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Zivia Edelman - La sagesse vient avec l'âge ... ou pas

@ Invité

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Jeu 5 Déc - 18:59
Zivia Edelman
ft Judith Dench
ꕥ résumé : Née à Varsovie, Zivia est une survivante de la Shoah, et a émigré aux Etats-Unis avec son père, seul autre membre de sa famille encore en vie, en 1946. Elle s'est construite une vie avec New York, avec sa belle-mère, puis ses nombreux demi-frères et demi-soeurs. Mariée très jeune à un jeune étudiant ambitionnant de devenir avocat dont elle était follement éprise, Asher Edelman, c'est ce dernier qui a découvert son talent pour le droit et l'ai aidé et soutenu pour faire des études, fait rare pour une femme à l'époque. Elle a élevé leurs enfants, est devenue sa secrétaire ... et il est mort au Vietnam, en 1971. Zivia a pris sa vie en main, est devenue avocate de plein droit, et s'est engagée dans la lutte pour l'égalité des droits. Désormais professeure honoraire d'histoire du droit à l'université de Columbia, elle publie des manuels de droit et a écrit son autobiographie, manière de témoigner de son histoire, ainsi que de celle de sa famille, et accomplir, dans sa vieillesse, son devoir de mémoire. Matriarche d'une grande tribu, c'est désormais une vieille dame à la langue encore bien pendue et à l'esprit vif, qui adore rester occupée et se tenir "à la page", comme elle aime le répéter en riant.
who am I
ꕥ âge : 84 ans, et toutes ses dents !
ꕥ orientation sexuelle : Hétérosexuelle, quoique, en toute honnêteté, de son temps, on ne se posait pas la question. Une jeune fille devait aimer les hommes charmants, faire sa vie avec celui qu’elle aurait plus ou moins choisi et qui avait l’heur de plaire à ses parents. D’autres configurations n’existaient pas, dans la tête de la plupart des gens. La chance a fait que ce schéma lui a plutôt bien convenu, mais Zivia se demande si les choses auraient été différentes, si elle était née à cette époque.
ꕥ situation : Veuve depuis 49 ans, qui a connu quelques aventures depuis, mais est célibataire dans son grand âge.
ꕥ occupation : Ancienne avocate et Professeure honoraire d’histoire du droit à l’université de Columbia. A son humble avis, elle n’est pas loin d’occuper la même place que les squelettes des départements de médecine, au rayon des antiquités de l’établissement. Elle est également l’autrice de plusieurs manuels de droit civil et d’histoire du droit qui ont fait date, ainsi que d’une autobiographie.
ꕥ quartier : Le Queens, même s'il lui arrive de dormir chez l'une de ses filles, à Manhattan, quand elle a une conférence tard le soir ! (La fourbe accepte cette invitée en échange d'heures de baby-sitting, on n'a rien sans rien.)
ꕥ qualités : Spirituelle, Curieuse, Calme, Joyeuse
ꕥ défauts : Piquante, Volubile, Insistante, Franche
ꕥ groupe : Fit Hot Guys Have Problems Too
ꕥ communautés : Le Club de lecture
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Tout pareil que sous Leone  love  love

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée, de Pablo Neruda
ꕥ un film : Le Roi et l'oiseau, de Paul Grimault.
ꕥ une série : Glee
ꕥ une chanson : Can't take my eyes of you
ꕥ un animal : Un chat
ꕥ un plat/dessert : Tout ce qui n'a pas d’œufs dedans !
ꕥ une boisson : Du thé vert
ꕥ une célébrité : Michelle Obama
ꕥ un pouvoir magique : La télépathie

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : Si quelque chose ne va pas, j'en parlerai à mes partenaires, et niveau lecture, pas de soucis.
that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad... Zivia Edelman est née Ashkolowitz dans la capitale polonaise, Varsovie, durant le printemps 1935. Issue de Marek Ashkolowitz et de son épouse Ethel, elle était leur cinquième enfant après deux garçons et deux filles, et deux nouvelles additions suivirent au sein de cette paisible famille juive qui vivait chichement, mais encore correctement. Les lois restrictives sur le travail des juifs n’avaient pas frappé le paternel qui, en tant qu’ouvrier mécanicien, s’était rendu indispensable dans la petite usine de son patron, homme rougeaud et conservateur bon teint, qui n’avait néanmoins pas de problème avec son employé modèle. Après tout, il était juif, mais personne n’était parfait en ce bas monde. De cette petite enfance heureuse, Zivia parle volontiers en relatant l’odeur des rues de Varsovie, la beauté des coiffes des dames, les vestons des hommes, l’odeur de sucreries concoctées par sa mère, les rires de ses frères et sœurs, ceux des voisins venant à toute heure du jour et de la nuit pour discuter et partager quelques douceurs. Rien n’aurait pu la préparer à la suite, et aujourd’hui encore, ses yeux se font plus lointains, sa voix plus vacillante quand elle évoque ces années qui l’ont fait grandir trop vite.

