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9 résultats trouvés pour danse

Wake me up before you go-go

Invité
6 r ; 772 v.
Sam 5 Déc - 15:42
Aime Hirsch
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=774}Aime Hirsch{/@}
31 ans – Personnal shopper
FEAT : Kevin Pabel
Il a passé la plus grande partie de sa vie au Brésil, venant de deux parents d'origines opposées qui se sont rencontrés lors d'un séjour humanitaire en Amérique du Sud, ils n'ont pas su la quitter. (Allemand, Américaine.) Il a eu la nationalité américaine il y a quelques années, avant de s'absenter un an au Brésil pour revenir. Il parle allemand, anglais et portugais. Amateur de shopping à l'extrême, vendre des fringues en boutique ne lui suffisait plus, il se reconvertit en personnal shopper. Il aime faire la fête, draguer, le sport, l'alcool. Il a quelques soucis avec l'attachement, peur de trop s'accrocher. Il est bisexuel, fuyant l'idée d'une quelconque relation il y a encore quelques années. Il devient plus sage avec le temps avec ses rencontres.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Brésilienne / Américaine
Ethnie/origines : Allemand / Américain
Orientation : Pansexuel, trop peu tombé amoureux pour savoir son attirance romantique.
Situation : Célibataire, depuis toujours.
Occupation : Personnal Shopper
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités :Joyeux,  Drôle,  Joueur, Gentil,  Curieux, À l’écoute , Souriant, Confiant.
Défauts :Débauché, Têtu, Légèrement bordélique,  Chieur, Irresponsable, Excentrique, Enfantin.
Passions : {#}Faire-la-fête{/#}, {#}Danse{/#}, {#}Shopping{/#}
Communautés : {#}Studio{/#} de danse  {#}LGBT{/#} Center Manhattan ( Bénévole )






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Le contrôle de mes émotions, c'est comme si j'implosais à chaque sentiment trop positif, comme si j'étais réellement brisé à chaque défaite relationnelle.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). L'alcool devient peut-être petit à petit un problème. Je n'en suis pas plus sûr que ça, mais combler le problème avec m'a pas semblé si idiot les vingt premières fois.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? L'invitation à une quelconque relation n'avait même pas traversé mes lèvres qu'on s'est quitté. Des obligations de chaque côté et l'idée que de toute façon, il méritait un type mieux. N'osant même pas donner des nouvelles depuis mon retour, peur que les choses soient trop brut de pomme.

Le dernier texto que tu as envoyé ? «  J'espère que maman va bien, que tout va bien pour vous. » Prendre des nouvelles de temps en temps, c'est au moins la promesse que je peux essayer de tenir sans paniquer.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Une relation à distance, ils ne quitteront pas le Brésil, ma vie s'est malheureusement faites à New York. Je ne passe que peu souvent les voir, je prends des nouvelles quand je peux, quand j'y pense ou que je suis en état de le faire. J'ai passé neuf mois avec eux et je n'ai pu que remarquer que même si nous gardions de bons liens, ils étaient bien mieux à me savoir mener ma vie de "rêve" ici.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? De la danse ? Des photos sans queue ni tête sur un instagram que personne ne regarde et des soirées qui se finissent dans une randonnée nocturne.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'ai abandonné une bonne partie des personnes proches de moi en un an. Comme si cela allait arranger les choses, je me planque pour ne pas les blesser plus.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Awkward
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ?   Violence sur les animaux
Avatar à réserver : Kevin Pabel
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Warrior
Souhaitez-vous un mp d'intégration Non, je vais essayer de m'intégrer un peu plus avec les nombreux moyens que vous avez mit en place.  Tag danse sur I've got 99 problems 2881807329

be the best version of you

Invité
14 r ; 335 v.
Dim 11 Oct - 13:38
HYUN-AE + QUINN
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=746}Hyun-Ae Quinn{/@}
22 ans - danseuse
FEAT : Park Chae Yeong (Rosé)
née en corée. elle a été adoptée par une famille aisée new-yorkaise. sa mère était une danseuse professionnelle mais suite à une blessure, elle a dû stopper sa carrière. son père quant à lui, est pdg d'une société. autant dire qu'il gagne bien sa vie.

sa mère a mis toute son ambition sur sa fille. hyun-ae a commencé très tôt la danse, encouragée par sa mère. depuis, elle n'a jamais arrêté la danse. tous les week-end elle était au cours de danse, après l'école, elle s'entraînait avec sa mère. elle n'a jamais arrêté.
sa mère la pousse à être la meilleure, à se surpasser. mais son petit corps lâche de temps à autre. elle se blesse souvent, pas de grosses blessures mais des petites entorses à la cheville, par ci par là. elle voit un médecin, puis un kiné. malgré ça, elle continue, parce que sa mère est sur son dos et qu'elle n'ose rien dire, même pas se rebeller. hyun-ae est une jeune femme douce, aimante, qui s'énerve que très peu. c'est un nounours avec les autres. elle n'est pas comme sa mère, ête sans cesse dans la compétition.
elle veut simplement faire ce qu'elle aime, sans pression. des études de danse, elle en a toujours rêvé mais pas avec autant de pression que lui donne sa mère.

la belle a un grand frère, archer. lui aussi adopté. il a plus de dix ans en plus qu'elle. ils n'ont pas beaucoup habité ensemble parce qu'il a quitté la maison familial mais elle s'entend bien avec lui. ils restent souvent en contact et puis, elle aime l'entendre parler de brodway, c'est là qu'elle aimerait travailler plus tard. officiellement.
elle a un cousin, jaden. qui est dans la police. c'est un peu comme son deuxième frère. il est toujours à l'écoute. elle aime bien lui parler dès qu'elle a le temps.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine par adoption.
Ethnie/origines : elle est née en corée. elle est sur le territoire américain depuis qu'elle est toute petite, elle est arrivée à ses six mois. autant dire qu'elle ne connait absolument rien de ses origines coréennes.
Orientation : elle suppose qu'elle est hétérosexuelle. en tout cas, elle est plus attirée par les hommes que par les femmes. elle n'a jamais essayé, que ce soit pour les deux.
Situation : elle est célibataire depuis toujours. aucune relation amoureuse rien de tout ça.
Occupation : elle est étudiante en danse. c'est sa passion, même si sa mère la pousse presque à bout à chaque fois. elle veut qu'elle soit la meilleure de toute, alors forcément...
Quartier : 74TH STREET, UPPER EAST SIDE Townhouses (25)

and what else ?
Qualités : douce, à l'écoute, respectueuse, ponctuelle, calme
Défauts : sensible, rancunière, naïve, timide (quand elle ne connait pas la personne), maladroite
Passions : {#}danse{/#} , {#}yoga{/#} , {#}smoothie{/#}
Communautés : Juilliard School, Broadway, Studio de danse et The Lift




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Ma mère. Elle est toujours derrière moi, elle pense me soutenir pour que je sois la meilleure. Elle ne se rend pas compte qu'elle me casse en deux. Des entraînements de danse tous les jours depuis des années et la fatigue se fait sentir, le corps devient plus fragile.
Des petits bobos à répétition. Elle a mis toute son ambition qu'elle avait quand elle était danseuse sur moi, depuis qu'elle ne danse plus, qu'elle ne peut plus danser.
Elle ne se rend pas compte que je ne suis pas elle. La danse fait partie de moi, mais ce n'est pas un rêve pour autant. Je m'épanouie dans cette discipline mais j'ai parfois envie de voir autre chose, de faire ce dont j'ai envie.
Peut-être que j'aurai pu faire des grandes études, tout en continuant la danse comme étant une passion, un hobby. Mais ma mère n'a pas voulu, elle a décidé de m'inscrire dans une école prestigieuse. Elle gère ma vie comme elle le souhaite. Je suis un peu sa marionette, sans exagération.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
Aucune addiction à déclarer. Juste peut-être un petit rituel après un entraînement de danse, où je vais fumer une petite clope dans mon coin, en cachette. La clope, c'est mauvais, je sais mais ça me permet de me détendre, tout simplement. Mais une petite cigarette par jour, ne tue personne après tout.
Personne n'est au courant, ni ma mère, ni mon père et ni mon frère.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? C'est bien simple, je n'ai jamais eu de relations. Avec les entraînements de danse et avoir ma mère sur le dos h24, ne me permet pas de pouvoir profiter un peu de ma "vie". De sortir avec des amis, d'aller boire un verre quelque part.
Non, rien de tout ça. Juste la danse et rien d'autre.
C'est ce que je fais depuis que je suis gosse. Je n'ai jamais pu sortir quelque part alors avoir un copain, c'est définitivement interdit.
Je ne sais pas si une possible relation arrivera un jour, sauf peut-être dans le milieu du spectacle où je rencontrerai peut-être le prince charmant ?

Le dernier texto que tu as envoyé ?
[mention]Hyun-Ae à Maman.[/mention] a écrit:J'ai terminé l'entrainement, je rentre bientôt.


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ma mère est sur mon dos depuis que je suis gosse.
Mon père ne s'occupe pas trop de moi, il vient aux spectacles de danse mais ça s'arrête là. D'ailleurs, il se force à y aller, ça se lit sur son visage.
On ne peut pas dire que ce soit l'éclate dans la famille Quinn. Comme quoi, l'argent ne fait pas le bonheur.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je danse, tout le temps. Le week-end, c'est plus relax et je vais au yoga. Ça me fait beaucoup de bien et ça me permet aussi de me sentir mieux, après une semaine de stress intense et d'entraînement. Et puis il faut bien reposer le corps de temps en temps, même si parfois ma mère est derrière moi pour continuer les entraînements.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Lors d'un casting de danse pour intégrer un spectacle, je sentais que mon corps était fatigué mais j'ai quand même décidé d'y aller.
Malheureusement, à la moitié de la chorée, je suis tombée comme une merde. Autant dire que ma mère n'a pas arrêté de m'en parler comme quoi je lui avais foutu la honte. Parce qu'être la fille d'une ex-grande danseuse professionnelle, ça met la pression évidemment.
Résultat de l'accident, une cheville foulée, un bandage pendant deux semaines et des séances de kiné.




this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : sophie.
Age: 27 ans
Avez-vous des triggers personnels ? non aucun.
Avatar à réserver : Park Chae Yeong (Rosé)
Crédit avatar utilisé dans la fiche: wanderer
Souhaitez-vous un mp d'intégration oui  cute

Ne pas admettre son erreur est une seconde erreur.

