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On se croirait chez les bolchéviques, ici ! / Tom

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@ Invité

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Lun 25 Nov - 0:08
T’as un petit bruit de satisfaction au compliment qui n’est pas censé en être un. Tu te blottis presque contre elle, te retenant pourtant à ses cuisses pour ne pas t’écraser contre elle. Un grognement t’échappe alors qu’elle tire un peu trop fort sur tes cheveux – elle se venge, la garce. Le bruit de protestation est rapidement étouffé par le contact de ses lèvres. Le baiser, tu essaies de le dominer, de mener ton rythme, autant avec tes dents et tes lippes qu’en pétrissant ses jambes et en appuyant sur son corps pour presser le tien contre le sien.

Tu romps le baiser et tu déposes un bécot un peu plus léger sur ses lèvres, tu descends, parsème sa mâchoire de papillons. « On reste ici ? » Tu souffles contre la peau de son cou. « Je suis pas pudique mais t’as l’air d’aimer tes colocs. » Tu te sépares à demi d’elle, reposant tes mains sur ses genoux.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 0:21
La chaleur monte tranquillement en partant des endroits où nos corps sont en contact ; et notamment de sous ses mains, parce qu'il a cette poigne qui n'appartient qu'à lui et qui ne manque jamais de m'exciter.
Je ne laisse toutefois pas totalement avoir le dessus, dirigeant le baiser à ma manière en me servant de la prise que j'ai sur ses cheveux, et l'observe une fois qu'il s'est reculé. Il a pu le faire parce que je voulais bien : j'ai toujours la main contre sa nuque.

« Non, on va dans ma chambre, mes pauvres colocs, je vais pas leur imposer ça. »

Oh je sais que ça ne dérangerait pas Tom mais des fois j'me demande ce qui le dérange, dans la vie...

« Chaussures ? » je précise, même si je suis pas certaine qu'il va m'écouter, glissant contre lui en lui échappant pour prendre la direction de ma piaule. Je ne crois pas avoir la plus grande de la coloc – ce qui est bien dommage – mais au moins elle est décorée comme j'en avais envie. « Tu as déjà pensé à changer de boulot ? » je demande à Tom, me plantant devant un miroir psyché : « Tiens viens m'aider avec la robe. »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 0:26
Tu roules des yeux en soupirant, un instant tu avais espéré qu’elle se décide à poursuivre vos activités dans la pièce commune plutôt que de faire sa mijaurée. Elle n’était plus à un scandale près. Tu ignores une nouvelle fois sa demande, tes godasses de sécurité abandonnées au profit du postérieur plutôt avantageux de Liberty. Tu fermes derrière vous la porte de sa chambre et va t’écraser sur son lit en soupirant d’un mélange d’aise et de fatigue. « T’as déjà pensé à reprendre figure humaine ? » Tu te cambres pour extirper ta ceinture que tu laisses tomber à côté du lit. Dans un grognement tu te relèves pour aller l’aider. « Puis pour faire quoi ? » Tu t’approches d’elle et passe tes mains le long de ses hanches, cherchant à atteindre son derme, l’aidant surtout pour ne pas la vexer ; elle tient à ses fripes plus qu’à sa dignité constamment bafouée. « Tu veux pas t’essayer à des fringues moins chiantes à enfiler ? » L’habitude pourtant, chose que tu n’aurais jamais pensé avoir comme expertise, te permet de la dévêtir rapidement et te retrouver face à ce corps qui t’amuse autant qu’il te semble étranger.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 0:34
« Pour avoir l'air aussi fatigué que toi ? Non merci », je réponds, l'observant approcher dans le miroir avant qu'il ne s'attaque à virer cette robe que je ne peux que difficilement quitter seule... « Je ne sais pas, je me disais que travailler de nuit et en surveillant ça doit pas être drôle tous les jours. Et je parle même pas des rapports. »

J'ai un rire quand il peste contre mes fringues, me dégageant enfin de la robe en lui laissant dans les mains : oh pas longtemps parce que j'aimerais pas du tout qu'il me la froisse.

