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long live, all the magic we made. (isolde)

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Mer 3 Juin - 14:57

elle ne devrait pas être heureuse à ce point, sourire face à son écran comme la première des idiotes. ivy devrait ressentir comme un pincement au coeur en réalisant l'absence de son petit-ami, ivy devrait être triste de ne pas pouvoir profiter de cette soirée avec arthur à ses côtés. pourtant, elle regarde sa montre, toutes les minutes, toutes les secondes, encore plus impatiente à l'idée de quitter son bureau. encore plus impatiente en sachant que ce soir, ce soir isolde sera entièrement sienne, aucun mari pour venir s'ajouter dans le tableau. aucun arthur pour venir lui décrocher un sourire, pour la faire rire après l'une de ses fameuses blagues. ce soir isolde n'aura que son regard pour sombrer, qu'elle pour.. « roh mais, stop ivy. » qu'elle se murmure à elle-même en venant passer une main dans ses cheveux. c'est complètement stupide, elle le sait parfaitement. ivy est très heureuse dans cette situation, très heureuse avec arthur, d'ailleurs pour s'en rassurer directement elle n'hésite pas à lui envoyer un message, lui dire à quel point elle est déjà triste d'imaginer son absence ce soir, de ne pas pouvoir dîner avec lui. faux son téléphone qu'elle vient rapidement mettre sur silencieux pour ne pas assumer la réponse, pour ne pas devoir relire ce que son coeur sait parfaitement être un mensonge. « c'est n'importe quoi, tu es amoureuse, très très amoureuse. » elle ne doit avoir aucun doute là-dessus. c'est le grand amour, la meilleure des relations qu'elle pouvait espérer avoir un jour. ivy n'avait jamais été si heureuse dans son couple, autant aimée, autant gâtée. que ce soit par isolde qu'elle n'a aucun doute sur le fait d'aimer de tout son coeur ou encore arthur.. qui trouvait toujours les mots pour la rassurer, pour lui donner la sensation d'être la plus belle femme du monde. arthur était un homme merveilleux, c'est ce qu'il fallait retenir dans tout ça.

ivy n'a même pas essayée de faire un effort dans le rangement de son bureau, est-ce quelqu'un s'en préoccupe de toute façon ? elle tout ce qu'elle désire c'est rejoindre au plus vite isolde, retrouver l'intérieur de ses bras, sentir ses lèvres douces contre les siennes. elle en oublie même son parapluie à l'intérieur et n'a plus aucune envie de perdre la moindre seconde. heureusement, le trajet en voiture n'est pas très long. heureusement, elle arrive rapidement devant la maison des hastings, la sienne aussi désormais. cette porte qu'elle n'avait jamais ouverte avec autant d'assurance avant de se jeter sur sa bien aimée -légèrement mouillée.- « tu sais que tu m'as terriblement manquée. » terriblement est encore un mot bien trop faible pour décrire son état d'esprit. alors, qu'elle vient poser avec délicatesse ses lèvres contre les siennes. « c'est vraiment dommage pour la réunion d'arthur. » oh oui tellement dommage. vraiment affreux de devoir profiter de sa belle isolde sans aucun mari dans les alentours. « je m'occuperais bien de toi c'est promis. » et ivy espère sincèrement lui convenir.. à elle seule, au moins le temps d'une soirée. « je vais me changer et je suis toute à toi. » parce qu'il n'est pas question d'honorer ce tête-à-tête en costume de travail avec l'odeur du bureau sur ses vêtements.

