La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

(evil's soft first touches)

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 15:51
gustaf braun
38 years old - warehouseman
FEAT : max riemelt
Taciturne et plutôt discret, Gustaf sort de dix ans de prison. Incriminé pour avoir servi de chauffeur à de nombreux malfrats, braqueurs et gangsters, il n’a pas essayé de nier les faits ni de les détourner. S’étant tourné vers le crime par facilité, cette activité lui a permis d’arrondir les fins de mois et d’aider la troupe d’artistes de rue à laquelle il appartenait à subsister jusqu’à son incarcération. C’est un moins que rien sans diplôme, désormais sous la tutelle d’un agent de probation, il roule sa bosse en tant que manutentionnaire dans toutes les boîtes qui veulent bien d’un ex-convict tel que lui. Défendu de reprendre le volant d’une voiture jusqu’à la fin de sa probation, il se déplace à vélo ou dans les transports en commun. Gustaf, c’est un inadapté, un désaxé. Il essaye, pourtant – de s’intégrer à une société qui a toujours nié l’existence des types comme lui. Ceux qui décrochent et qui abandonnent. On baisse les bras pour lui, mais il s’efforce de les lever encore.
who am I
ꕥ âge : Son sourire se ride d’un peu d’amertume et d’acerbité. Il se désole de l’âge qu’il a, et des trente-huit ans qui s’étirent sur une jeunesse tranquille, une adolescence miséreuse et enfin la solitude d’un adulte piégé au fin fond d’une cellule. Il se gâte et se gâche.
ꕥ nationalité : Il met les points sur les i. Naturalisé américain depuis trois générations consécutives, son grand-père paternel a malgré tout choisi dans un élan de patriotisme déplacé de conserver l’orthographe exact de son nom de famille. Braun ne devient pas Brown, bien que Gustaf se détermine à déformer la prononciation de son patronyme sur une inflexion hostile.
ꕥ origines : Ses origines se dévoilent sur son prénom, mais son apparence aussi. C’est un cliché qu’il incarne de la pointe de ses mèches blondes jusqu’à l’angle large de sa mâchoire. Gus est allemand. Berlin et Düsseldorf dansent à l’unisson dans ses veines alors qu’il n’a pourtant jamais mis les pieds ni dans l’un ni dans l’autre.
ꕥ orientation : Hétérosexuel, se décrit-il sur le ton de l’évidence. Il rentre dans la norme pour ne pas faire de vagues. Il ne sait pas, Gus. Il n’a jamais su quel label se coller dessus. Il ne sait pas, Gus. S’il a envie d’être catégorisé. Il l’a déjà bien trop souvent été.
ꕥ situation : C’est depuis toujours que le célibat l’isole sans le déranger. La prison, un peu plus. Gus, il n’a jamais cherché à distiller un peu de romance dans le cœur de quelqu’un d’autre. Il est bien trop dense, trop maladroit dans les sentiments qu’il exprime – quand il parvient à les laisser s’épancher un peu, Gus ne fait pas d’effort non plus. N’a pas envie, car sa main gauche suffit à apaiser la fièvre d’une palpitation nocturne.
ꕥ occupation : Il porte, porte à s’en user les jambes et le dos. Manutentionnaire, il n’a pas de diplôme et n’a jamais eu la possibilité de se former non plus – Gus, c’est l’un de ceux qu’on oublie et qu’on abandonne dans la rue. Il erre jusqu’aux confins de la l’égalité avant de sombrer dans son opposé ; désormais, il fait ce qu’on lui donne, encore sous le joug d’une mise en liberté surveillée. Son agent de probation serre un peu plus les chaînes de son collier et Gus se détourne de cette envie de stabilité.
ꕥ quartier : En colocation avec un chat qui erre autant que lui. Ils squattent un trou miteux au fin fond du Bronx ; les murs suintent dès qu’il pleut un peu, et un kotatsu est tout ce qui le meuble au milieu.
ꕥ qualités : altruiste, débrouillard, humble, ingénieux.
ꕥ défauts : taciturne, malhonnête, impulsif, bourru.
ꕥ passions : #littérature  C’est la seule compagnie que les matons autorisent. Il a écumé la bibliothèque de la prison de long en large, et de bas en haut ; il a lu tout ce qui lui tombait sous la main, y compris la poésie douteuse et libidineuse que certains détenus anonymes glissaient entre les pages des encyclopédies. ; #voiture Le vrombissement d’un moteur. Le crissement des pneus sur l’asphalte alors qu’il accélère.  Le cuir de ses gants qui s’échauffe contre le volant, et la course poursuite qui démarre. L’adrénaline court dans ses veines mais c’est une décision funeste qui lui coupe la tête. Il n’a, pour l’instant, plus le droit de conduire. ; #mixed-martial-arts Il les admire de loin, ces guerriers piégés dans l’octogone. Et il s’en inspire aussi, lorsqu’il doit brandir les poings. Lorsque se défendre devient une obligation.
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ communautés : Le club de lecture du Queens.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : je craque
craque
craque
si facilement (evil's soft first touches) 2958767705