Invité
22 r ; 538 v.
Jeu 10 Sep - 15:16
Jessika Rosenberg
32 ans - profession courte
FEAT : Scarlett Johansson - Mademoiselle Rosenberg est une grande avocate qui aime beaucoup donner de son temps aux enfants malades. - En couple depuis deux ans et fiancé depuis environ quatre mois. Et ils forment l'un des couples de l'année. - Sa mère est américaine et son père est Danois. - Elle a un frère plus âgé. - Elle est née et n'a jamais quitté New York, sauf pour des raisons professionnels. - Miss habite Manhattan. - Elle fait partie des The Lift. - Une femme qui adore les motos, la boxe et la danse. - Elle est : Fidèle, généreuse et calme. Mais aussi, bavarde, hyperactive (médoc) et nymphomane (médoc). - Elle est accros au café et à son téléphone portable.
who am I
ꕥ âge : 32 ans
ꕥ nationalité : Américaine et Danoise.
ꕥ ethnie/origines : caucasienne
ꕥ orientation : Hétéro
ꕥ situation : Fiancée
ꕥ occupation : Avocate reconnue
ꕥ quartier : Manhattan.
ꕥ qualités : Fidèle, généreuse et calme.
ꕥ défauts : Bavarde, hyperactive (médicamenté) et nymphomane (médicamenté).
ꕥ passions : {#}moto{/#} {#}boxe{/#} {#}danse{/#}
ꕥ communautés : The Lift (- Cours de Zumba les jeudi soirs - Cours de Boxe les samedi après-midi - Salle - Boxe)


ꕥ scénario/pré-lien : Inventé
ꕥ groupe : FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ꕥ mp d'intégration : non merci

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Alors, derrière l'écran, ce cache, une femme qui a dépassé la mi-trentaine, mais qui gardera le chiffre exact privé.  Tag danse sur I've got 99 problems 36146562  Je suis actuellement en congé maternité, sinon, je suis aide soignante et je n'ai pas hâte de reprendre le travail... Va savoir pourquoi !  Tag danse sur I've got 99 problems 225322147  Hey non, ce n'est pas mon seul enfant, je suis maman de 4 cocos.  quooi  Vous devinerez, donc, que ma vie de tous les jours est bien rempli et peu parfois être complètement bordélique. Je crois que le principal est dit et de toute façon, je n'aime pas trop parler de moi.  Tag danse sur I've got 99 problems 497855176

petit portrait chinois
ꕥ un livre : oh good, je n'ai pas lu depuis des années, par manque de temps...
ꕥ un film : Avengers, John Wick, et d'autres.
ꕥ une série : The Witcher, The Walking Dead et pleins d'autres.
ꕥ une chanson : Can't Stop The Feeling!
ꕥ un animal : chat... certaines races de chiens peuvent aussi passer, comme le Husky et le Bouvier bernois.
ꕥ un plat/dessert : Poutine / tarte aux fraises
ꕥ une boisson : Pepsi
ꕥ une célébrité : Impossible d'en mettre une seule.. Candice Accola, Scarlett Johansson, Elizabeth Olsen, Jon Bernthal, Chris Hemsworth et Leonardo DiCaprio sont dans mes favoris.
ꕥ un pouvoir magique : Immunisation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : La pédophilie et l’inceste.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Le manque de temps ! Je dirais qu'il manque d'heures dans une journée et d'heure dans une semaine. Ne me dites pas que vous arrivez à tout faire dans ce laps de temps. Vous mentez !
Bon, peut-être que si je prendrais moins de dossier au boulot cela m'aiderais. Sauf que j'ai la mauvaise habitude de vouloir en faire toujours plus et je déteste refuser une affaire palpitante.
De plus, j'ai quelques passe-temps, comme faire de la moto et me rendre au club de boxe. Hors de question de mettre tout cela de côté ! Ah, et il y a aussi mon merveilleux fiancé et les préparatifs de notre mariage prévu en début d'année deux mille vingt et un..

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Oui, le café est assez important dans ma vie. Bien que déconseillé à cause de mes médicaments, je tente d'être raisonnable en me limitant à quelques-uns par jour.
Il y a aussi mon téléphone portable qui me suit partout, oui même à la salle de bain. Ah et ma moto que j'utilise dès que la température me le permet. Sans oublier la boxe que je fais depuis que je suis toute petite.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? On parle bien de celle avant mon fiancé ? Surement. Tout était beau, jusqu'à ce qu'il essaie de contrôler mon quotidien, surtout mes fréquentations masculines. Vous avez deviné, un homme jaloux et pourtant, je n'ai jamais trompé d'homme dans ma vie. C'est bien après que j'aie appris qu'il avait lui-même une maîtresse. Preuve que les plus jaloux ont tout simplement peur qu'on leur fasse la même chose.
Le comble de tout, c'est qu'il a tenté de me jouer du violon pour me reconquérir. Comme si j'étais une de ses femmes stupides qui tombent dans un cercle vicieux. On le sait tous, on ne change pas ce genre de personne.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Alors, tu arrives qu'on puisse prendre notre douche ensemble ?  Tag danse sur I've got 99 problems 36146562 " Destiné à mon fiancé n'ayant pas encore pris mes médicaments. Faut vraiment que j'arrête de faire cette boulette avant qu'il devienne fou avec toutes mes demandes.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? J'ai toujours été très choyé par mes parents, autant que mon grand frère. Nous avons la chance d'avoir des parents très attentionné qui profitaient de chaque instant passé à la maison avec nous. Encore aujourd'hui, j'ai une très bonne relation avec ma famille et ils adorent mon fiancé.
Sinon, je n'ai pas été une petite fille très compliqué, j'aimais découvrir tout ce qui était possible. Bon, parfois, mes parents étaient moins en accord, surtout lorsque j'ai décidé de prendre des cours de moto. Mais jamais, ils m'ont empêché de faire ce que je voulais. Selon eux, toute personne doit apprendre de ses erreurs. Ils ont été présents lors de ma première peine d'amour, même si je refusais de m'ouvrir à ce sujet au départ. Ils ont été là lorsque j'ai obtenu mon diplôme d'avocate, je crois même avoir vu mon père les yeux rempli d'eau.
Bref, ils ont étés et seront là jusqu'à la fin.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Déjà, je ne suis plus aux études depuis longtemps.
J'ai quelques passe-temps, bien que mon fiancé déteste deux de ceux-ci en particulier. Enfin, je crois que c'est uniquement parce que je suis une femme dans un monde d'homme.
J'adore la danse, ayant gagné à quelques concours avec partenaire de longue date. Celui-ci, s'est blessé et ne peu plus danser. Le pauvre. La boxe m'aide à dépenser un maximum d'énergie afin d'éviter que je suis toujours survolté. Oui, dès que j'en sens le besoin, je me précipite dans une salle de boxe ou d'entraînement.
Il y a aussi la lecture, les séries télé, les films et j'ai commencé à faire du tricot quand je suis devant le téléviseur. Étrange, je sais, mais c'est un bon moyen de relaxer.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'allais inscrire "aucun", mais à bien y penser, il y a cette fois où j'ai bien failli foutre en l'air le mariage d'une amie. Par contre, je ne cesse de dire que ce n'est pas de ma faute, que c'est le derrière de sa robe qui était beaucoup trop long. Oui, j'ai marché dessus et la mariée s'était retrouvé tête contre le sol. Vous parlez d'un souvenir mémorable de son mariage, les photos sont là pour lui rappeler.
Ne vous en faites pas, j'ai payé une séance photo quelques jours après leur retour de voyage de noces. N'empêche qu'elle me nargue souvent avec cela.

this session is gonna be different
Mll.Angie/Alicia ꕥ 30+ ans
fréquence de rp : 1rp/sem. ϟ fréquence de connexion : Tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300 mots. ϟ avatar à réserver : oh oui, svp !  ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ahah, drôle de question... verts  Tag danse sur I've got 99 problems 497855176  ϟ comment avez-vous connu 99 ? merci prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J'ai déjà hâte de jouer parmi vous avec mon compagnon de jeu qui va suivre. Oui, c'est une inscription double. hihi
tumblr (gif) solsken (avatar)

Kelly Livingstone

Invité
22 r ; 642 v.
Sam 29 Aoû - 13:48
Kelly Livingstone
22 ans - barista
FEAT : jacob elordi Kelly n'a que 22 ans et pourtant il se débrouille tout seul dans la vie depuis quatre ans déjà. Il est en galère perpetuelle et c'est juste un mode de vie basique pour lui maintenant. Il n'a jamais connu autre chose, même quand il était encore sous la coupe de sa mère (qui était très absente car elle additionnait 3 jobs). Il est débrouillard, il a la rage de vivre, il a pas froid aux yeux, il est prêt à littéralement tout se disant qu'un jour enfin il pourra souffler. Grand optimiste au fond, il a aussi une grande gueule, il aime pas être dérangé pour rien, il n'a pas peur de dire les choses qui ne font pas plaisir à entendre.
who am I
ꕥ âge : 22 ans
ꕥ nationalité : Américain
ꕥ ethnie/origines : Il a des origines australiennes, sa mère s'est marié avec un américain pour avoir le droit de rester sur le sol et elle n'a pas pris la peine de faire en sorte qu'il ait la double nationalité. Elle avait tellement envie d'être américaine qu'elle pensait aussi que c'était la meilleure chose qui puisse arriver à son fils.
ꕥ orientation : Pansexuel & n'est jamais tombé amoureux
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : une multitude de plans qui le laisse tous plus ou moins en galère. Il bosse à Starbucks dans l'enceinte de Julliard University à temps partiel, il fait le ménage dans une salle de sport. Encore un plan à temps partiel. Mais depuis qu'il a commencé un onlyfans, les fins de mois sont plus agréables.
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : débrouillard, franc, sociable, fiable, loyal
ꕥ défauts : dans l'excès, arrogant (avec ceux qui le saoulent), trop fêtard
ꕥ passions : {#}concerts{/#}, {#}musculation{/#}, {#}danse{/#}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ communautés : NYC EXPATS, THE LIFT, THE OVERKILL, LGBT CENTER, JUILLIARD SCHOOL
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ mp d'intégration : souhaitez-vous recevoir un mp d'intégration personnalisé par le staff, comportant des idées de liens avec d'autres membres ? Oui svp

