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Jessica ➹A Thousand Miles

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Lun 25 Avr - 19:27
♛   A Thousand Miles
Faire ma route en centre ville rouler vite. Les visages passent et je suis attaché à ma maison. Je regarde fixement en avant, juste en faisant mon chemin. A travers la foule et j'ai besoin de toi.
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 Putain c’est pas vrai. T’es en pleine hallucination. Pourtant, t’étais sur d’avoir fumé que des clopes aujourd’hui. Tu te pinças discrètement et tu ressentais une légère douleur. Non. Tu ne rêvais pas. Il était la. Derrière le grand bureau que t’as rarement vu occupé. Avec d’autres personnes qui étaient totalement fascinés devant lui. Tu passais une main dans tes cheveux. Putain c’est pas vrai. Dans quel merdier tu t’étais encore fourré. Déjà dire à tous tes collègues que tu sortais avec un mec qui voulait garder secretl était une chose. Celle de prendre une photo d’un parfait inconnu pour y mettre une preuve, aussi. Mais dans ta malchance, t’avais pas pris n’importe qui en photo. Tu l’as tout de suite su en regardant les regards de certains de tes collègues de boulot. Il fallait que tu prennes la photo de ton boss. Merde. il fallait que tu partes d’ici avant qu’il est l’idée de voir son personnel. Tu partis aussi vite que l’éclair, même Flash aurait été étonné que tu le dépasses en vitesse tellement tu as dévalé les escaliers quatre par quatre. Tu aurais pu prendre l’ascenseur mais avec ta chance, t’étais sur de tomber dessus. Les escaliers t’avaient trouvé ça chouette. Moins quand tu avais loupé une marche puis une deuxième et une troisième. T’as jamais été quelqu’un de chanceux. Tu ne pouvais pas tomber si bas qu’à ce moment.

Tu poussas les portes battantes d’un coup sec et parti en courant vers le parking du personnel où se trouvait ta moto. Tu devais partir loin d’ici. Très loin d’ici. Mettre de la distance entre lui et toi. Dans ta précipitation, tu fis tomber les courses d’une vielle dame. Elle t’insultait de petite garnement et tu ne pris même pas la peine de l’aider, tu devais fuir. Très loin et très vite. Il fallait que tu rentres chez toi. Au moins, la bas tu y seras en sécurité. Tu vis apparaitre ta moto et tu l’enjambas avant de la faire démarrer au quart de tour. New York te fis face avec toutes ses villes. Tu pensais la connaitre par cœur mais elle te surprendra toujours. Souvent, tu te perdais dans cette ville monstre mais tu retrouvais toujours ton chemin. Tu soupiras quand tu vis le Queens et encore plus, quand tu vis apparaitre le Oak Complex. Le Poppy Building te faisait face et t’y gara à ta place privée ta moto.

Personne aux horizons. Tu franchis les portes rapidement avant de monter à ton appartement. Arrivé devant celui-ci, tu soupiras de soulagement en cherchant tes clés d’appartement qui allait t’accéder au st graal. Tu te tâtais de partout mais tu ne ressentais pas le contact froid de ton trousseau de clé. Tu étais sur de les avoir pris ce matin. Comme d’habitude, tu les mettais dans ta veste pour éviter de les perdre. Merde. Tu n’avais pas ta veste. Dans ta précipitation, tu avais laissé ta veste sur la chaise de ton bureau.  Merde merde et merde. T’avais plusieurs solutions qui s’offraient à toi. Un : retourner à ton boulot mais c’était le risque de l’affronter. Hors de question. La deuxième était de rester la jusqu’à tard pour aller à ton bureau.  Mais l’idée d’y rester pendant 4h ne t’enchantait vraiment pas. Un éclair de génie te traversa l’esprit quand tu regardas les autres portes du pilier. A côté se trouvait celui de Jessica, ta cousine. Elle devait avoir un double ou du moins tu pouvais y rester jusqu’à la fermeture de ta boite.  Tu te postas devant sa porte et toqua priant bien fort qu’elle soit la et non au bureau elle aussi. S’il te plait Jess’ faites que tu sois la.
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@Jessica Doyle

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Jeu 28 Avr - 21:31
Bas de pyjama propre, hoodie immanquablement tâché du lait des céréales du petit-déj, un coloc en vadrouille Dieu ne savait même pas où, Jessica peut se monter l'incarnation parfaite du travail à domicile. Affalée sur le canapé, son ordinateur reposant sur un large livre de photos, lui-même appuyé sur un coussin, elle pianote furieusement, ses lunettes de vue glissant lentement sur son nez. Affligée d'un gros rhume, la rédactrice en cheffe a pris le parti de ne pas contaminer tout le bureau mais n'en travaille pas moins pour autant. Il lui est un chouilla difficile de décrocher. Toutefois, elle arrive à sa cinquième tasse de thé-miel-citron-gingembre de la journée et la pile de mouchoirs sur la table basse va bientôt se transformer en arme biologique.