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Dim 7 Juin - 12:32
Isolde vogue dans un bonheur inimaginable. L’artiste s’épanouit dans son travail, la mère contemple son fils grandir et être aussi beau que dans ses rêves, et la femme aime et est aimée par deux personnes merveilleuses. Son mari, une constante dans sa vie depuis tant de temps qu’elle ne s’imagine pas un jour pouvoir exister sans sa présence à ses côtés – infaillible et inexorable ; et une petite amie à nul autre pareil. Si sa relation avec Ivy avait commencé comme de nombreuses autres qu’Isolde avait pu avoir auparavant, des regards, puis des caresses, et encore des regards. Force-lui est de constater aujourd’hui qu’elle ressent pour cette jeune femme ce qu’elle n’a jamais ressenti pour aucune autre de ses aventures extra-conjugales. Pas étonnant alors que cette femme se soit faite une place dans son lit conjugal puis dans sa vie familiale en si peu de temps. Isolde Hastings ne voyait pas comment elle pouvait être plus heureuse qu’en se levant chaque matin entre les deux corps nus de ses amours, et en se couchant chaque soir à leurs côtés. Tout n’était pas parfait, mais quel couple pouvait se targuer de l’être ? Après tout c’est dans les erreurs et les essais que l’on crée les plus belles œuvres d’art. Pour Isolde, cette relation en est le fruit le plus accompli et le moins défendu. L’artiste est donc aveuglément contente et contentée, et ne remarque qu’à peine la souffrance de son fils ou les questionnements d’Arthur et Ivy.

Perdue dans sa peinture, elle ne voit pas le temps qui passe, s’oublie dans les traits de couleurs qui se créent sous l’impulsion de sa main. Jusqu’à ce que la lumière naturelle procurée par les baies vitrées de son atelier s’amenuise alors que l’Astre solaire entreprend sa descente pour laisser place à l’orangé de la fin de journée. Isolde se pousse à se lever pour quitter à regret son travail et part prendre une douche pour défaire les nœuds de ses épaules. Elle n’est plus si jeune que cela et ce travail est loin d’être tout repos malgré ce que l’on pourrait penser. Une fois sa douche prise, la femme s’habille d’une robe simple et sobre, bien éloignée de ce qu’elle porte d’ordinaire au sein demeure. Mais ce soir est particulier, Arthur est en réunion et ne rentrera que très tard, Tristan est dehors avec des amis sans doute ; ce soir il n’y a qu’elle et Ivy, son Ivy. Alors, Isolde fait un effort se maquille, et coiffe ses cheveux courts, et se regarde plus longtemps dans le miroir. Elle voit des rides et des marques sur son corps que lui fera oublier sa jeune compagne. Elle voit un sourire qui s’étire à l’idée de ce repas. Isolde descend les marches qui la mène vers le rez-de-chaussée, quand la porte s’ouvre pour laisser entrer la lumineuse avocate qui s’empresse de se coller contre elle pour déposer contre ses lèvres un doux baiser. Son sourire s’agrandit contre les lippes de l’aimée, « Tu m’as manquée aussi » elle murmure tandis que ses mains glissent contre les hanches d’Ivy. Isolde hoche la tête, oui c’est dommage, elle aime ces moments qu’ils passent tous les trois. Mais un peu égoïstement parfois, elle aime bien avoir l’un ou l’autre rien que pour elle. Isolde se détache à regret de cette femme adorée, et répond un sourire coquin sur le bord de ses lèvres bordeaux. « C’est dommage, si j’avais su que tu te changerais je t’aurais attendu pour que l’on prenne une douche ensemble. » son doigt glisse contre la joue d’Ivy en une promesse d’une soirée délicieuse avant qu’elle ne se dirige en direction de la cuisine. « Je t’attends alors, mais pas sagement cela ne me ressemble pas. Je vais en profiter pour dresser notre table. » Elle lui lance un de ses fameux clin d’œil avant de disparaître dans la cuisine américaine. Le plat est préparé, pas par ses soins bien entendu, et Isolde se contente de le réchauffer et de leur servir à chacune un verre de vin français – car après l’amour, c’est ce qu’ils savent faire de mieux. Quand Ivy apparaît, fraîche et sublime, Isolde lui tend le verre. « Comment s’est passée ta journée ma chérie ? » Isolde est comblée. Son univers est parfait.

