfiler d’autres vêtements. Sur ce, ils rentrèrent chacun chez soi afin d’effectuer les bricoles qu’ils avaient à faire.

Dix minutes plus tard, Clarence avait fini de ranger ses nouvelles acquisitions. Il se présenta à la porte de Feyre qui lui ouvrit. Comme il détestait arriver les mains vides (il trouvait cela impoli), il avait apporté avec lui un gâteau en espérant que Feyre l'apprécie.
« Désolé du délai, j’ai encore du mal à me repérer dans mes placards. » s’excusa-t-il avec un sourire navré. « J’ai ramené un cheesecake. Je l’avais pris à la pâtisserie près de la station de métro sur le chemin du retour. Vous y avez déjà été ? »
Clarence avait un faible pour le cheesecake. S'il devait retenir une seule chose de la gastronomie américaine, ce serait le cheesecake. Il n’avait pas nécessairement prévu de le partager… Mais il supposait que ça ne pouvait pas lui faire de mal de le partager.

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Jeu 23 Juin - 0:36
♛ The New Neighbor Next Door
Je peux voir dans tes yeux que tu es vaincu. Tu essayes de faire semblant jusqu'à ce que tu le crois. Tu ferais mieux d'être engourdi et de ne pas ressentir. Oh Mais il y a un ciel au dessus si tu traverses le plafond, oh nous n'avons pas besoin de dire que nous sommes désolés. Nous n'avons pas besoin d'adorer l'art du paradis. Nous n'avons pas besoin de dire que nous sommes désolés


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Les voisins. C’était quelque chose de nouveau pour toi. Avec June, vous avez baigné dans le luxe et forcément, dans les logements que vous parents trouvaient il n’y avait jamais de voisins. Maison en pleine campagne. Un appartement qui faisait tout une bâtisse. Même quand tu allais à New York pour les vacances scolaires, quittant la Nouvelle-Orléans pour ici, t’avais pas connu ça. A l’hôtel, y avait un endroit loin à l’écart pour les propriétaires et s’était la que tu dormais avec June quand papa et maman avaient une réunion importante avec des fournisseurs pour l’hôtel spa familial. Même quand t’as connu Rhys et emménager avec plus tard, t’avais pas connu ce que c’était d’avoir des voisins proches. Alors, c’était nouveau pour toi quand June t’ordonna de vivre avec elle et qu’elle avait trouvée cette maison dans ce quartier. Endroit qui faisait très série américaine. Ca ne te surprendra pas de voir des caméras faire des téléréalités des familles vivant ici. C’était Desperate Houswives. C’était dépaysant et tu n’avais pas encore pris l’habitude d’avoir des voisins. C’était une chose révolue maintenant. Clarence, ton voisin te faisait face et il semblait charmant. Tu rigolas à sa remarque quand il disait que le bruit aurait fait réveiller votre quartier. Drôle aussi. Atypique serait le mot approprié. « Si ça peut vous rassurer, les gens ont tellement l’habitude d’entendre des bruts que le votre est passé crème. C’est New York après tout. La ville qui ne dors jamais. » Tellement que les habitations étaient super bien équipés pour isoler le bruit. Tu penchas la tête et souris. « Vous n’êtes originaire d’ici je me trompe ? » L’inverse te choquerait. Ton chien jappa et partis à l’intérieur te laissant avec Clarence. L’option du thé glacé s’imposa à toi et il accepta après s’être excusé de devoir finir de ranger ses affaires avant de venir. « Prenez votre temps, ça me permettra de me changer. » Tu posas un regard sur ta tenue de sport et lui souris. T’avais transpiré vu la course que tu avais fais avec Lumos.

Tu le regardas partir et rentra chez toi. La décoration était moderne. C’était surtout June qui s’en était chargée car t’étais trop occupé à être au boulot pour éviter de broyer du noir pour faire une décoration. Tu montas les escaliers et passa rapidement sous la douche pour enlevé la transpiration qui collait sur ta peau. Plusieurs minutes plus tard, t’enfila une robe fluide et fleurit. Un parfait constate entre ta tenue de sport et celle de maintenant. Vu le temps, t’étais mieux en robe qu’en pantalon. Quand tu descendis, t’entendis quelqu’un y sonner. Parfait timing. Tu ouvras sur ton voisin et souris devant le gâteau qui te présentait. « Un Cheesecake. June, ma jumelle aurait été folle de joie si elle était là. C’est son dessert préféré.» T’aimais aussi même si ton truc c’était surtout les desserts aux fruits. Tu l’invitas à te suivre et sortis du thé glacé que vous avez tourné chez vous frais avec deux grands verres ainsi qu’un couteau. « Je ne suis jamais allé à celui de la station de métro. Généralement, on commande chez Bradits. Mais vu l’allure, je suis sur qu’il est très bon. On se met à la véranda ? » Tu pris tout ce qu’il te fallait sur un plateau et lui montra la direction à suivre. La véranda était à l’ombre. Ce qui était parfait pour boire un thé. Et lire. Tu posas le tout sur la table et servis vos verres. « Ca me fait pensé que j’ai quelque chose qui vous appartiens. Le facteur à du confondre nos boites aux lettres. » Quand tu avais dis cela, tu étais partis dans le salon chercher le fameux sésame. Un catalogue littéraire au nom de Clarence. Tu lui tendis. « J’ai hâte que le prochain tome sorte pas vous ? » Le couteau transperça le gâteau signe que l’heure du gouter allait commencer.