Regroupés dans le guetto nouvellement construit de Varsovie peu de temps après l’invasion allemande comme tous les juifs de la ville et des environs, la famille Ashkolowitz dut se serrer avec deux autres familles dans une mansarde bien trop petite pour accueillir tout ce monde. A la promiscuité et au froid s’ajouta bientôt la faim, tant l’endroit était mal approvisionné. Et encore, ils avaient de la chance dans leur malheur, puisque l’ancien patron de son père avait obtenu des occupants de conserver son ouvrier favori, ce qui leur permettait d’avoir de quoi subsister en achetant sur le marché noir. Le reste de cette vie qui n’en était pas une ne saurait se décrire en quelques mots. Les ombres sur le visage ridée, tant d’années après, témoignent suffisamment de leur contenu si vivace dans sa mémoire. Il est des choses que l’on ne peut oublier. Et il y en a qu’on ne peut pardonner, malgré tous ses efforts.

Début 1942, son père fut amené, avec d’autres ouvriers spécialisés, en dehors du ghetto, les privant de leur seule source d’approvisionnement véritable. Horrifiée, sans nouvelle, sa mère enceinte réussit à gagner quelques sous avec des travaux de couture à l’usine, et ses deux aînés la suivirent bientôt, les plus jeunes restant abandonnés à eux-mêmes dans les rues où s’élevait l’odeur douceâtre de la mort. Le pire étant néanmoins encore à venir, quand la gare commença à se remplir, à partir du 22 juillet 1942. Le « repeuplement à l’est » avait commencé et personne n’en reviendrait jamais. Cela, ils ne le savaient pas, ceux qui marchaient vers leur mort, mais l’instinct d’une enfant, par on ne sait quel miracle, avait deviné le danger. Lorsqu’on vint les chercher dans leur petite masure, Zivia, qui avait aperçu les uniformes depuis la fenêtre, courut se réfugier dans sa cachette : un interstice du sol qu’elle avait réussi à desceller en partie. Elle ne voulait pas venir : elle sentait, confusément, obscurément, qu’il ne fallait pas. Sa mère, embarrassée par son ventre rond, la chercha tant bien que mal, les allemands dévastèrent la maison. Mais personne ne la trouva, et malgré la peur qui lui tenaillait le ventre, elle ne se montra pas non plus.

Lorsqu’elle sortit, des heures plus tard, hagarde et affamée, elle fut récupérée par un ami de son frère aîné, qui avait échappé à la rafle puisqu’il était chez sa compagne à ce moment. Le jeune homme, qui faisait partie de la résistance du ghetto à l’insu de sa famille, tenta de placer sa jeune sœur, et finit par payer des passeurs pour la faire passer dans la zone aryenne. Là, protégée par le réseau Zegota, elle échut chez … l’ancien patron de son père, qui en faisait partie, ne pouvant tolérer de tels agissements sur le sol de sa Pologne bien-aimée et heurté dans ses convictions humanistes. Ce dernier, Zbigniew Brezisky, l’abrita au sein de sa propre famille, la faisant passer pour sa nièce, lui sauvant la vie.
A la fin de la guerre, il chercha sa famille de naissance, et apprit que le frère aîné était décédé durant l’insurrection du ghetto, les armes à la main. Seul son père revint, méconnaissable et hanté. De son parcours durant ces années, Zivia ne put jamais arracher que quelques noms : Poniatowa, Plaszow, Auschiwtz, Bergen-Belsen … et mit infiniment plus de temps à appréhender ce qu’il avait traversé. Elle-même ne parla que peu de ses propres années de séparation. C’étaient leurs secrets, tout autant que leur secret commun. Ne sachant que faire, dépossédés de tout, ils furent encore une fois aidés par Brezisky, qui offrit du travail à Marek. Ce dernier l’accepta avec gratitude, mais la rumeur du pogrom de Kielce l’horrifia définitivement. Il lui était impossible de rester en Pologne. Alors, ils quittèrent tout, bravèrent les routes de l’Europe, puis traversèrent l’Atlantique, en quête d’une nouvelle vie, d’une nouvelle identité. Ils arrivèrent à New York et n’en repartirent plus.