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Lun 8 Juin - 17:16

à l'intérieur de ses bras, ivy oublie absolument tout. elle oublie cette journée non productive au bureau, oublie la dispute avec son meilleur ami, oublie que ses parents refusent toujours de lui adresser la parole. à l'intérieur de ses bras elle se sent vivante ivy, comme si rien ne pouvait l'atteindre, la blesser ou encore même la heurter. elle est heureuse ivy, tellement heureuse d'avoir isolde à ses côtés, tellement heureuse d'avoir effacer arthur du tableau, juste une soirée, juste le temps d'un repas. un baiser qu'elle lui vole, une mèche de ses cheveux qu'elle vient tendrement placer derrière son oreille tout en sentant une dernière fois l'odeur de son shampoing. isolde est magnifique, encore plus que d'habitude, un peu plus chaque jour. ivy pourrait passer des journées ou soirées entière à la regarder, à l'admirer sans jamais détourner le regard. « c'est tellement dommage. » qu'elle murmure contre ses lèvres. tellement dommage qu'elle ne compte pas laisser une seconde fois échapper l'occasion, qu'elle ne compte pas rester douce et sage ce soir. « mais, nous avons encore toute la soirée. » assez de temps pour t'admirer sans voir les mains de ton mari sur ton corps.  assez de temps pour profiter de cette solitude qu'ivy garde déjà précieusement dans son coeur. un sourire complice avant de s'échapper dans la salle de bain à son tour pour rapidement prendre une douche.

ivy se regarde une dernière fois dans le miroir avant de descendre, loin d'elle l'envie de faire attendre encore plus longtemps sa belle ou le repas qu'elle sait déjà d'avance délicieux. c'est nouveau pour elle.. vivre dans cette maison, ne plus avoir besoin de s'occuper du ménage ou encore des courses, ne plus avoir besoin de préparer quoi que ce soit. elle n'avait encore jamais eu ce genre de vie et même si parfois elle aimerait retourner à quelque chose de plus simple, elle ne pourrait pas imaginer une seule seconde devoir se séparer d'isolde ou encore quitter cette maison. donner une occasion à arthur de prendre encore plus de place dans la vie de sa petite-amie. jamais un sourire pour masquer son inquiétude alors, qu'elle accepte avec plus que plaisir le verre de vin. « interminable. » qu'elle avoue sans trouver le courage de la quitter du regard. « j'ai attendu cette soirée toujours la journée. » sa main qui cherche rapidement la sienne, pour venir toucher cette peau douce qu'elle espère un jour sienne, rien qu'à elle. stop ivy « sinon tu sais, la routine, toujours des histoires de divorces, de garde d'enfants.. » toujours de quoi lui rappeler que sa propre situation familiale est sur le point d'exploser. elle ne comprend pas ivy, n'arrive pas à comprendre pourquoi ses parents ne sont pas heureux pour son propre bonheur, pourquoi est-ce qu'ils continuent de la juger pour ses préférences qu'ils considèrent "absurdes". isolde est une femme talentueuse, arthur un homme charmant.. ce n'est pas comme si elle sortait avec deux criminelles pour passer le temps. « charlie est venu me faire une crise au bureau. » et une belle alors, qu'elle n'est même pas responsable de tout ça, qu'elle ne l'est jamais. « et toi ta journée ? je veux tout savoir. » dans les moindres détails. ivy veut tout entendre, en passant de ce qu'elle a fait pour occuper sa journée, à ce qu'elle a manger comme à midi.  