« Merci. Où serait l'intérêt de mettre des fringues moins chiantes ? T'es bien là pour me les enlever, hm ? »

Je l'embrasse presque avec affection, et fais un geste vers le lit :

« J'arrive, va te coucher. »

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Lun 25 Nov - 0:38
« Je finirais bien par retourner dans l’équipe de jour, je m’inquiète pas trop. » Le shift du matin ou de l’après-midi, peu t’importait, mais pour cela il fallait déjà que tes supérieurs considèrent que la patrouille de nuit t’avait assez puni la santé. Ou t’offrir une promotion pour te mettre dans un placard bien obscur comme l’identification des corps. Il ne te manquait qu’une bavure pour ça. « Et quand je suis pas là pour te dessaper, tu demandes à tes colocs prudes ? Tu invites quelqu’un d’autre ? » Tu lui laisses bien volontiers sa robe, sans lui demander de l’aide pour tes propres affaires, tu ôtes ton pull et te dépêches de défaire les boutons de ta chemise, les deux sont balancés un peu plus loin. Tu te laisses tomber sur le cul dans le lit, attendant qu’elle vienne te rejoindre. « Prends pas trop de temps. »

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Lun 25 Nov - 0:49
« Je me demande quand », je fais remarquer... Mais non je suis pas inquiète pour sa santé, c'est un grand garçon !

Je parade dans mes sous-vêtements, assez contente de moi en fait, et n'ayant aucun souci avec le fait de paraître dessapée, et surtout pas devant lui.

« Bien sûr que je ramène quelqu'un d'autre, qu'est-ce que tu crois ? »

C'est pas exactement vrai, mais j'aime bien jouer à la peste et à la femme libérée, donc le petit mensonge passera parfaitement. Je lève l'index et le majeur :

« Deux minutes, et je suis à toi. »

Je tiens pour une fois parole – il faut savoir que je suis toujours en retard partout – et deux minutes moins quelques secondes plus tard je réapparais dans ma chambre, démaquillé et quasi prêt à dormir.
Je vérifie par automatisme la place du téléphone de Tom, ensuite le mien, et me glisse dans le lit après avoir claqué la lumière, frôlant volontairement le flic, et lui grimpant à moitié dessus. Je vérifie aussi au passage s'il ne sent que son parfum, ou celui d'une quelconque autre personne.

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Lun 25 Nov - 0:57
« Que t’es une pute esseulée, voilà ce que je crois. » Tu maugrées, un peu piqué mais ça te passe aussi rapidement, tout sourire à nouveau. Liberty est une femme libre, un esprit libertin, t’as des personnes plus intéressantes en ligne de mire et tu n’as certainement pas l’intention de t’encombrer d’un dragqueen maladivement jaloux dans tes bagages. Tu as ôté chaussettes et pantalon d’uniforme que tu as balancé ailleurs. Liberty n’est pas connue pour sa capacité à respecter ses promesses horaires et tu envisages un instant de te glisser sous les couvertures, quitte à sommeiller le temps qu’elle te rejoigne.
 
Les lumières éteintes te font frémir lorsque tu la sens contre toi et tes mains l’attrapent par réflexe. « T’aimes tellement pas que je te vois ? » Tu glousses, cherchant sa peau de tes lèvres. L’odeur du démaquillant te prend aux narines et tu soupires, t’enfouissant un peu plus dans le lit. L’odeur des draps tranchait avec la tienne qui était plus proche de celle de la nuit, l’humidité, la lessive bon marché utilisée pour l’uniforme, la douche prise après être passé chez Harriet en début de soirée. Une main se glisse sur le corps de Liberty, effleurant du bout des doigts ce qui passe à ta portée, traçant les courbes et cherchant les membres.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 1:02
Je ne salue sa croyance que d'un rire clair, haut perché, qui s'abaissera quand j'aurais totalement enlevé mes atours féminins. Je suis esseulé, ça c'est vrai, mais c'est parce que je le veux bien. Bon et pute, ça non, mais c'est vrai que je devrais me faire payer.
L'idée me sort immédiatement de la tête quand il me touche, et j'ai un frémissement interminable et discret à son contact.

« Si t'attends un peu tu devrais t'habituer à la lumière qui passe par les volets. Et si tu veux pas attendre tu sais où s'allume la lampe de chevet », je réponds dans un souffle, lui grimpant dessus franchement en passant une cuisse à califourchon contre sa taille. « Tu sens bon », je fais remarquer tout en me disant que je ne reconnais pas le gel douche et en laissant ma jalousie tourner dans le vide, la main glissant entre ses pectoraux pour le caresser.

