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James➹ encore un matin

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Lun 9 Mai - 19:31
♛   Encore un matin
Encore un matin. Un matin pour rien. Une argile au creux de mes mains. Encore un matin sans raison ni fin. Si rien ne trace son chemin. Matin pour donner ou bien matin pour prendre. Pour oublier ou pour apprendre. Matin pour aimer, maudire ou mépriser. Laisser tomber ou résister
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 Tu enlevas ton casque de moto pour regarder la bâtisse qui te faisait face. Ici à de nombreux étages se trouvait la boite de comm où tu bossais. Si c’était le secteur dans lequel tu bossais, l’entreprise avait d’autres secteurs tous tourné autour du magazine purement masculin qu’il y avait créé il y a des années. Si t’avais un tout soit peu été intéressé par les magazines, tu aurais su pour quelle boite tu bossais quand t’avais postulé chez eux. C’était le numéro 1 dans ceux dédié aux hommes. T’avais sauté aux anges quand tu avais été pris et avait faillit tomber à la renverse quand ta bande d’amis avait éclaté de rire quand tu leur avais dis où tu allais bosser. Si la boite de commu avait plusieurs clients, il n’en avait pas moins aussi comme client le légendaire magazine Playboy. Et ça, les premières fois que t’avais du photographié pour ce client là, tu avais fini rouge tomate quand la dernière photo était faite. T’avais vingt-cinq ans à l’époque que tu avais commencé là-bas et dorénavant, ça te laissa de marbre. La seul avantage que t’avais pu trouver à faire des photos d’eux étaient les aventures d’un soir que tu avais pu avoir. Ainsi que ton cœur brisé d’avoir cru une seconde que tu les intéressais vraiment.

Tu soupiras en fermant les yeux. Au moins, dans le programme de ta semaine Playboy n’y figurait pas. Tu avanças, casque bras dessous, jusqu’au portique pour y pénétrer à l’intérieur. Tu y donnas ton badge  et t’avança vers les escaliers. Aucun risque que tu prennes les ascenseurs. Les gens disaient que tu étais fou de marcher les 6 étages jusqu’à ton bureau. Toi tu disais que ça te donnait une bonne condition physique. T’allais pas leur dire que tu étais claustro et refusait d’y mettre un orteil dedans. Pour ça que généralement t’arrivais toujours en retard vu le temps que tu mettais à gravir les marches des escaliers. Les gens avaient pris cette habitude et tu avais déjà entendu des paris sur ton compte si tu battais ton propre record derrière ton dos.  Mais tu t’en fichais. Une fois arrivé à l’étage où se trouvais ta boite tu y pénétras et salua d’un geste de la main les secrétaires à l’accueil. Elles changeaient tout le temps que tu ne te souvenais jamais de leur prénom. De ce que disais tes collègues, un des patrons étaient un vrai con. Ton con quand tu avais eu fait l’erreur de leur montrer une photo d’un faux mystérieux petit ami à leur attention. La malchance c’était ton truc, elle te lâchait pas comme un ours à son pot de miel.

Tu saluas d’autres collègues de boulot et parti prendre un café. T’avais déjà fumé deux clopes avant de venir ici. Le minimum pour tenir une bonne journée. Si à 16h, c’était l’heure du thé comme bon anglais qui se respecte, le matin c’était caféine. Le mélange parfait avec la clope d’ailleurs. T’en pris un gobelet sans sucre et partis rejoindre ton bureau. Ton univers où t’étais tranquille où t’étais seul au monde avec tes photos, ta chambre noire. Du moins, c’est ce que tu pensais. Le gobelet rentra en contact avec la porte de ton bureau qui s’ouvrit. Malchance avait encore frappé et te voila un t-shirt gris ravagé par du café. Chaud. La journée commence bien.

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@James Alconbury

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Mer 18 Mai - 15:41
Ça dépotait au petit matin chez les Alconbury, tant et si bien que Élise ne savait plus à qui distribuer les points d'agitation chronique ; James allait et venait, pressé de s'habiller en bonne et due forme malgré les soupirs las de la gouvernante persuadée que non, il n'y avait pas de chaussette pour le pied gauche ou pour le pied droit et que pour l'amour du ciel, James, personne n'allait regarder ses chaussettes ! Elle avait eu le malheur de rajouter que ce n'était pour autant pas la peine de prendre celles à l'effigie de Yoda donc son jeune patron n'avait pas manqué de repartir telle une fusée vers son tiroir, la mine désemparée.
Quant à Oswald, il avait demandé EXPRESSÉMENT un sucre plutôt que deux dans son cappuccino du matin. Ce n'était pas dans les habitudes de l'oncle de se réveiller brutalement, encore moins de se presser ainsi comme en témoignait la moustache de crème restée bloquée entre son nez et sa bouche. C'était qu'il avait un CONTRAT de la plus HAUTE IMPORTANCE à mettre en place dès 8h00. A dire vrai, peut-être bien que l'avenir de son vin américain se jouait aujourd'hui et qu'il ne devait pas manquer une occasion de coiffer au poteau les productions italiennes et françaises.
Élise n'avait plus qu'à jongler entre les cappuccino sans trop de sucre et les chaussettes blanches au moins jusqu'à ce que les deux hommes claquent la porte d'entrée. Ils étaient partis chacun de leur côté, Oswald dans sa voiture avec chauffeur s'il vous plaît et James en transport en commun, persuadé que le fait d'arriver en bagnole luxueuse ferait mauvaise impression pour son premier jour de stage. Oui, déjà que c'était l'oncle qui le lui avait obtenu, l'adolescent ne tenait pas à faire briller en lettres d'or le mot pistonné qui s'écrivait sur son front.
James avait gravi quatre à quatre les marches de l'imposante bâtisse en dédaignant l'ascenseur. Il n'en était plus franchement fana depuis qu'il avait passé l'âge de trépigner pour appuyer sur le bouton, encore moins depuis que Bonnie lui avait raconté cette affreuse légende urbaine de femme décapitée par les portes de l'ascenseur. Le jeune homme préférait donc prendre l'escalier, assuré de garder sa tête avec en prime des quadriceps plus développés.
A l'accueil, la secrétaire l'avait orienté d'un mouvement sec de stylo-bille vers le bureau de son responsable de stage en lui indiquant bien de patienter jusqu'à l'arrivée de monsieur Davies.
C'était mal connaître la vessie de James qui ne souffrait d'aucun café avalé en deux deux et qui le fit savoir rapidement. L'adolescent quitta la chaise sur laquelle il s'était assis et rouvrit la porte du bureau pour foncer vers les toilettes. Mal lui en prit, vraiment très mal. Le battant percuta un gobelet rempli de café qui se renversa généreusement sur le T-shirt gris de son propriétaire.
Monsieur Davies, James, James, monsieur Davies.
Mortifié, l'adolescent se répandit en excuses.
« Je suis désolé désolé désolé monsieur Davies ! Je...j'étais pressé et je ne vous ai pas vu ! Désolé ! Excusez-moi !  »
Il se dandinait sur ses pieds, profondément mal à l'aise.
« Je suis James Alconbury, votre stagiaire. » Au moins, peut-être que cela découragerait Aickel Davies de lui faire porter les cafés.

@ Invité

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Lun 23 Mai - 16:38
♛   Encore un matin
Encore un matin. Un matin pour rien. Une argile au creux de mes mains. Encore un matin sans raison ni fin. Si rien ne trace son chemin. Matin pour donner ou bien matin pour prendre. Pour oublier ou pour apprendre. Matin pour aimer, maudire ou mépriser. Laisser tomber ou résister
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Cette journée commençait bien. T'avais rien oublier chez toi qui d'habitude revenait toujours dans ton appartement en bas de la résidence car t'avais toujours oublier quelque chose mais pas la. T'avais même pu trouver une place rapidement pour y garer ta moto même si l'entreprise avait un parking réservé à ses employés. T'avais eu la surprise de voir plus de clopes que prévue dans ton paquet et ça c'était la bonne nouvelle qui te rendait souriant aujourd'hui. Oui. Aujourd'hui, il faisait beau par dessus le marché. C'était ta journée. Tu le sentais. La malchance t'avais oublier en l'espace d'une journée et t'allais en profiter.

Malheureusement pour toi, elle partis aussi rapidement que la clope que tu avais fumé ce matin. Rapidement. En fumée. Avec comme seule chose différente était cette sensation de mouillé et de brûlure qui étaient rajoutée. L'impact de la porte t'avais fait renverser sur toi le café que tu t'étais empressé de prendre, qui pour une fois d'ailleurs t'avais pas mis dix minutes à l'avoir. Tu regardais d'un regard triste ton t-shirt imbibé de café. Tu aurais préféré l'avoir dans ta bouche plutôt que sur ton haut. Une voix remplit d'excuse te fis lever la tête. Un garçon qui ne devait pas avoir la vingtaine te regardait mortiflé de la bêtise qu'il avait fait. Vu la situation, tu te rendis vite compte que c'était lui qui avait ouvert la porte de ton bureau et qu'il t'avait fait renversé ton café sur toi. Il se présenta. On t'avais vaguement dis que tu allais avoir un stagiaire. Ils se faisaient rare vu les places qui étaient très demandé pour en avoir une ici. Mais tu ne te rappelais pas que c'était aujourd'hui.

Tu attrapa un mouchoir qui trainais dans la poche de ton jean pour le passer sur ton haut. C'était au moins ça. " T'inquiète ce n'est pas grave. Ça m'arrive souvent ce genre situation".   Hélas c'était vrai. Tellement tu avais pris l'habitude d'avoir toujours un sac de rechange avec toi juste au cas où. "Appelle moi Aïckel. Quand on m'appelle par mon nom de famille, j'ai toujours l'impression qu'on me donne soixante balais." . Vu ta situation familiale, tu devais avoir l'habitude étant le seul homme de ta maison. Tes mères et tes sœurs n'avaient pas ce privilège la. " On se rejoins la dans cinq minutes ? J'ai cru comprendre que t'avais une urgence toilettes et moi il faut que je récupère mon sac de rechange dans mon bureau pour changer de haut. . Tu lui lança un clin d'oeil. Lui faisant comprendre que l'histoire était oublié et que tu n'étais pas du genre rancunier. Tu partis dans ton bureau et trouva le sac sous ton bureau. Ton haut mouillé fut remplacé par un sec. Une bonne chose de faite. Il ne te manquait plus que ta dose de caféine pour bien commencer ta journée. Tu fermais la porte de ton bureau et trouva sur le chemin James, ton stagiaire. " Soulagé ? On va chercher une boisson chaude et on commence après ? J'ai besoin de ma tasse de caféine pour être concentré. En espérant que cette fois, ce café allait avoir la destination escompté. Ton oesophage.

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