La jeune femme termine donc son mail - qui aurait certainement pu attendre demain de toute façon - et se décide à se déplier et jeter sa pile de germes, ainsi que les divers emballages de barres céréales, chips et autres cochonneries qu'elle a grignoté toute la journée. A peine a-t-elle réussi à faire croire qu'une trentenaire digne de ce nom vit ici, et non un ado en pleine session de gaming, qu'on toque à sa porte. Jess n'attend aucun visiteur mais entre sa famille de malotrus et ses divers groupes d'ami.e.s, ce pourrait être littéralement n'importe qui. Sans compter le voisinage.

C'est un amalgame des trois qu'elle trouve sur son palier, l'air encore plus ébouriffé et perdu que d'habitude, ce qui n'est pas peu dire. « Ben alors chaton, qu'est-ce qui t'amène? » Elle recule d'un pas pour le laisser entrer, puis se dirige déjà vers le meuble de l'entrée, où la brune garde une boîte à chaussures - customisée de paillettes et de photos de magazines de chanteuses célèbres, s'il vous plaît - sur laquelle est écrit en grandes lettres dorées Aickel. A force de voir son cousin se fourrer dans des situations invraisemblables, elle s'est dit qu'il valait mieux anticiper.

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Jeu 28 Avr - 23:11
♛ A Thousand Miles
Faire ma route en centre ville rouler vite. Les visages passent et je suis attaché à ma maison. Je regarde fixement en avant, juste en faisant mon chemin. A travers la foule et j'ai besoin de toi.
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Faites que tu sois la. Allez Jess. Les minutes qui séparaient la porte et l’intérieur de l’appartement de Jess semblait être une éternité tellement ça passais doucement. Tu l’as regardais. Froide. Clause. Fermer. La porte te narguait et toi tu restais devant bêtement espérant que sa propriétaire daigne t’ouvrir. Tu fermas les yeux en reprenant ta respiration. Tu n’avais pas remarqué que depuis que tu t’es enfui de ton boulot, ton cœur battait la chamade. Personne ne t’avais vu t’enfuir mais vu le boulot que tu faisais, c’était normal que tu étais plus dehors que dedans en temps normal. Heureusement que ta passion était la photographie sinon ton absence serait fait vraiment remarqué. Ta respiration commençait à se stabilisé tandis que tu te remémorais un de tes collègues qui t’avais montré au lieu ton boss. Le PDG de la boite que tu n’avais jamais vu depuis que tu bossais ici. Bien sur que tu avais vu ses associés mais jamais le grand patron et tu n’étais pas du genre à fouiller sur internet pour avoir des informations sur ta société. Tu aurais peut être du le faire ça t’aurais évité de dire à tout tes collègues que tu sortais avec juste pour faire taire les commentaires anti célibataires. T’en avais l’habitude pourtant avec tes amis des « et les amours Aickel ça donne quoi ? » ou les « je réserve pour une personne ou deux ? » ou le classique « tu me le présentes quand l’élu de ton cœur ? ». Celui-ci c’était plus ta famille qui te demandait. T’étais le petit dernier et seul homme de ta famille alors forcément tous les regards étaient braqués sur toi. Et de ton avenir. Au moins cette histoire montée de toute pièce de ton cerveau allait rester au bureau. C’était l’avantage que ta famille ne connaît pas tes collègues de boulot. Sinon, tu serais clairement encore plus dans le pétrin que tu l’étais actuellement.

La porte s’ouvrit faisant chasser tes pensées. Tu poussas un soupire de soulagement en voyant apparaitre derrière celle-ci, Jessica Doyle. Ta cousine. C’était grâce à ses parents que tes mères ont eu l’opportunité de venir s’installé aux Etats-Unis quittant l’Angleterre. T’avais jamais connu ses origines la contrairement à tes sœurs et tu les jalousas. Bien sur, elles te disaient qu’il y avait rien d’intéressant la bas, surtout l’ainée de la famille. Mais quand même c’était l’Angleterre quoi. Tu te souvenais de ton regard découvrant les cadeaux au pied du sapin le jour de Noël, quand plus grand tu allais à Oxford. Puis Londres. Et tant d’autres villes. L’Angleterre avait cette beauté mystique et plus tranquille que New York, la ville qui ne dormait jamais. Et t’avais fais ton stock de thé. Pour ça, tu n’avais pas du sang anglais pour rien et ne parlons pas du sang irlandais. L’alcool. C’était tous les jours la St Patrick quand tu avais un chagrin d’amour. La vodka était une bonne copine à toi et encore plus avec les clopes. T’avais besoin d’une clope. Même Jessica le disait. Enfin le sous entendait. « Dieu merci t’es là Darling, pendant cinq minutes, j’ai eu peur que tu sois à ton boulot. » Elle s’effaça pour te laisser passer. A l’intérieur, l’appartement n’avait pas changé depuis la dernière fois que tu avais mis les pieds. A savoir, il y a deux jours. T’étais souvent là même si depuis un moment, tu évitais de la voir ici. « L’autre n’est pas la ? » Elle n’était pas seule et tu ne portais pas son coloc dans ton cœur. Tu regardais à gauche et à droite avant de pousser un soupire de soulagement. Elle semblait être seule chez elle. C’est ce qui comptait.

La boite à chaussures à ton nom t’interpella et t’esquiva un sourire. C’était du Jess tout craché. C’était limite une troisième mère pour toi-même si elle, te disait clairement si quelque chose ne lui plaisait pas. Tu tatas ton jean et tu souris en sentant une clope à l’intérieur. Tu l’as tira et partit ouvrir une fenêtre de l’appartement pour t’y accoler. « Tu ne devineras jamais ce qu’il m’est arrivé. » La clope se coinça entre tes lèvres et l’alluma grâce à un briquet. T’en tirais une baffe avant de faire glisser la fumée à l’extérieur de l’appartement. La nicotine te produisait un bien fou et te détendait directement. T’étais accro à ça et tu ne l’admettrais jamais. « J’ai oublié mes clés au boulot, je crois que c’est une première celle-là. » Première au boulot. C’était pourtant le seul endroit que tu ne perdais jamais rien. L’image de ton boss revient à tes pensées et tu reposas la clope dans la bouche. T’étais dans la merde mon pote. Et hors de question de le dire à Jessica. Question de fierté masculine. Et de honte surtout.

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@Jessica Doyle

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Dim 1 Mai - 23:01
Evidemment, Aickel fait comme chez lui, déboulant dans son appartement et insultant son coloc au passage. La brune lève les yeux au ciel, aussi amusée que légèrement agacée par l'animosité entre son très récent colocataire et son cher cousin. Ils n'ont guère eu l'occasion de se croiser, mais apparemment, Aick c'est déjà fait une idée bien tranchée de ce qu'il pense de Yung-jae. Sans bonne raison aucune d'ailleurs. Du moins, elle n'a pas compris s'il y en avait une. Mais n'ayant aucun désir de se mêler à ses enfantillages, elle répond simplement. « Non, mais le corgi est là, il dort. » Jess désigne d'un geste de la main l'animal, qui ronfle paisiblement dans son panier. Il a été un excellent garde-malade aujourd'hui, il méritera sans doute une petite friandise tout à l'heure.

Stressé, son cousin tire une cigarette de sa poche et s'adosse à la fenêtre pour évacuer son anxiété sous la forme d'un futur cancer du poumon. Non pas que Jess soit toute blanche, même si ces temps ci, elle préfère mettre sa weed dans des gâteaux. C'est plus sain, selon son analyse très peu scientifique. Elle le laisse tout de même faire, sachant bien qu'il ne sert à rien de l'en empêcher et que ça lui fera au moins du bien sur le moment.

En entendant "tu ne devineras jamais" l'esprit imaginatif de la jeune femme part dans tous les sens. Qu'a-t-il bien pu faire? Envoyer les mauvaises photos à des clients? Insulter son patron alors qu'il était derrière la porte? Aller à un blind date avec un.e ex? Maintenant qu'elle y pense, elle est à peu près sûre que ce dernier exemple est déjà arrivé. Mais finalement, c'est quelque chose de beaucoup plus anodin qu'il confesse. Plantée dans le salon, la boîte à chaussures pailletées reposant contre sa hanche, Jessica penche la tête d'un air légèrement confus.

« T'es sûr que c'est une première? Je t'adore hein, mais je crois que tu oublies tes clés quelque part minimum une fois par mois. Tu les avais pas laissé dans le métro une fois? » Riant légèrement, elle ouvre sa boîte à malice et en tire un des (nombreux) doubles qu'elle possède de l'appartement de son cousin. Heureusement qu'ils vivent dans un quartier tranquille et une résidence un minimum sécurisée, sinon Aickel se serait déjà fait cambrioler des dizaines de fois. La brune lui tend la clé avec un sourire et ajoute. « C'est ça qui te met dans tous ses états? Tu sais qu'il n'y pas à t'en faire, même si j'avais pas été là, tout l'immeuble te connaît, quelqu'un t'aurait hébergé! » La réputation de son cousin au Poppy Building n'est plus à faire, une âme charitable aurait forcément reconnu la tête de linotte de service. Il a de la chance d'être adorable et gentil, sinon il n'aurait jamais survécu aussi longtemps.

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Mer 11 Mai - 18:31
♛ A Thousand Miles
Faire ma route en centre ville rouler vite. Les visages passent et je suis attaché à ma maison. Je regarde fixement en avant, juste en faisant mon chemin. A travers la foule et j'ai besoin de toi.
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Tu regardais l’animal couché dans son panier. La Peste, c’était le surnom que tu lui avais trouvé, avait un corgi. Si Shin était un chien, il aurait été à coup sur un corgi. Son choix était parfait mais cela, t’allais jamais le lui dire. Au moins, tu lui reconnus son amour pour les animaux même si toi, tu préférais de loin les chats. C’était plus indépendant, solitaire mais débordant d’amour. C’était tranquille contrairement aux chiens. Ta vie était bien chargé et Ronflex avait capturé ton cœur quand t’avais commencé comme bénévole à une association animalière. Il avait une liberté totale et ça t’arrivait souvent de le chercher dans l’immeuble. Bon nombre de fois, des gens le ramenait après lui avoir dis qu’il avait eu un gouter chez eux. Si toi t’étais le voisin qu’on connaissait par cœur par des mésaventures, ton chat était sans doute un dieu ici. Natsu lui ton pogona, la dernière fois qu’il s’était échappé, les personnes n’avaient pas été vraiment fan du reptile. Quoique, il t’arrivait souvent que ta voisine du premier étage, une femme d’un certain âge demande des nouvelles de lui. Ils étaient tes bébés et tu comprenais cet amour que pouvait avoir les gens envers les animaux. Tu lança discrètement un sourire en regardant le corgi ronflé. Lui était paisible et malheureusement sa respiration ne t’aida pas à calmer la tienne.

La clope au bout des lèvres te procura une sentiment de bien être. Tu avais des collègues de boulot qui t’avaient demandé ce qu’il te procurait le plus de plaisir entre le sexe et la clope. T’avais hésité longtemps tellement que tes collègues étaient repartis sans connaitre la réponse à cette question. Tu ne le savais toujours pas d’ailleurs. Quand t’es addict à quelque chose, même si tu ne niais férocement, c’était dur de faire la part des choses. L’option d’arrêter n’arrivera jamais dans ton esprit. Jess lui disait souvent qu’il allait finir avec un cancer aux poumons. Tu lui répondais toujours que ses brownies hallucinogènes n’étaient guère mieux. Tu te rappelais du dernier que tu avais gouté et comment dire, Jess l’avait retrouvé pleurer toutes les larmes de son cœur en regardant le dessin animé « Bambi ». Surtout la fameuse scène. Y avait qu’avec sa cousine Jess que tu faisais les quatre cents coups. Son frère devait s’en souvenir il était souvent visés. Ça te manquait cette époque où vous étiez inconscient. Malchanceux tu l’étais déjà mais inconscient non. Et pas dans la merde comme à ce moment même.