all about my player
ꕥ petite présentation perso :Je m'appelle Am, j'ai 34 ans (mais j'ai l'air d'en avoir 10 de moins lolololol), j'habite à Londres mais grâce au covid je suis actuellement en France. Je me considère non-binaire. Je me passionne pour la musique et les concerts. Parmi mes groupes favoris se trouvent : Bring Me The Horizon, Trophy Eyes, The Amity Affliction, Deaf Havana, Thousand Below, Machine Gun Kelly, Point North, A Day To Remember, McFLY, Dermot Kennedy, Cory Wells, Lil Peep, Lady Gaga et je m'arrête là sinon on y est encore dans 15 jours.
petit portrait chinois
ꕥ un livre : Where she went, de Gayle Foreman
ꕥ un film : Signs
ꕥ une série : Little fires everywhere
ꕥ une chanson : Make it happen, Machine Gun Kelly
ꕥ un animal : un qui reste loin de moi
ꕥ un plat/dessert : glace à la pistache
ꕥ une boisson : Energy drinks
ꕥ une célébrité : Dermot Kennedy
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Je pense rien de spécifique mais il est vrai qu'un jour j'ai rp avec quelqu'un qui se moquait/comprenait pas du tout la dépression dans sa narration et ça m'a beaucoup dérangé


that's my first rp
T’es Kelly avec plus d’un tour dans ton sac. Ce soir, y’a un de tes groupes favoris qui joue. C’est The Amity Affliction. Peut être ton côté Australien qui parle vu qu’ils viennent de Brisbane, comme ta mère. C’est vrai que c’est un petit plus dans ton coeur du coup de savoir. Tu vas essayer d’aller leur parler à la fin du show mais t’es pas sûr de pouvoir car la salle est pas mal grande quand même. T’es raide niveau fric, mais le show se passe au Playstation Theater et t’as travaillé là bas pendant quelques semaines. T’as pris bien soin de ne pas rendre le t-shirt à l’effigie de la salle. Maintenant tu peux rentrer incognito grâce à ce bien précieux. T’arrives toujours à avoir des avantages à bosser à un endroit ou un autre. Tu fais le ménage dans une salle de sport comme ça tu peux utiliser les équipements avec un abonnement gratuit. Tu bosses au Starbucks qui se trouve dans l’enceinte de Juilliard et là aussi c’est plutôt bien pour te faire des potes de ton âge facilement. C’est compliqué de jongler avec ces jobs et les horaires sont pas si nombreuses. Parfois tu as vraiment beaucoup de mal à terminer le mois. Ton loyer est pas donné même en vivant en colocation. Les charges sont explosé par tes colocs qui ne font pas attention à leur consommation. T’as en projet de déménager mais c’est super compliqué à New York de trouver quelque chose qui te correspond et qui te ruine pas directement. T’as quelques potes chez qui tu peux crécher en cas d’extrême galère mais tu as besoin de ton indépendance. T’as vécu la plupart de ta vie seul. T’as des plans pour améliorer ta vie considérablement, un pote qui t’as montré la plateforme only fans. Mais ce soir t’es juste un fan. Tu as réussi à te glisser dans la salle comme un pro, ce n’est pas la première fois que tu fais ça en même temps. Ca fonctionne à tous les coups. T’es grand, tu vois bien à peu près partout, mais tu veux être au plus près de la scène ce soir, alors pour pas faire louche, tu vas dans les toilettes rapidement pour le mettre à l’envers afin que le logo de la salle ne soit pas visible. Y’a encore le temps avant que le groupe n’arrive sur scène et tu te permets de te payer une bière. Tu donnes un peu d’argent pour l’endroit qui t’ouvres si généreusement ses portes pour une bonne soirée. Les lumières s’éteignent, la première partie se met en place. Tu ne sais même pas de qui il s’agit, t’as pas regardé en avance mais tu sais que dans tous les cas, ça va être une bonne soirée. Rien de mieux que d’être entouré de gens qui sont là pour les mêmes raisons que toi pour kiffer. Peut être même que tu vas trouver une personne pour terminer la soirée moins seul… T’es confiant, tu as déjà vu deux trois coups d’oeil en ta direction. Ca va être une très bonne soirée.

this session is gonna be different
AMGK/Am ꕥ 34 ans
fréquence de rp : une réponse sous 7/10j max, mais ce sera moins, je me connais. ϟ fréquence de connexion : 5/7 ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Autour de 400 mots en moyenne mais j'adore les rps courts qui mènent à beaucoup plus d'interactions spontanés. J'ai juste l'habitude des rps de 300 mots obligatoireϟ avatar à réserver : jacob elordi ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ϟ comment avez-vous connu 99 ? Une ancienne membre m'avait donné le lien et j'ai crushé instantanément sur tout le forum dans son intégralité. Je l'ai gardé sous le coude pour revenir à la première occasion et me voilà (j'ai 3 potes ou peut être 4 qui vont débarquer aussi love ) ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Je suis content que cette fois ce soit la bonne, ce perso est tout nouveau et j'aime bien mieux cette angle là en m'inscrivant sur un forum qui m'inspire autant. Le personnage est intégralement une partie du forum et ce n'est pas un bricolage d'un ancien perso d'un autre contexte. Bref je suis fier de moi d'être tant inspiré avec ce nouveau visage et d'être de retour ici love
tumblr (gif) solsken (avatar)

lay down your sweet and weary head (shinsuke)

Invité
22 r ; 789 v.
Ven 21 Aoû - 19:09
shinsuke funaki
40 ans - artiste de rue
FEAT : tony thornburg
En raison du racisme qu’il subit pendant son enfance, Shinsuke préfère se présenter sous le sobriquet de Shin, plus facile à prononcer pour les Américains et les anglophones en général. Fasciné par les arts circassiens, il apprend à devenir avaleur de sabres sur le tas, avec l’aide d’un homme qui le prend sous son aile. Aujourd’hui, Shin vit pauvrement de son art, qu’il exerce dans la rue auprès d’autres artistes marginaux, avec lesquels il forme une troupe depuis presque vingt ans. Leader, solitaire, travailleur et rancunier, voilà quatre mots qui résument bien cet homme au-dessus de la tête duquel vacille, de par la nature même de son métier, une épée de Damoclès.
who am I
ꕥ âge : la quarantaine amorcée, le cœur encore jeune.
ꕥ nationalité : l’amérique imprimée noir sur blanc sur son passeport.
ꕥ ethnie/origines : le japon et la suède dans les veines.
ꕥ orientation : pansexuel et panromantique; le compas pointé vers les humains, le genre lui importe peu.
ꕥ situation : célibataire depuis sa relation avec lenny qui a mal tourné. par maladresse et incompréhension, il a prononcé des paroles de trop qui ont mis fin à leur relation. aujourd’hui, il le regrette et aimerait reprendre contact avec son bibliothécaire préféré pour s’excuser et peut-être reprendre les choses où ils les ont laissées, mais hélas, il ignore que l’autre homme a déjà tourné la page sur leur histoire.
ꕥ occupation : fondateur et chef d’orchestre d’une troupe de bras cassés, sa seconde famille. constituée d’artistes de rue aux talents divers, la troupe loge à la même enseigne, un appartement assez miteux dans le bronx. chaque jour, ils divertissent la plèbe dans les rues de new york. pour sa part, shinsuke avale des épées et en manœuvre autour de son corps, l’espace comme terrain de jeu (sword swallower & sword dancer).
ꕥ quartier : le bronx.
ꕥ qualités : leader, créatif, persévérant, courageux, agile, romantique.
ꕥ défauts : rancunier, violent, lunatique, téméraire, râleur, désordonné.
ꕥ passions : {#}épées{/#} {#}opéra{/#} {#}danse{/#} {#}requins{/#}
ꕥ groupe : idk what you’re talking about.
ꕥ communautés : salsa class by ricardo diaz (élève).
ꕥ scénario/pré-lien : non, c’est un inventé.
ꕥ parrain : non merci.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : coucou, je suis faible (bis).

petit portrait chinois
ꕥ un livre : the silmarillion de tolkien.  
ꕥ un film : lord of the rings.
ꕥ une série : idk tbh.  
ꕥ une chanson : carnival of rust de poets of the fall.
ꕥ un animal : le paresseux.    
ꕥ un plat/dessert : du lembas.  
ꕥ une boisson : du café.  
ꕥ une célébrité : idk tbh.  
ꕥ un pouvoir magique : voler les pouvoirs des autres en leur présence.

pour finir en beauté
ꕥ des triggers : les idées suicidaires, les maladies mentales (romantisées), l’homophobie, la transphobie, le racisme.  


that's my story / self diagnosis
citoyen de l’amérique, shinsuke funaki ne connaît pas grand-chose du japon, son pays natal. dès son plus jeune âge, il troque le japonais et les baguettes pour l’anglais et les ustensiles occidentaux. à son entrée à l’école, il se sent profondément humilié d’être étiqueté comme le chinois et qu’on baragouine en sa présence une espèce de langue fictive s’apparentant à une langue d’asie. comme son prénom ne cesse d’être écorché vif par ses camarades et ses professeurs, il insiste pour qu’on l’appelle shin, finalement même auprès de sa famille. alors qu’il n’est encore qu’un jeune enfant, ses parents décident d’adopter une fille, puisqu’ils sont incapables de concevoir un deuxième enfant. shin la considère aussitôt comme sa petite sœur, même si les deux ne partagent pas de lien de sang. il la protège des brutes de l’école du mieux qu’il le peut et n’hésite pas à utiliser ses poings pour faire taire les mauvaises langues qui se questionnent sur « la fille blanche qui a atterri chez les chinois ». il récolte moult retenues à cause du chaos qu’il sème sur son passage, mais ses parents ne lui en tiennent jamais rigueur. de son côté, sa petite sœur n’hésite pas à rabrouer les racistes qui parlent dans le dos de son frère. les enfants funaki contre le reste du monde.