Aidés par la communauté juive locale et d’autres réfugiés, ils s’établirent dans un modeste appartement, et chacun tenta de se reconstruire, en silence, parce que parler était impossible. Il y avait trop de fantômes entre eux. Douée pour les langues et avide de vivre, Zivia apprit rapidement l’anglais et brilla bientôt dans ses études. Pleine d’entrain, elle se fit rapidement une kyrielle d’amis et respira à nouveau à pleins poumons l’odeur de la ville en observant les belles tenues et les beaux vestons. Quant à son père, il trouva du travail chez Ford. Bientôt, il y rencontra une autre ouvrière. Ils se plurent. Elle était aussi blonde que sa précédente épouse était brune, protestante, joyeuse et douce, plus jeune que lui et impressionnée par ce solide gaillard à l’accent prononcé et au regard ténébreux. Ils se fréquentèrent, s’épousèrent. D’autres enfants naquirent, protestants, parce que Marek tremblait encore de peur à l’idée qu’un jour, on vienne chercher ses enfants. Sa fille ne comprit pas cette attitude, ce renoncement à leur histoire, leurs racines. Leurs relations se tendirent. Se sentant seule au milieu de cette nouvelle fratrie dont elle se sentait si différente, la jeune femme se fit acariâtre. Et puis un soir, son père vint la trouver. Lui expliqua enfin ce qu’il avait vécu. Ce qu’il avait vu. Et elle comprit. Ou du moins, n’insista plus.

A dix-huit ans, la pimpante demoiselle fit la connaissance, à la synagogue, d’un charmant jeune homme pour qui elle acheta bientôt du rouge à lèvre bon marché recommandé par ses amies et des robes supposément avantageuses. Le courageux prétendant lui, arriva avec des tenues de plus en plus habillées aux repas de la communauté où ils s’apercevaient, sous les yeux goguenards des plus âgés. Asher Edelman venait d’une vieille famille juive américaine, son grand-père ayant fait fortune en s’associant à Rockfeller, avant de tout investir dans les banques peu de temps avant sa chute. Un monde les séparait, mais la fougue de la jeunesse n’avait que faire des barrières. Ils se plurent. Ils s’aimèrent. Ils s’épousèrent, parce que c’était ainsi que les choses devaient se passer. Et s’installèrent.

Le jeune homme faisait des études de droit pour devenir avocat et sa désormais épouse prit sur elle de le soutenir, comme on attendait d’une bonne épouse. Mais tout en tenant la maison, elle relisait ses cours, ses travaux, l’aidait à les corriger, parfois à les taper. Asher, heureusement, n’y voyait qu’une aide bienvenue, et ne s’offusquait pas de voir sa femme intéressée par de si masculins domaines. A vrai dire, il comprit rapidement que sa bien-aimée avait un talent inné pour le droit dont il était objectivement dépourvu. Il finit par la laisser faire un de ses devoirs et, après avoir récolté une note bien plus haute que d’habitude, résolut d’en parler à son père, arguant des talents de Zivia, et du fait qu’elle ferait une secrétaire précieuse pour son futur cabinet – il ne fallait pas brusquer le vieil homme en parlant d’une femme associée, cela aurait fait mauvais genre, tout de même ! Le paternel ne gouta guère aux paroles de son fils, n’ayant aucune envie de payer une somme encore plus rondelette pour sa belle-fille. Mais le brave banquier n’avait qu’un seul fils, et au fond, plus d’argent qu’il ne pouvait en dépenser. Il accepta, et c’est ainsi que Zivia Edelman put accepter à l’élite américaine, et devenir l’une des premières femmes à faire des études de droit. En compagnie d’une certaine Ruth Baden Gisburg.

Les études se poursuivirent, les enfants naquirent. Son mari devint associé et elle … retourna au foyer pour élever leur progéniture. La liberté avait été bien mince, une fenêtre vite refermée. Mais le soir, elle continuait à relire les notes de son mari, à préparer des plaidoiries parfois, à le conseiller, dans ce rôle de l’ombre qui lui allait si mal. N’en pouvant plus, elle finit par lui demander de réellement la prendre comme secrétaire … ce qu’il négocia auprès de ses patrons qui acceptèrent. Contre un demi-salaire, parce qu’après tout, son mari était là, elle n’en avait pas besoin. N’est-ce pas ?