Quand tu lui disais que t’avais laisser tes clés à ton boulot, Jess ne semblait pas convaincu. Si tes sœurs te connaissaient parfaitement, Jess te connaissait par cœur. Est-ce que tu devrais lui dire vraiment la raison de ton embarra ? Tu chassas de la fumée de ta bouche dans la fenêtre en souvenant de la présentation de Lukas avec tous tes collègues autour. Ton cœur s’accéléra malgré toi. T’étais dans la merde. Et vu les renseignements que tu avais pu récolter sur internet et tes collègues, comment dire t’avais pas choisi un saint. Tu ricanas légèrement quand elle te rappela que ce n’était pas la première fois que tu les perdais et ta réputation dans la résidence. T’aurais pas aimé avoir de réputation, juste être un voisin tranquille mais qui voulez-vous, tout ton être transpirait le tête en l’air de service. « Ce n’était pas de ma faute celle du métro. Je suis sur que c’était la vielle qui n’arrêtait pas de me lorgner qui me les a pris quand j’ai piqué une tête dans le trajet. » Tu te rappelais de cette scène. Si tu n’avais pas pris une cuite la veille à cause d’une conne, tu n’aurais pas dormi que deux heures dans la journée. Et tu ne t’aurais pas endormi dans le métro faisant perdre tes clés par terre au passage. « Elle ne m’a pas encore retrouvé je suis sauvé. » Tu fis le signe de la prière espérant qu’elle ne te retrouve jamais. Au moins, ça te faisais oublier deux minutes le pourquoi t’étais venu précipitamment ici. A ce souvenir, tu te crispas légèrement. « J’ai fais une connerie Jess, je suis dans la merde complet. » C’était le cas de le dire. Tu arrivas à la fin de ta clope et t’en tiras une deuxième rapidement. Ça devait te détendre. Ça le devait sinon tu ne mettrais plus tes pieds à ton boulot. Tu ne voulais pas risquer de tomber sur lui. Pour le coup, ça ne marcha que légèrement. T’avais besoin de quelque chose de plus fort. « T’as pas quelque chose de plus fort Jess dans tes placards ou dans tes fourneaux ? » L’espoir se lisait dans tes yeux. T’étais dans la merde et t’avais besoin de quelque chose de plus fort pour oublier et osé te confier à Jess. Même si elle risque de partir sur un fou rire. Tu prenais le risque…
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Mar 17 Mai - 22:09
Jess ne peut retenir un éclat de rire devant la justification de son voisin, même si elle a bien noté son état de nervosité grimpant et le fait qu'il en est à sa deuxième cigarette en moins de cinq minutes. Mais, il trouve toujours le moyen de la faire rire, avec sa tête de linotte et ses aventures toujours plus abracadabrantesques. Toutefois, elle reste une tata prévenante dans son petit cœur, aussi, elle ne peut que froncer un peu les sourcils à l'idée qu'une perverse du métro puisse retrouver son petit cousin et entrer chez lui aussi facilement. Elle se permet donc de faire remarquer « Tu sais que les gens normaux changent leur serrure quand on leur vole leurs clés? C'est l'occasion en plus, bon, faudrait que je vide mon stock, mais il m'en reste que deux de toute façon. » Pas très normal non plus d'avoir de multiples copies de clés d'un autre appartement que le sien, mais ça, la brune se garde bien de le soulever.

Alors qu'elle réfléchit à d'autres manières de taquiner Aickel, il lui confesse être dans la "merde complet," fin de citation. Elle fronce les sourcils, s'imaginant une multitude de scénarios catastrophes qui pourraient justifier l'angoisse de son cousin. Parce que vu tout ce qui lui arrive dans une semaine lambda, il doit lui en falloir beaucoup pour qu'il dise ça. Ou alors, il s'est juste fait largué. Ou viré. Ou tout autre chose terriblement banale mais néanmoins tragique que nous traversons tous. Il se garde bien de développer, demandant d'abord à dévaliser ses placards. Une drama queen jusqu'au bout, l'animal.

Jessica se dirige vers la cuisine, lançant par dessus son épaule « Rien de culinaire, mais j'ai toujours des trucs à boire qui traînent. » Elle commence son inspection par le frigo et annonce « J'ai quelques bières, des IPA je crois, ça devrait taper un peu. Un fond de prosecco aussi, mais je ne suis pas sûre qu'il y ai encore des bulles. » Refermant la porte, elle regarde sur l'étagère juste au dessus et ajoute. « J'ai du gin, mais pas de tonic. Ou de la vodka. Et du jus d'orange. » Après cette piètre tentative de montrer ses talents d'hôtesse, la brune lance un regard à Aickel à travers la large pièce à vivre et demande enfin. « Tu vas me raconter ou il faut que j'imagine le pire en silence pendant que je prépare ta commande? » Non parce que ce suspense, ça ne peut pas être bon pour sa tension, déjà malmenée au quotidien.

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Jeu 19 Mai - 16:44
♛   A Thousand Miles
Faire ma route en centre ville rouler vite. Les visages passent et je suis attaché à ma maison. Je regarde fixement en avant, juste en faisant mon chemin. A travers la foule et j'ai besoin de toi.
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 La nicotine t'aidais à te calmer. T'avais besoin de tout aide pour faire baisser ta tension car tu étais sur d'en avoir après ça. Si t'avais été un employé modèle, tu aurais fais des recherches sur les patrons de ta boîte. Tu aurais vu des photos et tu n'aurais pas fait cette stupide erreur. Prendre en photo un inconnu n'était pas classe mais il fallait qu'en plus tu choisis le mauvais. Pourtant, t'avais cru dans ce club de jazz que t'allais connaître personne. Et l'homme que t'as pris tu l'as tout de suite trouver attirant. D'une de ses beauté froide que t'avais envie de le réchauffer avec ta chaleur. Avec l'alcool tu l'avais draguer putain. T'étais dans la merde. Vraiment. Ca aurait pu être moins pire. La tous tes collègues croient que tu sors avec en secret alors que le principal concerné est hétéro - il te l'a bien fait comprendre. Tu ne voulais jamais te retrouver dans la même pièce que lui. Merde. C'était ton boss. T'avais draguer ton boss. Le pire en plus. Un vrai diable.Quel malaise. Au moins tu étais dans la merde certes jusqu'à la tête.

Tu claqua des doigts quand Jessica te faisais remarquer une chose importante. Tu étais quelqu'un de tête en l'air. Pour toi, perdre tes clés étaient devenue habituelle. Celle de changer tes serrures beaucoup moins. Voir pas du tout. Et ce n'était pas ton chat Ronflex et Natsu ton pogona qui aurait pu faire barrière si quelqu'un rentrait chez toi sans ta permission. " je savais que j'avais oublié quelque chose.. merci de me faire rappeler. Quand je sors d'ici, j'appelle le serrurier et en demande plusieurs doubles. " Ouai plusieurs dont certains allaient chez Jessica. Sa sauveuse. Enfin, si tu n'oubliais pas de l'appeler. Car te connaissant c'était sur que t'allais oublier d'appeler le serrurier quand tu allais sortir d'ici. Bourré.

Tu regardais du coin de l'oeil ta cousine partir faire ses recherches dans son appartement. Tu soupirais quand elle te relèvera n'avoir pas de gâteau magique. Si tu n'en n'était pas friand, il t'en aurais fallu un pour lui dire la vérité. Ouai t'étais au bout. Elle te détailla tout ce qu'elle avait chez elle. Des bières. Non pas assez fort vu ce que tu avais. Le mot vodka te fit souffler la dernière bouffée de nicotine que tu avais en toi.  " Vodka avec le jus d'orange s'il te plaît. Quoique vu ce que j'ai à te raconter, je pense que je vais boire la vodka pure. " Tu partis de la où tu étais pour venir t'installé dans le canapé en prenant bien soin d'être loin de l'animal de la Peste. Pas que tu craignais les chiens, tu étais bénévoles dans un refuge et tu aimais leurs compagnies. Non. Tu ne voulais juste pas le réveiller en bon Brigitte Bardot masculine que tu étais. Bon tu nierais ça si son propriétaire se pointerai hein. Fallait pas pousser mémé dans les orties.

Tes fesses apprécierent le contact confortable et ferme du canapé. Jessica s'impatientais vu ses dires. Tu rigolais en t'enfoncait plus dans le canapé. " crois moi, vu ce que j'ai à te dire, il vaut mieux qu'on est de l'alcool dans le sang. ". Ça c'était certain. Tu fermais les yeux et posait tes coudes sur tes jambes. Tes mains se glissèrent dans tes cheveux pour te maintenir la tête. dépité. " je suis pitoyable ". ouai tu l'étais. T'étais un de ses mecs comme ça qui la vie n'avait pas fait de cadeau. Non dans le côté financier mais sur le côté amoureux. Tu jalousais ceux qui l'était. Car si tu avais été chanceux de ce côté là, bah tu n'aurais pas inventer cette histoire quoi. " Tu vois où se trouve le club de jazz ? Ma merde commence la bas avec une bouteille de vodka. "  Faire durer le suspense c'était ton fort. Il fallait de l'alcool pour que tu ai le courage de tout raconter à ta cousine préférée.

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Mer 8 Juin - 22:40
Jessica ne peut qu'éclater de rire quand son cousin se rend compte - grâce à sa réflexion/plaisanterie - qu'il avait bel et bien prévu d'aller chez le serrurier pour éviter de se faire kidnapper par les nanas cheloues du métro. On ne le changera pas l'animal. Elle secoue doucement la tête, répliquant avec un sourire en coin. « Ouais, file moi quelques clés va, tu sais que tu vas en avoir besoin. » Encore une fois, on n'apprend pas de nouveaux tours à un vieux chien, ou qu'importe l'expression. Aickel est Aickel et si sa tête n'était pas accrochée à ses épaules, il serait capable de l'oublier aussi.

A la requête du jeune homme, drama queen s'il en est, la brune lui sert un screwdriver généreux en vodka et léger en jus d'orange. Elle s'en fait un aussi, avec des proportions inversées. Après tout, on est en semaine et elle n'a pas le luxe d'être une adorable tête en l'air à qui on pardonne tout. Sans doute y a-t-il un soupçon de misogynie dans cette affaire, mais Jess est trop fatiguée pour y réfléchir plus amplement. Et trop curieuse de connaître les nouvelles aventures de son cousin, qui se fait prier bien sûr.