À l’adolescence, il développe une fascination pour les métiers du cirque. hélas, n’entre pas dans ce domaine qui veut : à quinze ans, il ne connaît personne qui puisse l’initier aux arts circassiens. faute de mieux, il décide d’apprendre par lui-même et c’est ainsi qu’il se met à déambuler dans sa ville d’adoption à la recherche d’artistes de rue singuliers aux talents pluriels : musiciens, acrobates, cracheurs de feu, contorsionnistes… ce sont toutefois aux avaleurs de sabres qu’il voue son admiration la plus féroce; il est fasciné par cet exercice à la fois physique et mental. sans réfléchir, il demande à tous les avaleurs et avaleuses de sabres de lui apprendre son art, mais personne ne souhaite s’encombrer d’un jeune poulain… du moins, jusqu’à ce qu’il rencontre atticus, qui s’engage à devenir son professeur en échange d’un drôle de contrat : une leçon contre un livre en bon état. en effet, son aîné gagne plutôt bien sa vie en tant qu’avaleur de sabre, mais n’a pas les moyens de se procurer de nouveaux livres, qu’il collectionne depuis sa tendre enfance. candide et enthousiaste, le jeune shinsuke accepte et dissipe une bonne partie de son argent de poche en bouquins, lui qui n’a jamais vraiment aimé lire. au grand dam de ses parents, shinsuke abandonne le lycée pour se consacrer à son art; pendant plusieurs années, il apprend auprès de son mentor ce qui deviendra son gagne-pain pour le reste de ses jours. dans la foulée, il s’initie également à la danse de l’épée (sword dancer).

Le temps passe et il se rend compte que s’il continue sur cette voie, il se prédestine à une vie de misère et de pauvreté. en effet, s’il arrive à bien gagner pendant la saison estivale grâce à l’afflux de touristes, c’est une tout autre paire de manches sitôt l’hiver venu. les new-yorkais s’enferment à double tour dans leurs maisons chauffées tandis qu’il grelotte dans la minuscule chambre qu’il loue à un prix exorbitant pour son portefeuille. shinsuke se rend à l’évidence : il doit abandonner sa passion ou s’allier à ses semblables; il ne peut plus faire cavalier seul. à contrecœur, il aborde un type qui traîne souvent sur son lieu de travail et qui arnaque les touristes avec son jeu de cartes. les deux hommes, d’abord méfiants l’un envers l’autre, unissent leurs forces et réalisent qu’ils reçoivent bien plus l’attention ensemble que seuls — et plus de billets, facteur non négligeable pour ces paumés de la vie. peu à peu, d’autres artistes de rue se joignent à eux et leur duo devient un trio, un quatuor, puis une troupe entière d’une dizaine de personnes. une troupe de bras cassés qui se serrent les coudes, quoi qu’il advienne. ils cohabitent dans un appartement pourrave du bronx et on pourrait avoir du mal à le croire, mais ils sont heureux comme ça.

jusqu’au jour où le bras droit de la troupe disparaît de la carte. personne ne sait où il s’en est allé, par quels sentiers tortueux ses pas l’ont conduit; tout ce qu’on sait, c’est qu’il a laissé tomber ses camarades du jour au lendemain, sans la moindre explication, alors qu’ils avaient tous besoin de lui à leurs côtés. shinsuke n’a pas compris; shinsuke ne comprend toujours pas. comme un grand garçon, il se retrousse les manches et ravale sa rancœur à l’égard de l’homme à qui il n’a jamais vraiment pardonné. celui qu’il considère comme son frère d’armes, son frère d’âme. gus.

des relations sans lendemain, shin en a connu à la pelle. il ne s’attache pas vraiment aux personnes qui croisent sa route ou qui bercent ses nuits; il sait que tôt ou tard, ses amours noctambules se lasseront de lui. et puis, alors qu’il cherche un bouquin à offrir à son mentor, en l’honneur de leur amitié et des vieux jours, il tombe sur un drôle de zigoto qui bégaie et qui n’ose pas croiser son regard alors qu’ils bavardent entre oscar wilde et j. r. r. tolkien. sourires maladroits, mains sulfureuses. et puis, un jour, des paroles de trop sortent de la bouche de shin et c’est la fin du conte de fée. comme gus avant lui, lenny disparaît dans les brumes du matin. shin espère son retour, mais à trop espérer, on en oublie de vivre.

(tw / avaler des sabres, blessures internes)

afin de divertir la foule assemblée sur la place publique, shinsuke décide de complexifier son numéro habituel : il augmente le nombre de lames ainsi que la durée pendant laquelle il les conserve dans son œsophage. comme toujours, la manœuvre peut lui coûter la vie; avaler des épées ne relève pas d’un tour de magie ou d’une illusion d’optique, quoi que puissent proférer les incrédules. l’homme ne recule toutefois pas devant le danger, il vit pour les regard ébahis et les cris d’effroi de son public. hélas, l’expérience acquise pendant les vingt dernières années ne vaut rien face à l’ambition démesurée et à la fatigue accumulée. shin calcule mal la trajectoire de ses armes et l’une d’elles perfore sa chair et effleure ses organes internes. il passe les semaines suivantes confiné dans une minuscule chambre d’hôpital, entouré des membres de la troupe, sa seconde famille. son médecin l’exhorte à exercer un métier plus conventionnel, mais notre tête brûlée se cabre à la simple idée de ressembler aux pantins enfermés entre quatre murs, cinq jours sur sept. alors sitôt sorti de l’hôpital, il continue à narguer la mort du bout de l’épée, avec damoclès au-dessus de la tête. because the show must go on, come what may.


this session is gonna be different
ange ꕥ 111 ans
fréquence de rp : j’essaie de répondre en moins de dix jours. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, je ne puis me passer de vous. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 400-700 mots, parfois plus, parfois moins. ϟ avatar à réserver : tony thornburg. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : les petits poisons rouges. ϟ comment avez-vous connu 99 ? quand j’ai acheté mon pc, il était dans mes favoris jsp comment Tag danse sur I've got 99 problems 1380091441 ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? vous pensiez que je me contenterais de cassiopeia et brahms? hahaha so did i Arrow
vocivus (icon) moses (avatar)

defying gravity

Invité
26 r ; 613 v.
Lun 3 Aoû - 1:16
maia north
vingt-deux - danseuse/serveuse
FEAT : alexa demie
Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum. Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
who am I
ꕥ âge : vingt-deux
ꕥ nationalité : la nationalité de votre personnage (pour plus d'infos, lien si applicable
ꕥ parrain : oui je veux bien  love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : alooors, je m'appelle julia et j'ai 24 ans  What a Face j'aime beaucoup beaucoup regarder des films, des séries et je suis une fan des musicals  Tag danse sur I've got 99 problems 3466005161 et je reviens d'une petite pause rp. Me présenter c'est pas ma spécialité donc je vais arrêter le carnage, mais j'ai hâte de pouvoir jouer parmi vous  Tag danse sur I've got 99 problems 3348919469

petit portrait chinois
ꕥ un livre : écrire ici
ꕥ un film : moulin rouge
ꕥ une série : community, the leftovers
ꕥ une chanson : the draw, bastille
ꕥ un animal : loup
ꕥ un plat/dessert : fondant au chocolat  Tag danse sur I've got 99 problems 3095230557
ꕥ une boisson : du thé
ꕥ une célébrité : écrire ici
ꕥ un pouvoir magique : téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : ce n'est pas obligatoire, mais n'hésitez pas à préciser les sujets sur lesquels vous n'avez pas envie de lire, ou qui vous mettent mal à l'aise.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.

Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.

Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.



this session is gonna be different
grayson/julia ꕥ 24 ans
fréquence de rp : difficile à dire pour le moment, je m'y remets tout doucement ϟ fréquence de connexion : tous les jours normalement ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? xx ϟ avatar à réserver : alexa demie ϟ de quelle couleur sont les petits pois : j'aime pas les petits pois  ϟ comment avez-vous connu 99 ? écrire ici. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est trop beau pas ici, j'ai hâte  Tag danse sur I've got 99 problems 594440419 .
tumblr (gif) solsken (avatar)

nothing means nothing without you (lola)

