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My poison is your remedy feat. Sirius

@ Invité

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Dim 6 Oct - 18:31
Un sourire s’afficha lorsque je refermai mon livre de comptes avec soulagement. Si on m’avait dit qu’un jour je passerai plus de temps à enrichir un livre plein de calcul plutôt celui qui gardait mes Ombres, je crois que je ne l’aurais pas cru. Mais il s’agissait là d’une étape cruciale au bon fonctionnement du Salon de Thé. Maintenant que tout été parfaitement consigné, c’était la conscience tranquille que je pouvais sortir du bureau où je m’étais enfermée pour rejoindre la salle principale.

Mon regard se posa sur une de mes employées qui préparait la commande d’un client. J’étais contente de ne plus travailler seule, avant que je ne me décide à employer du monde, j’étais obligée de faire mes comptes la nuit, sans parler des cours que je devais préparer pour le lycée en parallèle. Autant dire que je ne dormais plus trop et ça s’était ressenti sur ma productivité. Heureusement, il s’agissait à présent d’un problème réglé, je me sentais revivre.

L’horloge au dessus de la cheminée qui chauffait la salle en hiver, m’indiqua que l’heure du ‘rush’ n’avait pas encore sonné. Le Salon de Thé n’était pas un fast food et était rarement plein à craquer, mais le matin nous avions plusieurs habitués qui venaient prendre leur premier café de la journée avant de partir. Comme le soir, après le travail, certain venaient décompresser ici. Et parlant d’habitué, j’en repérai un dans un coin de la salle. C’était agréable de voir qu’il n’était pas encore déçu de la qualité de nos services, au contraire, il me semblait le voir de plus en plus souvent.

Remarquant que je fixai du regard un table en particulier, mon employée m’indiqua qu’il s’agissait de la commande qu’elle venait de finir. Je la remerciai en lui répondit que j’allais prendre la suite. Je fis le tour du comptoir et attrapai le plateau avec une tasse de café fumante qui attendait d’être servi. Je passai devant la chaise où ronronnait Midnight - un gros chat noir aux poils longs, qui faisait rarement autre chose que dormir - slalommai entre les tables en prenant soin de ne rien heurter pour poser le plateau sur la table de Sirius en souriant.

- Bonsoir Sirius, vous avez l’air préoccupé Est-ce qu’un café suffira à alléger votre conscience ?

Je n’osai pas me montrer trop famillière avec mes clients, même ceux qui venaient souvent, de peur qu’ils le prennent mal. Après tout, je ne connaissais pas tout le monde par coeur, il était difficile de déterminer après quelques rencontres si notre interlocuteur préférai se passer des politesses ou non. Peut-être que je pourrais me le permettre avec Sirius. Après tout, nous avions déjà beaucoup discuté auparavant, mais dans le doute, je préférai encore m’en tenir à cela. Cela ne m’empêchait pas de m’inquiéter. Je ne lisais pas dans les pensées, mais son visage affichait des signes de perplexité qu’il était difficile d’ignorer. Et non, pas de sorcellerie là dedans. Juste un bon sens de l’observation. Il s’agissait llà d’un activité que j’appréciais beaucoup, observer et tenter de deviner ce qui pouvait bien se passer dans la tête de ceux qui m’entouraient.

@ Invité

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Mar 15 Oct - 13:30
Sirius était déjà passé le matin même pour récupérer son premier café de la journée. Il l’avait pris à emporter, comme souvent lorsqu’il a des rendez-vous planifiés de bonne heure, ou qu’il doit prendre la relève aux urgences. La plupart du temps, il n’est pas spécialement pressé, car il est du genre à arriver bien plus tôt que prévu quoi qu’il arrive. Son travail est devenu toute sa vie, depuis 6 ans maintenant, une manière pour lui de s’occuper l’esprit et de ne pas avoir à penser aux choses désagréables. Ce n’est pas faute pourtant, que ses parents lui répètent pas assez qu’il devrait se ménager et profiter de sa jeunesse pendant qu’il le peut encore. Mais dans ces moments là, inlassablement les mêmes excuses lui reviennent aux lèvres : il n’est pas prêt, ou bien la mort de Nyla est encore trop présente dans son esprit. Arrivera-t-il un jour à enlever cette culpabilité au fond de lui ? A revivre pleinement ? Rien n’est moins sûr. Mais entre deux permanences, et donc le temps d’une longue pause, ce n’est pas sa propre santé mentale qui le tracasse mais celle d’un patient qu’il a dû faire interner quelques semaines plus tôt, n’arrivant pas à trouver le remède miracle pour le soigner. Les tentatives ont pourtant été nombreuses et plutôt diversifiées. Bien entendu, il est hors de question pour le jeune homme de penser à tester les méthodes qu’il qualifie de barbares, telles que la lobotomie ou la stimulation magnétique transcranienne.

Assis confortablement sur une banquette en attendant sa deuxième commande de la journée, Sirius parcoure le salon de thé du regard, espérant y voir Zoellyne. Il n’a pas osé demander à l’employée si elle était là aujourd’hui. Assez sceptique, traditionnellement, pour tout ce qui touche au surnaturel, pouvoirs, prédictions, et autres choses mystiques, le psychiatre sait tout de même reconnaitre les dons de la jeune femme et surtout de ses décoctions depuis qu’elle l’a aidé à plusieurs reprises. Et forcément, il en vient à se dire qu’elle est peut-être le remède aux maux de M Mcrbight.

« Bonjour. » Dit-il en lui adressant un sourire franc, toujours heureux de voir cette femme dont se dégage une aura rayonnante, alors qu’elle apparait bientôt comme par magie devant lui. « A vrai dire… Est-ce que tu as un peu de temps libre ? J’espérais que tu puisses m’aider. » Son visage n’est pas moins soucieux, mais c’est parce qu’il réfléchit au cas de son patient. Briser le secret médical n’est pas permis et il ne se le permettrait jamais d’ailleurs. Toutefois, il faut savoir mettre un peu les règles de côté lorsqu’il s’agit du bien de quelqu’un. « J’aurais bien besoin d’un autre de tes « miracles » pour un de mes patients qu’un de ces délicieux cafés ne suffira pas à calmer. » Droit dans le vif du sujet, le jeune homme n’est pas du genre à tourner autour du pot. Il fait une moue désolée. « On peut aller discuter dans un endroit plus privé ? » Son sourire s’élargit. Elle n’a pas à avoir peur de lui ou de ses mauvaises intentions car il n’en a aucune.

Spoiler:

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Mer 23 Oct - 14:52
J’avais bien conscience que mon travail était de gérer cet endroit. De m’assurer que chaque client était servi convenablement et que le tout se déroule dans une ambiance calme et sereine. En aucun cas il n’était écrit sur la devanture que j’étais une sorcière qui vendait des remèdes. La plupart des personnes qui passaient ici, avaient eu vent de mes activités magiques, je ne les cachaient à personne, mais le Midnight Cup Room, n’avait en rien la qualité de magasin ésotérique. Si c’était ce que certaines personnes venaient chercher ici, je pourrais avec plaisir, les orienter vers ce qu’ils recherchaient.

Cependant, cela ne m’empêchait pas de prodiguer quelques conseils à l’occasion. Il faut dire qu’on finit par s’attacher aux clients qui reviennent souvent. Puis ce n’était pas dans mes habitudes que d’ignorer une personne broyant du noir à un table de mon salon. Dans le cas de Sirius, je savais que ce n’était pas un cas de conscience qui le concernait directement. Il m’avait déjà demandé de l’aide par le passé pour certains de ces clients. Ce n’était certes, pas très professionnel, cependant, les résultats semblaient avoir portés leurs fruits. Et c’était le plus important, n’est-ce pas ?

Avant d’accepter l’invitation de Sirius, je cherchais du regard mon employée. Je lui signalais d’un signe de la tête que j’allais en avoir pour un instant. Cela ne semblait pas la déranger. En même temps, le salon de thé était loin d’être plein, c’était totalement gérable à un.

- Bien sûr, avec plaisir.

J’accompagnai ma phrase d’un sourire alors que Sirius poursuivait sur le sujet. Le mot “miracle” me fit rire doucement. J’attendis qu’il aie fini pour le relever.

- Voyons, ce ne sont pas des “miracle” mais de la magie. Beaucoup le conteste, mais de mon avis, il s’agit d’une science aussi légitime que les autres.

Ne parlait-on pas de sciences occultes justement ? Quoiqu’il est vrai qu’il serait sûrement plus juste de lier ma magie à une forme de religion et donc parler de miracle. Parce qu’il s’agissait à coup sûr de spiritualité et il fallait y croire pour que cela fonctionne. Peut-être que dans le fond, toutes mes infusions, tous mes rituels et sortilèges n’étaient que des placebo et que parce que mon esprit était convaincu par leur efficacité que mes intentions se réalisaient. Qui sait. Ce serait un point intéressant à débattre. Cependant, je doutais que Sirius aie le temps pour ça. Son affaire avait vraiment l’air de le préoccuper. Alors je balayais tout ça de mon esprit pour continuer :

- Il n’y a pas grand monde ici et je doute que des oreilles se perdent. Mais si tu n’as pas confiance on peut aller de l’autre côté.

Je lui désignais le comptoir. De l’autre côté de ce dernier se trouvait une porte qui menait aux cuisines puis à mon bureau. Ce dernier était une petite salle qui fermait, un peu en bazars, mais qui pourrait convenir si Sirius avait peur qu’une personne mal avisée ne s’amuse à écouter notre conversation.

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Lun 28 Oct - 12:52
La jeune femme accepte de s’asseoir avec lui et de prendre quelques minutes pour discuter, ce qui enlève un poids dans la poitrine de Sirius, un peu trop tourmenté par toutes ces histoires avec ses patients. Cela aura sa peau un jour. Il est conscient mais ne fait rien pour arranger les choses. Sa propre santé, autant mentale que physique, lui importe peu s’il peut aider d’autres en grand nombre à aller mieux. Qu’est-ce que la vie d’un homme pour en sauver bien d’autres ? Pourtant, les paroles de Lyzianna lui reviennent souvent en tête, comme quoi il ne soigne pas vraiment les gens dans sa discipline, qu’il ne les sauve pas et qu’il peut seulement alléger leur souffrance. C’était une triste vérité, une vérité qui prononcée à haute voix, en avait mis un coup au moral du psychiatre et à sa vision de la vie. C’est peut-être pour cela qu’il est revenu voir Zoellyne d’ailleurs, allez savoir.

« Miracle. Magie. Appelons cela comme tu veux. Le tout est que ça fonctionne. »

Il ne croit qu’en ce qui peut être prouvé et il ne s’en cache pas. Un scientifique qui a consacré sa vie entière aux sciences, à la médecine. Il aurait pu finir chercheur d’ailleurs, s’il n’avait pas souhaité s’orienter vers la psychiatrie, l’analyse des comportements et du cerveau humains.

« J’aurais du mal pour ma part à qualifier cela de science. C’est trop flou, trop méconnu, trop aléatoire. Quoi que tu ais l’air de connaitre tous les secrets ! »

Une potion, on pourrait voir cela comme un médicament, fait avec d’autres ingrédients que ce qu’on trouve dans les laboratoires. Après tout, nos ancêtres soignaient uniquement avec les herbes avec lesquelles ils faisaient des décoctions. N’est-ce pas l’ancêtre de la médecine, des médicaments dont sont dérivés les molécules que l’on donne aujourd’hui sous forme de comprimés ? Sirius réfléchit à mesure qu’il prononce ses paroles mais revient bientôt à la raison, se rappelant pourquoi il est là en premier lieu.

« Non, t’as raison, ça fera l’affaire. »

Il n’avait pas assez réfléchi. Il pourrait blâmer la fatigue mais à quoi bon ? D’instinct, il refait le tour de la pièce du regard. La serveuse semble occupée avec des clients et tous les autres sont en plein dans leurs discussions ou sur leur smartphone. Il parle tout de même sur un ton plus silencieux.

« J’ai un patient particulièrement agité, qui présente des troubles dissociatifs de la personnalité. Dans les bons jours, j’arrive à le raisonner et à discuter avec lui mais dans les mauvais… Il devient dangereux pour lui-même et les autres. Un cas classique me diras-tu… » Une seconde de silence. Il baisse les yeux. « Je me suis attaché à lui, bizarrement. Plus qu’aux autres. Il a quelque chose. Déjà, il est très jeune… J’ai du mal à me dire qu’il risque de passer sa vie entière dans un hôpital psychiatrique… » Sirius, toujours trop humain, trop empathique, trop concerné. « Tu aurais vu son regard lorsqu’on l’a emmené à l’hôpital… » Il avale sa salive difficilement et boit une gorgée de son café pour faire passer le tout et réussir à retrouver une contenance satisfaisante. « Je me suis senti tellement impuissant. » Zoellyne est peut-être une des seules personnes à qui il confie ses états d’âme à propos de ses patients aussi facilement, en dehors de son propre psy qu’il est contraint de voir dans le cadre de son métier. Il ne saurait pas dire pourquoi ou ce qu’elle a en plus. « J’ai essayé tous les traitements auxquels j’ai pu penser pour l’instant, mais il faut absolument quelque chose pour l’apaiser en urgence… »

@ Invité

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Mer 20 Nov - 13:34
Il existait beaucoup de personnes qui ne croyaient pas en la magie. Au début de ma pratique, cela me blessait que certain dénigraient cet art. Mais j’avais fini par me faire une raison. Puis même ceux qui disent que la magie n’existe pas, la pratiquent d’une certaine manière. La magie n’était pas un être, ni une entité, ni une science, c’était une force enfouie en chacun de nous qu’on exploitait de différentes façons. Donc, oui, je me permettais de corriger Sirius sur son vocabulaire, mais j’étais contente qu’il me fasse confiance et constate les résultats.

Il n’y avait donc rien à répondre à cette affirmation, si ce n’était un sourire et un hochement de tête satisfait. Il est peut-être vrai que qualifier la magie de science était un grand mot. Je n’allais pas contredire Sirius sur ce point.

- J’imagine que ça dépend comment on aborde la chose. Et oh non ! Je n’en connais pas tous les secrets, j’en apprend tous les jours et c’est tant mieux !


C’était pour ça que j’aimais tant cette discipline, j’en apprenais toujours plus, il était impossible d’en avoir fait le tour. Mais nous n’étions pas là pour débattre à ce sujet. Je vis Sirius jeter un coup d’oeil aux alentours, méfiant, avant de m’exposer la situation. Je ne sais pas comment il arrivait à gérer des cas pareil tous les jours sans lui-même finir par vriller. J’avais une vraie admiration pour lui et ses compères. Ils passaient leur journée à écouter ceux qui allaient mal et les aidaient à retrouver le chemin de la stabilité mentale. C’était loin d’être une tâche aisée. Pour cette raison, j’étais toujours heureuse de pouvoir aider Sirius et lui soulager un peu le poids de certaines situations.

Je pouvais sentir l’émotion dans la voix de mon interlocuteur. Il était vraiment désespéré et tenait à ce jeune. J’essayais de rester calme, mais il était difficile de ne pas se laisser attendrir par cette histoire et de ne pas laisser l’émotion me submerger.

- J’ai un début d’idée de ce qui pourrait fonctionner. C’est plus délicat quand il s’agit de jeunes en général. Mais pour être sûre de ne pas faire d’erreur, tu peux m’en dire un peu plus sur les troubles dissociatifs de la personnalité ?

J’avais une petite idée à quoi ça correspondait en gros. Après tout, je n’étais pas psychiatre et il n’existait aucun remède qui était clairement étiqueté “contre les troubles dissociatifs de la personnalité”. Sinon ce serait bien trop facile. D’ailleurs, il serait sûrement impossible de soigner définitivement ce pauvre jeune, mais il y avait toujours un moyen de trouver de quoi l’apaiser, de lui donner un début de stabilité qui lui éviterai de se faire enfermé à l’hôpital jusqu’à la fin de ses jours comme le disait Sirius.

- Parce que je pense pouvoir trouver une concotion qui pourrait l’apaiser. Quelque chose à boire régulièrement. Et combiné à la lithothérapie, ça pourrait être une solution efficace. J’ai juste besoin d’être sûre de ce sur quoi on doit se concentrer avant de choisir les plantes et la ou les pierres qui pourraient l’aider.


Après ce serait au jeune d’y croire, et de faire des efforts. Il était difficile de pratiquer la magie pour le bien-être de quelqu’un d’autre. Ce n’était pas impossible. Mais je ne pouvais pas lui conseiller des rituels précis si le patient de Sirius n’était pas un pratiquant de la Wicca. Parce qu’à la moindre erreur, cela pourrait avoir de terrible conséquences.

@ Invité

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Mar 3 Déc - 19:23
Sirius se sent chanceux que quelqu'un accepte de lui venir en aide, même si rien n'est joué et que le résultat final ne sera peut-être pas concluant. Il n'y a qu'en essayant qu'il saura, et étant à cours de solution, autant imaginer l'inimaginable et recourir aux alternatives moins conventionnelles. Briser le secret professionnel qui le lie à son patient le gène légèrement mais il n'a plus le choix. La suite des détails qu'il va donner entre encore plus dans l'intimité du jeune mais peut-il faire autrement ?

« C'est comme s'il avait deux êtres dans sa tête, qui se partagent le contrôle du corps, l'un après l'autre. Il est en guerre intérieure avec lui-même, même s'il est difficile de savoir exactement ce qui se trame là-dedans. »

Toutes les analyses, toutes les études, rien ne peut prouver quoi que ce soit sur cette maladie. Il n'y a que les témoignages des patients, quand ils veulent bien se montrer conciliants. Là, en l’occurrence, l'une des deux personnalités l'est plus que l'autre, alors suivant qui Sirius rencontre lors de leurs séances, il peut avancer ou non avec le jeune homme.

« Chaque être est vraiment à part entière. Ils ne sont pas capables de s'entrecroiser et les souvenirs de l'un ne sont pas ceux de l'autre. Un comme comme si on en déconnectait un complètement lorsque l'autre est là, tu vois ? »

Les gens assimilent bien trop souvent ces troubles à de la schizophrénie quand il n'en est rien. Le manque de connaissance, tout simplement. Le psychiatre a d'ailleurs plus d'une fois levé les yeux au ciel lorsqu'un proche d'un malade parlait de la première maladie en lieu et place de la deuxième.

« L'autre souci, c'est qu'il est agressif. Les deux personnalités le sont. Il est un danger pour lui-même et pour les autres, ce qui complique toute thérapie... »

Sirius grimace. Il se revoit encore deux séances en arrière, à encercler le gamin avec ses bras. Heureusement que le brun a de la force et un sang froid à presque toute épreuve.

« Ça t'aide à y voir plus clair ? »

Il hasarde, espérant qu'elle puisse lui concocter quelque chose, et qu'il ne demande pas l'insurmontable. L'espoir est la seule chose qui le tient encore dans cette affaire.

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