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Sam 20 Juin - 11:50
Dans la cuisine, la bouteille de vin à la main, Isolde attend le retour de son aimée. Ses traits sont détendus et le bonheur transparaît dans son visage. L’artiste est heureuse et se sait chanceuse. Il y a des personnes qui éprouvent de grandes difficultés à trouver l’amour une fois, et la Hastings a eu l’immense chance de le trouver à deux reprises et de n’avoir aucun choix à faire. En servant les verres, elle pense à la bulle de bonheur qui entoure sa demeure, à son fils qui grandit, sa notoriété qui n’est plus à faire et à tout cet amour qui les enveloppe de toute part. Isolde est bien loin de s’imaginer les tensions naissantes et les questionnements, toute emportée qu’elle est dans son paradis personnel. En parlant de Paradis, elle entend Ivy qui redescend quelques instants plus tard, une certaine fatigue se lit sur ses traits et elle accepte avec grand plaisir le verre de rouge que lui tend Isolde avant de répondre à sa question. « C’est vrai que tu as l’air épuisée. » Isolde prend la main tendue, et dépose des légères caresses sur la paume si douce de l’avocate, son avocate. Elle l’écoute avec intérêt, mais ne retiendra que la moitié de ce qu’il lui est dit, comme toujours, l’attention de la blonde est pareille à un rayon de soleil fluctuant qui ne transperce pas tout le temps les nuages de sa psyche. Il brille fort, mais il est si haut dans le ciel qu’il ne reçoit pas toutes les informations. « Hm. Moi aussi j’ai attendu ce dîner. » Qu’elle glisse comme une confession avant de se diriger derrière Ivy, oubliant déjà le repas qu’elles n’ont pas touchées, ses mains se posent délicatement sur les épaules de la jeune femme et se mettent à masser la chair tendue. « J’ai passé une partie de la journée à continuer mes peintures pour ma prochaine exposition, et non je ne peux pas encore te montrer mes peintures, ce n’est pas fini. » Isolde a toujours eu du mal à montrer une de ses œuvres inachevées, elle a l’impression d’être nue dans ces moments, vulnérable et forcément incomprise. Ses œuvres ne peuvent être appréciée – ou détestée – qu’une fois terminée. Ce serait comme critiquer un film sur sa bande annonce, ou un livre à travers son résumé ; impensable, ridicule. « Sinon, j’ai aussi un peu préparé la future soirée à thème, sur la mythologie grecque, je serais en Aphrodite, Tristan en Cupidon et Arthur en Ares. » Elle ne leur a bien sûr pas laissé le choix, perfectionniste et dans le contrôle quand il s’agit de ces soirées, Isolde ne laisse que peu de places aux autres. « Tu seras là ? Tu voudras te déguiser en quelle divinité ? Il devient vital de faire ton costume ! Je te verrais bien en Circe, mais le choix t'appartient bien entendu » Elle se perd dans ses préparatifs, enchaîne les phrases sans lui laisser complètement le temps de répondre. Elle se perd facilement dans ses pensées tout en continuant ses caresses vouées à la détendre.

Soudain, Isolde se replonge dans la réalité de laquelle elle s’était extirpée. « Tu veux me raconter ce qu’il s’est passé avec Charlie ? » Elle n’écoutera sans doute que d’une oreille, ne sait pas bien ce qu’elle pourra apporter comme conseils, mais se dit que parfois parler et être entendu suffit. Ses mains continuent leur ballet de détente sur la peau de son Ivy, et Isolde ne pourrait rêver meilleur préambule à cette soirée délicieuse. L’artiste espère qu’elle pourra apporter un peu de réconfort à la jeune femme qui lui semble perdue et tendue malgré les sourires et les promesses d’un plus tard excitant. Ensuite, il sera temps de manger, puis de passer au « dessert ». Oui, Isolde est heureuse et aucun nuage ne menace à l’horizon …