Invité
21 r ; 437 v.
Lun 20 Juil - 21:24
Lola Diaz
30 ans - doublure à Broadway
FEAT : Gina Rodriguez
Lola est née au Mexique, elle n’en garde pour autant aucun souvenir, trop jeune lorsque sa famille a expatrié aux Etats-Unis. Elle a grandi à New-York, des étoiles plein les yeux malgré l’incompréhension qui subsiste quand à l’arrivée de sa famille aux Etats-Unis. Lola, elle en a eu des reproches lourds, trop accablée par l’image qu’on avait d’elle. La mexicaine, l’expatriée alors qu’elle, elle se sentait uniquement américaine. Aujourd’hui, en conflit avec ses origines et sa Green Card, Lola rêve de gloire, du feu des projecteurs sur son visage. Lola danse, chante, joue la comédie, est musicienne. Elle aimerait un rôle vedette mais se retrouve constamment reléguée à être la doublure des seconds rôles. Lola n’est personne, incapable de réussir ses castings. Les factures s’accumulent, et malgré qu’elle soit serveuse pour s’en sortir, elle n’y parvient pas. Lola ne s’en sort plus, elle n’en dit pourtant rien à ses proches. Elle prévoit d’être mère porteuse pour rembourser ses dettes et pouvoir continuer à rêver dans l’ombre.
who am I
ꕥ âge : elle a 30 ans, maintenant, depuis le 15 janvier.
ꕥ orientation sexuelle : elle est attirée par les hommes.
ꕥ situation : Lola est une handicapée des sentiments qui multiplient les déceptions amoureuses. Elle en a eues, des relations et pourtant, elles se sont toutes terminées par des larmes. Elle est de celle qui s’attache, trop tôt, à donner son coeur à qui en voudra. Et à qui n’en voudra pas, d’ailleurs. Elle s’est longtemps persuadée que son prince charmant viendrait un jour, elle l’attend encore.
ꕥ occupation : Elle avait des rêves plein la tête. Enfant aux étoiles dans les yeux, elle avait regardé les spectacles de Broadway avec autant d’admiration que de détermination. Lola y serait, elle le savait. Lola le voulait tant. Elle se rêvait sur les devants de la scène, les projecteurs pointés sur elle. La réalité, elle ne l’avait pas anticipée. Elle ne l’avait même imaginée, tant elle était difficile à avaler. Lola, avec le temps, voyait son rêve s’évaporer. Elle, elle était reléguée à l’arrière de la scène, à l’espoir malsain de voir celle dont elle était la doublure se blesser. Lola, elle n’est que la remplaçante, celle qui vient sauver le spectacle en cas de besoin, jamais vraiment. Les seconds rôles ne se blessent que trop rarement, eux aussi, ils espèrent. Lola, doublure à Broadway, rêve toujours. Et pourtant, ses désirs ne paient pas les factures qui s’accumulent encore et encore. Lola se noie, s’oblige à travailler dans des bars pour compenser les dettes. Insuffisant, bien évidemment.
ꕥ quartier : elle a pris ses quartiers dans le Queens (the sunflower building).
ꕥ qualités : déterminée - passionnée (par tout et rien) - souriante - tendre - romantique - douce - créative
ꕥ défauts : têtue (terriblement) - curieuse - craintive - rêveuse - rancunière - jalouse - impatiente
ꕥ passions : {#}danse{/#} - Lola a toujours aimé ça, s’exprimer à travers les mouvements de son corps, elle danse souvent, s’entraîne en permanence. La danse, c’est ses émotions qu’elle n’ose dire. Les courbes de son corps parlent à sa place, lorsqu’elle ne parvient plus à parler. Des mouvements doux, légers, parfois plus vifs, plus saccadés. Lola ne s’en lassera jamais. {#}piano{/#} - ça n’a pas toujours été simple et pourtant, le simple fait d’effleurer les touches de son vieux piano l’apaise, calme ce trop plein d’émotion qui l’envahit sans arrêt. Lola a appris seule, avec du temps, avec de l’envie, avec la détermination qui l’anime. Ce talent, elle le montre quelques soirs. Cette passion, elle la vit pourtant seule, en général. Dans l’ombre. Ses sentiments, elle les vit en silence, tandis que les notes s’envolent. Parfois, elle chante. Voix cristalline qui explose, surprend. Lola, elle aime la musique, indéniablement. {#}chat{/#} - grande amoureuse des animaux qu’elle est, Lola aime les chats avec adoration. Elle est de celle qui change de voix, lorsqu’elle voit l’une de ses boules de poils, de celle à vouloir tous les adopter. Elle en a deux, d’ailleurs. Deux chats qui lui offrent l’amour dont elle manque cruellement. {#}dessin{/#} - ça, c’est un secret pour tous. Son jardin à elle, mais Lola dessine, met sur papier des petits personnages qu’elle connaît ou qu’elle invente. Elle laisse glisser ses crayons pour donner vie à ce qui lui passe par la tête. Elle garde ça précieusement, dans un petit carnet, sorte de journal intime.
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : {#}Broadway{/#} - {#}Los{/#} Latinx - {#}NYC{/#} Expats
ꕥ scénario/pré-lien : la petite soeur Diaz
ꕥ parrain : oui, ça me plairait bien si possible

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Hello tout le monde Tag danse sur I've got 99 problems 2881807329,
J’ai pas tellement l’habitude de ce genre de présentation, et même de parler de moi, je préfère écouter en général. Je suis plutôt discrète, comme personne, mais vous pouvez m’appeler Lili.Je fais du rp depuis dix ans maintenant, ça me paraît loin tout ça quand je vois tout ce que j’ai pu inventer. J’aime dessiner, chanter, dormir (c’est très important), lire, écrire (évidemment). Je suis une petite joueuse d’Animal Crossing, Pokémon et d’autres (quand je prends le temps). Et voilà ce que je peux dire pour le moment.Vous êtes beaux et adorables, aussi.  Tag danse sur I've got 99 problems 995762081

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La Baie des Baleines, Jojo Moyes
ꕥ un film : Love Actually (pour n’en choisir qu’un)
ꕥ une série : Sex and The City (ou One Tree Hill, ou Grey’s Anatomy ...)
ꕥ une chanson : Make you feel my love, Adele
ꕥ un animal : le pingouin (ou le chat, le tigre, l’ours, le chien, la loutre ... amoureuse des animaux, en fait)
ꕥ un plat/dessert : la pizza / la tarte au citron meringué
ꕥ une boisson : l’eau ...
ꕥ une célébrité : Emma Watson
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation, pour aller partout facilement

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : les agressions sexuelles


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
(les anecdotes) Lola est passionnée. Par tout, par rien. Par les petites curiosités de la vie, par le monde en sa globalité. Son ouverture d’esprit - et ses origines - lui ont permis de voir au-delà de New-York. Lola se fascine pour l’histoire, pour les langues - en plus de l’espagnol et de l’anglais, elle a tenté d’apprendre le français et le mandarin avec plus ou moins de succès - pour les découvertes scientifiques, pour la politique, les travaux manuels et même la décoration d’intérieur. Tout ça, en plus de la danse, du théâtre, de la musique. Lola aime tout, veut tout tester. ○  Elle peut passer du tout au rien. Du rire à gorge déployée au torrent de larmes en quelques secondes. De l’apaisement total à un stress intense et sans appel. De l’affection à l’agressivité. Lola change en un instant. Pour une petite contrariété, pour un moment plus triste, plus touchant, pour un problème mineur, pour une grande joie. Ce n’est qu’une partie de l’iceberg, parce que Lola est plus que ça. Elle peut être dérangé par un bruit infime, par une odeur trop forte. Elle peut pleurer pour si peu - ce film triste, cette scène remplie d’émotion dans une série, une tranche de vie dans la rue. Lola est à fleur de peau sans arrêt. Elle craint, elle a peur du regard des autres. Lola veut plaire, cherche à se faire aimer. Tout le temps. Elle a le souci du bien faire, trop perfectionniste parfois d’ailleurs. On lui dira qu’elle est trop sensible, mais Lola répondra qu’elle l’est. Qu’elle est même hypersensible. Des bons côtés, il y en a. Elle a de la créativité au bout des doigts, des pieds, dans la tête. Lola écoute beaucoup, elle sait le faire à merveille bien plus que parler d’elle. Elle analyse, se questionne, conseille. Lola est une éponge à émotion, elle comprend vite, inutile de lui mentir. ○ Lola a rêvé très tôt du grand amour. De celui en lettres capitales. Elle rêvait d’un prince aussi beau que drôle. Aussi charmant qu’intelligent. Elle a rêvé de perfection très longtemps. Et elle en a rencontrés, des crapauds. De nombreux. Les mêmes qui se prenaient pour des princes. Lola est tombée amoureuse plusieurs fois. Peut-être trop, d’ailleurs, pour que ce soit véritable. Lola s’est surtout couverte de ridicule. Elle a cru, s’est abandonnée. Elle a perdu gros. Sa fierté, son coeur et son amour propre, aussi. ○ Elle a beaucoup vécu de ses économies, sans réellement pouvoir prévoir l’avenir. Faut dire, doublure de seconds rôles, ça n’avait rien pour lui offrir la vie dont elle avait rêvée. Lola a bien essayé de s’en sortir, en travaillant plus, toujours plus pour payer les factures accumulées, pour éviter les relances trop nombreuses. Lola a tenté de palier au rouge de son compte en banque, aux loyers impayés, aux menaces. Elle a commencé comme serveuse, puis comme pianiste pour divertir. Lola avait besoin d’argent mais rien ne suffisait. Devenir mère porteuse, finalement, ce n’était que la solution à ses problèmes. Elle le savait. Ce n’était pourtant pas ainsi qu’elle avait imaginé devenir maman - et même pas vraiment, d’une certaine façon. ○ Du plus loin qu’elles se souviennent, Lola a toujours aimé les animaux. Pas étonnant de savoir qu’elle en possède. Un lapin, douce peluche du nom de Harry - à cause du héros à lunettes, pas du prince - deux chats, l’un affectueux et fin gourmet qui répond au nom de Cookie et l’autre, tendre et peureux du nom de Hercule. De l’amour, elle leur en donne plus que de raison. Si elle pouvait, elle en aurait d’autres. De toutes les tailles, de toutes les couleurs, de toutes les formes. ○ Lola en veut à sa mère, depuis tant d’années qu’elle a cessé de compter. Les étiquettes l’ont lassée. Pas aussi américaine qu’elle le prétendait, il suffisait de voir sa Green Card. Et pourtant, des souvenirs, elle n’en a aucun. De là-bas, de son pays d’origine. Lola n’était rien d’autre que la mexicaine, l’expatriée, la fausse espagnole. Elle n’a cessé d’être jugée, de ne pas comprendre pourquoi on ne la considérait pas comme ce qu’elle était. Une New-Yorkaise. Elle ne cesse de reprocher leur arrivée ici, d’avoir été déracinée pour vivre sous des étiquettes qu’elle ne pouvait accepter. ○ Lola est allergique aux fraises. Elle déteste le café. Elle a toujours des bonbons à la menthe dans son sac à main. Elle fait des listes, de peur d’oublier alors qu’elle a pourtant une excellente mémoire. Elle réfléchit trop, est trop souvent indécise et se perd dans des pensées désordonnées. Lola a le rire facile. Elle a appris à jouer du piano toute seule, sur un coup de tête. Elle cuisine plutôt bien, même si elle ne fait jamais rien de compliqué.

