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Hey Brother, there's an endless road to re-discover ✘ Wesley

Invité
10 r ; 818 v.
Dim 19 Sep - 1:02
HEY BROTHER,
THERE'S AN ENDLESS ROAD TO RE-DISCOVER
Feat. ANDY NIGHTINGALE & WESLEY TAKAGI



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Voir le visage de Wes me fait autant plaisir qu'il me stresse, parce que je sais pourquoi je suis venu le voir, je sais ce que j'ai à lui dire et je sais à quel point en parler va rendre les choses réelles. J'ai envie de crever, là, sur son pas de porte, je suis si fatiguée de cette nouvelle que j'ai l'impression qu'à chaque pas que je fais j'ai cent ans. Achevez-moi, enterrez-moi. Elle est morte de vieillesse…mais jeune. Voilà c'est parfait ça comme épitaphe, à 28 ans on est encore jeune non ? Enfin je pense qu'aujourd'hui autant que je vive longtemps encore, parce que comme j'ai raté l'adhésion dans le club des 27 autant continuer un bout de route encore. Le sourire de Wes me fait du bien, et lorsqu'il me laisse passer en m'invitant à entrer, je n'hésite pas un instant avant de faire un pas dans l'appartement et apprécie le fond sonore qui parvient à mes oreilles, sans faire de commentaires, ce qui pour moi est plutôt inhabituel. Quand on me connait on sait que peut importe la musique, peu importe l'endroit, je suis celle qui fait toujours un commentaire quel qu'il soit, à propos de l'artiste, de la composition du morceau, d'une anecdote ou autre potin que j'aurais en stock. Mais là je me contente de le suivre lorsqu'il prend la direction de la cuisine. Tirant une chaise je m'installe à la table en hochant la tête lorsqu'il attend ma confirmation pour le café. "Je prendrais bien quelque chose de plus fort, mais c'est encore un peu tôt je pense …" Avec ce genre de phrase, je sais très bien ce que je fais, je me lance, comme pour être certaine de ne pas pouvoir reculer, qu'il posera des questions si j'élude le sujet, là, on est au sommet du gouffre.

Alors que le café se prépare, je l'observe alors qu'il s'accoude sur le plan de travail et me fixe. Sa manière de s'adresser à moi, ce petit surnom, je sais pas si j'arriverai à dire tout ce que j'ai sur le cœur, mais je sais que c'est à lui que j'ai besoin d'en parler, parce que malgré toutes les crasses que j'ai pu lui faire dans la vie, Wes est l'une des personnes les plus importante dans ma vie, un des piliers stables sur lesquelles je peux m'amarrer quand la mer est trop agitée. Machinalement j'attrape le sachet de viennoiseries et y plonge la main pour en sortir un pain au chocolat dans lequel je mords rapidement. Comme pour me donner une excuse pour ne pas répondre du tac au tac. Après avoir avalé la première bouchée, je le regarde quelques secondes avant de répondre. "Oui y a aucun souci avec la boutique, d'ailleurs …" je pointe du doigts la source de la musique que l'on entend "…j'ai reçu deux ou trois pépites qui pourraient te plaire, j'ai pas pensé à les prendre avec moi par contre !"

Mordant à nouveau dans la pâtisserie, une première, puis une seconde fois, je redoute le moment mais après tout je suis venue pour ça, il faut que je le fasse, que je parle c'est bien ce qu'on m'a conseillé de faire. Il faut que je me lance, mais une fois de plus je botte en touche lorsqu'il est sur le point de nous servir les tasses de café. Une fois de plus je gagne du temps, comme si repousser de quelques secondes ce que j'avais à dire allait tout changer, tu parles, ça ne changera rien, c'est bien ça le problème, c'est que ce qui m'est tombé dessus est un fait qui ne changera pas. Je me redresse et, mon pain au chocolat dans une main, le sachet contenant le reste dans l'autre, je lui souris. "J'ai une idée ! Et si … on changeait de place !" Je n'attends pas sa réponse et fait volteface pour me diriger vers le canapé du séjour sans même lui demander son avis. Posant mes victuailles sur la table basse, je retire mes chaussures et m'installe sur le canapé en regardant Wes me rejoindre. En voyant son visage je sais que je ne peux plus fuir. "Ok, je sais, je suis pas au mieux, c'est pour ça que je voulais passer te voir, j'avais besoin de parler à quelqu'un. Pas à quelqu'un juste comme ça, mais à quelqu'un qui compte pour moi." Je baisse un peu le visage, comme une gamine qui a fait une bêtise et qui attend de savoir si elle va se faire gronder ou non.

⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝ ⸝

PIVETTE


{@=744}Wesley Takagi{/@}

citations : :