Elle vient finalement s'installer à ses côtés dans le canapé, lui tendant son verre et trinquant rapidement, avant de boire une gorgée. Elle fronce les sourcils à la question incongrue d'Aickel, se demandant s'il va finir par cracher le morceau avant que le soleil ne se lève à nouveau. Ou que son coloc rentre, pour être un poil moins dramatique. « Quel club de jazz? On est à New-York chaton, c'est pas ça qui manque! » Elle rit légèrement en roulant des yeux, puis ajoute. « C'est important pour ton histoire que je saches de toute façon? Tu faisais la fête et tu avais bu, je vois l'idée. Raconte la suite! » Jess fait tourner sa main plusieurs fois dans l'air, dans un geste de visible impatience. Evidemment, ce n'est pas ainsi qu'elle agirait pour obtenir une histoire juteuse pendant une interview, mais la journaliste n'est pas en mode boulot actuellement. Elle est en mode, je vais finir par étriper mon cousin chéri s'il n'en vient pas au vif du sujet. Sans exagération aucune, bien entendu.

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Lun 13 Juin - 21:15
♛   A Thousand Miles
Faire ma route en centre ville rouler vite. Les visages passent et je suis attaché à ma maison. Je regarde fixement en avant, juste en faisant mon chemin. A travers la foule et j'ai besoin de toi.
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 Tu tiras la langue à ta cousine quand cette dernière te demanda de lui donner quelques doubles quand tu aurais fais changer tes serrures. Elle avait raison et il fallait encore que tu te souviennes en partant d’ici de ce que tu devais faire. Vu l’état que tu étais, t’étais prêt à parié avec n’importe qui, que tu ne ressortirais pas d’ici vivant. Dans son langage, ca voulait dire sobre. Quoique vu le caractère de ta cousine, tu ne risquais pas cher de ta peau. Elle te prendrais sans doute par pitié d’abord et à la rigolade ensuite ou l’inverse. Mais après, t’étais sur que t’allais avoir droit à le sermon du siècle. Il ne fallait pas jouer avec ça et encore moins sur des fausses rumeurs. C’est la journaliste en elle qui le disais. Tu hochas la tête en signe de remerciement quand tu vis ton verre arrivé. Pour surpasser ta honte et affronter ta cousine, t’avais besoin de ce genre de verre. Et sans doute, un seul n’allait pas suffire te connaissant. Pas que tu étais accro à l’alcool, juste tu trouvais un réconfort avec la vodka qui te fit pousser des ailes. Ah non ça c’est la redbull. La vodka, elle te donna du courage. Et des maux de têtes le lendemain. Mais tu chassas ses idées d’un revers de la main imaginaire. T’avais besoin d’un verre.

Le verre entre les doigts, tu le fis glisser dans ta bouche. Tu te surpris de n’avoir pas fait de cul sec vu le dosage massif que t’avais mis Jess. Heureusement, qu’elle n’était pas barmaid sinon les bars auraient coulé vu ses dosages et auraient fait des clients super ravis. Elle devrait peut être changé de carrière. L’image d’une Jess en barmaid arriva dans ton esprit et un sourire s’installa sur tes lèvres.   « T’as toujours l’option barmaid si jamais ton boulot te saoule. » Tu levas la verre pour trinquer avec celui de Jess à ton jeu de mot pourris. Vu le regard qu’elle te lança, elle n’aimait pas que tu tournes autour du pot. La patience d’une Doyle n’était pas illimitée. Encore plus quand ça te concernait. Elle ne s’attendait pas pour rien bien avec ses sœurs. Alors, tu commenças à raconter ton fiasco. Tu levas les yeux au ciel quand tu sentis Jess impatience avec ses mouvements de main en l’air. Si elle savait ce qu’elle avait lui révéler, elle aussi aurait pris tout son temps tellement c’était catastrophique. T’étais pitoyable. Et tu gagnas du temps. Survivre. « Mais si c’est super important que tu saches tous les détails. Toi-même tu le dis quand on mate une série policière sur netflix qu’il faut avoir tous les indices pour mieux comprendre l’affaire. » Tu avalas une autre gorgée avant de vite continuer dans ta lancée. Autant la rassurer tout de suite. « J’ai commis aucun crime hein. Enfin pour le moment car si cette histoire arrive aux oreilles de quelqu’un, c’est mon corps que tu retrouvas dans Central Park. » Les yeux de Lukas te parviens à l’esprit et tu frissonas rien qu’à l’idée qu’il sache ce que tu lui as mis sur le dos. Fuir. T’avais fuis et tu mis dans tes pensées qu’il fallait que tu trouves un autre boulot pour encore plus le fuir.