(l’histoire)
INTO THE UNKNOWN
Elle n’en gardera aucun souvenir, de ces paysages qui se dessinaient sous ses yeux. Ce sera la dernière fois qu’elle les verra. Ce sera la derrière fois qu’elle foulera les terres qui l’avaient vu naître. Lola n’était qu’une enfant, incapable de comprendre ce qu’il se passait réellement. Incapable de mettre des mots sur ce qu’ils faisaient tous. Elle n’aurait jamais pensé que c’était pour le mieux, que c’était ce qu’il fallait. Lola n’en savait rien, elle ne faisait que suivre le mouvement. Fuir le pays pour une nouvelle vie. Trop jeune même pour comprendre que jamais plus elle ne reverrait celui qu’elle appelait Papa, qu’elle n’en garderait que des souvenirs vagues grâce à une vieille photo conservée précieusement. Lola ne savait pas encore combien les discriminations pourraient la toucher, elle mais toute sa famille également.

ALL I WANT IS A GOOD GUY
Il y a ces moments dans vie qui marquent plus que les autres. Ou peut-être qu’elle a voulu le voir ainsi, Lola. Elle a souvent imaginé, rêvé, pensé à ce jour où elle pourrait croiser son chemin, un peu trop bercée par les romans d’adolescentes et les dessins animés. Trop optimiste pour ne pas voir l’envers du décor. Elle l’a vu à la sortie d’un cours. Un nouveau venu, venu de loin - comme elle, d’une certaine façon - d’après les quand dira-t-on. A peine plus vieux, beaucoup plus beau. On a dit qu’il s’appelait Teddy, Theodore. Il venait de Memphis, une mutation. On en a tant dit à son sujet que Lola, elle n’a plus su ce qui était vrai ou non. On a surtout fait rêver tout le monde, toutes les filles du lycée surtout. Teddy, il a représenté la fraîcheur, l’élève à amadouer. Elles ont tout essayé pour l’approcher, pour lui décrocher un sourire, pour le séduire. Sauf Lola, toujours dans l’ombre. Toujours en retrait. Suffisamment loin pour observer le défilé de la concurrence. Elle n’aurait eu aucune chance. Le destin a eu raison de l’attente, de l’observation et du fantasme qu’il avait fait naître. Lola avait finalement eu la chance de se retrouver en binôme avec lui, pour un exposé important. De quoi griffonner les pages de ses cahiers de Teddy + Lola sans jamais se lasser. Lui, il est resté fantasme inavoué, parce qu’elle, elle n’a jamais osé le lui dire. Elle l’a aimé longtemps, jusqu’à s’en brisé le cœur.

FLYING ON MY OWN
Ils avaient tous des rêves plein la tête. Certains avaient voulu Harvard, d’autres Brown. Lola, elle, elle rêvait surtout de Broadway. Elle dansait déjà depuis longtemps, elle chantait, depuis autant de temps - et même dans la chorale - elle avait rejoint la troupe de théâtre du lycée. Elle avait l’art au bout des doigts, la musique dans le sang et l’envie de briller toujours plus. Des rêves, Lola en avait, mais ils étaient bien différents de ceux des autres. Médecine, ce n’était pas pour elle. Droit, encore moins. Littérature, sociologie, psychologie, rien ne l’intéressait plus que la scène. Lola a étudié à Columbia, grâce à une bourse durement obtenu. Elle est entrée à l’université, pleine d’espoir pour son avenir. Elle a choisi d’étudier la danse, le théâtre et la musique, aussi. Pour se donner les chances de réussir. Son ambition était forte, trop sans doute. Lola voulait prouver ce qu’elle valait, quitte à se brûler les ailes. Elle voulait que sa famille soit fière, montrer à tous qu’elle pouvait y arriver.

LOVING YOU HAD CONSEQUENCES
Nouvelle crise de larmes, nouvelle déception. Elle a fini par cesser de les compter. Incapable de choisir les bons hommes. Hugo, Samuel, Julian, Trent, Brett. Et la liste pouvait continuer ainsi, encore trop longue. Au fond, ça n’avait jamais été très loin. Parfois quelques rendez-vous, quelques promesses puis rien. Parfois quelques mois, quelques projets. Puis rien. Alan a été le dernier en date. Et si les autres avaient été idiots, ils n’avaient jamais osé aller jusque-là. Lola a eu droit aux excuses sans fondement. Des c’est pas toi, c’est moi. Des t’es trop bien pour moi, tu trouveras mieux. Du manque de sentiments, passion ou flamme - ça dépendait de l’homme. Du besoin de se recentrer. Du plus direct, sans passer par la case délicatesse. Lola a connu les déceptions amoureuses en plusieurs volumes. Une encyclopédie, sans vraiment exagérer. Peut-être parce qu’elle s’attache trop, trop vite. Et Alan, il a eu le meilleur trophée. Celui du salaud. Lola l’a surpris avec une autre. Une fois. Elle a pardonné. Et il a recommencé. Plusieurs fois, trop de fois. Elle s’était pourtant persuadée que c’était le bon.

WILD HEART CAN’T BE BROKEN
On lui avait encore fait la remarque. Encore une fois, on lui avait dit qu’elle ne ferait pas l’affaire. Trop mexicaine, qu’on lui avait rétorqué. Lola ne correspondait pas, elle n’irait pas. Elle leur avait hurlé qu’elle était d’ici, qu’elle avait grandi ici. Probablement même qu’elle connaissait mieux cette ville que n’importe qui d’autre. On lui avait désigné la porte, sans un mot. Lola en avait assez. Trop à fleur de peau. L’annonce officielle de la mort de son père l’avait bouleversée. Personne ne l’avait cherché, au fond. Peut-être qu’il n’était pas mort d’ailleurs, Lola n’en saurait jamais rien, incapable de se souvenir de lui ou même du son de sa voix, de mots qu’il lui disait avant de dormir ou de son sourire. Lola ne s’en souvenait pas. Comme elle ne se souvenait pas de ce pays qui avait été le sien, un jour. Un jour lointain. Lola s’est toujours sentie américaine, quand bien même elle était obligée d’avoir une Green Card pour ça. Elle lui en voulait si fort, à sa mère, de l’avoir obligé à partir, de l’avoir privée d’une vie qu’elle croyait sans discrimination - bien loin d’entendre qu’elle l’aurait subi au Mexique aussi, trop espagnole cette fois. Elle lui en voulait tant qu’elle en provoquait des tensions, des crises auprès de ses aînés. Ses reproches ne devraient pas, c’était mieux pour eux. C’était comme ça. Pour leur sécurité. Discours qu’elle n’entendait pas, tant elle en voulait d’être aujourd’hui encore discriminée pour des origines sur le papier.


I’LL NEVER LOVE AGAIN
Il paraît que l’on ne s’en remet jamais réellement. Lola a été heureuse un instant. Un an, finalement. On lui a dit qu’elle avait précipité les choses. Et c’était vrai. Il paraît qu’on ne se relève jamais, de cette déchirure à la poitrine. Lola a eu le coeur brisé une énième fois. Non, je ne peux pas. Désolé. Les mots continuent de résonner dans son esprit. Elle a cru à un rêve, s’est pincée et a réalisé. Des larmes plein les joues, des rêves envolés et un coeur en morceau. Elle l’avait rencontré après une nouvelle déception. Le hasard, avait dit quelqu’un. Un beau hasard qui lui a permis d’y croire à nouveau - encore une fois. Lola a espéré que tout soit différent. Tout a été soudain, spontané. Jusqu’à cette demande, genou à terre, devant des milliers de gens. Lola ne s’y attendait pas. Il a demandé sa main lors d’un match de baseball. Petit coup monté de sa part, filmé sur la caméra centrale. Des larmes de joie, un grand oui et une sublime bague à son doigt. Lola a vécu le rêve ultime. Non, je ne peux pas. Désolé. Elle n’avait pas compris, elle n’a jamais eu d’explication. Il s’est enfui, devant familles et amis. Il l’a plantée devant l’autel, sans se retourner. Elle ne l’a même pas revu après ça, incapable de le regarder en face. La lune de miel non remboursable, elle l’a passée avec ses meilleures amies. Les cadeaux de mariage ont retrouvé le chemin des magasins, les remboursement celui des acheteurs. Les lettres de félicitations jetées. Les dizaines de mails d’excuses envoyés dans les courriers indésirables. Et la bague, toujours sur le porte bijou, comme pour lui rappeler de ne jamais plus commettre d’erreur.

NEVER ENOUGH
La honte l’a envahie. Elle n’avait pas prévu d’en arriver là. Des rêves plein la tête, des projets en pagaille et le néant. Lola a eu l’esprit trop vif, avec ses espoirs de gloire. Aujourd’hui, fauchée. Loyers en retard, factures impayées. Elle n’aurait jamais cru en arriver là, en choisissant ses rêves à la sécurité. Lola, pourtant, elle aurait dû se résigner. Toujours doublure, jamais de rôles. Toujours là, avec l’espoir malsain que l’actrice se blesserait et qu’il lui faudrait la remplacer. Ça n’arrivait quasiment jamais. Elle n’avait pas le succès espéré. Lola ne pouvait nier, elle commençait à paniquer. Ses soucis financiers, elle préférait ne pas en parler. Ni à ses amis, ni à sa famille. Encore moins à sa famille. Lola a tenté, espéré. Elle a commencé à travailler comme serveuse, comme pianiste. En attendant la gloire. Lola est définitivement dans le rouge. Lola, elle n’aurait jamais cru devoir faire ça. Tenter le tout pour le tout, gênée et incertaine de ce qu’elle faisait. Devenir mère porteuse pour de l’argent. Elle n’a rien dit. Pas tant qu’elle ne sera pas enceinte, de peur de revenir sur sa décision sous le regard de ses proches.



this session is gonna be different
lili/alicia ꕥ 26 ans
fréquence de rp : au moins une fois par mois ϟ fréquence de connexion : régulièrement, plusieurs fois par semaine ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 500 mots, mais je m’adapte ϟ avatar à réserver : gina rodriguez ϟ de quelle couleur sont les petits pois : qu’est-ce que c’est que cette chose ?  Arrow  ϟ comment avez-vous connu 99 ? une petite voix m’a soufflé l’adresse. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c’est certain, je vous aime déjà.  I love you
tumblr (gif) carolcorps (avatar)

Kore + C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre.