(ilias) real kings fix each others crowns

Invité
25 r ; 946 v.
Mar 25 Aoû - 2:22
ilias diamandis
25 ans - majordome
FEAT : andrew georgiades
Fils unique né à New-York d'un orfèvre-bijoutier-joaillier réputé et d'une styliste éméritée, Ilias est destiné depuis son plus jeune âge à chérir les apparences et les impressions laissées. Ambitieux, il empiète rapidement sur ses parents, plus spécifiquement sur sa mère avec qui il mène une relation conflictuelle depuis qu'ils partagent une même volonté : celle de régner sur le monde de la mode et toutes ses contrées. Désir que ses deux géniteurs réfutent, persuadés que sa véritable place est d'être la muse de la maison de haute-couture qu'ils ont eux-même fondés. Catégorique sur ses aspirations, Ilias est finalement écarté, voué à vivre par ses propres moyens sans l'aide d'un quelconque membre de sa lignée. C'est ainsi qu'il devient le majordome d'une famille voisine qu'il n'a pourtant jamais apprécié. Cependant, même isolé, Ilias reste un diamant : Nulle pression ne peut l'abîmer, notamment en surface tant il s'applique à tout contrôler. Il compte continuer de briller, quitte à laisser sa propre part d'ombre s'amplifier.
who am I
ꕥ âge : (25 ans) Le temps comme un amant marque sa peau, dessine et divague sur son corps à fleur de croc. Sa beauté en bourgeons n'attend que d'éclore mais sa pensée, elle, ne cesse de se noyer dans l'idée qu'un jour, lui aussi va se faner. Songer au jour où ses cheveux vont se teinter des nuances de l'hiver lui donne des sueurs glacées, lui qui croit que la beauté comme le soleil n'ont que quelques heures de gloire avant de s'estomper.
ꕥ nationalité : (américain) Information sans influence sur son identité, un vulgaire tatouage gravé sur de maigres feuilles de papier. Il ne se sent pour rien au monde américain tant les noms issus de ses pays sont moqués. Il l'affirme lorsque le monde parfois trop curieux se met à le questionner, il n'en a ni la carne, ni la mélopée. Il n'est qu'un invité parmi d'autres qui n'ont eu la chance d'être considérés mais retourner là d'où il vient n'a de sens quand de multiples pays façonnent qui il est.
ꕥ ethnie/origines : (grec) (chypriote) (britannique) Une porcelaine de bronze mariée à des valeurs en acier. Il est le fruit d'un arbre oublié, la descendance d'êtres qui ne sont jamais représentés si ce n'est dans de médiocres films qu'il ne préfère pas visionner. Il est fier de l'évoquer, de cracher son nom dans l'assiette des affamés, de le maudire finalement quand les dos sont tournés. Il aime croire que les étoiles le défient, jalouses à l'idée que lui aussi puisse briller. Il refuse de capituler, si les cartes en ses mains ne sont pas bonnes, il se sait capable d'un coup de maître pour voir les constellations s'échouer. Il est un diamant, nul effort à son encontre ne peut l'user, nulle pression ne peut espérer l'abîmer. Il est une pierre précieuse qui ne cesse de briller et dont l'éclat s'accroît à chaque tentative qui vise l'optique de la voir se briser.
ꕥ orientation : (homosexuel) (panromantique) Les papillons qui envahissent son bas-ventre ne savent distinguer, il ne suffit que d'un corps pour faire pression sur l'hémorragie de son cœur mais ses draps n'enveloppent pas n'importe quel type d'invité. Il aime l'humain mais c'est l'homme qui l'attire comme un aimant, avec lequel il ressent une polarité. Parfois, lui-même ne sait plus réellement les limites de sa sexualité, il aime croire que rien en lui n'est fixé, que sa préférence certaine n'est qu'un hématome sur son esprit prêt à se volatiliser mais quand bien même il ne veut l'admettre : la chair qui parfume sa literie a un genre attitré.
ꕥ situation : (célibataire) Il s'aime si fort que se sertir à autrui est devenu alambiqué. Trop précieux pour être mérité, trop inaccessible pour être possédé. Il est rude, son affection est brute et si l'amour coule à ses joues lorsque la situation se révèle compliquée, jamais il ne s'extrade de sa lippe tendue plus que de raison pour ne rien laisser passer. Parfois il succombe, laisse des paumes usées l'analyser, devenir pinceaux et le dessiner, mais sa toile aussi douce que le velours préfère l'innocence aux mauvais détours. De ses expériences, il ne retient que la certitude d'être un bijou qui n'est peut-être pas fait pour être porté, une bague trop serrée sur une phalange qui ne demande qu'à être libérée. Il est une gemme qu'aucun collectionneur n'arrive à s'accaparer.
ꕥ occupation : (majordome) Il est l'as qui se jette à la table avec un sourire esquissé, il est le six du dé qui pointe vers le ciel lorsque tout semble pourtant déjà joué. Il est l'inconnu de l'équation qui vient tout bouleverser. Il est la solution, sa propre solution aussi, lui qui joue quand le destin dit non, peut-être trop déterminé. Seul enfer qu'il se sait apte à endurer, unique échappatoire d'une cage dans laquelle il est né. Il n'a rien lâché, pas même un gramme de ses espérances d'être à son tour un styliste réputé, le renouveau d'un empire amputé. Pour l'heure, il est la pièce qui règne sur l'échiquier, qui sait quel mouvement entreprendre pour terrasser. Il est un tout qui se sustente du moindre rien pour ne jamais sombrer.
ꕥ quartier : (manhattan) (downtown) Depuis la première contraction de ses poumons, ce secteur de New-York est son berceau, le seul district où il peut laisser ses paupières se péricliter sans ressentir à sa poitrine l'oppression du danger. Sa zone de confort, son oxygène, des veines et artères qu'il alimente yeux fermés, capable de tracer à l'aveugle son chemin sans ne jamais s'écraser. Il ne s'imagine nul part ailleurs, ou alors loin d'ici, trop loin, dans des horizons que ses prunelles n'ont eu la chance de caresser. Il envisage parfois de s'en aller, de tout lâcher, mais son ambition nocive lui susurre sans arrêt de rester.
ꕥ qualités : (ambitieux) (charismatique) (joueur) Rien ne l'arrête, pas même une défaite préméditée. Nulle chute n'est fatalité pour cet homme-chat qui ne compte que sur ses propres pattes pour ne jamais tomber. Pour lui, tout n'est qu'un jeu sur lequel parier. Les limites ne sont que des traits de crayon qu'il s'amuse à gommer, puis qu'il érige à son image pour défier ce monde corrompu et brésillé. Il sacrifie comme il change les derniers sous-vêtements qu'il a porté, il est de ceux prêts à tout pour gagner, qui envoient valser le sort au bénéfice d'un résultat escompté.  
ꕥ défauts : (calculateur) (manipulateur) (opportuniste) Les détonations de sa langue de plomb font désastre dans le royaume de l'honnêteté, ses mots comme des balles perdues dégomment l'horizon et toutes ses vérités. Sa parole de mercure incendie l'âme avant de l'aliéner : il a cette étrange capacité, celle de jouer un orchestre avec pour seul instrument sa bouche affûtée. Il ne fait violence qu'à l'imaginaire, préfère détruire l’inabordable plutôt que toutes ces choses que du bout des doigts il peut toucher. Il est une saleté qu'au premier abord personne ne remarque, mais lorsqu'il est repéré tout est déjà trop tard : il est incrusté. Il est une entité du fief de la chance qui n'a en son régime que possibilités et opportunités, pour le reste, il ne trouve jamais le temps de se soucier.
ꕥ passions : (mode) (dessin) (couture) Dans ses veines coule un carmin teinté d'une addiction certaine pour l'apparence et tous ses secrets les plus exilés. Il s'est d'abord sculpté avant de devenir un sculpteur expérimenté, il a porté les tissus sur la moindre parcelle de son corps avant de pouvoir les élaborer. Il dessine tout ce que son esprit sécrète puis s'élance sans état d'âme dans une concoction totalement désorganisée. Ses mains expriment plus que sa voix ne le peut, lui qui par besoin de perfection laisse ses cordes vocales se faire étrangler et censurer.
ꕥ groupe : (just small daddy issues)
ꕥ communautés : (lgbt center) (the lift)
ꕥ scénario/pré-lien : (rich kids)
ꕥ parrain : (oui) J'ai envie de tenter l'expérience pour une fois et ce forum mérite que je savoure tout ce qu'il a à proposer.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Salut les zouzous, sur internet, j'utilise le pseudo Sanjo, il s'agit en réalité de mon prénom remanié puisque je m'appelle Jason. Je suis actuellement âgé de 23 ans et dans la vie, je fais des études de psychologie. En dehors de mes études, je suis un passionné de danse (urban, rock acrobatique, zumba, salsa et bien d'autres) et je passe beaucoup de temps sur les jeux-vidéos. J'aime bien évidemment les séries et les films, j'ai une préférence certaine pour tout ce qui touche à la science-fiction, au fantastique et à l'horreur mais comme tout le monde, j'ai des exceptions. J'aime les soirées, j'aime sortir, j'aime la nuit. Je suis plutôt extraverti de manière générale, j'ai tendance à traiter les personnes que je ne connais pas comme mes propres amis et je suis très bon public : j'adore rire, à tel point que je ris souvent pour pas grand chose.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : divergente
ꕥ un film : the neon demon
ꕥ une série : american horror story
ꕥ une chanson : i follow rivers
ꕥ un animal : chat
ꕥ un plat/dessert : millefeuille
ꕥ une boisson : limonade
ꕥ une célébrité : xavier dolan
ꕥ un pouvoir magique : guérison