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Lun 25 Nov - 1:07
« Est-ce que je veux vraiment te voir ? » Tu lâches dans un souffle, prolongé par le poids de Liberty sur tes hanches. L’excitation est là et sa main sur ton ventre fait s’échapper un vrai sourire, une risette en bonne et due forme. « Je sens toujours bon, rien que pour faire plaisir à tes narines. » Tu babilles, juste pour combler le silence, tes mains cherchent son ventre, se posent sur ses hanches, agrippent ses fesses. « T’es pas trop fatiguée, ça va ? » Tu grognes un peu, remuant les hanches sous elle pour accentuer la friction. Tu es assez vieux pour savoir que ça n’aidera pas à soulager la sensation qui monte entre tes reins mais tu veux l’inciter à bouger un peu plus.

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Lun 25 Nov - 1:24
J'ai un rire peu clair entre l'excitation et l'aveuglement, j'ai jamais aucune idée de ce qu'il entend quand il dit des trucs comme ça : ça pourrait être vrai et... oui, je trouverais ça sans doute blessant s'il le pensait. Bon après j'ai cette force d'avoir l'habitude, ça devrait aller.

« Tu m'en vois flatté », je murmure à son oreille avant d'en mordre délicatement le lobe, glissant la main plus bas, à l'endroit où il est particulièrement doux et chaud. Je me saisis de lui délicatement très exactement comme s'il était fait d'une matière précieuse. « Est-ce que par hasard tu réclames un petit peu ? » je ris de nouveau, folâtre et pour ma part peu pressé, répondant à ses frotti frottas du mieux que je peux.

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Lun 25 Nov - 1:29
« J’ai passé une longue nuit, je suis pressé ! » C’est injuste de ta part, Liberty a été autant dehors que toi, à taper le pavé et à taper le dancefloor, peu importait, dans les deux cas vous étiez tous les deux au bout de votre nuit de travail. Le soupir qui t’échappe fait écho à ses caresses, t’as envie de la toucher autrement et juste le laisser faire te dérange plus que si ç’avait été une autre fille. Une vraie fille, tu te laisses à penser un instant. T’es un peu plus frustré encore que ses attentions soient suffisamment présentes pour ne pas te pousser à agir plus violemment. Tes mains se crispent sur ses hanches. « Allez, te fais pas tant désirer ! » D’ici quelques minutes tu regretteras sûrement l’empressement mais la fatigue saturant tes synapses te pousse à brusquer les choses, peu inquiet par le fait qu’elle tienne ta virilité littéralement entre tes mains.

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Lun 25 Nov - 1:36
Je l'embrasse sur le bout du nez :

« Je suis pressé aussi figure-toi, arrête de râler. Chope-moi les préservatifs s'il te plaît. »

Oui j'ai la manie de rester toujours poli même avec le genre de goujat que j'ai présentement entre les cuisses. Je tords le poignet de manière à le caresser un peu différemment, cherchant à reproduire ce qui habituellement lui plaît, et me réjouit à vrai dire qu'il soit trop fatigué pour avoir des défenses bien établies.
Je finis par le connaître, et c'est le genre de trucs que je finis par sentir, à force. J'ai un rire de gorge, lui confiant la capote et ce qu'il doit en faire, préférant rester penché sur lui à le picorer de baisers.

« J'aime vraiment bien quand tu réclames, en fait. »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 1:45
Le mouvement te fait loucher, les sourcils se froncent, comme le nez et tu observes dans la semi-pénombre la figure qui te surplombe. Tu te tends et te tord et un instant tu t’arrêtes en soupirant. Putain, heureusement que Liberty est un bon coup parce que t’as pas à supporter ses conneries. « Cool, la prochaine fois je mettrais ça dans ma to-do list de drague. D’autres choses à réclamer ? » T’es bourru, désagréable alors qu’elle s’évertue à te procurer du plaisir. Les deux mains libres, tu ouvres le préservatif et lui met une claque sur la main pour la faire s’éloigner le temps de l’enfiler. « J’suis peut-être malade, j’ai mal aux sinus en fait. » Que tu lâches tout de go, t’as bizarrement froid et chaud et tu te tortilles pour remonter te loger la tête au niveau des oreillers.