Invité
19 r ; 763 v.
Dim 14 Juin - 16:09
kore Franklin
30 ans - professeur de danse
FEAT : katerina graham D'origine canadienne par son père et américano-libérienne par sa mère. Elevée pour être le parfait modèle d'assimilation culturel (c'est beau d'y croire, non ?), elle fréquente durant toute sa jeunesse une paroisse très conservatrice. Rebelle par sa proximité avec la communauté LGBT+, c'est au cours d'une Pride qu'elle rencontre cet homme gay qui deviendra son plus grand amour. Tombant follement amoureux l'un de l'autre, ils construirent (trop) rapidement une vie à deux, avec enfant, mariage et rêves d'avenir. Mais la passion du début laisse rapidement place place au tracas du quotidien et les deux amoureux deviennent rapidement meilleurs partenaires de vie qu'amants. La passion s'étiole, leur parentalité et leur travail deviennent rapidement tout ce qu'il leur reste d'amour. Kore, tombe alors sous le charme d'une femme, mal intentionné, égoïste, peu fiable. Elle fait tomber la brune dans la drogue et les vices d'une vie de mensonges, jusqu'au réveil, brutal, qui amène la jeune femme à quitter mari, enfant et vie d'avant pour s'enfermer six mois dans une clinique pour une cure de désintoxication. Revenue sevrée, mais pas sauvée, Kore tente de reprendre sa vie en main dans le vrai monde et espère pouvoir renouer avec sa famille, même si rien ne sera plus jamais comme avant.
who am I
ꕥ âge : Breaking news : fêter son anniversaire en désintox n'est pas super joyeux. Entre ceux qui sont un peu trop excité par un tel événement et ceux qui pleurent l'absence d'alcool... Sans compter le gâteau bon marché... Non, j'ai totalement été dépossédé de mon premier jour dans la trentaine, mais qu'importe. J'avais mieux à faire de toute façon.
ꕥ orientation sexuelle : J'ai toujours pensé que j'étais hétéro, jusqu'à ces derniers mois où j'ai découvert que je pouvais aussi être attirée par les femmes, même si elle reste bien plus souvent encline à tomber sous le charme d'un homme. J'apprends encore à composer avec ma bisexualité.
ꕥ situation : Je pourrais me dire célibataire, divorcée même. Mais en fait, je suis toujours légalement marié. Mais je serais bientôt divorcée. Dès que j'aurais donné à l'avocat de mon mari le nom d'un avocat et une adresse où envoyer les papiers. J'avoue que je fais délibérément traîner les choses. C'est injuste pour mon mari, mais j'ai besoin de temps pour faire mieux les choses avec lui.
ꕥ occupation : Passionnée de danse depuis toujours, j'en ai fait mon métier très tôt, devenant professeur de danse dans une école. Je rêvais d'ouvrir mon propre studio, mais le destin en a décidé autrement et aujourd'hui, contrainte de travailler, j'exerce principalement comme employée au Lift, en qualité de professeur de zumba.
ꕥ quartier : Je suis retournée dans le Queens, le quartier où j'ai vécu ma plus belle et ma plus mauvaise vie. J'ai décidé toutefois d'aller dans le quartier de Flushing pour ce nouveau départ.
ꕥ qualités : énergique, résiliente, compréhensive, débrouillarde, ...
ꕥ défauts : fragile, fuyarde, tiraillée entre devoir et envies, dépendante, ...
ꕥ passions : {#}danse{/#} ; {#}yoga{/#} ; {#}thé{/#}
ꕥ communautés : Le lift ; Le club de lecture du Queens ; Les narcotiques anonymes ; The Oak Appartment Complex
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : non, c'est bon, je connais la maison ^^

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Hello everyone. Que dire de moi ? 29 ans, bientôt les 30 (ENFIN !), plus de douze ans de RP, une passion dévorante pour la lecture, l'écriture et l'exploration des méandres de l'esprit humain et des relations qu'on peut nouer aux travers des histoires. Passionnée, barge, compulsive, blagueuse, désespérante, hypersensible, entière, shippeuse, romantique, honnête, loyale, incomprise (drama queen XD), sadique avec mes persos, soumise à leurs envies, atteinte de DCites compulsive quand je me sens chez moi, tumblr addict, etc...

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Les contes de grimm
ꕥ un film : La couleur des sentiments
ꕥ une série : Dr House
ꕥ une chanson : The next right thing
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : un opéra
ꕥ une boisson : du thé
ꕥ une célébrité : Johnny depp
ꕥ un pouvoir magique : le transplanage

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : ça dépend des jours en fait ! Mais tant que ça reste safe et pas gratuit, ça me convient.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? En un mot ? Famille ! Ma famille est mon plus gros problème à l'heure actuelle. Cette famille que j'ai abandonnée, du jour au lendemain, sans une explication et sans un mot. J'ai tant appris sur moi ces derniers mois. J'ai tant de choses à leur dire. Mais j'ai abandonné mari et enfant, du jour au lendemain et je sais que cela ne sera pas simple. Mes parents doivent penser que je suis une honte. Mon mari... je connais assez son tempérament pour savoir que son ego en a prit un coup et qu'il me faudra plus qu'un café et des excuses pour qu'il comprenne et pardonne. Quant à ma fille... Mon dieu, j'ai si peur qu'elle finisse par m'en vouloir. Même si elle a été heureuse de me retrouver dans son école, je l'ai quand même abandonné, il y a six mois. Ce sont forcément des choses qui laissent des traces...

Une addiction à déclarer ? Le thé. Je bois énormément de thé et je mange des trucs sucrés. Beaucoup aussi. Mon thérapeute me dit que c'est normal. Que le corps réclamera toujours des doses et que le sucre reste malgré tout meilleur que mon ancien poison. Victime de la crise des opiacés. Voilà ce que j'ai été. Ce que je ne veux plus être.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Ironie du sort, mes deux dernières relations se sont terminées en même temps et je ne sais plus vraiment laquelle était la première et laquelle était la dernière. J'avais une maîtresse. Une grave erreur, mais voilà. Quand j'ai réalisé à quoi ressemblait ma vie : adultère, drogue, danger, j'ai mis fin à ma liaison. J'ai mis ma maîtresse à la porte, attendu devant la porte, assise sur ma valise, que mon mari rentre du travail, puis je lui ai dit que j'étais désolée, que je ne pouvais plus faire ça, que je n'étais bonne ni pour lui, ni pour notre fille et je suis partie. Je lui dois encore une explication. Je le sais bien. A lui. Pas à elle. Elle n'était qu'une erreur et elle le savait très bien. Je n'ai plus aucun contact avec elle. Je dois maintenant reprendre contact avec lui.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
[mention]message envoyé[/mention] a écrit:Je vais aller voir ce dealer au coin de East et Lowell si tu viens pas de suite me chercher...


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Je ne préfère pas. Bon d'accord. Ils sont bons. J'ai toujours cru qu'ils étaient irréprochables, mais j'ai appris des secrets de familles qui ne sont pas évidents. Ils sont en parti la raison pour laquelle j'avais besoin d'endormir la douleur. Je ne leur en veux pas. Ils ont fait ce qu'ils ont pu avec ce qu'ils avaient. Avec leurs propres failles... Mais il y a des secrets qui vous meurtrissent dans votre chair, même quand c'est la leur qui est atteinte. Ils m'ont éduqué comme une bonne Américaine, catholique, pratiquante, irréprochable. En cours de route, j'ai appris que rien n'était tout blanc ou tout noir (ironie des mots), pas même eux. Je les ai abandonnées, sans un mot, comme tous les autres.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? La danse est un peu une obsession, une passion. Quand je ne travail pas, j'aime rester tard pour continuer de profiter de la salle pour danser, rien que pour moi. Je vais aux réunions des narcotiques anonymes et trois fois par semaine, au cours de yoga de mon parrain. Je passe beaucoup de temps avec lui, à travailler sur moi, sur ma résistance aux envies toxiques et bien évidemment, j'ai mon rendez-vous toutes les deux semaines avec ma thérapeute. Je ne fais pas de folies. Encore moins qu'avant. La stabilité est essentielle pour la guérison, alors j'ai un planning et j'y déroge peu. On pourrait presque me qualifier de ritualisée.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Des faits peu glorieux, j'en ai quelques-uns à mon actif, le pire étant bien évidemment celui où mon enfant s'est mis en danger parce que j'étais trop stone pour y prêter attention. Mais je n'ai pas très envie de m'étendre sur le sujet, essayant grandement de penser à mon avenir et à ce que je peux réparer, plutôt qu'à ce que j'ai fais du mal. Je vais donc plutôt parler de mon premier jour aux Narcotiques Anonymes. Déjà, j'y suis un peu allé en traînant des pieds. Après six mois de cure, je pensais pouvoir m'en sortir dans le vrai monde. Grave erreur et Chudi le savait très bien. C'est lui qui m'a traîné là-bas. Je me demande encore parfois ce qu'il voit en moi pour mettre tant d'énergie à me sauver de mes démons. Chudi était intervenant au centre. C'est lui qui nous initiait au yoga, à la méditation, à toute la réappropriation de notre corps et de nos sensations. Pas la meilleure partie du programme à nos débuts. Quand il m'a fait asseoir et écouter les histoires des autres, toutes ces histoires tellement sordides que je roulais des yeux toutes les deux minutes, il m'a demandé d'avoir l'esprit ouvert, de ne pas oublier d'où je venais et où j'en étais maintenant et le chemin qu'il me restait à parcourir. Je l'ai presque envoyé balader, lui disant qu'il avait beau travailler auprès de drogués, il ne savait pas ce que c'était que de vivre dans la tête de l'un d'eux. J'ai cru avoir réussi à le piquer au vif et j'étais toute fière de moi en me tournant vers la fille à mes côtés pour lui dire que j'avais raison et qu'il avait tort, lorsqu'il s'est levé en roulant des yeux. Sauf que je l'ai vu s'avancer et monter sur la petite estrade servant au témoignage. J'avoue, je suis devenue rouge de honte, alors, quand il a commencé son discours par le traditionnel : "bonjour, je m'appelle Chudi" ; avant de poursuivre d'un : "Je suis abstinent et aujourd'hui ça fait précisément dix ans que j'ai pris ma dernière dose." Ca a été au tour de la fille de me regarder avec un air supérieur, avant de me dire que Chudi était un des plus anciens membres du groupe et le meilleur parrain du monde. Qu'il l'avait aidé à resté sobre ces quatre dernières années et qu'ils venaient de mettre fin à leur parrainage parce qu'elle était enfin prête à voler de ses propres ailes. Je me suis promis ce jour-là de ne plus jamais juger un livre à sa couverture. Quelques jours plus tard, Chudi est devenu officiellement mon parrain.
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Lilith W./Em ꕥ 29 ans
fréquence de rp : suivant l'inspiration, mais au minimum une fois par deux semaines. ϟ fréquence de connexion : Autant que possible *SBAFF*. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je préfère la qualité à la quantité, je peux très vite écrire 500 mots sur une phrase qui m'a inspiré et je ne demande qu'une chose qui m'en inspire tout autant en retour, même si c'est court. Faut donc pas s'inquiéter de la quantité Wink ϟ avatar à réserver : katerina graham. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : et les chaussettes alors, on y pense ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? le seul, l'unique et le cultissime prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? cucurbitacé.
gifer (gif) tumblr (avatar)

Carlota — Sal conmigo a bailar...

