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i bet you thought you'd seen the last of me (ft. blaise)

@ Invité

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Mer 11 Déc - 15:39


w/ @blaise matthews

C'est un bordel sans nom dans les coulisses aujourd'hui. Au téléphone, tu as à peine eu droit à des explications et tout ce que tu as compris c'est qu'il y a eu un blessé sur la comédie musicale Cats et que le nouveau doit avoir son costume le plus rapidement possible. Les imprévus de Broadway... Super. Adieu ta journée de repos et retour au travail plus tôt que prévu. Tu as l'habitude de travailler dans la rapidité même si c'est difficilement compatible avec ton obsession pour la perfection mais s'il y a bien une chose que tu ne supportes pas, c'est devoir tout faire au dernier moment car l'équipe n'a pas su gérer un possible remplacement de dernière minute. C'est pourtant logique dans le milieu du théâtre ! Enfin bref, ce n'est pas toi de leur apprendre le travail. Tu vas te contenter de faire le tien, c'est déjà assez. Après un bref bonjour à l'équipe technique et les quelques comédiens sur scène, tu cherches le petit nouveau des yeux. C'est le metteur en scène qui finit par t'indiquer que celui-ci est dans sa loge pour l'instant. En temps normal, tu ne t'amuses pas à aller déranger qui que ce soit dans les loges simplement car tu sais que les comédiens et comédiennes peuvent être de véritables divas qui adorent se faire attendre mais là, tu n'as pas de temps à perdre. C'est déjà le rush pour les répétitions et tu te doutes bien qu'ils ont besoin du nouveau le plus vite possible. Malheureusement, ce n'est pas aujourd'hui que ce dernier pourra répéter avec son costume. Tu veux bien être professionnel mais tu ne peux pas non plus tout arranger en une heure ! Après avoir eu le numéro de la loge, tu fais demi-tour pour te rendre jusqu'à celle-ci plutôt tendu. Tu n'aimes pas être baladé à droite et à gauche et encore moins être sous pression à ce point-là. Mais bon, pas le choix.

Toc, toc, toc. Te voilà planté devant la loge, attendant que le nouveau finisse par venir t'ouvrir. Dans un geste purement nerveux et trahissant ton impatience, ton pieds tape sur le sol. Si cela ne tenait qu'à toi, tu aurais déjà ouvert la porte. Enfin, cette dernière finit par s'ouvrir et alors que tu t'apprêtes à te présenter comme tu as l'habitude de faire à chacun des nouveaux qui passent sous tes doigts de fées, un seul son sort de ta bouche. « Ah. ». Face à toi se trouve Blaise, un jeune homme que tu as rencontré sur un célèbre site de rencontre et avec qui tu as passé de nombreuses nuits contrairement à d'autres. A croire qu'il était un peu plus intéressant que la moyenne pour que tu lui accordes plus de temps que prévu au départ. Tu vérifies par simple curiosité le numéro de la loge, juste histoire d'être certain que tu ne t'es pas trompé. Mais non, c'est bel et bien lui le nouveau danseur que tu vas devoir habiller aujourd'hui. Très vite, l'étonnement sur ton visage laisse place à un sourire. « Je n'ai pas besoin de me présenter mis-à-part si tu as oublié mon prénom entre temps, Blaise ? » susurres-tu tout en te penchant légèrement vers lui, gardant tout de même une distance raisonnable. Sait-on jamais. Il peut t'en vouloir de ne pas avoir donné de nouvelles mais lui non plus n'a pas cherché à en avoir alors... Le travail avant tout. C'est bel et bien pour cette raison que tu n'arrives pas à avoir une vie privée à peu près correcte. « C'est moi qui m'occupe de toi aujourd'hui. » précises-tu toujours sur ce même ton, ne lâchant pas ton regard du sien. « Voyons le bon côté des choses, je connais déjà bien ton corps. ». Une phrase que tu te permets de lancer car il n'y a personne d'autre que toi dans les couloirs pour vous entendre. Il n'a peut-être pas envie que tu lui rappelles vos moments ensembles, peut-être même qu'il a quelqu'un de sérieux à présent et que faire ce genre de commentaire est très déplacé venant de ta part. Mais il faut croire que c'est plus fort que toi. Tes lèvres s'étirent alors en un sourire malicieux tandis que tu attends que Blaise décide de t'inviter à entrer dans sa loge.

@ Invité

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Ven 13 Déc - 20:59



j'ai la tête
un peu fêlée
elle était pas assez dure
un peu de ciel étoilé
à coulé par la fêlure


Les pieds s’enlisent.
Le corps s’épuise.
Et il a la tête ailleurs.

» from the top.

