you and I/ ariadne
@ Invité
Début avril
J’ouvre les yeux, la morphine m’aide à ne plus sentir la douleur. Je suis là depuis hier. Le choc est encore rude. J’ai revu la scène de l’accident dans ma tête, la tête du type qui s’est endormi me fonçant dessus, la voiture qui se plie sous le choc. J’ai perdu connaissance dans l’ambulance. J’ai ouvert les yeux après l’opération, le médecin est venu après le départ du l’agent Wilcox. J’ai eu une côte cassée, ah c’est ça qui me fait si mal. Un nerf de ma main gauche est atteint, mais ils ont pu le réparer, ils disent que je devrais pouvoir rejouer dans quelques mois, peut-être un peu plus. J’ai la jambe cassé également. Tout mon côté gauche à pris cher, j’ai eu visiblement de la chance de ne pas avoir plus de dégâts. L’infirmière viens me voir, elle me demande comment je me sens, je ne lui réponds pas, au lieu de ça je la drague un peu, parce que je reste Thomas et que même si je suis … diminué, dans un sale état et en colère contre l’autre type on ne se refait pas. L’infirmière souris et m’informe que j’ai de la visite. Une demoiselle. Un agent de police. Sans doute l’agent d’hier qui a encore des questions.
« Bonjour agent Wilcox. »
Mais ce n’est pas lui. C’est Ariadne, mon visage s’éclaircir, et un sourire s’affiche, je me redresse un peu, comme je peux, non sans grimacer. Je vois son air inquiet. On ne s’est pas revu depuis un moment, je viens de temps en temps promener Glitter, mais elle n’est pas toujours là. On n’a pas eu de vraie conversation depuis longtemps. Quand j’ai su qu’elle était là hier, je ne voulais pas qu’elle me vois dans cet état-là.
« Salut, je pensais que c’était … ton collègue, il m’a dit que tu étais là hier. »
Elle était là. Je ne sais pas ce qu’elle a pu penser. Je ne sais pas si elle s’est inquiété, ce qu’elle a ressenti , j’aimerai bien le savoir.
J’ouvre les yeux, la morphine m’aide à ne plus sentir la douleur. Je suis là depuis hier. Le choc est encore rude. J’ai revu la scène de l’accident dans ma tête, la tête du type qui s’est endormi me fonçant dessus, la voiture qui se plie sous le choc. J’ai perdu connaissance dans l’ambulance. J’ai ouvert les yeux après l’opération, le médecin est venu après le départ du l’agent Wilcox. J’ai eu une côte cassée, ah c’est ça qui me fait si mal. Un nerf de ma main gauche est atteint, mais ils ont pu le réparer, ils disent que je devrais pouvoir rejouer dans quelques mois, peut-être un peu plus. J’ai la jambe cassé également. Tout mon côté gauche à pris cher, j’ai eu visiblement de la chance de ne pas avoir plus de dégâts. L’infirmière viens me voir, elle me demande comment je me sens, je ne lui réponds pas, au lieu de ça je la drague un peu, parce que je reste Thomas et que même si je suis … diminué, dans un sale état et en colère contre l’autre type on ne se refait pas. L’infirmière souris et m’informe que j’ai de la visite. Une demoiselle. Un agent de police. Sans doute l’agent d’hier qui a encore des questions.
« Bonjour agent Wilcox. »
Mais ce n’est pas lui. C’est Ariadne, mon visage s’éclaircir, et un sourire s’affiche, je me redresse un peu, comme je peux, non sans grimacer. Je vois son air inquiet. On ne s’est pas revu depuis un moment, je viens de temps en temps promener Glitter, mais elle n’est pas toujours là. On n’a pas eu de vraie conversation depuis longtemps. Quand j’ai su qu’elle était là hier, je ne voulais pas qu’elle me vois dans cet état-là.