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Lun 25 Nov - 1:49
« Plein, mais j'attends de voir si tu tiens parole. »

Je ne suis pas vraiment brusqué par ses manières, parce que je le connais, et j'écarte la main sans me sentir offensé le moins du monde – je crois que c'est comme ça qu'on s'attire des problèmes, en ne se rendant pas compte que les gens ne se comportent pas comme il le faudrait.
Je presse un baiser contre sa gorge, sentant la vibration de ses cordes vocales sous mes lèvres alors qu'il... se plaint ? J'ai un rire étranglé, me redresse, glisse la main entre nos cuisses pour le saisir, et passer aux choses sérieuses.

« Karma, j'te l'avais dit. »

Si je commence à pouvoir distribuer des maladies par sorcellerie, je vais plus jamais arrêter c'est moi qui vous le dis !

« Au pire tu prendras un doliprane avant de dormir. »

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Lun 25 Nov - 1:53
Tes yeux roulent même si elle ne peut pas les voir, alors tu laisses échapper un claquement de langue faussement irrité. C’est à regret que tu la sens s’éloigner et tu geins un peu pour l’inciter à revenir glisser ses lèvres dans ton cou. « Moque toi… » Tu grognes, pose une main sur son ventre et soupire doucement, les yeux fermés, une courte inspiration par le nez. « Ouais, j’ferais ça. Bouge au lieu de raconter des conneries. » Tu accompagnes le mouvement de tes hanches, tes mains s’agrippant finalement aux siennes, puis descendant doucement vers le bas du ventre.

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Lun 25 Nov - 1:57
« Je sais que tu me trouves au moins un peu drôle », je souffle dans le noir, les mâchoires un rien serrées à cause de la concentration mélangée de l'habituelle brûlure, à laquelle je n'accorde pas tellement d'importance.

Je pose la main entre ses pectoraux en me faisant la réflexion que c'est dommage qu'il n'ait pas allumé, j'aurais bien aimé mieux le voir. J'y pallie en fermant les yeux, descendant sur son corps, me peignant rapidement le tableau mentalement ; et mes cuisses se contractent un peu contre ses côtes autant grâce aux sensations que parce que la vision me plaît.
J'arrange toujours un peu les choses quand je les imagine.

Je me penche de nouveau vers lui, glisse la langue dans son cou, ondule gentiment, pose mes doigts presque froids sur son front :

« Je te trouve acceptablement chaud, pour un malade. »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 2:01
« Hilarant… » Tu fais remarquer d’un ton pince sans rire. Les sensations de ses cuisses contre tes côtes remontent tes hanches et précipitent un rien la cambrure de tes reins. Agité également par le doigt sur ton front, tu rouvres les yeux par habitude, un peu perturbé par ce mouvement bien vite oublié au profit des autres attentions. « Suffit que ce soit pas viral… ou pas … je sais plus lequel c’est où y a pas de fièvre. » T’es plus intéressé par la langue dans ton cou que par des réflexions sanitaires. Puis si elle veut être malade, ça ne te regarde pas tant. Tu tends le cou pour lui laisser une plus grande marge de manœuvre ; tu es tellement sensible que tu l’oublies un instant, le laissant s’occuper seul de se satisfaire. T’es un peu égoïste parfois. « Sois pas mou… »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 2:08
Il a l'attention qui fluctue, je le sens, mais il revient enfin à ce qu'on fait quand je lui lèche le cou ; c'est pas très difficile de trouver ses zones érogènes à vrai dire. Je l'embrasse, émets un rire bref, un peu sec, m'ancrant sur le matelas en essayant de trouver le meilleur équilibre possible.

« Dis, là c'est toi qui me fais le mec fatigué. Et j'ai pas peur de choper une crève, moi. »

ça me va cela dit très bien, j'aime bien avoir un minimum de contrôle sur ce que je fais, et tout commander me fait pas peur. Décevoir ce con égoïste de Tom, ça un peu plus, mais c'est un sentiment qui, je le sais pour avoir déjà essayé, s'enfouit facilement sous une tonne de déni, un bon litre de café et précisément UNE larme versée.
Je suis tellement adulte, je trouve.

Je serre de nouveau les cuisses contre lui, le corps parcouru d'une tension brusque, qui ne demande qu'à se libérer brutalement.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 2:13
« Parce que t’es lent, j’m’endors. » T’es classe et t’as aucune gêne, y a rien qui est ta faute bien sûr. Faut dire que t’es tellement bien là, sous elle, juste à profiter de ses attentions que tu ne cherches pas à faire plus. Si t’avais été plus en forme un sursaut de fierté t’aurais probablement poussé à le retourner sur le lit mais pourquoi s’embêter ? Tu le laisses guider les mouvements, tu prends, prends, prends et ne lui consens que quelques caresses éparses comme un bon prince. T’as probablement jouit avant qu’il n’aille plus loin mais t’en as rien à foutre. C’est un gémissement, presque un couinement qui t’échappe, les yeux à nouveaux fermés. « Oh putain… » Tu laisses retomber tes mains près de toi, un peu plus conscient que des deux, elle sera plus propice à se satisfaire et trop noyé dans l’extase passagère pour réellement t’intéresser à autre chose que la volupté. « Je prends le côté gauche.. »

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Lun 25 Nov - 2:23
Le dénouement ne vient pas comme je m'y attendais de mon côté, mais je garde volontiers la douceur d'une sensation non résolue, démontant des cuisses de Tom dès que ses mains retombent sur le côté.

« Ah ? Comme tu veux. »

Je suis pas difficile, je crois que ça se remarque assez vite, en tout cas en matière de relations humaines – parce que niveau fringues et bouffe là je deviens un monstre de complications. Je vérifie une nouvelle fois s'il a de la température ou pas de manière empirique – je ne crois pas – et me couche dans son dos, m'étirant de tout mon non négligeable long. Le soleil dehors a encore grimpé dans le ciel, mais ça ne nous concerne pas vraiment vu qu'on bosse de nuit.

« T'as le droit de me réveiller que si t'agonises. Bonne nuit », je ronronne, puis me pelotonne contre mon oreiller.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 10:54
Tu t’attendais au moins à ce qu’elle se finisse toute seule mais tu n’y accordes pas plus que quelques secondes de réflexion. Si elle se préfère frustrée, tu n’avais pas assez d’empathie restante pour lui proposer de l’aider à se libérer. Elle te touche à nouveau le front et tu soupires lourdement pour lui signifier que ça t’irrite – alors qu’en réalité tu apprécies l’intention – et une fois couchée dans ton dos, tu te lèves. Tu lances la capote dans une poubelle, enfile rapidement ton caleçon et ton pull et tu reviens te glisser contre elle en soupirant. Une main passe autour de sa taille, ta tête se blottit contre elle et ton autre bas est déjà sous ton oreiller pour te soutenir la tête. « T’as mis un réveil… ? » Tu maugrées sans attendre de réponse. Une bonne dizaine d’heures devant toi avant de paniquer. New-York était une ville constamment en mouvement, si tu avais d’autres choses à faire, tu aurais toute l’occasion de le faire pendant ton shift.

En réalité, dormir de jour et avoir une famille qui vit normalement rend tes heures de sommeil éclectique au mieux. Quatre heures plus tard, tu as déjà les yeux ouverts. Tu renifles et gémis, tu as trop chaud et t’éloigne de Liberty dans le lit, te retourne et glisse une jambe en dehors du lit, puis finalement l’autre et tu te lèves. Trop boire de boissons énergisantes ce n’était ni bon pour ton hygiène, ni pour ton sommeil, ni pour ta vessie. Tu sors du lit et tâtonnes à la recherche de la porte.

@ Invité

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Lun 25 Nov - 11:30
Je réponds même si son ton indique qu'il va de toute manière s'endormir sans m'écouter, un peu par réflexe ; je suis de la vieille école moi, quand on me pose une question en général j'y réponds. Tom, il est... d'une école un peu bizarre qui ne prend pas vraiment en compte les règles sociales élémentaires. Je suis habitué, depuis le temps que je le fréquente.

« Oui, à 15h », je bâille, acceptant son contact et me blottissant même dedans, satisfait et au chaud. Je sais, je sais : je me contente de peu, figurez-vous que je suis persuadé que c'est comme ça qu'on peut atteindre le bonheur dans une société aussi débile que la nôtre.