Mais tu remettras tes recherches à plus tard. Jessica s’impatientais. Alors, tu repris ton histoire. Petit à petit. «  J’ai été au club de Wade. Tu y es déjà allée ? C’est super bien la bas même pour un non amoureux de ce genre de musique. Le propriétaire à de bons gouts. Et vu ton regard, on s’en fou. » Tu tentas un sourire qui disparu devant son air impatient. T’avais besoin de courage. Allez hop, une nouvelle gorgée d’alcool. «  Bon j’en étais ou ? Je rigole Jess.  C’était festif et j’ai retrouvé des gens que je connaissais la bas. Du coup bah tu me connais, je ne refuse jamais non pour un verre. Et un deuxième. Et comme je suis un gentleman, je me devais d’offrir ma tournée hein. Eux aussi l’étaient. Bref, on a bien picolé. Leur Margarita pêche était un délice. T’as déjà gouté ? Je suis sur que tu aimeras. C’est tellement bon et » Tu hochas la tête en te souvenant du goût de ce breuvage. C’était doux. Ca passait crème. Tellement que tu n’avais pas sentis le piège arrivé. . « Traite aussi. Mais c’est important. C’est en prenant mon nouveau verre de ce cocktail que je suis tombé sur lui. Un dieu vivant Jessica ! Tu vois l’acteur que tu trouves super beau bah c’était lui fois milles ! » Bon ok tu exagérais un peu. C’était l’alcool qui l’avait rendu si angélique. Et la réalité t’avais fais comprendre que malgré qu’il était beau comme apollon, c’était Hadès qu’il avait en caractère. Tu frissonnas en te souvenant des pleures d’une de tes collègues qui avaient démissionné suite à une réunion avec lui. T’étais vraiment dans la merde. Tu avalas le reste de ton verre d’un cul sec à cette pensée. Ouai. T’étais dans une merde profonde. Que dieu te vienne en aide.
CODAGE PAR AMATIS

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Mer 6 Juil - 21:02
La boutade d'Aickel n'arrache qu'un faux regard noir à sa cousine, qui aimerait qu'il s'active à lui raconter son histoire plutôt que lui rappeler ses années dans la restauration. Elle a déjà donné, et si barmaid est plus fun que serveuse, la brune préfère largement son boulot actuel. Elle lève toutefois son verre pour trinquer, satisfaite de ne pas avoir perdu la main.

Jessica s'impatiente toutefois et ça ne plaît visiblement pas à son cousin, soucieux de lui peindre un portrait détaillé de la scène. Sa référence aux polars lui arrache un haussement de sourcils inquiet. Va-t-elle devoir vérifier qu'elle a une pelle à la cave? Mais Aickel semble avoir lu dans ses pensées et la rassure bien vite qu'il n'a rien fait d'illégal, a priori. Les sourcils impeccablement épilés de Jess font le chemin inverse et se froncent, l'idée que quelqu'un puisse s'en prendre physiquement à un membre de sa famille ne lui plaît guère. Il n'y a qu'elle qui a le droit de torturer les hommes de son entourage, quand ils le méritent bien sûr. « Tu vas finir par me faire peur Aickel, il s'est passé quoi? »

Mais son adorablement agaçant cousin reprend encore par une tangente et la brune est à deux doigts de se lever et quitter son propre appartement. Ou au moins de répondre sarcastiquement que non, elle ne connait pas ce Wade, car il y a sans doute des centaines de clubs de jazz à New-York et qu'elle n'écrit pas la rubrique culture de son magazine. Mais elle se contente de prendre une longue gorgée de son cocktail et de lancer un regard exaspéré à Aickel, qui finit par doucement comprendre le message. Il digresse encore un peu sur les délicieuses margaritas, un fun fact que Jess aurait pu apprécier, s'il n'avait pas été le quatre vingt quatorzième détail inutile de cette histoire. Elle a l'impression qu'un enfant en bas âge essaie de lui expliquer ce qu'il lui est arrivé à l'école, mais ne cesse de perdre ses mots ou de se laisser distraire.

La jeune femme cède finalement au sarcasme quand le brun commence à lui parler d'un type qui lui plaît. « Hmm, il doit vraiment être exceptionnel, parce que je suis quand même très lesbienne, je me rappelle même pas t'avoir dit que je trouvais un acteur beau. » Il lui arrive d'apprécier la beauté d'un homme, généralement quelqu'un avec une vibe indéniablement queer qui peut lui faire oublier sa masculinité. Taika Waititi peut-être? Ou Brendon Urie? Mais ce n'est pas un acteur. Elle ne pose pas plus de questions cela dit, désespérée d'en venir au fait. « Mais pitié, dis-moi que ça va avoir un rapport avec ton histoire? T'as couché avec et t'as des chlamydias? Il t'a volé ton portefeuille? » Avec son cousin, tout peut arriver et Jess ne serait pas surprise que ce soit quelque chose d'encore plus absurde. Si elle arrive à avoir le fin mot de l'histoire un jour.

Spoiler:

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