that's my story / self diagnosis
8 YEARS (1990)
Il rentre seul, déjà. Toujours. Il connaît le chemin de l’école par cœur, Gus, alors à quoi bon déranger sa mère pour qu’elle s’embête à le chercher ? Il n’habite pas vraiment loin non plus, de toute façon. Il ajuste les sangles de son cartable usé pour l’enfiler sur son dos et cette pensée tandis que ses baskets crissent et s’égratignent sur le bitume de la rue. Gus traverse le trottoir d’un pas sautillant, un sourire jovial aux contours innocents peint sur les lèvres. Il est ravi de n’effleurer que les bandes blanches à chaque impulsion de ses pieds. C’est la preuve qu’il a grandi depuis le mois dernier, et qu’il grandira encore – bientôt, espère-t-il, il sera aussi grand que les adultes qui le dévisagent d’un air curieux. Gus les toise, déjà. Toujours. Haut comme trois pommes – comme cinq, les poings sur les hanches et l’air farouche d’un mioche qui refuse de s’écraser face aux autres. Il redresse l’échine, se pince les lèvres et fronce les sourcils en carrant les épaules pour imiter les plus grands. Eux, là, ceux-là qui fument à l’entrée de son immeuble pour mieux empester la cage d’escalier.
Ça sent l’herbe, et le crack aussi. Les murs de l’appartement jaunissent jusqu’au plafond. Il renifle des exhalaisons chimiques. L’eau de javel suinte et persiste dans l’air comme un nuage poudreux de coton avec lequel il n’a pas – encore – le droit de jouer. Il n’en a pas vraiment envie non plus, Gus ; il préfère fermer délicatement la porte d’entrée dans son dos pour mieux filer dans sa chambre sans un mot. Au passage, il repousse une pipe à crack de son chemin avec le bout de sa chaussure. Il sait ce que c’est, car il a entendu sa mère demander à son père à ce qu’il partage sa pipe le temps d’une bouffée anxiogène le temps de planer un peu.
Il rentre seul, déjà. Toujours. Il connaît le chemin de l’école par cœur, Gus, alors à quoi bon déranger sa mère pour qu’elle s’embête à le chercher ? Il n’habite pas vraiment loin non plus, de toute façon. Il ajuste les sangles de son cartable usé pour l’enfiler sur son dos et cette pensée tandis que ses baskets crissent et s’égratignent sur le bitume de la rue. Gus traverse le trottoir d’un pas sautillant, un sourire jovial aux contours innocents peint sur les lèvres. Il est ravi de n’effleurer que les bandes blanches à chaque impulsion de ses pieds. C’est la preuve qu’il a grandi depuis le mois dernier, et qu’il grandira encore – bientôt, espère-t-il, il sera aussi grand que les adultes qui le dévisagent d’un air curieux. Gus les toise, déjà. Toujours. Haut comme trois pommes – comme cinq, les poings sur les hanches et l’air farouche d’un mioche qui refuse de s’écraser face aux autres. Il redresse l’échine, se pince les lèvres et fronce les sourcils en carrant les épaules pour imiter les plus grands. Eux, là, ceux-là qui fument à l’entrée de son immeuble pour mieux empester la cage d’escalier.
Ça sent l’herbe, et le crack aussi. Les murs de l’appartement jaunissent jusqu’au plafond. Il renifle des exhalaisons chimiques. L’eau de javel suinte et persiste dans l’air comme un nuage poudreux de coton avec lequel il n’a pas – encore – le droit de jouer. Il n’en a pas vraiment envie non plus, Gus ; il préfère fermer délicatement la porte d’entrée dans son dos pour mieux filer dans sa chambre sans un mot. Au passage, il repousse une pipe à crack de son chemin avec le bout de sa chaussure. Il sait ce que c’est, car il a entendu sa mère demander à son père à ce qu’il partage sa pipe le temps d’une bouffée anxiogène le temps de planer un peu.
Gustaf oublie ses devoirs, déjà. Toujours. Il préfère se plonger dans les cartons à peine ouverts d’un déménagement qui a pourtant eu lieu deux ans plus tôt. Adieu, la maison en plein milieu de Manhattan et bonjour, l’appartement miteux à la tapisserie d’une autre époque. Éparpillés un peu partout dans la maison, ce sont des trésors qu’il débusque des caisses. Des vieux jouets dont il a oublié l’existence, et des photos de famille aux coins cornés. Les pages des albums débordent, et Gustaf sort celles qui estiment être les plus jolies du lot. Les plus intrigantes. Il y en une, une qu’il admire plus que les autres et qu’il libère de son carcan de plastique. L’image s’imprime sur du papier kraft. Gus compte sur ses doigts une quinzaine d’hommes en blouse blanche ; certains tiennent un calepin, d’autres des figurines miniatures de ce qu’il devine être des fusées. Il retourne la photo, et y lit sur le dos :
Günther Braun (third to the right), 1946,
at White Sands Proving Ground, New Mexico, US.