C'est Tom qui me réveille en bougeant quelques heures plus tard. La pression vague dans ma boîte crânienne m'indique que ça n'est pas assez tard, et je ramène une main vers mon visage pour tenter de m'en débarrasser comme si ça pouvait se passer comme ça.
J'ouvre un œil, la lumière est grisâtre parce qu'il doit encore faire un temps absolument merveilleux dehors – faut pas faire attention c'est la période où je me mets à rêver de Bahamas – m'étire et regard Tom qui a franchement la démarche d'un zombie mais qui Dieu merci est assez habillé pour sortir comme ça dans ma colocation.

« Plus à ta droite, pour la porte. Tu viens vraiment pas assez souvent », je fais remarquer dans un rire étouffé, roulant sur moi-même pour aller chercher des fringues. Il fait froid dans ma piaule parce que je prends pas la peine de mettre le chauffage et ma peau nue se hérisse de chair de poule.

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Lun 25 Nov - 13:22
Un soupir qui ressemble plus à un geignement t’échappe alors que tu palpes le mur jusqu’à toucher la porte. Le gros pull informe – un vieux du NYPD que tu as depuis ton intégration de l’école de police – suffit à te protéger le corps mais sous tes pieds le sol est glacial… et tu n’aimes pas vraiment ça. Tu sors de la chambre et tu claques la porte de celle-ci sans réelle raison autre que l’envie puérile de faire chier ton monde. La salle de bain un peu plus loin semble occupée, aussi vas-tu te servir un nouveau café, un truc à manger et tu enfiles du bout des pieds tes chaussures de sécurité. Ce n’est ni pratique, ni esthétique mais ça a le mérite de les tenir éloignés du sol.

Sans saluer le coloc, la bouche pleine, tu vas te réfugier dans la salle de bain une fois libre et une fois soulagé, tu finis sous la douche, utilisant et mélangeant avec curiosité tous les produits que tu y trouves. Tu prends la première serviette qui passe pour te sécher sommairement et tu renfiles tes affaires. Toujours une espèce de parasite désagréable, tu retournes dans la chambre de Liberty pour te glisser sous la couette. « Beau cul tes colocs, ils seraient prêts à partager ? »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 13:41
J'ai installé dans ma piaule une coiffeuse, 'fin en fait c'est un bureau avec un miroir, techniquement, et je surveille la bonne tenue de ma peau, je crains d'avoir trop fumé hier. Pour se faire j'ai passé un t-shirt résolument masculin là encore à l'effigie de Superman – j'avoue tout je suis fan du plus chiant des super héros hormis peut-être Captain America – et un boxer tout con, j'avais pas envie de sortir la lingerie fine.
Quand Tom rentre je finis de faire pénétrer une crème hydratante à l'odeur de fleurs, et le regarde se pelotonner dans le lit comme si c'était le sien. Je me lève, et décide de lui sauter dessus parce que je fais très bien semblant d'avoir dépassé l'adolescence en âge mental, mais pas longtemps, et surtout pas au réveil.

« Oh t'es pas leur genre, et je t'interdis de niquer mes colocs, je serais jaloux. »

Je lui applique mes doigts froids dans le cou, hume son odeur de café, et me laisse glisser sur le côté, quasi à poil sur la couette, sans paraître en souffrir. Quand ton métier c'est de porter des robes hyper décolletées et que tu vis à NY, eh bien, l'inconfort devient non plus une chose à éviter mais un genre de style de vie.

« Je constate avec joie que tu as enfin ramené tes pompes, je savais que je ferais quelque chose de toi. »

@ Invité

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Lun 25 Nov - 13:47
Tu grondes et la repousse lorsqu’elle te saute dessus. Tu aimes le contact mais pas servir de tremplin, tu retapes sa main lorsqu’elle fait exprès de te faire du mal. Tu te cambres pour éloigner ton cou de ses doigts glacés. « Ssssstop. » Tu siffles presque et coince ta tête dans tes épaules pour ne pas avoir à subir d’autres assauts inopportuns. « Ils ont des goûts de merde quoi, je suis parfait. » Tu te tournes pour lui faire face, une main soutenant ta tempe tandis que tu te redresses. « Tu m’interdis, toi ? De quel droit ? » T’as un rire, un gloussement dépréciateur, qui explose. Rien que l’idée de te restreindre pour faire plaisir à Liberty te semble risible. Tu lui tapotes la joue avec condescendance. « J’ai vu le regard lubrique d’un des colocs, je préfère les garder près de moi, t’es pas de ce genre. »

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