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Mer 1 Juil - 16:57

elle ne sait plus trop quoi faire ivy dans ce genre de situation. oui elle est heureuse, oui elle est persuadée de toucher le bonheur du bout des doigts. pourtant il lui manque quelque chose.. ou peut-être justement qu'une seule chose arrive à tout remettre en question. elle voudrait pouvoir en parler à quelqu'un, trouver comment exprimer ce qu'elle ressent mais, ivy à l'impression d'être injuste envers celui qu'elle est censée aimer plus que tout. arthur n'a jamais rien fait de mal, à toujours été doux, plus que tendre avec elle. pourquoi ressentir à ce point le besoin de l'exclure ? ivy est fatiguée de devoir se torturer l'esprit avec cette question qui refuse de quitter ses pensées.. encore plus qu'il est hors de question de venir briser cette petite harmonie à laquelle isolde tiens plus que tout. « j'espère tout de même que j'arrive toujours à te séduire avec cette tête. » bien qu'elle est certaine que ce soit le cas. pas que ivy soit assez prétentieuse pour s'imaginer comme une femme parfaite mais, il suffit de voir ce repas, de regarder la date sur la bouteille de vin pour comprendre que cette soirée est importante, unique. repas pourtant qu'elles n'ont toujours pas attaquées alors, qu'elle accueille avec plaisir les mains de sa bien aimée sur ses épaules. les yeux fermés, elle savoure chaque instant ivy, chaque caresses, oubliant petit à petit la présence d'arthur dans son esprit. « et je suis certaine qu'elles sont parfaites. tu as toujours eu des doigts de fées. » jeux de mots qu'elle utilise toujours avec grand plaisir, un sourire en coin sur le bord des lèvres. elles n'auront peut-être même pas besoin de toucher au repas à ce rythme là. des œuvres qu'elle aimerait pourtant voir ivy.. découvrir avant tout le monde, cette bulle dans laquelle elle voudrait tant trouver sa place. ivy pourtant n'insiste pas, jamais, même si pourtant ce n'est pas l'envie qui manque. elle serait tout simplement incapable de forcer isolde à faire quelque chose qu'elle ne désire pas. « en tout cas j'ai hâte de découvrir ça. » plus que hâte même. parce qu'elle a l'impression que désormais tout son monde tourne autour de la jeune femme. qu'elle pourrait faire n'importe quoi pour elle et que son bonheur est la seule chose qui compte.. bien avant le sien. ivy pourrait tout perdre que ça ne changerait rien à sa vie, tant qu'isolde reste pour toujours à ses côtés. « aphrodite n'aura jamais été aussi belle que grâce à toi. » sa main qu'elle vient tendrement poser sur l'une des siennes. « pour rien au monde je ne voudrais manquer ta soirée. » et surtout pas en sachant que tu serais seule avec lui. c'est exactement ce qu'elle pense dans sa tête. incapable désormais de les imaginer à deux.. vivre leurs meilleures vies sans elle. « je te fais confiance pour circe mais, j'espère être assez digne pour me tenir aux côtés d'aphrodite en personnes. » bien qu'elle ne compte pas laisser le choix à qui que ce soit de toute façon. ivy compte bien -comme à chaque fois- exprimer au monde entier son amour pour celle qu'elle considère déjà tous les jours comme une déesse. le conte de fées qui s'effondre rapidement lorsque le prénom de son meilleur ami revient sur la table. « oh tu connais charlie. » qu'elle répond en venant hausser ses épaules, prenant une nouvelle gorgée de vin. pas question qu'elle assume la moindre responsabilité là-dedans.. ce n'est pas elle le problème dans cette histoire. « son meilleur ami à découvert la relation qu'il a entretenu avec sa jumelle et leurs écarts de conduite assez récent. il est persuadée que c'est à cause de moi. » et c'est complètement vrai. sauf qu'elle ne voit pas les choses sous cet angle ivy. « j'ai jamais forcée qui que ce soit à mentir. c'était évident qu'il découvre la vérité un jour. » nouvelle gorgée de vin avant de plonger son regard dans celui de sa dulcinée en penchant la tête en arrière. « pas vrai ? » elle n'a pas envie d'entendre une nouvelle fois qu'elle est coupable. mais, isolde à confiance en elle.. pas vrai ?  

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