Et à huit ans seulement,
il se demande s’il s’en sortira aussi bien que son grand-père.
Avant de rejeter résolument l’idée.

18 YEARS (2000)
Clic, clac, tic, tac.
La flamme de son zippo danse contre sa cigarette. Il inspire une bouffée de fumée pour mieux la garder au creux de son larynx. Et l’aiguille de sa montre file, vite. Cinq minutes. C’est le délai que Mr Brown a accordé à une jolie paire de branleurs ; des petites frappes persuadées qu’un Sig Sauer suffit à braquer une banque. Sa langue claque contre son palais alors qu’un filet brumeux se faufile contre les muqueuses en s’échappant de la barrière de ses lèvres. Il aurait aimé les corriger, Gus ; d’un mot, et d’une claque aussi. Il aurait aimé les arrêter, eh, knuckleheads, maybe a shogun’s better for that kind of job pour les pousser dans la bonne direction. La mauvaise. Celle qui lui assure du biff en plus, et la certitude qu’il ne se dissipera pas dans l’angoisse d’une sirène. Gus a beau tendre l’oreille, il n’entend rien et c’est bien ça qui l’inquiète. Il pince les lèvres autour du filtre de sa clope seulement pour la déloger de sa prison humide et la jeter dans un cendrier.
Il attend dans l’expectative qu’une catastrophe se profile.
Le cuir de ses gants trop neufs grincent contre le volant d’une voiture qui l’est tout autant. Neuve pour lui, mais pas en tant que modèle. C’est une Honda Accord de 1992 avec un moteur bien plus rutilant que celui d’origine ; la peinture grise et abîmée dissimule une voiture de compétition. Toutes ses maigres économies y sont passées. Volatilisées, parties en fumée ; en essence, de quoi nourrir l’engin qui ne dit rien pour l’instant. Assoupi, silencieux, discret. La bagnole se fond dans la masse et son chauffeur avec ; Gustaf garde la tête basse, à l’abri de l’œil perçant des caméras. Une casquette dissimule sa tignasse blonde aux mèches désordonnées et les traits anguleux de son visage. Il attend, attend et attend encore. Tic, tac, tic, tac. Les minutes s’égrainent et les secondes cavalent le long du cercle de sa montre à la vitre cassée. Il attend, attend, attend toujours.
Quatre minutes,
trois minutes,
puis deux.
Un coup de feu pétarade. Certains diront un feu d’artifice, sauf qu’il n’y a pas d’écho.
Les bang, bang s’enchaînent jusqu’à sept. Ensuite, c’est le silence.
Et la fuite.
Gustaf ouvre les portières alors que les deux braqueurs, encore cagoulés, déboulent avec un sac de sport plein à craquer. Ils tremblent, ils suent. Ils se décomposent à vue d’œil mais entrent dans la caisse en silence. Seatbelts, persifle Gus entre des dents serrées. Il les entend, rechigner, s’inquiéter, s’alarmer, paniquer, l’insulter, menacer, Cut the shit you cunt and drive! mais Gustaf ne se démonte pas. It’s no request dumbfucks, it’s an order. Seatbelts. N-o-w. Non pas par mesure de sécurité – il conduit assez bien pour s’en passer, mais pour se fondre dans la masse. N’être qu’une voiture de plus parmi un flot continu de bagnoles le long des routes. Disparaître et réapparaître dans un ronronnement mécanique au milieu d’un brouhaha qui lui répond à l’unisson. C’est une mélopée si douce à ses oreilles, et si toxiques contre ses narines. Gus n’a qu’à démarrer pour respirer.
Les cagoules tombent ensuite. Sa casquette aussi.
Ils s’éloignent de la scène du crime aussi tranquillement que des touristes en plein sightseeing.
La carte de New York s’étend sur ses neurones et ses synapses. Il voit la ville d’en haut alors qu’il se remémore chaque rue – ou presque – sur le bout des doigts. Il ne se rappelle pas des noms, seulement de celles où grouillent les flics et celles qu’ils oublient. C’est un quadrillage géant qu’une règle a tracé en passant être efficace alors qu’elle a oublié les back alleys.
Il n’a pas le temps d’entendre les sirènes des flics qu’elles sont déjà trop loin pour les rattraper. Gus respire, respire si bien. Ses poumons s’activent contre un sourire alors qu’il se gare près du hangar désaffecté où ils avaient à l’avance convenu de s’arrêter. Ils respectent leur part du marché, les deux branleurs.
Huit cents, c’est tout ?, dollars tombent sur la banquette arrière.
Il ne marchande pas, Gus. Il n’essaye pas. Il accepte son dû et rentre à la maison.
Il parvient au moins à payer le loyer.