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Aucun sujet ne me porte atteinte, je peux lire et jouer sur toutes les thématiques sans le moindre problème.


that's my story
{#}1{/#} Il est né le 27 juillet 1995 à New-York, à l'aube d'une journée azure dont la seule ecchymose est dorée. Naissance compliquée, un bébé dans l'incapacité de se calter de la venaison qui lui sert de prison depuis que son organisme est formé. L'incision l'a libéré, il est le résultat d'une césarienne, première raison pour laquelle sa mère s'est mise à le détester : Il est la cause de cette balafre griffonnée sur un corps de femme qui ne souhaite encore qu'être désiré. {#}2{/#} Il est l'unique fruit issu de la relation entre Yiannis Diamandis, un orfèvre-bijoutier-joaillier réputé, et Eleanor Diamandis née Dillon, une styliste éméritée. Deux entités qui comme le fer se sont croisées pour fonder une maison de haute-couture vénérée pour ses tissus particuliers : des vêtements ornés de diamants et autres joyeusetés. {#}3{/#} Bien que ses parents soient présents, il grandit seul, avec pour modèle ceux qui au cœur de la villa ne sont que des employés. Femmes de ménage et jardiniers sont ses alliés, qu'il s'évertue à remercier par le biais de quelques babioles dont son intérêt s'est détaché. Parfois ses montres fraîchement retirées du papier cadeau qu'il a platement déchiré, d'autres fois, des fragments de diamant tombés des vêtements qu'il n'a jamais porté. {#}4{/#} Il est introverti depuis l'âge où il est en capacité de respirer, non par timidité mais bien parce que c'est ainsi qu'il est éduqué. Il ne sait guère mettre de mots sur ses émotions et sentiments, communiquer est à ses yeux un jeu dangereux où tout le monde pointe un pistolet à ses pieds. Il préfère détourner, dévier et dériver pour atterrir sur des chantiers où il se sait capable de manier l'arme sans s'ulcérer. {#}5{/#} Son signe astrologique est le lion, son ascendant est le scorpion, informations dont il peut aisément se passer. Il ne croit en rien si ce n'est en lui mais il aime se laisser bercer par les balivernes de l'horoscope quand il est lassé. Pour le plaisir de jouer, il lui est arrivé de se fier à la compatibilité des signes pour savoir si il devait continuer ou non de flirter. {#}6{/#} Lorsqu'il est question des couleurs, il n'en a réellement de favorite, cependant, il affectionne de nombreuses nuances de vert et n'arrive pas à déterminer laquelle est sa préférée : peut-être bien celle qui teinte ses billets. {#}7{/#} Homosexuel panromantique, il se persuade depuis son plus jeune âge qu'il est capable de changer son orientation sexuelle, qu'il n'est pas coincé dans cette case qu'il n'a jamais lui-même demandé. Les tentatives sont nombreuses mais il ne cesse d'échouer, une fois le premier bisou passé, il n'a que le goût de repousser. Il veut aimer plus loin que les horizons fixés, arracher cette étiquette qui lui donne la terrible impression d'étouffer, de ne pas être ce reflet de parfait qu'il a toujours imaginé. {#}8{/#} L'ensemble de sa famille se retrouve chaque été à Mykonos pour un événement fictif et traditionnel inventé par sa lignée : le couronnement diamanté, une compétition familiale durant laquelle chaque membre est poussé dans ses derniers retranchements pour faire honneur au culte de la beauté. Un rappel certain à cette citation que la dynastie semble adopter : "Pas de pression, pas de diamants", un véritable mantra dont le clan ne semble pouvoir se détacher. {#}9{/#} Sa locution s'apparente à celle d'une personne politisée, soporifique et dénuée de toutes formes de vulgarité. Il articule si bien qu'il en arrive parfois à impatienter les oreilles attentives qui s'offrent à ses envolées lyriques, qui elles-mêmes subtilisent au temps l'éternité. {#}10{/#} L'apollon cuivré ne vit que de l'image qu'il dégage lorsqu'il est présenté. Ses cheveux ondulés sont figés, coincés en une oeuvre éphémère où les millimètres sont divinités. Sa peau est luisante et satinée, étouffée par un amas de produits et crèmes généreusement étalés. La pulpe de ses lèvres est lustrée. Il est l'artiste tout autant que le marbre sculpté. {#}11{/#} Corps et âme sont musclés, il s'inflige sport et littérature pour toujours être meilleur et adulé. Musculation, course à pied et séances de lecture sont les organes de la routine qu'il s'impose du lever du soleil à son coucher. L'idée d'être surpassé le fait frissonner, sa vie n'est qu'un long combat duquel il ne peut s'échapper. Bien que conscient des sujets pour lesquels il est passionné, il s'efforce de faire preuve d'une immense curiosité. {#}12{/#} L'alcool est un vice qu'il peine à contrôler. Si en surface il ne se contente que d'un ou deux verres vidés, il lui arrive parfois de succomber aux bouteilles une fois les paupières voisines fermées. Le mojito est un cocktail qu'il est incapable de refuser une fois proposé. {#}13{/#} Il ne supporte ni la fumée, ni l'odeur de la nicotine qu'elle soit volatile ou incrustée. L'exposer à ces supplices ne lui offre que migraines et nausées. {#}14{/#} En guerre froide avec ses deux parents qu'il ne sait plus comment aimer, il est passé d'héritier à risée une fois l'âge adulte passé, refusant de suivre les directives données : devenir la muse de la maison de couture et ne jamais faire d'ombre à ceux à qui il doit tout depuis qu'il est né. Lui, comme sa mère, aspire à créer. Sujet de conflit qui le pousse à ce jour à vivre par ses propres moyens au cœur d'une nouvelle famille qu'il n'a pas toujours aimé. {#}15{/#} Majordome de la famille Fadali contre son gré, il s'applique dans l'unique but de prospérer. Logé, il est devenu un membre à part entière de ce foyer bien qu'il porte toujours le nom de ceux qu'il a déserté. {#}16{/#} Il ne possède le permis de conduire que depuis qu'il est officiellement devenu lui-même employé, pour assurer le transport de ses patrons tantôt aimés, tantôt détestés. {#}17{/#} Il ne touche aucun salaire pour toutes ses actions finement gouvernées, son métier n'est qu'un accord signé d'une poignée de mains sanglée. En échange de ses bons services qui sont en réalité relativement limités, il ne fait aucunement frais de ses dépenses dont la charge est finalement redistribuée. Une offre suspicieuse qui couvre des possibilités auxquelles il n'a pas lui-même songé. Un piège dans lequel il est tombé inconscient et qui peut à tout moment se refermer. {#}18{/#} Il opte pour le sucré au dépit du salé lorsque le choix est donné. Il n'est cependant dans aucun excès et n'apprécie ni l'un ni l'autre lorsque sa langue peut reconnaître lequel des deux est parsemé. Son rapport à la nourriture est étriqué, lui qui voit chaque gramme qu'il ingurgite comme une lame prête à le déchirer. {#}19{/#} Il refuse catégoriquement de manger à nouveau du poisson depuis qu'il s'est étouffé avec une arête durant un banquet. Une sorte de traumatisme développé suite au constat d'avoir frôlé la mort en plus d'être moqué. {#}20{/#} Il vit à travers les réseaux sociaux, le moment présent n'est que substance prête à être altérée puis soumise à la vue des intéressés. {#}21{/#} Son fruit préféré est le citron qu'il mange sous toutes ses déclinaisons sans être affamé. {#}22{/#} Son parfum est le n°1 Imperial Majesty de Clive Christian, choix notamment lié à son flacon diamanté et à sa fragrance citronnée. {#}23{/#} Il fait 1 mètre 84, ce qui lui donne une carrure à la fois imposante et raffinée, un mélange de force et de sensibilité. {#}24{/#} Il adore danser et bien qu'il n'ait jamais pris de cours, il se débrouille suffisamment bien pour le laisser penser. Lorsque la musique fredonne, il devient pantin et ne peut plus rien contrôler, jambes, bassin et bras se mettent à osciller sur tous les rythmes, des plus calmes aux plus endiablés. {#}25{/#} Bien que ses croyances soient limitées, il porte toujours sur lui une carte du tarot en guise de porte-bonheur : l'empereur, symbole qui représente le contrôle et qui le réconforte lorsqu'il fait face à des difficultés qui lui donnent l'impression de ne plus rien superviser. {#}26{/#} Il ne supporte aucun retard, ni pour lui, ni pour autrui : il ne jure que par la ponctualité. Il préfère encore être absent que retardé. {#}27{/#} Fêtard, il ne manque jamais l'occasion de participer à une soirée qu'elle soit public ou privée. {#}28{/#} Il dort peu et fait preuve de ce qui est couramment appelé un sommeil léger. Le moindre bruit le réveille et il est strictement incapable de retourner dans les bras de Morphée. {#}29{/#} Il évite de consommer les aliments et boissons aux effluves corsées, que ce soit le fromage en passant par les oignons et le café, la mauvaise haleine n'est pas un fait qu'il veut s'attribuer. {#}30{/#} Il ne porte que des vêtements de créateur et des fringues qu'il a lui-même réalisé. Sa peau est vouée à la caresse de tissus de qualité. {#}31{/#} Son plus grand rêve est de devenir à son tour un styliste de renommée.



this session is gonna be different
sanjo/jason ꕥ 23 ans
fréquence de rp : un ou plus par semaine ϟ fréquence de connexion : tous les jours sauf exception ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300 à 700 mots en fonction du sujet et de l'inspiration, mais je favorise les réponses courtes ϟ avatar à réserver : andrew georgiades ϟ de quelle couleur sont les petits pois : la couleur préférée d'ilias ϟ comment avez-vous connu 99 ? feu bazzart ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je vous aime déjà
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Entretien #3 Ariadne Pickford

Invité
8 r ; 354 v.
dans rps
Lun 24 Aoû - 19:12


Entretien {#}3{/#}
feat {@=360}Ariadne Pickford{/@}

Isaie aimait vraiment discuter avec Ariadne, même sous couvert d’une situation quelque peu complexe. Son franc parlé, sa façon de voir les choses sans pour autant se mettre à part… C’était une jeune officière prometteuse en plus d’être une personne qui lui semblait fiable. Notant rapidement ses derniers mots sur le psychologue et les avis de certains et certaines sur la question, Isaie ne pu qu’hocher de la tête. Lui avait eu beaucoup de mal à accepter de voir quelqu’un, à son arrivée aux États-Unis. Il avait fallu que son père l’amène de force au cabinet pour qu’il accepte d’entamer une thérapie. Maintenant, il remerciait chaque jour son paternel de l'avoir trainé là-bas. Il ne s'en serait pas sorti sans l'aide d'un professionnel, aurait sombré rapidement dans ses cauchemars, sa peur et son sentiment de défaite.

- Oui, ne vous inquiétez pas. Je ne suis pas là pour l’écraser, juste pour améliorer les choses et faire que la police soit safe, pour tout le monde. merci et bonne journée à vous Ariadne.

Les victimes des insultes de McFayden, le sergent lui-même, ses collègues et tout ceux et celles qui passaient les portes du NYPD en confiance.


Spoiler:



Entretien #3 Ariadne Pickford

Invité
8 r ; 354 v.
dans rps
Sam 8 Aoû - 9:25


Entretien {#}3{/#}
feat {@=360}Ariadne Pickford{/@}

Isaie n’eut aucun de mal à croire l’officière en ce qui concernait sa mère. Lui aussi avait déjà eu des instants similaires avec la sienne, quand il était encore très jeune mais qu’elle lui rappelait qu’il n’était pas indestructible. Ça remontait à loin, à une autre vie mais y penser lui tira un sourire. Revenant à la réalité, le commissaire nota quelques éléments des explications d’Ariadne, hochant de la tête en la voyant si assurée dans ses mots : elle avait l’air de s’y plaire sincèrement dans le Bronx, même si on l’y avait envoyé sur une mauvaise raison.

- D’accord, si ça vous convient, je suis rassuré. Si vous y rencontrez quelques soucis, n'hésitez pas à me faire passer l'information mais je note que vous avez l'air de vous y plaire et qu'un changement de quartier trop pressé ne serait peut-être pas une très bonne idée.

Pour le moment en tout cas, ça serait dommage de briser le plaisir d’un tout nouvel agent de police en lui ôtant un secteur qu’elle appréciait. Finissant d’écrire, Isaie posa son stylo et relever les yeux.

- Je pense avoir assez d’informations pour me permettre de progresser dans l’affaire. Pour l’idée du psychologue, j’en ai parlé avec un de vos collègues et je me suis rendu compte que beaucoup d’agents ne voyait pas les entretiens psychologiques mensuel de la bonne façon. On va essayer de voir pour arranger tout ça et que ça serve réellement. Que ça ne soit pas vu comme le rendez-vous emmerdant du mois si je puis m’exprimer ainsi.

Que les agents du corps de police comprennent l’utilité d’avoir une soupape pour parler de tout et de rien, et surtout des émotions parfois violentes que leur faisaient ressentir leur travail. Même quand on pensait ne rien avoir à dire, il y avait toujours quelque chose à raconter, encore plus quand on était flic.

- Allez ! Je vous libère, sauf si vous avez quelque chose d’autre à ajouter Officière Pickford ?


Entretien #3 Ariadne Pickford

Invité
8 r ; 354 v.
dans rps
Lun 29 Juin - 8:00


Entretien {#}3{/#}
feat {@=360}Ariadne Pickford{/@}


Il avait déjà un crayon en main quand l’officier Pickford prit la parole. Elle avait des choses à dire, ça se sentait dans son ton et sa façon de réagir. À peine Ariadne eut évoqué son transfert dans le Bronx  car « plus facile au vu de ses origines », Isaie tiqua intérieurement mais n’en montra rien. Il avait vécu le même transfert qu’elle lors de ses premières années et ne l’avait clairement pas aussi bien pris que la jeune femme. Revenue sur le sujet Mcfayden, le commissaire eut du mal à ne pas étouffer un rire en entendant l'insulte proférée. Il ne devait pas réagir, ça n'était pas son rôle mais il n'en pensait pas moins ce qui rendait la situation... Amusante et rassurante. Mais il préféra ne pas révéler l'excès de zèle de l'officière.

- Nous sommes bien d’accord, il s’agit souvent d’une éducation trop fermée et d’un rapport à la religion extrême mais ça n’excuse pas un tel comportement. Encore moins pour un policier qui a juré de respecter et de protéger les citoyens. Tous les citoyens, qu’importe leur couleur de peau, leurs origines ou leur genre.

Il prit une pause pour prendre une gorgée de café avant d’ajouter sur son carnet « vérifier transfert ».

- Vis à vis de votre transfert dans le Bronx, c’est quelque chose qu’on vous à fait savoir dans ces termes ? Que ce serait plus simple pour vous ?  Est-ce que c’est un district qui vous convient ou vous avez senti une sorte… d’obligation à vous y rendre ? Hors le fait que les lieux de service lors des premières années ne sont pas au choix de l’officier mais le Queens ou Brooklyn auraient pu vous êtes aussi proposés. Vous vous souvenez du nom de votre supérieur à cette époque ?

Ça ne pouvait être rien, qu’une habitude un peu stupide, un mauvais classement de Pickford dans ses derniers examens ou une obligation pour question de parité et de nombre d'officiers sur place. Mais Isaie ne pouvait s’empêcher de vouloir fouiller plus loin que ce qu’on lui avait autoriser. Il voulait comprendre et faire au mieux pour les prochaines recrues. Et si empêcher que les noirs américains soient envoyés systématiquement dans les quartiers les plus pauvres sans que jamais on leur propose d’autres alternatives, ça serait déjà un pas en avant.

Spoiler:


Entretien #3 Ariadne Pickford

Invité
8 r ; 354 v.
dans rps
Dim 28 Juin - 10:26


Entretien {#}3{/#}
feat {@=360}Ariadne Pickford{/@}

Le nom de la jeune Ariadne Pickford ne lui était pas inconnu : elle faisait partie de ceux et celles qui avaient osé élever un peu la voix contre Mcfayden. Mais sans de grandes réussites. La plupart des plaintes avaient été soit mises à la poubelle à peine avaient-elles été déposées soit passées sous silence. Isaie ne savait pas ce qui était le pire.
Lui adressant un large sourire en voyant son thermos, le commissaire se nota d'apporter le sien la prochaine fois ! C'était bien plus simple que de se balader avec sa tasse et d'en renverser la moitié au sol à chaque pas de travers.

- Ravi aussi de mettre un visage sur un nom ! On m’a pas mal parlé de vous, en bien majoritairement et ça me rend fier de voir que les nouvelles recrues sont attentif aux règles et au respect des autres.

De quoi bien lui faire passer le message qu'il était en total accord avec la plainte qu'elle avait déposé malgré un sans-suite.

- J’aimerai discuter avec vous sur la plainte déposée contre le Sergent Mcfayden du District de Brooklyn. J’ai retrouvé… une autre plainte de votre part contre lui. La plainte a été classé sans suite mais je pense qu’il y a dû avoir une erreur de suivi quand je lis son contenu. Le sergent a-t-il eu encore des propos insultants envers vous suite à ça ? Ou peut-être n’avez-vous plus jamais été en contact avec lui ?

Une pause de quelques secondes avant de reprendre, d’un ton plus personnel.

- Je peux imaginer que ça n’est pas simple mais sachez que cette fois-ci, il n’y aura pas d’erreur ou d’oubli de plaintes. Et j’ai besoin de toutes les informations que je peux trouver autour du sergent McFayden et de son comportement envers certains agents de la maison pour qu’il n’y aucune faille dans le dossier que je monte.


Entretien #3 Ariadne Pickford

Invité
8 r ; 354 v.
dans rps
Lun 22 Juin - 8:46


Entretien {#}3{/#}
feat {@=360}Ariadne Pickford{/@}

Ça faisait parti du job quand il l’a accepté et c’est surement une des raisons pour laquelle Isaie a dit oui. Pouvoir enquêter dans ses propres unités, comprendre pourquoi les faits du Miranda Heigh se sont déroulés ainsi et savoir si oui ou non, les forces du NYPD sont réellement inclusives. Comprendre aussi cette histoire de plainte déposée contre un des membres du corps de police, le sergent McFayden. Insultes racistes et usage de la violence pour interpellation. Isaie pensait sincèrement, qu’en 2020, c’était fini. Ça l’agace déjà de devoir penser le contraire et il sait pertinemment que certaines personnes n’oseront pas dire ce qu’ils ont à dire devant lui.  Il faut être logique, qui aurait des propres racistes envers le commissaire ? Celui capable de vous mettre à pied ? Alors ceux dont il avait des doutes, il les a mis en entretien avec son second. Un homme blanc, cisgenre, hétéro  et surtout, ici depuis longtemps et apprécié pour garder des secrets. Isaie le sait de son côté et si un mot glisse lors d’un de ses entretiens, il le saura. Plus qu’à espérer que tout se passera bien et qu’il ne s’agit là que d’une personne en particulier. Étrangement Isaie n’y croit pas.
---
Il est 8h quand le premier entretien débute. Isaie est déjà assis dans un fauteuil, les lunettes sur le nez, un café en main et quelques feuilles sur le bureau. Il a la fois hâte que ça se termine et hâte que ça commence. Il les a entendu, les rumeurs de certains comportements dans son service et il n'acceptera pas que ça continuera plus longtemps. La porte s'ouvre finalement.

- Officière Pickford, entrez je vous en prie ! Vous voulez un café ?

Le ton est sympathique, l'homme souriant et avenant. Il veut que tout se déroule parfaitement bien que le début de carrière d'Ariadne prouve qu'il n'a pas à s'inquiéter.

[mention]Explications[/mention] a écrit:Suite à une plainte déposée contre le sergent Henry McFayden du district de brooklyn pour insultes racistes et usage de la violence sans aucun besoin lors d'une interpellation contre un homme noir, Isaie Mihigo organise des entretiens avec  la plupart des officiers en poste. Pour faciliter, tout se déroula au commissariat du district de Brooklyn. Certains n'y sont pas mais ont pu être témoin de comportement dans leur district.

Il s'agira d'un petit topic par personne sous le mode "questions/réponses". Vous pouvez sans soucis écrire un peu plus mais essayez d'avoir pitié de moi quand je vais devoir jouer un commissaire de police Arrow Je rigole, le but est d'avoir un échange le plus naturel possible et d'avancer "assez" vite pour ensuite embrayer sur un topic commun de debrief ! Votre 1er post sera sans question vu que c'est l'introduction  I love you  
Il y a 7 entretiens en cours, vous aurez tous les mêmes questions mais pas dans le même ordre et bien sûr, vos réponses changeront les réactions de mon personnage  Tag 3 sur I've got 99 problems 1380091441 Si vous avez des questions, go dans le flooood des poliiiiciers.


it is a truth universally acknowledged that carbs can fix everything w/ Debbie

13 r ; 525 v.
dans rps
Mar 16 Juin - 22:08
Debbie est épuisée. Les représentations sont toujours usantes et demande autant d'énergie mentale que physique. Mais d'ordinaire, la blonde s'adonne à son petit rituel de démaquillage/détente et prend le métro — ou le Uber ou le taxi, quand elle a la flemme d'affronter la douce odeur d'urine et la compagnie des éternels fêtards — encore sous l'emprise de l'adrénaline. Mais ce soir, elle est véritablement épuisée. Drainée. Elle n'était pas sensée commencer son run en tant que Cosette tout de suite, mais l'actrice principale s'est sévèrement enrhumée et son remplacement commence donc quelques jours plus tôt que prévu. Ce sont des choses qui arrivent, elle y est parfaitement préparée qui plus est. Mais il n'empêche que la fatigue est bien là.

Et la rencontre avec des "fans" des plus grossiers en sortant du théâtre n'a rien arrangé. Deb ne participe que peu au rituel de la stage door, où les spectateurs viennent à la sortie des artistes, espérant croiser leur comédien·ne préféré·e. Les gens ne viennent pas demander l'autographe de prostituée #3, ils veulent voir Eponine et Cosette. Les choses étaient un peu différentes quand elle jouait dans Heathers, les fans de cette production étant particulièrement enthousiastes. Et opiniâtres. Toujours est-il que depuis janvier, la blonde a pris l'habitude de sortir dans la plus grande tranquillité, agitant parfois la main, prenant un occasionnel selfie avec une adolescente qui ne sait absolument pas qui elle est, mais qui est beaucoup trop heureuse d'être à Broadway pour que Debbie lui dise non. Mais ce soir, quelqu'un a décidé de l'engueuler copieusement car elle n'est pas l'actrice habituelle. Ce sont des choses qui arrivent, souvent des gens qui ne comprennent pas comment fonctionnent le théâtre. « Oh babe, si tu veux voir toujours la même personne jouer le rôle, regarde Amanda Seyfried. Bienvenue aux joies du direct! » Elle glisse un clin d'oeil insolent, passant son chemin avec bravade.

Ce genre d'interaction lui passe largement au dessus, néanmoins, cela pique l'ego. Et elle a faim. Et elle est fatiguée. Aussi, Debbie décide de marcher quelques rues plus loin et de s'échouer dans un diner qui lui servira un burger et un milkshake des plus réconfortants. La comédienne sait que la viande et les produits laitiers ne sont pas les amis d'un régime sain de star de la scène. Mais il y a des jours où il faut savoir se faire plaisir et trouver du réconfort là où on peut. Et ce soir, ce sera dans un petit plat. Elle pousse la porte du restaurant quasi vide, son regard scannant vaguement la pièce. Il n'est pas rare qu'elle tombe sur un collègue ou une connaissance, c'est son quartier après tout.

Un visage familier apparaît, qu'elle ignore d'abord. Impossible. La fatigue lui joue des tours. Elle regarde la silhouette blonde à nouveau. « Joan Forbes?! » s'écrie-t-elle enfin, sûre de son coup. Debbie s'approche de la table de sa vieille amie, bras écartés « Oh mon Dieu, je ne savais pas que tu étais dans le coin, comment tu... » elle s'interrompt, ses yeux attirés par le ventre arrondi de la petite Forbes. « What the fuck? Tu es enceinte? Nooooon? » Chris l'a-t-il déjà informée de ce détail? Non, elle s'en serait souvenu. Cela lui rappelle que ça fait bien trop longtemps qu'elle n'a pas discuté avec l'aîné de la fratrie. Mais là n'est pas le propos. « Han, tu es à New-York combien de temps? Faudra qu'on prenne le temps d... » En temps normal, elle aurait proposé un karaoké, activité favorite des deux blondes. Mais ce n'est sans doute pas approprié à la situation. « de se voir correctement! Oh lala, je m'en remets pas hein! »

C'est le moins de le dire. Voir une de ses plus vieilles connaissance à NYC enceinte est un véritable choc. Oh, elle sait que Joan est le genre de gay à se marier et vivre dans une villa californienne avec un gros chat, puisque c'est le cas. Enfin, elle n'est pas sûre pour le chat. Mais enfanter. C'est une nouvelle étape. Une étape que Deb associe à sa campagne natale, où les filles épousent un ancien footballeur de l'équipe du lycée parce qu'elles sont tombées enceinte. L'idée de choisir la maternité, alors que la vie bat son plein, que New-York existe dans toute sa splendeur. C'est déconcertant. Elle est heureuse pour son amie, évidemment. Evidemment. Mais actuellement, l'état de choc est plus grand et la pousse à babiller. Quoique. Elle babillerait sûrement dans tous les cas.

dans la vie, le prince charmant se tire toujours avec la mauvaise princesse (brook)

Invité
14 r ; 302 v.
Jeu 5 Déc - 18:24
brook "bambi" matthews
ft scarlet leithold
ꕥ résumé :
Brook Matthews. Gamine devenu orpheline à l'âge de quatre ans suite au décès de ses parents dans un accident de voiture. A l'âge de six ans, elle est adopté par la famille Matthews. Si au début Brook était une simple gamine timide et dans son coin, les choses ont eut vite de changer ! A l'âge de seize ans, l'entrée au lycée. Nouvelle vie. Nouveaux amis. Nouveau départ, mais pour elle, c'était un faux départ ! Prise par l'envie de la gloire, elle est monté au rang des abeilles, devenant la reine des couloirs prête à tout pour écarter les personnes gênantes de son chemin. Mais faut pas s'y fier, Brook c'est une gamine un peu perdue dans sa tête, elle cherche simplement à être apprécié par les autres, elle cherche simplement à avoir des amis. Mais quand elle manque de se faire violer à cause de son dit statut, elle abandonne tout pour se concentrer dans sa passion : les langues. Mais son arrivée à la fac change tout dans sa vie,... Et ce n'est pas spécialement pour une bonne chose,... Si Brook avait envie de reprendre le droit chemin, elle est tombée amoureuse de l'un de ses professeurs.
who am I
ꕥ âge : vingt-deux ans. sortie de l'enfance, début de l'insolence.
ꕥ orientation sexuelle : les hommes et eux seulement.
ꕥ situation : en couple, mais c'est un secret.
ꕥ occupation : étudiante en littérature, spécialisé en langues.
ꕥ quartier : brooklyn - fort hamilton parkway
ꕥ qualités : joyeuse, dynamique, rêveuse
ꕥ défauts : impatiente, impulsive, fêtarde
ꕥ groupe : FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ꕥ communautés : Cours de théâtre du mardi soir
all about my player
ꕥ petite présentation perso : Bonjour tout le monde ! Déjà, pour commencer, je suis heureuse de vous rejoindre ! après environ deux ans de pauses, je cherchais la petite perle qui me permettrait de me remettre dans le monde du rp et je crois bien avoir trouvé cette perle ! Je suis tombé sous le charme de celui-ci et du pré-lien de la famille Matthews ! cute Pour résumer simplement ma façon de rp : je fais entre 600 et 800 mots par réponses, il m'arrive de faire un peu moins, ou un peu plus, mais c'est la moyenne que je fais ! Le nombre de réponse par semaine... J'essaye d'en faire au moins une par jour ! Une fois par soir quand je rentre du boulot ! Je ne sais pas vraiment quoi dire de plus, mais si vous avez des questions, des envies ou autres choses, n'hésitez pas à venir me mpotter ! je mords pas promis  puppy

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : After
ꕥ un film : la couleur des sentiments
ꕥ une série : gossip girl
ꕥ une chanson : when were together
ꕥ un animal : le chat
ꕥ un plat/dessert : un chocolat liégois
ꕥ une boisson : un thé froid à la cerise
ꕥ une célébrité : victoria longoria
ꕥ un pouvoir magique : voyager dans le temps

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : rien de particulier ! en presque dix ans d'expériences sur les forums, j'ai fais un peu tout les types de rp, sujets,... il n'y a plus rien qui me choque du tout. donc, n'hésitez pas à me proposer absolument tout les types de sujet, je serais toujours partante !

that's my story / self diagnosis
lose everything, but rebuild everything {#}1{/#}

Astoria Greendelwald, c'est le prénom de la première femme que tu as côtoyé dans ton petit monde. tu avais seulement quatre ans quand tu l'as rencontré. tu ne comprenais pas trop ta vie, c'était un peu compliqué, trop petite pour tout comprendre. tu as perdu tes deux parents dans un accident de voiture. tu es la seule survivante et tu en gardes des terribles souvenirs. tu ne te souviens donc pas de tes parents, vaguement de la voix douce de ta maman. tu te souviens très vaguement de sa chevelure blonde, mais c'est tout. tu as donc été placé dans un orphelinat de la ville, c'est là que tu as rencontré cette femme. elle était comme une gouvernante des grandes maisons. elle faisait attention à tout ce que tu faisais, elle voulait te rendre pour ainsi dire parfaite, pour attirer le regard des visiteurs, pour peut-être, un jour, être adopté par une douce et charmante famille. mais sous ses airs gentillets, cette femme était une véritable tortionnaire. tu en avais horriblement peur et tu te cachais très souvent dans un des placards de l'orphelinat.

Puis un jour, ils sont arrivés dans le hall de l'orphelinat. ils étaient impressionnants, ils effrayaient également la jeune fille. la petite blonde avait tout juste six ans à ce moment-là. tout juste deux ans qu'elle vivait entre les murs de cet endroit et elle n'avait qu'une seule envie, c'était d'en partir, elle rêvait souvent, très souvent d'avoir une famille. de connaître la douceur, la chaleur et la tendresse d'une famille. elle rêvait d'avoir des frères, des sœurs et un tas de personnes à côtoyer chaque jour. bien évidemment, elle n'imaginait pas que cette fameuse famille serait si grande !

Au début, la cohabitation était un peu compliquée. elle était trop peureuse, trop timide, trop effrayée et les mots étaient faibles. la petite Brook fut rapidement surnommée Bambi pour son comportement très timide, mais aussi parce que la petite blonde était une grande amoureuse du dessin animé avec le faon ! elle le regardait en boucle. Finalement, il ne fallut que quelques mois à la jeune fille pour s'habituer à cette nouvelle famille.

growing up is not always a good thing {#}2{/#}

Quand on grandit, on devient peut-être bizarre, on devient mature. enfin, pas toujours. pas dans son cas. L'absence de ses vrais parents a eu un véritable impact dans sa vie de tous les jours. Brook, ou du moins la surnommée "Bambi" rencontrée des excès de colère, des crises d'impulsivité contre tes parents adoptifs. il n'y avait jamais rien de grave et elle ne partait pas en vrille, mais elle avait tendance à se mettre à pleurer, elle se mettait à se prendre la tête avec sa mère, son père ou bien ses frères et soeurs. Le plus souvent, la petite blonde s'enfermait dans sa chambre, éclatant en pleure. Les crises allaient et venaient pour un rien : une personne faisant tomber son verre. une remarque sur sa tenue. cette crise se produisit entre ses dix et quinze ans.

Une période difficile, mais pas uniquement entre les murs de sa maison. malheureusement, Brook rencontrait également des difficultés à l'école. Enfin, pas avec les cours en tout cas ! La petite blonde était à ce moment-là une jeune fille en retrait. Elle avait peur de tout et de rien. Elle avait peur du regard des autres et de l'abandon. Pour cette raison, la jeune fille restait toute seule, lui permettant de ne pas rencontrer de problème ainsi ! Mais, la solitude était également une difficulté pour la blondinette. Elle voulait des amis, elle voulait rencontrer des personnes partageant les mêmes centres d'intérêts. Mais elle n'osait pas, elle avait trop peur. Quand elle arriva à l'âge de seize ans, en rentrant au lycée, Bambi changea du tout au tout. Si elle était une petite chose fragile, elle voulait maintenant devenir la reine des abeilles. Elle voulait être la meilleure, la plus populaire. La plus belle.

Pour ça, Brook était prête à tout. Fringues de marques, maquillage en excès, transformation en petite peste. Ragots, potins, mensonges, manipulations. Voilà ce qui faisais tout de son monde ! Mais ce n'était pas pour plaire à tout le monde. Que ce soit dans son propre lycée, ou dans sa propre famille. Elle avait sa bande de copine, la petite bande de garces qu'on aime détester, mais qu'on a trop peur d'affronter ! Et bien évidemment, elle est la pire de son quatuor infernal. Sauf que tout ne se passe pas comme prévu dans son plan pour atteindre la gloire.

La gloire à un prix, la gloire est douloureuse. Elle était si venimeuse avec les gens qu'on se retourna une fois contre elle. Pour parfaire son image, Bambi avait soufflé à tous qu'elle était une adulte entière ! En ayant déjà passé une nuit intime avec un homme. Tout était faux bien évidemment ! Mais ce mensonge lui a attiré plus que des problèmes... Un soir, en rentrant de cours, un jeune homme de sa classe l'a attrapé dans un coin d'une ruelle, prêt à profiter d'elle et de ses dites expériences. Heureusement, il n'a pas pu aller au bout de son idée, l'un de ses amis proche intervenant de justesse, mais depuis, Bambi est vraiment traumatisé de cette expérience et le contact d'un homme qu'elle ne connaît pas lui provoque des crises d'angoisse.

Mais son comportement de peste à également provoqué des disputes avec sa famille qui ne semblait plus rien comprendre à son comportement. Après cette nuit-là dans la ruelle, la jeune fille avait décidé de tout laisser tomber. D'abandonner son statut de reine, elle avait trop peur de vivre à nouveau cette expérience traumatisante.

a captivating look and attractive lips {#}3{/#}

Coup de foudre au premier regard. Ses pas l'avaient emmené jusqu'au hall de la fac, le lycée et les embrouilles allant avec étaient désormais terminés. elle ne voulait plus de tout ça, elle voulait tout envoyé valsé et repartir de zéro ! Mais en entrant à la fac, elle n'aurait jamais imaginé que cela puisse arriver. Elle n'aurait jamais imaginé tomber sur cette personne, de croiser son regard ciel. Sauf qu'il y avait un petit problème : il s'agit de son professeur de langue. De Français pour être exact.

Elle a toujours été une véritable passionnée par l'apprentissage des langues, mais être concentrés dans son cours tout en le regardant était une chose impossible, un véritable calvaire pour la blonde. elle ne voulait pas céder à tout ça, elle ne voulait pas envoyer tout en l'air à cause d'un mec, non d'un homme. Il est beaucoup trop âgé et puis non, elle ne voulait pas prendre le risque de briser la relation suffisamment fragile avec sa famille, surtout avec son comportement des années passés au lycée. et puis elle se doutait qu'elle ne l'intéressait pas, alors elle devait tout faire pour l'oublier, ne plus penser à son regard charmeur.

Mais un soir, elle et ses bonnes résolutions, ce sont tout simplement écroulé d'un coup. une soirée d'étudiants dans un appartement, un peu trop... un peu trop tout simplement. mais le propriétaire du dessus, n'était autre que son dit professeur si séduisant. il est venu frapper pour demander de baisser un peu la musique, mais en constatant la présence de la petite blonde, les choses ce sont déroulés d'une façon différente ! Des échanges un peu houleux sous l'effet de l'alcool. des regards envieux. un baiser langoureux au bout d'une dizaine de minutes, entrée dans une chambre, et... la suite, on vous la laisse deviner. tout aurait pu s'arrêter à cet instant-là. mais non.

Des nouveaux échanges langoureux durant les heures de cours, des regards perdus entre deux cours. elle était tout simplement sous son charme, elle était sous son emprise. Des rendez-vous secrets échangés entre deux cours, des retrouvailles dans son appartement et le début d'une aventure dangereuse...

this session is gonna be different
aqua/caroline ꕥ 22 ans
fréquence de rp : un peu chaque jour, j'essaye de faire entre 1 et 2 réponses par jours ! ϟ fréquence de connexion : je viendrais tous les jours ! ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? absolument aucune ! je fais entre 600 et 800 mots en générales, mais j'essaye aussi de m'adapter à mon partenaire de rp. ϟ avatar à réserver : scarlett leithold ϟ de quelle couleur sont les petits pois : arc-en-ciel pour mettre de la couleur dans la vie ! ϟ comment avez-vous connu 99 ? j'ai trouvé le forum sur bazzart ! ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?  cute  cute  cute
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