La sueur perle à grosse gouttes sur son front. Son t-shirt, gris, est trempé, d’une couleur nouvelle, poisseuse, crasseuse. Ses pieds ne sont plus que douleur, et son corps tremble de fatigue. Trois jours. Trois nuits. À travailler sans s’arrêter, à recommencer, sans cesse, chaque pas, chaque saut, chaque arabesque. Des heures de travail. Des heures de souffrance. Mais il aime ça Blaise. Plus que tout au monde. Même plus que lui. Un remplacement de dernière minute. Un rôle qui se blesse - la vie d’un athlète ne tiens qu’à un fil, il le sait, lui aussi. Une doublure pas encore formée. Un coup de fil. Et lui, Blaise, qui apparait. Comme par magie.

» et cinq, six, sept, huit.

La musique envahit le plateau. Le corps se tend, les yeux s’allument et la magie opère. Blaise, il est comme ça. Imprévisible. Audacieux. Artiste. Il n’a peur de rien. Il n’abandonne jamais. Alors il recommence, encore une fois, ce solo, du début, enchaînant finalement les tours à l’italienne. Cats est un show qu’il a déjà dansé, une fois. Son corps s’en rappelle encore. Et il sait pertinemment qu’il sera douloureux les jours à venir. Courbatures. Travail. Tension.

» on s’arrête ici pour aujourd’hui.

Impassible.
Immuable.
Seul.

Il est là. La tête penchée sur son reflet, sur cette image de lui qui le ramène à ses angoisses. À son histoire. À sa solitude. À lui même. Le silence, autour de lui, est plein, rond, presque palpable. Pas de bruit. Pas de musique. Juste lui et ses cheveux encore mouillés par l’effort. Juste lui et ce torse nu abîmé, marqué, pages d’un livre ouvert, à vif, encore plein d’encre noire bavante et illisible. Il a envie de se mettre la tête sous l’eau, de ne plus rien entendre. De trouver un repos mérité qu’il ne trouve plus ses derniers temps. Qui lui glisse entre les doigts. Tous les soirs. Toutes les nuits.
Les coups à la porte le sorte de sa rêverie amère, et il ouvre, pour s’enliser encore plus.

Lui.
Axel.



Blaise il se rappelle de tout. Il oublie seulement quand il en a envie. Quand il en a besoin. Quand c’est nécessaire à sa survie. Comme tout ça. Mais lui, il l’a gardé en tête. Parce qu’il a faillit glisser. Il a faillit lui offrir plus que ce qu’il aurait voulu lui offrir. Il a faillit s’attacher, lui offrir un peu de lui, un peu de son coeur abîmé en guise de pâture, pour qu’il reste, un peu, encore, quelques temps. Mais plus rien. Plus de réponses. Juste le noir, juste le vide. Et un orgueil beaucoup trop grand, un égo beaucoup trop gros, qui le mange, qui le bouffe, qui l’avale, tout cru. Impossible. Plutôt tracer un trait sur cette entité, sur lui.
Ses orbes brunes retracent chaque parcelle de son visage - comme pour lui confirmer qu’il s’agit bien de lui, qu’il ne s’est pas trompé. Mais il sait. Il sait qu’il l’a reconnu. Il ne se trompe jamais Blaise. Il connait les visages. Tous. Mêmes ceux qui jonchaient le sol des rues. Même ceux recouverts de sang et de cendre. Martyrs.
Eux.
Il vrille. Il revient à la réalité, toujours dans l’encadrement de la porte, comme si le laisser entrer s’apparentait à une invitation, à revenir dans sa vie, même pour quelques mots, même pour un instant. Bêtises. Foutaises.

» c'est moi qui m'occupe de toi aujourd'hui.

Blaise hoche la tête, bon petit soldat, avant de le laisser entrer, retournant s’asseoir, sans réagir trop vite à ces seconds mots. Il le connait. Il le sent. Il combat le petit malaise qui monte en lui. Il n’a pas envie qu’on lui fasse d’histoire, qu’on parle de lui. Il ne connait personne ici, et il le sait : tout peut aller très vite. Tout ne tient qu’à un fil.

» pourtant, il a changé. depuis la dernière fois.

Il ne se veut pas provoquant. Il voudrait, parfois. Claquer les mots. Gifler les phrases. Mais aujourd’hui il ne peut pas. Trop fatigué. Trop épuisé. Il appuie alors simplement ses mots par un geste fin de son doigt, mentionnant les deux nouveaux tatouages qu’il a en bas du ventre, à la lisière de son pantalon de jogging encore imbibé de sueur. Recouvrir les traces. Recouvrir les rigoles. Cicatrices. Il ne veut - peut plus les voir.

@ Invité

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Jeu 19 Déc - 13:02

w/ @blaise matthews

Pas besoin d'être quelqu'un de très observateur pour comprendre que Blaise sort à peine de sa répétition et que tu dois très certainement le déranger dans son repos bien mérité. Une personne censée lui aurait laissé cinq minutes de tranquillité – juste histoire de le laisser respirer un peu. Mais toi, tu te dépêches de rentrer dans la loge lorsque le jeune homme décide de te laisser passer et briser ainsi le peu d'intimité qu'il avait réussi à avoir jusque-là. Ton grand frère est le premier à te reprocher d'être trop présent, trop dans ses pattes. A croire que tu es incapable d'être seul au point où tu ne te rends pas forcément compte que d'autres ont besoin d'un peu de solitude de temps en temps. Tu n'as pourtant pas trop le choix que d'être là, avec Blaise. Car sur ce coup-là, c'est strictement professionnel et cela ne vient pas de ta propre volonté. Pourtant, tu aurais préféré le revoir dans d'autres circonstances. Tu l'as bien aimé, après tout. Assez pour vouloir en découvrir un peu plus, à parfois dépasser les propres limites que tu te fixes avec tes histoires d'un soir pour ne pas te retrouver dans une relation que tu n'es pas capable de mener. Est-ce que tu dois t'excuser de ne pas avoir donné de nouvelles ? Tu n'en sais rien. Tu préfètes te taire, surtout qu'un silence vient de s'installer entre vous. Silence qui finit par être brisé par Blaise tandis que tu te penches déjà sur ton sac pour sortir ton mètre pour prendre les mensurations du jeune homme. « Hm ? ». Tu relèves la tête à ses mots tandis que ton regard suit sa main qui vient te montrer ses nouveaux tatouages au bas de son ventre. « J'aime bien. » finis-tu par dire avec sincérité tout en lui lançant un sourire quand bien même Blaise n'a pas eu l'air très réceptif à ton approche un peu subite de tout à l'heure. Peut-être est-ce simplement car il ne s'attendait pas à tomber sur toi ? Tu ne te rappelles pas lui avoir dit travailler à Broadway. Mais tu as toujours été quelqu'un de solaire, Axel. A sourire, à rire, à faire semblant de ne te soucier de rien, à vivre ta vie comme tu l'entends quitte à déranger parfois. Même souvent. Blaise n'est pas comme toi et cela ne t'a jamais gêné. Sinon tu n'aurais jamais pris la peine de demander à le revoir. C'est juste légèrement déstabilisant pour toi à cet instant, de ne pas réussir à déchiffrer ce qu'il pense ni la moindre émotion.

Enfin bref... Tu es là pour faire ton travail, pas autre chose n'est-ce pas ? Tu t'approches alors de lui avant de t'arrêter et de faire claquer ton mètre dans tes mains, l'observant avec un sourcil haussé. « Tu veux peut-être prendre une douche avant que je commence à t'examiner ? ». Ton tact légendaire est de retour. Tu ne dis même pas cela car la sueur de sa répétition te dérange – tu es habitué à travailler dans ces conditions et puis Blaise lui-même t'a déjà vu dans le même état... excepté que c'était dans ses draps. Ne pense pas à ça, Axel. Juste que tu cherches à le mettre un peu plus à l'aise. Et puis tu es censé prendre soin du danseur, non ? Bon, ce n'est clairement pas ton rôle mais tout le monde sait que dans le milieu du théâtre, ce sont les comédiens qui ont le dessus sur les autres. Ils peuvent se permettre de faire des caprices de diva et s'en sortent toujours indemne. Mais tu te doutes bien que ce n'est pas le genre de Blaise. « Ne prends pas des heures pour choisir ta tenue par contre. C'est inutile, j'ai besoin de toi en sous-vêtement. » ajoutes-tu avant d'aller t'asseoir à ton tour sur le rebord du meuble, face au grand miroir de la loge, les bras croisés. Peut-être que Blaise va refuser car prendre une douche voudrait dire devoir te supporter un peu plus de temps que prévu (même si tu ne comptes pas le suivre jusque là-bas, tu comptes quand même l'attendre ici) au lieu de t'expédier de la loge à la va vite. Mais comme pour ne pas trop lui donner le choix et surtout ne pas le faire réfléchir, tu lui fais signe d'aller dans la pièce d'à côté toujours avec ce même sourire au coin des lèvres. « Allez, je t'attends. ».

@ Invité

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Dim 29 Déc - 0:11



merci
pour ces jours et ces nuits
où j'ai pu exister dans tes yeux


La tête en vrac.
Le coeur dans la brume.
Les yeux dans les nuages.