28 YEARS (2010)
tw: violence policière, injures, blague sur le viol.
Ses poignets le lancinent. Une paire de menottes les lui scient dans le dos alors que sa tête percute le capot d’une Chevrolet Impala estampillée du symbole du NYPD. Courtesy, Professionalism and Respect my ass pense-t-il alors qu’on lui écrase la joue contre ce qu’il lui reste de la cigarette qu’il fumait. Quelqu’un lui récite les droits Miranda sans vraiment les entendre – trop dans les vapes, tout ce qu’il perçoit est un flot ininterrompu d’incrédulité. Il inspire, expire et inspire encore pour calmer les battements frénétiques d’un cœur qui s’emballe. Le sien. Ça pulse dans ses tempes au rythme d’un boom, boom inquiétant. Alors Gus obéit en silence. C’est ce qu’ils attendent de lui – que le pantin se désarticule jusqu’à devenir assez malléable pour le forcer à baisser la tête quand on le pousse contre le cuir de la banquette arrière. Sa tête roule contre le dossier du siège. Il dévisage le flic qui s’installe au volant sans se cacher ; l’œil vide et le sourire torve, il renifle son dédain pour mieux le recracher contre la vitre qui les sépare. Ils se ressemblent tous.
Mais celui-là incarne un cliché dont il n’arrive pas à s’empêcher de se moquer. Taille moyenne, trapu et bedonnant. Moustachu, aussi ; à croire qu’ils doivent tous l’être lorsque la quarantaine s’enclenche en même temps qu’une vitesse. Gustaf se redresse en cherchant à apaiser la tension que son corps tout entier fait subir à ses poings liés. Il remarque seulement la naine qui a assisté à son arrestation. Elle dépasse à peine de son siège et l’espace d’une seconde, Gus se demande s’il ne s’agit pas de la fille du flic avant de voir qu’elle porte aussi l’uniforme. Il la balance dans le même panier ; celui des pourris et des bâtards qu’il méprise. Il n’est pas le seul à éructer sa haine. Cette fois-ci, il l’entend. Si bien. Si mal.
See this guy? He’s got shit for brains that’s a given, commence le flic en le désignant à sa jeune collègue – à peine sortie du berceau, devine Gustaf. À peine sortie de l’école. He took ‘em all in in car and look what good it did to him – us! Un ricanement s’ensuit. Jail do wonders to these men, y’know? All you gotta do is wait for a meanie to pop his cherry; he’ll be complacent then. Cette fois-ci, un éclat de rire fend sa gueule et Gus, Gus a des sueurs froides. Ses nerfs se tendent sur une crainte viscérale qu’il essaye de rejeter de toutes ses forces. Il parvient malgré tout à redresser l’échine et s’efforcer d’exhiber un sourire futile.
Aren’t you going to say something? lance-t-il à la jeune femme de l’autre côté de la vitre. Il attend. Anything? Les secondes s’étirent sur une minute, puis deux.
Elle ne dit rien. Alors lui non plus.