« Salut, je pensais que c’était … ton collègue, il m’a dit que tu étais là hier. »
Elle était là. Je ne sais pas ce qu’elle a pu penser. Je ne sais pas si elle s’est inquiété, ce qu’elle a ressenti , j’aimerai bien le savoir.
@ Invité
Pourquoi elle est si nerveuse ? Tout va bien. Il est blessé, mais il ne risque rien. Il ne risque plus rien. Un accident qui se termine bien. Enfin, du mieux possible pour un accident de la route. Aucun mort et le principal blessé n’est pas en danger. Tout ira bien. L’heure des visites débute et elle est déjà à attendre. Elle s’est trouvé un petit peu mal à l’aise lorsque la mère de Thomas a insisté pour qu’elle y aille en premier. elle a prétexté qu’elle aurait le reste de la journée pour son fils. C’est gentil. Mais un peu intimidant. Mais bon, en fait, c’est mieux comme ça. elle ne pourra pas trop étirer le temps. D’autant plus que l’infirmière s’est un peu méprise en voyant son uniforme et Ariadne n’a pas démenti. Des fois l’uniforme a des avantages. Pour la forme, elle a quelques questions de routines en tête.
- Salut, dit-elle, doucement. C’est lieutenant Wilcox, en fait… Son collègue ? Ouais, non, elle ne sait pas trop encore. J’ai parfois l’impression que je suis plus son chauffeur que sa collègue. En même temps, je suis juste officier, pas lieutenant. Elle hoche la tête. Oh, euh… je ne resterai pas longtemps, ta mère est dans la salle d’attente… elle m’a laissé venir avant… pour avoir tout le reste du temps avec son fils, dit-elle en souriant. Et puis si je reste trop longtemps, ça va ruiner ma couverture… le crois que l’infirmière m’a prise pour un agent de police. J’ai fini ma journée… enfin, ma nuit de travail.
elle aurait eu tout son temps… enfin, sur son temps libre… pour être franche, sur sa période de sommeil, mais elle doute qu’elle aurait réussi à dormir si elle n’était pas venue.
- Je voulais voir comment tu allais. Mais ouais… j’étais là… elle semble hésiter. Je… je suis désolée… j’aurais dû venir à la place de Wilcox, mais je... je crois que j’ai figée quand j’ai reconnu ta voiture…
Et pourquoi elle a reconnu sa voiture d’abord ? Oui, bon, évidemment, les Cadillac de ce genre ne courent pas les rues. Pas qu’elle se passionne pour les voitures en général. Évidemment, en tant que patrouilleur, elle doit savoir reconnaître les marques de voitures, mais dans sa vie personnelle, elle n’y prête pas vraiment attention. Elle n’est même pas certaine de la marque de la voiture d’Alyson et pourtant, elle en a hérité et elle la conduit de temps en temps… mais la Cadillac de Thomas, elle l’a reconnue. Elle ne dit pas que c’est elle qui est intervenue en premier sur la mort d’Alyson et que c’est pour cette raison qu’elle a bien failli céder à la panique lorsqu’elle a cru retrouver Thomas dans le même état.
- Je crois que je ne gère pas très bien quand c’est quelqu’un que je connais… dit-elle avec un sérieux stricte.
Comme si elle essayait de se détacher de la situation. Mais ça ne fonctionne pas très bien. Elle est aussi inquiète que rassurée par l’état de Thomas.FEAT @Thomas Morgenstein
@ Invité
Ce n’est pas Wilcox, tant mieux, je ne l’aime pas beaucoup. Il n’a pas été très sympa, pas que je demande un traitement de faveur, non mais j’ai comme l’impression qu’à ses yeux je mérite d’être là parce que je suis né sous une bonne étoile, soi-disant. Je ne suis pas mieux né qu’un autre, certes je viens d’une famille riche, mais il ignore par quoi je passe, par quoi j’ai passé. Il ignore tout de moi, il n’a fait que me juger comme les autres. Elle a fini sa nuit et elle vient me voir, je suis touché qu’elle prenne le temps. Elle avait peut-être d’autre choses à faire alors je lui dis :
« J’ai connu mieux … »
Je ne veux pas lui mentir, pas à elle, alors je lui dis ce que je pense pour une fois. Je suis complètement shooté par la morphine alors forcément c’est compliqué pour moi d’être réellement maître de mes émotions, maitre de moi-même. Je n’ai pas envie de dire n’importe quoi, je ne sais pas tellement ce que je ressens en ce moment précis à part la douleur. Je ne ressens pas grand-chose d’autre même si elle est amoindrie par la morphine. Je ne me sens pas vraiment moi-même.