Les années se succédèrent, les enfants grandirent. Et la guerre du Vietnam arriva. Par patriotisme, son mari décida de s’engager. Il le paya de sa vie, laissant une épouse éplorée et seule pour élever leurs enfants, n’ayant plus que ses yeux pour pleurer un départ qu’elle n’avait pas compris. Mais Zivia n’était pas femme à se laisser abattre. Cette fois, elle imposa sa voix, bien aidée par son beau-père et sa fortune. Elle intégra le cabinet, cette fois comme avocate de plein droit. Et s’engagea dans la lutte pour l’égalité des droits, associant son nom aux grandes décisions comme Roe vs. Wade, et tant d’autres. Sa longue carrière débutait, comme sa deuxième vie. Lorsque la crise des « boat-people » débuta, elle se proposa pour accueillir certains réfugiés dans sa maison, se sentant une communauté de destin avec eux de par son histoire personnelle.

Bien que quadragénaire, elle était encore belle, avec son joli sourire et sa faconde joyeuse. Et ses jolies lèvres ornées du rouge de son adolescence ensorcelèrent Bao dès qu’il passa la porte avec son épouse et ses enfants. Il avait servi avec les français. Avait été capturé par le Viet Minh. Avait survécu par miracle, quand tant d’autres étaient morts. Dans ses yeux brillaient les mêmes fantômes que dans ceux de la polono-américaine. Ils se comprirent sans un mot. Le soir, ils aimaient regarder les étoiles sur le toit de la grande maison, seuls, dans ce silence de ceux qui n’ont pas envie de parler. C’est que la passion se passe de mots, elle n’a besoin que de regards et parfois, de doigts qui se perdent et s’entremêlent à la faveur de la nuit, doucement.

Mais il avait une femme, et des enfants. Elle était veuve, et avait ses propres enfants. Elle était juive, et lui bouddhiste. Il était asiatique, et elle blanche. Personne n’aurait compris. Est-ce qu’ils songèrent à partir, à rester seuls, dans ce silence réconfortant, au bout du monde ? L’espace de quelques secondes, sous les étoiles, bien sûr. Les cieux sont le réceptacle des pensées les plus folles. La réalité, implacable, les rattrapa. Déjà, le scandale couvait. Bao se résolut à partir, Zivia à le laisser partir. Quand la famille passa le seuil de la porte, le brave homme hésita, rouvrit, ferma et se jeta dans les bras de celle qu’il aimait pour lui offrir un baiser passionné. Le plus beau de son existence. Le plus triste, aussi. Et il s’en fut sans un regard en arrière. Jamais ils ne se revirent, se contentant de longues lettres amicales, ou perçait parfois l’éclat d’un amour qui ne se tarissait pas. Seule la mort de l’homme interrompit leur histoire, deux décennies plus tard.

Zivia se réfugia dans le travail, voyant ses enfants partir peu à peu du cocon familial. Elle-même préféra baisser peu à peu le nombre des affaires qu’elle traitait et accepta un poste de professeure dans son ancienne université. Son père s’éteignit, presque centenaire. Sa fille aînée vint à son chevet. Ce qu’ils se dirent, personne n’en sut jamais rien. Le lendemain, un de ses meubles avait été entièrement vidé. A partir de ce moment, la survivante commença à témoigner, pour les générations futures, pour son père qui n’y était pas parvenu, pour sa mère et ses frères et sœurs dont elle avait récupéré un portrait, si précieusement conservé, fait dans des temps heureux. Avant que leur monde ne s’effondre.

La vieillesse vint la cueillir au milieu des cours, au sommet de son art, dans son jardin avec ses premiers petits-enfants. Elle s’accommoda des muscles s’atrophiant, de la mémoire défaillante, mais aussi des sourires d’enfants et des secrets que seules les grands-mères peuvent écouter. Son autobiographie parut, récit de ses souvenirs d’enfance puis de sa lutte pour l’égalité des droits, en hommage à sa famille, à son sauveur, puis à son mari, et à tous ceux qui avaient rendu cette longue et belle vie possible. Cessant tout à fait ses activités d’avocate, elle revendit ses parts du cabinet, mais demeura enseignante, aimant le contact des jeunes générations et apprendre à leurs côtés autant qu’elle-même aimait parfois planter quelques idées dans leurs têtes, comme elle aimait à dire. Se plaisant à revendiquer son statut d’antiquité universitaire, Zivia ne renonça ni à son humour parfois piquant, ni à sa joie de vivre. Il y avait encore de belles choses à voir dans cette vie. Il lui arriva de rencontrer quelques messieurs de son âge, et d’apprécier leur galanterie, et parfois leurs baisers. Cela n’avait plus la vivacité de la jeunesse, certes. Mais cela avait la douceur des mains ridées et des années passées, la beauté d’un rouge à lèvre à l’éclat fugace de ses vingt ans, quand les yeux s’allumaient d’une petite flamme crue oubliée, décédée, et qu’elle se sentait encore femme, encore et toujours.

