ꕥ âge : l'oxygène de la vie pourrit tes poumons. ils s'écument à chaque inspiration hasardeuse que tu t'efforces de commettre. l'amertume de l'air pur gâche tes poumons depuis vingt ans.  des années se boivent à la paille depuis que la vie te mange. tu ne sais pas d'où t'es sortie, peut-être de la cygogne. le mistral favorisait la période de reproduction des volatiles le 8 février quand la tempête allait arriver. quand le pire s'affrontait avec le visage d'ange du nouveau-né.
ꕥ orientation sexuelle : les courbes masculines qui effritent ta féminité rugueuse. la barbe mal-rasée qui écorchent tes lèvres pulpeuses. une tornade qui vient vagabonder sur ton visage d'ange. la suavité de la gente masculine dompte tes lignes lugubres. tu changes, tu avances d'une case. tu te frottes aux formes volumineuses de la gente féminine. ces poitrines que tu colles par l'étreinte de ton doux corps insensé. tu te préclames bisexuelle. la vie doit être mangéée. alors tu gouttes à tout. aux abdominaux tracés des hommes tatoués. à la poitrine des femmes qui s'efforcent de ressentir les lignes de ton corps.
ꕥ situation : tes ailes sont déployées. tu as pris ton envol. la douceur de l'air qui frole ta peau sèche par l'azur du soleil. la fraîcheur de l'atmosphère qui te réserve à toi seul, ce futur, ce chemin sans personne d'autre. un lit assermenté une place, douteux d'accueillir un autre. assez inutile de se coller à la gente masculine. elle enchaîne les soirées, les fêtes seule, même la vie n'oserait sortir avec elle. mère nature ensanglantée, tomberait de faiblesse, face à cette nevrose incontrolée.
ꕥ occupation : amphithéâtre d'une largeur toujours aussi grandissante, gens dont tu ne connais toujours pas le nom, flemme contre tu ne te bas plus, rêve effacé par cette université. un ans que ton idée idyllique de partir à bali avait deserté ton esprit. tu enfiles les soirées, sur un bâton que tu collectionnes dans ton esprit intérieur aussi calme qu'il en a l'air. derrière ces bâtons, une conscience dévouée à l'écriture. les assonnances maîtrisées, les figures de style domptées, les points d'exclamation refutées, la langue courante que tu dresses n'a plus aucun secret. la littérature devient ton disciple en une mine de crayon bien taillé et un bloc-note bien rempli.
ꕥ quartier : QUEENS
ꕥ qualités : Lucide, Adroite, Réaliste, Observatrice, Rassurante, Décontractée, Simple, Intègre, Enjouée, Généreuse, Positive and more
ꕥ défauts : Moqueuse, Blasée, Bavarde, Magnanime, Naïve, Grande gueule, Colérique, Emotive, Caractérielle, Possessive, Jalouse and more
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : pas encore  



ꕥ un livre : L'Art d'avoir toujours raison par le grand et magnifique Schopenhauer.
ꕥ un film : I am Mother pour la beauté d'une importance maternelle qu'elle n'a jamais eu.
ꕥ une série : Doctor Who, l'étrangité réfutable d'une existence.
ꕥ une chanson : Summertime sadness ~ Queen Lana. Le paroxysme de la nostalgie que tu amplifies par des shots.
ꕥ un animal : un furet pour la douceur d'une velouté de poils qui se baladent dans tes mains.
ꕥ un plat/dessert : un flanc. juste pour la texture flasque que l'on vient à gober.
ꕥ une boisson : vod-kola. un mélange fastidieux qui te monte aux anges.
ꕥ une célébrité : cardi b. un symbole de ce comportement précaire qui lui vaut une reconnaissance.
ꕥ un pouvoir magique : comprendre les hommes. tu as essayé de porter les caleçons de ton ex, râté.