Je ne peux pas lui en vouloir de ne pas gérer, ça me touche, plus que je ne le voudrais. Je lui fais signe de venir, mais je ne sais pas si elle viendra.
« Je vais mieux, mais ce n’est pas encore la grande forme et j’admets que … je n’avais pas envie que tu vois ça. »
Elle a vu l’accident, du moins un peu, mais j’ai demandé à son collègue qu’elle n’en voit pas trop. Il a fait comme il a pu j’imagine. Il a fait de son mieux, même si j’en doute réellement, vu l’énergumène qu’il a l’air d’être.
« Ca me fait plaisir que tu sois là. »
Je ne lui aurais jamais admis ça sans morphine et je souris même, je ne souris pas souvent en temps normal. Je ne souris qu’à de rare occasions, elle le sait, mais pourtant avec elle j’arrive à sourire, même sans ça. C’est un peu ma morphine de tous les jours.
« J’ai connu mieux … »
Je ne veux pas lui mentir, pas à elle, alors je lui dis ce que je pense pour une fois. Je suis complètement shooté par la morphine alors forcément c’est compliqué pour moi d’être réellement maître de mes émotions, maitre de moi-même. Je n’ai pas envie de dire n’importe quoi, je ne sais pas tellement ce que je ressens en ce moment précis à part la douleur. Je ne ressens pas grand-chose d’autre même si elle est amoindrie par la morphine. Je ne me sens pas vraiment moi-même.
Je ne peux pas lui en vouloir de ne pas gérer, ça me touche, plus que je ne le voudrais. Je lui fais signe de venir, mais je ne sais pas si elle viendra.
« Je vais mieux, mais ce n’est pas encore la grande forme et j’admets que … je n’avais pas envie que tu vois ça. »
Elle a vu l’accident, du moins un peu, mais j’ai demandé à son collègue qu’elle n’en voit pas trop. Il a fait comme il a pu j’imagine. Il a fait de son mieux, même si j’en doute réellement, vu l’énergumène qu’il a l’air d’être.
« Ca me fait plaisir que tu sois là. »
Je ne lui aurais jamais admis ça sans morphine et je souris même, je ne souris pas souvent en temps normal. Je ne souris qu’à de rare occasions, elle le sait, mais pourtant avec elle j’arrive à sourire, même sans ça. C’est un peu ma morphine de tous les jours.
@ Invité
Nécessairement qu'il a connu mieux. Et pourtant, il est nettement plus souriant que ce à quoi elle a l’habitude. La morphine, sans doute. Oui, parce que bon, faut pas se le cacher, Thomas n’as jamais été très souriant. Pas en général. Il a quand même toujours sourit avec Alyson. C’est vrai que faire la gueule à Alyson était difficile, voir impossible. Elle était une adorable femme au sourire contagieux. Tout le monde était plus tendre et plus agréable en présence d’Alyson. Du coup, on la prenait au sérieux, parce qu’elle était redoutable quand elle croyait que c’était nécessaire. Elle avait souvent vu Thomas sourire à Alyson. Et elle l’avait même dit à Alyson qu'il était beau quand il souriait. Mais c’était la première… ou du moins les premières fois que le sourire lui était adressée. Oui, parce que bon, si Ariadne avait suivi Alyson partout, à toutes les soirées, pendant des années, Ariadne n’avait jamais éclipsé Alyson dans quoique ce soit. Enfin, sauf en chant et en musique. Et c’était bien là le seul domaine ou Alyson gardait profil bas. Partout ailleurs, c’est la richissime Alyson qui brillait. Et c’était très bien comme ça.