Le quatrième âge désormais bien entamé, la sémillante octogénaire n’en demeure pas moins active. Entre ses cours, ses livres, ses conférences, ses activités associatives, ses petits-enfants et enfants, voir demi-frères et sœurs et neveux/nièces, ses journées sont bien remplies. Matriarche heureuse d’un clan soudé, elle ne laisse pas l’inquiétude la gagner quand des remugles de son enfance lui viennent, en voyant des lieux de culte attaqués, des insultes refleurir. Persuadée que son pays d’accueil est capable de mieux, elle attend … et enterrera Donald Trump, sacrebleu !

this session is gonna be different
Into the Wild ꕥ 24 ans
fréquence de rp : J'essaye de répondre une fois toutes les deux semaines à mes RP, mais je peux répondre dans l'heure si l'inspiration vient. ϟ fréquence de connexion : Tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? On me dit souvent que j'écris beaucoup. En revanche, je suis capable de m'adapter à beaucoup de configuration, tant que j'ai de la matière. Bref, sentez-vous libre ! ϟ avatar à réserver : Judith Dench. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts toujours? ϟ comment avez-vous connu 99 ? J'y suis déjà :P ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Super Mamie est dans la place !
tumblr (gif) solsken (avatar)

@ Invité

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Jeu 5 Déc - 19:12
Rebienvenue avec ce personnage extraordinaire cutie pompom
Hâte de la voir en jeu !

@ Invité

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Jeu 5 Déc - 19:16
Re-bienvenue love

@ Invité

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Jeu 5 Déc - 22:01
(re)Bienvenue
Quand tu ne vas pas à l'Ehpad, c'est l'Ehpad qui vient à nous ! cutie

@ Invité

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Jeu 5 Déc - 23:52
quelle belle idée.
rebienvenue. Zivia Edelman - La sagesse vient avec l'âge ... ou pas 594440419

@ Invité

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Ven 6 Déc - 11:48
@Nell Maisonneuve tu sais ce dont tu parles en plus, monsieur-j'oublie-les-lasagnes Zivia Edelman - La sagesse vient avec l'âge ... ou pas 2958767705

rebienvenue icii et tu sais déjà tout ce que j'en pense **

@ Invité

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Ven 6 Déc - 13:31
@Jonas Irvine Toi aussi tu stalkes la conv Leone/Sirius? :P :P

Merci à tous pour vos compliments ! cutie

@ Invité

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Ven 6 Déc - 13:50
On va finir par la faire en cachette notre conversation Zivia Edelman - La sagesse vient avec l'âge ... ou pas 497855176
Tu parles... Moi j'ai juste droit au pincement de joue et même pas au beignet... Je retiens !

@ Invité

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Ven 6 Déc - 14:13
reBienvenue sur le forum avec ce personnage super intéressant keur

@ Invité

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Ven 6 Déc - 14:30
Bon retour sur le forum avec ce nouveau personnage ! Zivia Edelman - La sagesse vient avec l'âge ... ou pas 2881807329

@ Invité

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Ven 6 Déc - 22:36
Re-bienvenue avec ce personne qui m'a l'air très intéressant excited

@ Invité

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Ven 6 Déc - 23:35
Rebienvenue parmi nous. cute

@ Invité

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Sam 7 Déc - 9:47
présentation validée !
Just before we start...tu sais déjà touuut le bien que j'en pense cutie

Pour faciliter ton intégration sur le forum je t'invite à créer ta fiche de liens. Le petit résumé du perso que tu as écrit dans ta fiche peut être utilisé là bas, il est presque fait pour ça en fait

Avant de te lancer, même si je suppose que c'est déjà fait en grande partie, n'hésite pas à prendre connaissance des annexes. Il n'y en a pas beaucoup et elles peuvent s'avérer franchement utiles !

N'oublie pas non plus de recenser le métier de ton personnage, sa communauté s'il en a déjà une ainsi que le logement habité, et si tu le souhaites, tu peux même aller créer des petits scénarios ou pré-liens pour ton personnage dans cette section ♥

Pour finir, n'hésite pas à venir sur la box et à profiter de notre flood amélioré !♥

J'espère que tu passeras un bon moment sur le forum. En cas de besoin, nos boîtes de MPS sont toujours ouvertes  N'hésite pas à nous contacter, tu trouveras toutes les infos sur qui nous sommes ici cutie

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