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Mer 29 Juin - 23:40
La dénommée Feyre avait l’air d’une new-yorkaise de longue date à la façon dont elle parlait de la ville. Clarence n’aurait su dire si elle y était née ou si elle y avait simplement passé de nombreuses années. Peut-être qu’elle était née dans le fin fond du Kentucky. Qui sait ?
« Vous n’êtes originaire d’ici, je me trompe ? »
« Pas vraiment. » admit-il avec un sourire démasqué. « Ca se remarque tant que ça ? »
L’accent. Juste l’accent. Certaines personnes perdaient leur accent après un certain temps dans un autre endroit. D’autres jamais. Clarence faisait parti de cette deuxième catégorie. A moins de faire un effort conscient pour sonner américain, il n’arrivait pas à se défaire de son accent. Et puis, il n’avait jamais habité à Staten Island auparavant.
Feyre et Clarence convinrent de se retrouver autour d’un thé glacé au domicile de la jeune femme. Mais avant, ils se séparèrent afin de chacun faire ce qu’ils avaient à faire. Ils n’allaient pas loin l’un de l’autre, de toute manière.

Une dizaine de minute plus tard, Clarence se présenta sur le pallier de chez Feyre, ayant emmené avec lui un cheesecake. L’hôte se réjouit de ce tribut sucré, mentionnant la préférence de sa sœur pour cette pâtisserie.
« On peut toujours lui en laisser une toute petite part. Juste une toute petite. »
En présence de quelqu’un, Clarence n’aurait jamais mangé tout le gâteau. Il était probable que Feyre non plus. Celle-ci l’invita à entrer. Tout naturellement, son regard se balada dans l’intérieur qu’il venait de pénétrer tandis que l’hôtesse s’en allait chercher le thé glacé. Il s’agissait d’un espace spacieux, à la décoration moderne. Cela lui faisait penser à ces décorations que l’on voyait dans les magazines ou les catalogues de magasins d’ameublement. C’était de bon goût et démontrait un soin apporté aux détails. Certaines personnes avaient l’oeil pour ces choses-là. Trop absorbé par sa contemplation de l’espace, il n’écoutait la jeune femme que d’une oreille distraite. Elle ne disposa de sa pleine attention que quand elle lui proposa d’aller dans la véranda, ce qu’il accepta. Ils s’y dirigèrent alors.
« C’est très joli chez vous, en tout cas. » la complimenta-t-elle en s’asseyant avec retenue.
S’il reconnaissait les qualités esthétiques de l’environnement, il ne l’en trouvait pas charmant pour autant. D’où le terme joli. Feyre faisait le service. Clarence la remercia poliment. Soudain, elle se rappela de quelque chose qui, apparemment, lui appartenait, qu’elle alla chercher dans le salon.
« Qui m’appartient ? » interrogea Clarence, interloqué.
Allons donc ? Très vite, Feyre revient avec ce qui semblait être un magazine et cela fit tilt dans son esprit. Il avait totalement oublié.
« Oh ! » s’exclama-t-il en le prenant. « Je l’avais totalement oublié, celui-là. Vous auriez pu le garder, je ne l’aurais peut-être jamais remarqué. Merci. »
Clarence oubli ait facilement les petites choses. Il se mit à feuilleter le magazine traitant de littérature intérêt avant de revenir sur la couverture. Une série de romans plutôt populaire ces derniers temps faisait la Une.
« Le prochain tome ? Ne m’en parlez pas. Je n’ai même pas encore lu le premier. Ca fait des mois qu’il attend dans ma pile à lire, qu’il me dévisage à chaque fois que je prends un autre livre. » se désespéra-t-il, non sans un sourire coupable.
Feyre coupait le gâteau et lui en servit une part.

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