38 YEARS (2020)
Il tangue sur place sans pour autant avoir bu.
Dehors, tout est trop grand et trop bruyant. Le train-train quotidien, bien trop calme ; métro, boulot, dodo. Une ritournelle à laquelle il s’habitue un peu mieux que celle qu’il chantonnait en prison. Réveil, bagarre et semaine au mitard. Sauf à la fin. À la fin, Gus s’est assagi – s’est isolé des autres, quitte à ne plus parler qu’aux personnages des romans qu’il lit dans la cour. Non. Qu’il lisait dans la cour. Maintenant, c’est dans sa chambre miteuse – mais si grande, quand il la compare à la chambrée étroite dans laquelle d’autres détenus et lui s’entassaient, qu’il dévore le dernier roman dont la quatrième de couverture a piqué sa curiosité.
Quand il ne bosse pas, bien sûr.
Quand il ne s’esquinte pas le dos à soulever des cartons.
Quand il ne pense pas à ceux qu’il a oublié, jadis.
Et qui le hantent sans savoir s’il est encore en vie.
Un soupir fend ses lèvres alors qu’il se remémore Shinsuke et ses cheveux trop longs qu’ils semaient un peu partout dans l’appartement dès qu’il les brossait. Le sont-ils encore ? Assez longs pour y faire des tresses alambiquées. Il se demande ce qu’il devient, avant de secouer la tête d’un air résigné. Il n’a pas le droit de se poser la question, Gus. Après tout, il n’a rien dit.
Et il regrette, Gus.
D’avoir eu des secrets.
De les briser petit à petit alors qu’il se reconstruit.
Un pas devant l’autre, il se rend jusqu’au bureau de son agent de probation pour pointer. Cette fois-ci, il ne compte pas disparaître, mais essayer de réparer les erreurs passées.


this session is gonna be different
still moevingt-deux ans
fréquence de rp : hors absence, un rp/semaine au minimum. ϟ fréquence de connexion : plusieurs fois par semaine, voire tous les jours ptdr. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 300 et 1000 mots et rarement au-delà. ϟ avatar à réserver : Max Riemelt. ϟ comment avez-vous connu 99 ? via mon premier compte.  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? *uttering darkly* "War.. war never changes."
kane (avatar), vocivus (icon)

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 16:02
love love love love love love love

Rebienvenue à la maison (evil's soft first touches) 2958767705

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 16:10
Le beau Max leelaaaa (evil's soft first touches) 3460843005 Pour un personnage un peu paumé, égaré, cassé, avec une trogne, un passé chargé et un fort vécu : le top du top. cutie Un bien beau personnage qui se profile. Très joliment présenté par une plume toute en douceur et en beauté puppy Je suis d'ores déjà fan plzz

Rebienvenue et bon courage pour la suite de ta rédaction déjà excellemment bien partie (evil's soft first touches) 995762081 (evil's soft first touches) 928930545

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 16:13
Maaaaax (evil's soft first touches) 507729297
Rebienvenue sur le forum et bon courage pour la suite ! I love you

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 16:51
bonjour, la suite s’il vous plaît merci (evil's soft first touches) 2832246198 Arrow seriously tho, j’ai hâte de lire le reste, rebienvenue à la maison (evil's soft first touches) 36146562

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 16:55
Rebienvenue à la maison (evil's soft first touches) 594440419
J'adore ce que j'ai lu du personnage I love you (Je t'ai un peu stalké dans le partie DC car j'ai une presque allemande qui va débarquer bientôt, peut-être aussi)

Bon courage pour la rédaction et amuse-toi bien avec cette nouvelle bouille !