- Oui, je n’en doute pas du tout.
C’était même évident. Mais ça ne pouvait qu’aller mieux dans les jours, semaines et mois suivants. Il va bien, quelques blessures, mais rien de tragique. C’est ce que je docteur expliquait à la maman de Thomas. Elle a écouté, évidemment. Il lui fait signe d’approcher, alors elle approche, mais elle essaie de rester dans un angle où il n’aura pas à tourner la tête, ce qui nécessairement, la tient à bonne distance. Elle n’essaie de ne pas trop l’examiner. Du moins de ne pas trop en avoir l’air.
- Ah bon ? Elle hoche la tête. Je t’ai vu quand ils t’ont mis dans l'ambulance...
Et l’affirmation suivante la surprend un peu. Ah bon ? Et le sourire. Ok, oui, il a vraiment l’air content qu’elle soit là… ou alors il est content pour autre chose, mais son sourire est… juste merveilleux. D’autant plus que c’est une preuve qu’il est vivant.
- Oh… eum… je suis ravie que… ça te fasse plaisir… dit-elle en espérant que la lumière de la chambre cache qu’elle rougit probablement, parce que franchement, venant de Thomas, c’est… flatteur.
Normalement, elle aurait sans doute répondu que c’est rien du tout, qu’elle est ravie d’être là, parce que c’est ça être amis, mais est-ce qu’elle est amie avec Thomas ? Non, pas vraiment. Elle n’était que la meilleure amie d’Alyson. En fait, on la reconnaissait que lorsqu’elle était sur scène, dans le gotha. Enfin, on ne la reconnaît toujours que lorsqu’elle est sur scène. Parce que bon, si on n’associe pas son nom à Alyson, c’est bien le seul endroit où elle est remarquée. Oui, bon, après, Thomas est venu chez elle à quelque reprises… enfin, chez Alyson surtout, mais il est passé chercher Glitter à quelques reprises… ça ne signifie pas vraiment qu’ils sont ami… si ? Elle a toujours eu un petit crush pour Thomas, un petit… tout petit… mais bon, avant la mort d’Alyson, il ne lui avait jamais vraiment adressé la parole… sauf peut-être par hasard… ou par erreur.FEAT @Thomas Morgenstein
@ Invité
Je me doute qu’elle se doute aussi, j’ai eu beaucoup de chance, j’en ai conscience. Je pourrais être mort, mais je suis bel et bien là. Je suis entier ou presque. Je suis content qu’elle soit là, qu’elle soit venue, ça veut dire que je compte un peu et que même si elle sait ce que j’ai fait, elle ne me considère pas comme un assassin, j’ai de la chance qu’elle comprenne. Ce n’est pas le cas de tout le monde.
« Mais ils ont dit que je pourrais jouer encore, le nerf à été touché, mais pas coupé, je devrais retrouver la mobilité de ma main après de la rééducation. Tout redeviendra comme avant … »
Je ne sais pas si c’est vrai. Je ne sais pas si ça reviendra comme avant, mais je l’espère parce que la musique c’est tout ce que j’ai, c’est ma vie et je ne sais pas ce que je ferais si je ne peux plus jouer du piano, si je n’arrive plus à composer. Je ne me vois pas continuer à vivre sans musique. C’est ma vie. Elle m’a vue. Je m’en doute. Je ne sais pas ce qu’elle a pu penser. Je ne sais pas ce qu’il se passe dans sa tête. J’aimerai savoir.
« J’imagine oui … ça ne devait pas être beau à voir … »
Non ça devait être moche, je ne me souviens pas de tout, je me souviens d’avoir parler a Franck et j’ai perdu connaissance quand il poussait la voiture de l’autre. Je me suis réveillé dans cette chambre. Il m’a dit aussi que l’autre gars était peut-être père de famille, qu’il s’était endormi et je suis passé pour le pire des imbéciles.
« Je crois que ton partenaire ne m’aime pas beaucoup. »
Personne ne m’aime vraiment, c’est un fait. J’en ai conscience, aujourd’hui plus que jamais.
« Mais ils ont dit que je pourrais jouer encore, le nerf à été touché, mais pas coupé, je devrais retrouver la mobilité de ma main après de la rééducation. Tout redeviendra comme avant … »
Je ne sais pas si c’est vrai. Je ne sais pas si ça reviendra comme avant, mais je l’espère parce que la musique c’est tout ce que j’ai, c’est ma vie et je ne sais pas ce que je ferais si je ne peux plus jouer du piano, si je n’arrive plus à composer. Je ne me vois pas continuer à vivre sans musique. C’est ma vie. Elle m’a vue. Je m’en doute. Je ne sais pas ce qu’elle a pu penser. Je ne sais pas ce qu’il se passe dans sa tête. J’aimerai savoir.
« J’imagine oui … ça ne devait pas être beau à voir … »
Non ça devait être moche, je ne me souviens pas de tout, je me souviens d’avoir parler a Franck et j’ai perdu connaissance quand il poussait la voiture de l’autre. Je me suis réveillé dans cette chambre. Il m’a dit aussi que l’autre gars était peut-être père de famille, qu’il s’était endormi et je suis passé pour le pire des imbéciles.
« Je crois que ton partenaire ne m’aime pas beaucoup. »
Personne ne m’aime vraiment, c’est un fait. J’en ai conscience, aujourd’hui plus que jamais.
@ Invité
Oui, ça va mieux, mieux que la veille, coincé dans sa voiture. Il est vivant et il semble en bon état, après tout. Bien sûr, il est blessé, mais si les docteurs, ou plutôt lui-même raconte est vrai, il devrait pouvoir rejouer du piano. C’est bien typique des artistes. Plus soulagé de pouvoir jouer à nouveau de leur instrument dans un futur rapproché que de marcher, voir d’être vivant.
- Oui, bien sûr, je n’en doute pas, dit-elle en jetant un bref coup d’oeil à la main bandée, qui pour le moment semble plus bleue violacée que couleur chaire.
Elle plisse le nez, compassion douloureuse. Elle se demande si ça fait mal. Peut-être pas en ce moment, il doit être complètement shooté aux médocs. Elle lui dirait bien de prendre son temps, parce que la rééducation c’est long et pénible et que si on pousse trop trop rapidement, il risque de se blesser encore plus longtemps, mais elle doute que ce soit le bon moment. Non, il n’a surement pas envie d’entendre ça. Pas beau à voir ? Terrifiant, surtout. Terriblement terrifiant. Elle a un bref éclair de panique quand elle se remémore le moment où elle a constaté que c’était vraiment la voiture de Thomas.
- C’était surtout terrifiant, avoue-t-elle. De pas savoir si ce serait ok…
Il croit que Frank ne l’aime pas beaucoup ? Malgré elle, elle pouffe de rire. Elle se reprend aussitôt, cherchant à rester sérieuse ou du moins l’air grave de circonstances.
- Nan, je crois pas, il est juste… elle a un froncement de sourcil pensif. En fait, je sais pas trop, des fois il est cool, la plupart du temps il me provoque sans arrêt, je sais pas trop quoi en penser au fond… elle secoue la tête. De toute manière, je suis pas du genre comme dans les films ou les coéquipiers deviennent les parrains des enfants de l’autre, témoin au mariage ou d’autres trucs du genre. J’essaie de ne pas mélanger le boulot et le personnel, alors on s’en fiche que Frank t’aime bien ou pas, non ?FEAT @Thomas Morgenstein