Invité
23 r ; 664 v.
Sam 4 Avr - 16:20
Carlota Verez
23 ans - étudiante/serveuse
FEAT : Danna Paola
Fille à papá y mamá ? Sans aucun doute. Carlota aime plus que tout ses parents, sa famille. Malgré ses airs de fille téméraire qui n’a pas froid aux yeux, ce fut un vrai déchirement pour elle lorsqu’elle a quitté son pays natal pour venir rejoindre sa grande sœur à New-York et suivre des études de médecine il y a de ça deux ans maintenant. C’est une vraie épreuve pour Carlota, surtout en connaissant son anxiété capricieuse et ses crises d’angoisse récurrentes. Mais elle n’est pas seule la jolie espagnole, elle a sa sœur à ses côtés et elle a la danse. Danser, c’est ce qui la fait vivre. Carlota danse depuis qu’elle sait marcher, elle danse quand elle est heureuse, elle danse pour qu’on la regarde, elle aussi quand elle a mal ou quand il faut oublier. Elle ne fait que ça. Et la danse l’aide, elle l’aide à tout affronter et à se surpasser. La danse fait vivre Carlota. Seulement elle est également prête à tout pour rendre fiers ses parents, quitte à renoncer à ses rêves pour continuer des études qu’elle déteste et qui la rendent malade un peu plus chaque jour.
who am I
ꕥ âge : 23 ans (Carlota est née le 9 juin 1997 à Madrid)
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : étudiante en médecine mais également serveuse au Scarlet
ꕥ quartier : The Poppy Building, dans le Queens, avec sa grande sœur.
ꕥ qualités : extravertie, romantique, rusée, indépendante, loyale, franche et pétillante.
ꕥ défauts : impulsive, imprévisible, têtue, égoïste, excessive, sarcastique et lunatique.
ꕥ passions : {#}danse{/#}, {#}cocktails{/#}, {#}soirées{/#}
ꕥ communautés : Scarlet Casino et Mafia Italienne ; Les étudiants de Columbia University
ꕥ scénario/pré-lien :Membres du Scarlet
ꕥ groupe : Idk what you’re talking about
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oui **
all about my player
ꕥ petite présentation perso : Moi je m’appelle Domitille, Domit, Cha ou Choppy... J’ai 20 ans et je suis étudiante en 2ème année de droit... M’enfin...! Je baigne dans le monde du rp depuis 7 ans environ (avec quelques petites pauses de temps à autres...). Je ne pense pas être une nana très embêtante, un peu quand même j’avoue... mais je suis surtout une grande squatteuse de Chatbox et de flood!

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : Orgueil et Préjugés (Jane Austen)
ꕥ un film : Joker (2019)
ꕥ une série : The Last Kingdom
ꕥ une chanson : Alunissons (ou Humanoïde) - Nekfeu
ꕥ un animal : Un chat
ꕥ un plat/dessert : Un saucisson sec (c’pas un plat mais bon...)
ꕥ une boisson : Une Triple Karmeliet
ꕥ une célébrité : Lady Gaga
ꕥ un pouvoir magique : L’invisibilité

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : Agression sexuelle

that's my first rp

The Poppy Building / Queens — 15 février 2020

Les rayons du soleil levant filtraient au travers des vitres de l’appartement et venaient s’échouer sur le visage de Carlota sans parvenir à le réchauffer. Elle faisait les cent pas dans son salon, l’esprit totalement ailleurs et les pensées obnubilées par ce qu’il venait de se passer. Son petit monde s’effondrait autour d’elle et elle n’arrivait pas à comprendre comment une simple discussion téléphonique pouvait tout remettre en question en un claquement de doigts. Pourtant c’était bien ce qu’il venait d’arriver ce matin pour Carlota. Elle n’avait pas passé la meilleure des nuits, son service de la veille au Scarlet fut long et tumultueux, mais elle était bien contente d’entendre les voix de ses parents à l’autre bout du fil alors qu’il était à peine sept heure du matin pour elle à New-York. Mais peu importe l’heure, cela lui faisait toujours plaisir de les entendre, de pouvoir prendre de leurs nouvelles, de leur raconter ses aventures new-yorkaises et de leur répéter sans cesse à quel point ils lui manquent. Mais cet instant de bonheur pour Carlota fut de bien courte durée puisque ses parents semblaient soudainement inquiets pour elle ce matin. Elle n’avait pas relevé, au début, parce qu’ils ont toujours été un tantinet inquiets au sujet de leurs filles. Mais ce matin c’était différent parce qu’il s’agissait des économies des sœurs Verez et ils laissaient sous-entendre qu’il faudrait bientôt se serrer la ceinture. Carlota ne comprenait pas au début, elle répétait que tout allait bien puisque Sara et elle avaient toutes les deux un boulot. Mais visiblement ça n’allait plus suffire puisque leur père allait prochainement arrêter de travailler. L’aide envoyée chaque mois par les parents n’allait donc plus suffire et des concessions devaient donc être faites.

Dépassée par la situation, Carlota s’était laissée tomber dans le canapé en soufflant. Elle était seule, elle ne savait pas du tout où Sara pouvait se trouver une fois de plus. Cela faisait quelques temps qu’elle s’éclipsait certains soirs pour ne réapparaître que les lendemains midi. Elles se parlaient moins aussi, rigolaient moins ensemble. Carlota ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir, quelque part, de ne plus être aussi présente. Et la jeune femme était en colère contre elle-même aussi, contre ses parents. La question de la danse avait tout de suite été mise sur le tapis de leur conversation, comme s’il s’agissait de leur unique problème. Mais arrêter la danse, c’était impossible pour la jeune femme. La danse était sa passion, elle dansait même plus qu’elle ne marchait. Carlota vivait pour ça, elle dansait quand elle était heureuse, elle dansait pour qu’on la regarde, elle dansait même quand ça n’allait pas ou qu’il fallait se déconnecter, oublier. Il ne se passait pas non plus un seul jour sans qu’elle ne fasse vibrer les haut-parleurs de la vieille chaîne-hifi du salon pour danser, sans se soucier des pauvres voisins de palier ou même de sa soeur. Et arrêter de se rendre au studio de danse qu’elle fréquentait depuis plusieurs mois? C’était une autre histoire et Carlota avait bien du mal à l’envisager, ça aussi. Pourtant, même après avoir tenté de négocier, elle avait finit par accepter la demande de ses parents. Elle avait accepter de ne plus aller dans l’un de ces rares endroits où la jeune femme arrivait à être elle-même, où elle laissait son corps s’exprimer aussi librement. Elle s’y était faite des amis aussi, là-bas. Des putains d’amis que Carlota n’aurait sans doute pas pu trouver à l’université de Columbia. Elle avait accepté tout ça, à contre coeur, elle avait laissé ses parents la convaincre. Ils avaient réussi à lui mettre en tête que c’était pour son bien, que c’était nécessaire pour qu’elle puisse continuer ses études tranquillement. Elle avait finalement accepté, Carlota, faible qu’elle était face à ses parents. Puis la jeune femme avait fini par couper court à la conversation pour leur raccrocher au nez, prétextant maladroitement qu’un voisin était venu sonner à sa porte.

Les larmes menaçaient à nouveau de rouler sur les joues encore trempées du précédent flot de Carlota. Faible était visiblement le mot qui collait parfaitement avec la vision que la jeune femme avait d’elle-même en cet instant. Était-il possible d’aimer une personne au point de sacrifier son propre bonheur pour elle? Il semblerait bien que oui, et Carlota en payait les frais. Elle n’était pas foutue de leur avouer qu’elle détestait ses études. Ses parents étaient loin de se douter que leur petite fille modèle qu’ils avaient laissée partir de Madrid, deux ans auparavant, n’excellait plus et ne brillait plus. Carlota n’avait pas le courage de leur dire que la médecine n’était finalement pas faite pour elle, elle avait peur. Peur de les décevoir, de les rendre tristes et de leur faire du mal. Ils semblaient si heureux pour elle, ils étaient pleins d’espoir pour elle. Carlota ne pouvait pas tout gâcher. Quitte à laisser de côté sa passion et ses rêves de gamine, quitte à crouler sous la pression et l’anxiété.
this session is gonna be different
Domit ꕥ 20 ans
fréquence de rp : 1 à 2 fois par semaine ϟ fréquence de connexion : tout les jours si je le peux ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? je tourne beaucoup entre 500/600 mots mais il m’arrive d’écrire des rp allant jusqu’à 1100/1200 mots ϟ avatar à réserver : Danna Paola ϟ de quelle couleur sont les petits pois : bleu? ϟ comment avez-vous connu 99 ? grâce à Daska (Charlie Moreno) ** ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j’ai un vrai coup de coeur pour ce forum et je suis sûre que la communauté est exquise aussi!
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