Des images qui se bousculent dans sa pauvre tête déjà bien fatiguée. Des images, des sensations qui lui font tourner la tête alors que le blond pénètre dans sa loge, à pas de loup. Il a l’impression qu’on rentre dans sa cage Blaise, qu’il est trop tard pour faire demi tour. Et ça l’angoisse, un peu beaucoup. Il ne peut pas lui demander de partir. Il ne peut pas lui dire de se taire. Et il a peur. Il a peur de jouer avec le feu, de replonger, de voir ses propres promesses lui glisser entre les doigts. Celles de ne plus jamais s’attacher, même pour quelques jours. Celles d’être son seul maître. De n’avoir personne pour le rendre plus faible, plus docile. Sauf qu’il a envie de jouer Blaise. Il a envie de flirter avec le feu et de s’y brûler le bout des lèvres. Il a envie de montrer, de se prouver à lui même qu’il mène la danse. Qu’il est seul décisionnaire, et seule limite de ces mêmes décisions. Et Axel en fera les frais. Axel qui n’a jamais répondu à ses messages. Axel qui l’a laissé. Comme d’autres.
Solitaire.
Mal de vivre.
Ces quelques mots suffisent à sortir le brun de sa rêverie, alors que son regard se concentre de nouveau sur la pièce. Il a presque envie de rire, tant cette situation est cocasse. De toutes les personnes excellant ce métier, il fallait qu’il tombe sur lui. Il n’avait vraiment pas de chance. Destin raté. Abîmé.

» tu veux peut-être prendre une douche avant que je commence à t'examiner ?

» m'examiner ? t'es devenu médecin ?

Un sourcil se dresse à cette phrase. Il aime pas les ordres Blaise - même s'il ne s'agit là pas d'un ordre. Mais il est comme ça. Il n'a jamais aimé ça. Petit - et encore maintenant - il s’est toujours fermement opposé à toute forme d’autorité, de supériorité. Il se rappelle encore des disputes violentes qui l’opposaient avec Blake alors qu’ils n’étaient pas encore des adolescents. Les coups pleuvaient. Les cris résonnaient. Et ça encore et encore. Jusqu’à l’épuisement. Jusqu’à ce que les larmes se mélangent avec la sueur, les insultes et le sang. Il est comme ça Blaise.
Sanguin. Impétueux.
Indomptable.

» d'accord.

Un mot. Il accepte. Bien trop vite. Bien trop tôt. Peut-être qu’Axel ne le connait pas assez pour s’en rendre compte. Peut-être qu’il va penser que la bataille est finie, trop tôt, presque trop vite. Mais non. Pas aujourd’hui. Aujourd’hui Blaise joue avec le feu. Jusqu'à s’y brûler les ailes. Il se tourne, attrape de quoi attacher ses boucles brunes en un chignon, dégageant sa nuque et la marque d’encre brune qui s’y trouve. Plus le temps passe, plus sa peau se couvre de dessins divers et variés. Pour oublier le passer. Pour se sentir artisan de son propre corps pourtant strié et abîmé.
Axel l’attend. Axel le regarde.
Alors il obtempère, et d’un geste, retire son pantalon de jogging encore humide pour le lancer sur le costumier, premier signe de son insoumission, de son insolence. Il ne va toutefois pas plus loin, bien que l’idée lui soit passé par la tête, et ouvre la porte de la salle de bain, la refermant derrière lui avant d’enlever le dernier rempart face à sa nudité complète.
L’eau coule. Chaude. Amère.

une minute de silence
pour tous ces rêves éteints
sur le bord de l'oreiller
entre insomnie et errance


» alors tu ne me rejoins pas ?

Il sait qu’il peut déraper. Vite. Un peu trop. Parce qu’il a pas envie de se montrer faible. De lui dire que son corps lui manque, un peu, parfois. Il veut faire le fier Blaise. Il veut bomber le torse et qu’on ne lui marche plus jamais dessus. Plus jamais. Mais il sait que c’est dangereux. Qu’il peut regretter. Un peu trop tôt.

» je ne le dirais pas deux fois, axel.

@ Invité

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Jeu 2 Jan - 16:29

w/ @blaise matthews

Blaise finit par accepter ta proposition et tu observes chacun de ses gestes avec une attention non dissimulée. Il voit bien que tu le regardes et tu ne vois pas pourquoi tu te gênerais... jusqu'à ce qu'il t'envoie son jogging dessus. Tu te tais mais tu souffles. Juste pour lui montrer ton mécontentement bien que son comportement t'amuse plus qu'autre chose sur le moment. Tu jettes le vêtement sur une chaise plus loin avant de mettre à tapoter tes doigts sur le meuble dans un signe d'impatience. Tu n'aimes pas attendre, pour n'importe quelle raison. Une chose sur laquelle tu devrais travailler tant cela peut te donner un côté capricieux parfois. Et tu ne sais pas pourquoi, tu as l'impression que Blaise va prendre un malin plaisir à jouer de cela... ou pas. Car lorsque sa voix retentit de l'autre côté de la pièce, c'est pour te proposer de le rejoindre. Heureusement qu'il n'est pas là pour voir ta tête à cet instant. Tu te demanderais presque si tu n'as pas rêvé. La réponse vient plus vite que prévu, lorsqu'il t'annonce qu'il ne le répétera pas deux fois. Tant mieux, ta décision est déjà prise.

Mauvaise décision, certainement. Pas le bon moment pour cela. Pourtant, tu sautes du meuble sans une once d'hésitation pour rentrer dans la salle de bain à ton tour. Blaise est déjà sous la douche et toi, tu te déshabilles sans pour autant te presser. Chaque chose en son temps, n'est-ce pas ? Quelques secondes plus tard, voilà que tu te glisses à ton tour dans la cabine au côté de Blaise. Tu connais déjà son corps que tes lèvres et tes mains ont rencontré plusieurs fois. Pourtant, cela ne t'empêche pas de trouver le spectacle plutôt plaisant à voir, pouvant admirer ses tatouages dont tu as déjà tracé les traits à l'aide de tes doigts. Tu te rappelles très bien de cette nuit-là où tu es resté plus tard que prévu avec lui, où tu lui as posé de nombreuses questions sur ses tatouages. C'était sûrement lors d'une de vos dernières nuits ensembles. Sans même en prendre conscience, tu as cherché à en savoir plus sur lui et sa vie. Et il a trouvé le moyen de te faire taire de toute façon. Parce que cela ne te regarde pas. Parce que votre relation n'était pas faîte pour parler plus que nécessaire. Mais c'est plus fort que toi, Axel. Tu ne sais pas rester à ta place. Tu peux très bien passer une nuit avec un homme ou une femme sans attache, juste comme ça. Mais parfois, ta curiosité prend le dessus. Et cette curiosité, elle est tombée sur Blaise une fois. Peut-être deux, tu n'en sais rien. Depuis ta dernière rupture amoureuse, tu ne sais pas gérer une relation correctement – voilà ton problème. Parfois, les autres en pâtissent. Mais c'est souvent toi qui finis par te casser la gueule. Alors peut-être bien que c'est une bonne chose si tu ne l'as jamais rappelé. Pour lui et pour toi.... bien que le hasard a fini par vous rattraper à tous les deux. Et au lieu de calmer le jeu, tu ne fais que que l'envenimer sans aucun remord. Il n'y a pas beaucoup de place dans la cabine de douche, ce qui n'arrange pas les choses. Tu te retrouves presque collé à lui, son dos contre ton torse. Est-ce que cela te dérange pour autant ? Loin de là. Ce n'est pas comme si c'était la première fois. « Je te manquais déjà ? ». Des mots que tu viens lui murmurer à son oreille tandis qu'un sourire malicieux se dessine sur tes lèvres. De la bouche de quelqu'un d'autre, cela pourrait presque paraître comme de l'arrogance. Toi, tu le taquines juste. C'est ta façon d'être après tout. Sans même attendre sa réponse, tes lèvres finissent par venir déposer un léger baiser dans son cou. Un baiser terriblement chaste – ce qui est plutôt surprenant venant de toi, d'agir avec autant d'innocence. Une de tes mains finit par caresser sa taille, puis frôler son ventre. Comme si tu attendais un simple mot ou geste de sa part pour te permettre de continuer.

@ Invité

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Ven 10 Jan - 23:30



L’eau qui coule.
Sur sa nuque.
Sur ses boucles.

Sur son dos.

Un geste. Un geste et ça peut - ça va - vite, très vite, trop vite déraper. Il sait qu’il peut vriller en une seconde. Qu’il peut oublier ce qu’il s’était dit, ou plutôt promis un l’espace d’un instant, en l’espace d’une caresse. Il est faible Blaise. Il est faible parce qu’il est en manque d’amour, en manque d’attention, en manque de lui. Parce qu’il sait qu’il s’était un peu attaché à Axel. Axel et ses discussions, Axel et son extravagance, et ces nuits à la fois douce et torrides, sous les draps, dans ses bras. Il a vu d’autres âmes entre temps. Parce qu’il sait pas rester seul trop longtemps, parce qu’il est dépendant des autres plus qu’il ne le voudrait. On ne maitrise pas ses addictions.
C’est comme ça. Un point c’est tout.
Et le voilà déjà en train de se déshabiller dans la salle de bain, de l’inviter à le rejoindre, alors que son corps se glisse dans la cabine de douche, l’eau ruisselant sur sa peau marquée, abîmée. Il se demande, souvent, parfois, si la vue de ses cicatrices dégoute les gens, ses amants, quand leurs doigts effleurent ces marques gravées dans sa chair. Parfois il a peur. Peur du rejet, du mépris, de la répulsion. Alors il les recouvre. D’encre. Bientôt, un jour, on ne les verra plus. Il pourra les oublier. Un bonne fois pour toute.

Il espère. Il espère qu’Axel ne refusera pas. Qu’il va juste obtempérer et le rejoindre, d’une manière ou d’une autre. Parce que quelque part, il ne supporterai pas ce refus. Il aurait honte. Il lui demanderait de partir. De ne pas revenir. Et que quelqu’un d’autre s’occupe de son foutu costume. Parce que c’est une diva Blaise. C’est une étoile. Et qu’il ne tient pas à ce qu’on le fasse tomber de son piédestal. Alors quand il entend ses pas entrant dans la cabine de douche, il ne peut s’empêcher de sourire tournant lentement son visage vers lui. Il est fier. Il a gagné. Pas la partie. Mais une petite manche. Juste de quoi flatter son égo. Quelque part il a envie. Là. De lui faire l’amour. Tout de suite. Parce qu’il est comme ça. À suivre ses pulsions. À suivre ses envies. Mais lui même tente de se raisonner. De ne pas perdre la tête. Parce qu’il veut l’emmerder. Lui faire payer un peu l’affront qu’il a ressenti quand ses pauvres messages sont restés sans réponse.

tu es
mon genre de nuit
préférée

Sentir le corps d’Axel sur le tient ne l’aide pas. Mais il fait comme ci. Comme ci cela ne lui faisait rien. Pas l’once d’une chose. Alors qu’en réalité il a envie de goûter à nouveau à chaque morceau, chaque parcelle de cette peau collée contre la sienne.

» je te manquais déjà ?

Le brun secoue la tête. Négativement. Il décide de ne pas parler, de ne pas prononcer de mot pour le moment. Juste de glisser, pour se tourner et lui faire face, le regardant quelques secondes dans les yeux. Il a senti ce baiser. Ses mains. Et pour une fois, il n’a pas vrillé. Il n’a pas lâché.

» c’est pas comme ci tu m’avais déjà manqué.

Tout en disant cela, il plonge sa bouche, ses lèvres dans le cou du blond, venant déposant de lent, lourds baisers contre sa peau blême.

» mais après ça, t'inquiète pas, c'est moi qui va te manquer.

Et alors qu'il prononce ces mots, son corps se colle de plus en plus à celui d'Axel, le pressant contre la vitre de la cabine de douche. Plus d'espace. Corps à corps. Dangeureux. Ses mains, ses doigts glissent, redécouvrant ses courbes, ses muscles, ses os qui se dessinent face à lui, alors qu'il dévore ce cou offert, à lui, rien qu'à lui, pour quelques instants.

je n'ai que moi à t'offrir
mes mains nues
mon coeur ivre d'étoiles
et ma folie sans âge

@ Invité

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Mar 14 Jan - 13:22

w/ @blaise matthews

La réponse à ta question ne tarde pas à venir. C'est que tu pourrais être déçu. Presque...  Tu n'as pas besoin de l'entendre de sa bouche pour le savoir. Pourquoi lui aurais-tu manqué, au juste ? Il n'y a rien eu de plus que des nuits parfois plus longues que prévu et des échanges qui n'ont pas duré par ta faute. Certainement que si tu ne l'avais pas croisé de nouveau par un simple hasard à Broadway, tu n'aurais pas pris la peine de le recontacter. Pas parce que tu n'en as jamais ressenti l'envie, non. Juste que tu préfères t'éclipser lorsque tu sens que tu commences à perdre le fil de tes pensées. Passer une ou plusieurs nuits avec une personne est une chose, être capable de ne pas fuir à la moindre contrariété en est une autre. Car cette manière qu'il a de te regarder te trouble toujours autant. Tu n'as jamais été capable de déceler quoi que ce soit dans son regard, à Blaise. Incapable de savoir ce qu'il pense, de ce qu'il a envie au juste. Il ne montre rien. Et c'est perturbant. Perturbant de te retrouver de nouveau face à lui de cette manière, avec toujours cette même impression de rater quelque chose sans réussir à comprendre quoi. Tu te poses trop de questions, c'est un fait. Là encore, tu te concentres plus sur ce qu'il cache derrière son impassibilité totale plutôt que de profiter du moment. Même si tu ne le montres pas, il y a toujours cette gêne bien ancrée en toi d'être de nouveau face à lui alors que tu n'as jamais cherché à t'excuser de ta façon de te comporter. Pourtant, ses baisers dans ton cou réussissent à chasser tes pensées. Pourquoi te prendre la tête maintenant alors que chacun de ses gestes envers toi prouve bien qu'il s'en fiche pas mal que tu ne l'as jamais rappelé ? C'est ce que tu crois, Axel. Sans te dire une seule fois que tu te trompes peut-être sur toute la ligne et qu'il cache juste très bien son jeu. Alors inutile de lui demander s'il t'en veut, de tout gâcher avec une question piège. « Ne sois pas si sûr de toi... ». Des mots que tu viens susurrer un brin provocateur à son oreille alors que son corps vient se coller au tien et que ses mains glissent le long de ton corps. Cela commence à devenir compliqué de garder les idées claires, de ne pas te laisser trop déstabiliser par le danseur. C'est même trop tard, en fait. C'est un désir brûlant qui prend peu à peu possession de toi. Rien que pour Blaise. « Prouve-le... ». Tu attrapes son menton entre tes doigts pour le faire te regarder de nouveau et tes yeux dérivent sur ses lèvres que tu as déjà embrassé à maintes reprises. Pourquoi te priver d'y goûter une nouvelle fois ? C'est que tu pourrais presque te montrer hésitant, Axel. « … Prouve moi que tu peux me manquer. ». Une manière comme une autre de lui faire comprendre que tu as envie de lui, là, maintenant. Que tu n'es pas d'humeur à jouer au jeu du chat et à la souris trop longtemps. Tant pis pour le temps précieux que tu perds pour son costume. Certainement l'une des rares fois de ta vie où le professionnel ne passe pas avant le personnel, où tu t'autorises une petite pause l'air de rien. Mais ce n'est pas de ta faute, non. C'est celle de Blaise, lui qui en redemande. Toi, personne ne remarquera ton absence. La sienne, en revanche... Et tu l'embrasses avec ardeur, laissant tes doigts parcourir son corps avec une douceur contrastant avec ce baiser que tu lui offres. Tu ne cherches pas à brûler les étapes pour une fois. Tu redécouvres chaque parcelle de sa peau, ses cicatrices, ses tatouages. Ce qu'il est réellement. Sans pudeur, ni honte. Nus, impossible de faire semblant que ce soit pour l'un ou pour l'autre.

@ Invité

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Mar 14 Jan - 23:51



Le faire vriller. 

L’envoyer valser.
Lui faire perdre la tête.


Il sait. Il sait déjà ce qu’il va faire. Il a déjà tout prévu, en quelques secondes, dans sa tête. Stratège. Mesquin. Malin. Il l’a toujours été au fond. En tout cas c’est l’image qu’il a de lui même, quand il pique ses crises, quand il n’a pas ce qu’il veut. Et cette fois ci, il aura ce qu’il veut. Même s’il doit en souffrir lui même. Même s’il doit le regretter pendant des jours, des heures. Pourtant, cette fois, tout lui semble difficile. Un peu. Beaucoup. Comme ci son corps et son esprit se contrariaient, chacun voguant dans sa propre barque, sur sa propre rive, à contre courant. Parce qu’il brûle de désir. Pour Axel. Pour ce corps offert à lui. Pour ces sensations qu’il aime tant. Et à quoi bon, à quoi bon jouer encore une fois au con, à l’enfant pour sauver son égo, sauver sa peau. À quoi bon se priver pour ça ? À quoi bon. Et ce ne sont pas les doigts du blond qui le force à croiser de nouveau ce regard bleuté qui vont l’aider. Au contraire. Il se perds. Il se perds dans les yeux de l’autre - c’est souvent pour cela, que les premières fois, il ne regarde que rarement l’autre dans les yeux. Parce qu’il ne veut pas voir ce qu’il se cache derrière. Et surtout qu’il veut se protéger lui même. C’est un nuage Blaise. Un homme vaporeux, impalpable, inatteignable, qui s’évapore en une seconde, en un claquement de doigts.

» prouve moi que tu peux manquer.

Il manque d’abandoner. De s’abandonner lui même. À cause de ce baiser. De cette fougue. C’est fou ce qu’il aime ça. Embrasser. S’y perdre. S’y retrouver. S’y confondre. Il préfèrerai presque ça à danser parfois. Pour ces baisers tendres, violents, parfumés. Se taire pour de bon. Et il a envie. Il a envie de le prolonger, de l’embrasser de nouveau, de le dévorer jusqu’à l’épuisement, jusqu’à en perdre la tête et le contrôle. Il en a tellement envie. Tellement besoin. Alors il se l’autorise. Juste quelques secondes, quelques instants. Histoire de. Il soupire. Sous ses caresses, synonyme d’ivresse et d’abandon. Il a tellement envie de lui pourtant. Tellement.

s’embrasser
s’étreindre
les mots sont inutiles


Aller un tout petit peu plus loin.
Jouer avec les limites.
Encore une fois.

Il a toujours fait ça Blaise. Chercher l’interdit. Voir jusqu’où il pouvait aller avant de s’attirer des problèmes. Des emmerdes. Petit surtout. Maintenant encore d’une certaines manière. Mais moins. Parce qu’il a une image, une réputation. Et que tout cela ne tiens qu’à un fil. Alors il brise se baiser, descendant lentement sa bouche sur ce torse qu’il a déjà parcouru, qu’il redécouvre avec une certaine avidité. Avoir faim. Faim de l’autre. Faim de lui. Sa bouche descend doucement, presque chastement jusqu’à ce qu’il se retrouve à genoux, embrassant délicatement le bas-ventre d’Axel, levant les yeux à lui.

» ne t’en fais pas pour ça.

Et ça y est. Blaise joue. Blaise joue au con.
Une seconde. Une seconde et il s’arrête. Complètement. Fini. Juste pour le pousser à bout. Pour lui faire comprendre que lui aussi est en mesure de le faire perdre son calme, ne serait-ce qu’une seconde. Il se relève, d’un geste gracieux, et dépose un candide baiser sur les lèvres de son partenaire, avant de lui lui glisser, à quelques centimètres de son oreille.

» je te laisse finir ça tout seul, d’accord ?

Il reste là, face à lui, encore un peu, quelques instants, et sort de la douche, sans même se retourner, attrapant juste ses vêtements étalés sur le sol, qu’il renfile à la va vite. 
Il sait qu’il joue avec le feu.
Qu’il va regretter, vite, trop vite. 
Mais il est fier. Un peu. Beaucoup.  

@ Invité

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Lun 20 Jan - 13:35

w/ @blaise matthews

Le temps semble s'arrêter pour un instant. Tu redécouvres ces lèvres que tu as aimé embrasser par le passé. Tu as beau connaître son corps par cœur, tu as toujours autant envie de lui, de le dévorer tout entier. Tu laisses ses lèvres s'éloigner de toi et tu l'observes descendre le long de ton torse alors qu'il y dépose des baisers, prêt à te laisser totalement abandonner à lui. Excepté qu'il ne se passe rien. Rien du tout. C'est d'un air perplexe que tu le regardes quand il se relève pour te balancer ces quelques mots à ton oreille. C'est une blague ? Tu comprends rapidement que non, lorsque Blaise file de la douche et se rhabille pour sortir de la salle de bain, te laissant là, planté comme un con. En temps normal, tu aurais sûrement trouvé une remarque à lui lancer en échange mais sur ce coup-là... Aucun mot ne sort de ta bouche. Parce que tu ne t'y attendais pas. Tu as été pris au dépourvu et c'est loin d'être agréable. Tu mets quelques secondes avant de te décider à te doucher – quitte à être dedans, autant t'en servir même si ce n'était pas pour cette raison que tu as rejoins Blaise à l'intérieur.

Tu as le cerveau en feu, les pensées emmêlées. Aucune idée du temps que tu as pris sous la douche tant tu as été trop préoccupé par le magnifique vent que tu viens de te prendre. Celui-là, tu peux le mettre en top un des pires râteaux de ta vie sans aucune hésitation. Mais hors de question de laisser le plaisir à Blaise de voir que tu es à la fois terriblement frustré mais surtout vexé. Il en faut pourtant beaucoup pour cela, toi qui es loin d'être quelqu'un de susceptible. Mes félicitations, Blaise. Tu te rhabilles et remets tes cheveux mouillés en place avant de sortir de la salle de bain pour rejoindre la loge où se trouve toujours le danseur. « Je t'avais dit que c'était inutile de te rhabiller. » lui lances-tu un peu trop sèchement pour quelqu'un qui ne veut pas paraître froissé par ce qui vient de se passer. Tu attrapes de nouveau ton mètre ruban histoire de faire ce pour quoi tu es venu en premier lieu... c'est-à-dire ton travail. Pour créer son foutu costume. Heureusement que tu as la faculté de rester professionnel en toute circonstance car ce coup-là, tu demanderais bien à quelqu'un d'autre de s'y coller. C'est dans le silence absolu que tu prends ses mesures. Sauf que tu ne sais pas rester trop longtemps silencieux, Axel. C'est plus fort que toi. Tu ne peux pas faire comme si de rien n'était. Pas après sa manière de se comporter avec toi. Très franchement, tu ne lui en voudrais pas si c'était juste parce qu'il n'en avait pas envie ou qu'il avait changé d'avis entre temps. Ce n'est pas vraiment un soucis, ça. Le truc, c'est qu'il y a autre chose comme raison. Sinon il ne t'aurait pas provoqué à ce point-là, avec ces mots qui ont du mal à passer. « Il y a des manières plus traditionnelles pour faire comprendre à quelqu'un que tu lui en veux. La parole, par exemple. ». Tu ne vois pas d'autres raisons que celle-là. La seule chose que tu as fait de mal avec lui, c'est d'avoir totalement ignoré ces derniers messages. Et certes, ce n'est pas très aimable de ta part mais ce n'est pas non plus de ta faute si tu n'as pas trouvé le temps entre ton travail et... rien d'autre, en fait. D'accord, tu aurais pu faire l'effort. Mais tu ne peux pas non plus lui avouer que pour toi voir une personne plusieurs fois et commencer à éprouver de la curiosité à l'égard de l'autre, c'est mauvais. Et que tu n'avais pas envie de te retrouver pris dans un espèce d'engrenage sans retour en arrière possible. Tu te connais, Axel. Assez pour savoir que tu t'attaches trop vite. « Je ne savais pas que je t'avais marqué à ce point. » que tu ajoutes avec sarcasme avant de faire le tour de ses hanches. Si Blaise a cherché à te vexer autant qu'il a pu l'être par ton comportement, il a réussi.

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