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 17:20
@Shea Cavendish thank u. (evil's soft first touches) 3062935994

@Klemen Višnar

you're too kind (evil's soft first touches) 2832246198
mille mercis
(evil's soft first touches) 2881807329

@Agatha Galbraith merci à toi keur

@Candace Jordan c'est en cours, tqt (evil's soft first touches) 2832246198
c'est entre ma tendance à procrastiner et moi que ça va se jouer mnt (evil's soft first touches) 2153884322

@Helia Solá omg, mais spill the tea!!!
the more the merrier, comme on dit (evil's soft first touches) 3290696072
et merci, merci
(evil's soft first touches) 928930545 (evil's soft first touches) 928930545

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 17:32
Rebienvenue parmi nous ! pompom

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 18:25
gus, there you are leelaaaa
ta plume est du bonbon pour les yeux
(mais tu le sais déjà  (evil's soft first touches) 1380091441 )
rebienvenuuuue frodo (evil's soft first touches) 1217500258

@ Invité

avatar
   
#
Dim 16 Aoû - 21:37
@Noah Mason merci à toi keur

@Brahms Frauenfeld THANK YOU SAM!!!
(evil's soft first touches) 224518895 (evil's soft first touches) 1365349016 (evil's soft first touches) 1217500258

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 0:01
ce choix (evil's soft first touches) 3906856619
rebienvenue chez toi !

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 7:01
le personnage promet tellement like
rebienvenuuuuue chez toi cute

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 7:44
rebiennnnveeenuuuue parmi nous I love you I love you

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 7:54
J'ai hâte d'en lire davantage du perso aussi cute

Rebienvenue sur le forum (evil's soft first touches) 3993874930

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 20:42
rebienvenue à toi I love you

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 22:09
@Priya Kapoor @Adriel Lynd @Alejandro Estrella @Sarah Gingerich @Jaden Summers merci à vous cinq
(evil's soft first touches) 2881807329 (evil's soft first touches) 151223673

@ Invité

avatar
   
#
Lun 17 Aoû - 22:09
Je viens poser mes petites fesses par ici parce que tmtc (evil's soft first touches) 3290696072 love (je stalke ta fiche héhé)

@ Invité

avatar
   
#
Mar 18 Aoû - 10:34
Max (evil's soft first touches) 507729297 (evil's soft first touches) 900075052
Re-bienvenue dans le coin (evil's soft first touches) 1193455550

@ Invité

avatar
   
#
Mar 18 Aoû - 22:13
@Raven Rose

me, shielding you from harm
tmtc
(evil's soft first touches) 2223407614

@Jill Grayson merci bcp à toi keur

@ Invité

avatar
   
#
Mar 18 Aoû - 22:20
TU ES BO COMME UN LAVABO.
REBIENVENUE WIUGFEIUWGEGFW. Love uuuu. (evil's soft first touches) 900075052 excited excited

@ Invité

avatar
   
#
Mer 19 Aoû - 1:03
Rebienvenue. cutie

@ Invité

avatar
   
#
Mer 19 Aoû - 1:28
C'est magnifique (evil's soft first touches) 3906856619 Re-bienvenue officiellement, je réalise que je l'avais pas souhaité encore Arrow Courage pour ce qu'il reste, si elle n'est pas déjà terminée? (evil's soft first touches) 245165265 love

@ Invité

avatar
   
#
Mer 19 Aoû - 1:38
@Gustaf Braun mon piccolo..  (evil's soft first touches) 3500586363 ta fiche bordel.. J'ai tout relu et.. Pfiou. Ca va être si intense et si doux entre Raven et Gustaf. Hâte de commencer
(evil's soft first touches) 509653842

@ Invité

avatar
   
#
Mer 19 Aoû - 12:50
Rebienvenue par ici ! J'adooooore ton personnage ! Puis le MMA c'est ma vie IRL alors je ne peux qu'approuver encore plus (evil's soft first touches) 2832246198 (evil's soft first touches) 176241234

@ Invité

avatar
   
#
Jeu 20 Aoû - 12:58
Un jeune homme qui me rappelle Drive (evil's soft first touches) 928930545 (evil's soft first touches) 928930545 (evil's soft first touches) 3460843005 je te re-valide avec grand plaisir !

@ Contenu sponsorisé

   
#

Poster un nouveau sujetRépondre au sujet

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum