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second time the charm (alfred)

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Lun 8 Nov - 20:16
C’est ça, t’as tout compris. Que je souffle doucement. Il est l’heure de vivre. Et je sais que ça tourne encore dans ta tête, je le vois dans tes yeux mais je sais aussi que c’est une bonne chose que tu n’ais pas pris la poudre d’escampette. C’est qu’il y a assez pour te faire rester. T’as beau réfléchir, tout détailler, penser à tout, les bases sont solides, sûrement plus solides que tu ne le pensais et pour moi, c’est clair qu’elles sont plus solides que ce que j’imaginais. Tu me plais, c’est indéniable mais je ne pensais vraiment pas que ce serait réciproque, que ce serait partagé. Je ne peux m’empêcher de sourire à tes mots et lève la main, tendant mon petit doigt pour que le tien s’y accroche. Promis, juré. Et je t’invite à glisser ton auriculaire contre le mien pour sceller ce pacte si important. Ce n’est pas grand chose et je sais que l’on le fera tous les deux mais je veux que tout soit dit, que les mots - bien qu’ils n’aient pas besoin d’être prononcés - le soient quand même. J’ai toujours trouvé cela super sexy et j’espère que ça ne te demande pas trop d’efforts. Il y a tellement de gens qui ne sont pas capables de parler, de communiquer que je serais damnée si c’était ton cas. Mais non, tu coches toutes les cases et je ne peux qu’être heureuse de cela. Nos lèvres se retrouvent furtivement et je te regarde t’éloigner pour te déshabiller. Oh, quelle tristesse de ne pas être celle qui le fait mais ça viendra. Et c’est là-dessus que je me table, que je me cale. C’est effrayant parce que tu es le premier homme avec qui j’ai hâte du futur. Des petits amis, j’en ai eu, des coups d’un soir aussi. Mais aucun ne m’a donné cette envie, cette nécessité de me projeter. Même mon dernier réel petit-ami ne m’a jamais animé de la sorte. Et c’est ainsi que je me rends compte que si j’ai toujours aimé être avec le précédent, ce n’était rien à côté du bonheur et de la jouissance que j’éprouve avec le présent. Et vous savez ce que l’on dit ? Un présent bien nourrit ne peut que fleurir et être encore plus agréable. On est un peu comme une fleur tous les deux. Je nous imagine cactus, on donne envie de faire attention mais quand une énorme fleur se dessinera sur le dessus de la plante, c’est une toute autre vision que l’on donnera. En tout cas, j’essaye de ne pas offrir trop d’eau, trop de soleil et trop d’attention à cette plante parce qu’un surplus, un trop plein et c’est pourrie que je vais la retrouver. Je ne le souhaite pas. Vraiment pas. Une rapide éclipse et lorsque je reviens à tes côtés, je suis folle de ce regard que tu me portes. Je ne vais pas mentir, je sais que j’ai ce qu’il faut où il faut - c’est moi qui ait choisi après tout - et que je suis belle mais ton regard est différent. Il ne me fait pas sentir désirée, voulue, prête à me faire sauter comme une crêpe. Non. Il m’inspire confiance, il me donne envie de courir dans tes bras et de retrouver cet endroit où je me sens en sécurité. Faites que la chute ne soit pas douloureuse. Faites qu’il n’y ait jamais de chute. Chaque chose en son temps. Que je souffle doucement. Ce n’est pas que je veux me la jouer pudique ou quoi que ce soit mais je crois que nous devons vraiment prendre notre temps pour que ça fonctionne, pour toi. Je viens rapidement te retrouver dans le lit et me glisse sur tes cuisses, un sourire au visage, mon corps trouvant sa place contre le tien. J’acquiesce et souffle Je trouve qu’il est pas mal non plus. Les détails sont merveilleux. Que je souffle en glissant mon index sur la partie de dentelle qui monte du sein vers l’épaule. Un toucher délicat que je romps pour te poser une simple question. Tu vois, on a plus personne pour nous interrompre en plein milieu de quoi que ce soit mais j’ai repris ce rôle parce que je nous dois bien cela. Le respect que j’éprouve à ton égard est si fort que s’en est perturbant pour moi, qui ne répond qu’à mes instincts primaux en temps normal. Et je me laisse faire cette fois-ci. C’est toi qui a les clés en mains, c’est toi qui décide ce qui est acceptable, ce que tu veux et ne veux pas. Mais ne comptes plus sur moi pour remettre de l’ordre dans tout cela. Ne comptes pas sur moi pour te dire d’arrêter, de continuer, te demander si cela te convient réellement. Mon corps tout contre le tien, il ondule doucement au rythme de nos souffles qui s’accélèrent. Et puis, je ris légèrement contre tes lèvres. Pour l’immobilité on repassera. Et je mordille doucement ta lèvre inférieure, mon regard planté dans le tien. Un sourire carnassier, les poumons remplis d’air, nos lèvres se trouvent à nouveau et elles se découvrent un peu plus. Mes doigts qui se glissent dans tes cheveux, je m’y accroche comme pour ne pas sombrer, comme pour me raccrocher à la réalité de ce moment. Et le souffle court, je quitte tes lèvres pour que les miennes, légèrement gonflées, se placent sur ta joue puis ta mâchoire. Elles partent à la découverte de ta nuque, de ton épaule, de ta clavicule. Je n’ai pas besoin de m’emboiter comme un légo pour prendre du plaisir avec toi et je m’en rends compte à ce moment précis. Je relève les yeux vers toi, comme en attente de ce que tu pourrais dire. Alors, la bouche entrouverte, mon souffle sur ta peau, j’attends de voir s’il faut s’arrêter là où si je peux continuer à te découvrir un peu plus. Juste un tout petit peu. Mais où sera ma limite, c’est la question à un million.

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Mer 10 Nov - 15:48
Second time the charm.
'I would never do you wrong. I've known it from the moment that we met. No doubt in my mind where you belong'
@Nicola Schubert
Nos petits doigts qui s'agrippent pour sceller une promesse. Ou peut-être que c'est un réel contrat que l'on vient de signer ; celui de ne jamais se lâcher. Parce que vous savez quoi? Si l'on prend soin des choses, elles durent. Tu es mon présent, et j'ai l'espoir que tu seras également mon futur. Trop de chemins nous ont déjà séparés. Trop d'embûches sur notre route. C'est long. C'est compliqué. C'est beau. Au fond, c'est nous. Cette envie de dépasser les limites pour mieux les cerner. Ressentir toutes les sensations possibles et inimaginables. La douceur de nos caresses, le silence de nos regards. Cette beauté dans le coeur, cette pureté dans l'âme. Je saurais m'y habituer aussi longtemps que possible. Je saurais apprendre à les apprécier, à ne plus avoir peur. La sincérité des mots, cette pointe de doute, un parfait cocktail pour se sentir exister. Je peux déjà affirmer que ce qui pourrait me briser, ce n'est pas que tu t'appuies trop sur moi, mais que tu décides de m'abandonner. J'ai la hâte de tout connaitre de toi, de t'avoir sur le bout des doigts. Caresse chacune de tes plaies pour pouvoir les soulager. Apprivoiser ton caractère pour ne jamais te blesser - et si ça vient à arriver, je ferais ce qu'il faut pour te rendre doublement heureuse après - Mais surtout, pour apprendre à tes cotés. Chaque chose en son temps, oui, mais je désire le mettre sur pause quand tu reviens contre moi, plutôt sur moi. Putain mais ce corps que tu m'autorises à découvrir petit à petit, il est sublime. Et mon regard s'attardera même quelques plus longues secondes sur tes jambes. Tes longues et belles jambes qu'il me tarde d'avoir autour de ma taille, de mon cou, de.. Alfy stop! "Laisse moi bien regarder ça.." Que je prononce tout en scrutant ton vêtement, qui effectivement, a des détails prodigieux. "C'est divin.. Je suis gâté." Comme quand tu murmures mon prénom, me faisant oublier toutes les lèvres qui ont pu l'écorcher avant toi. C'est la paralysie que je réclame, et pourtant, je suis le premier à bouger. A venir attraper ta nuque pour t'embrasser, maintenir ton corps à bonne portée. Et alors, je sens que ton bassin a ce mouvement, l'automatisme qui débarque avec la montée d'excitation. J'ai l'impression qu'à cet instant, tu es dotée de plusieurs mains qui me caressent partout, des mains comme des bouches qui frôlent si délicatement tout mon corps, s'attardant sur une partie pour le moment bien dissimulée... Tes lèvres, quant à elles, bien réelles, s'entre-ouvrent pour constater que nous avons échoués. Nos rires s'emmêlent, avant de les étouffer dans un énième baiser. Et quand tu viens le rompre, je t'observe pencher le visage pour aller me déguster. Bordel... Mes paupières se referment dans un souffle chaud. Ma tête chancele pour te laisser un meilleure accès. Je suis envahi de frissons, qui s'apparente à des décharges tellement ils se font violents. Je retrouve mon incapacité à parler, envoûté par tes actions, par l'effet que tu me fais, da ta manière d'involontairement défoncer les barrières que je me suis bêtement posé. Quand tu viens te redresser, j'ai comme l'envie de laisser échapper un 'Anh non continue' ; mais je comprends que c'est le moment pour moi d'ouvrir les yeux et de les plonger dans ton noir intense. Mon palpitant bat indécemment, que j'absorbe beaucoup plus d'air qu'a l'habitude, mais c'est une nécessité si je ne veux pas finir en apnée ou entrain de suffoquer. Ce que je vais prononcer vient dans un halètement encore correct "C'est toi qui bouge..." Et merde, que ça me plait. Je veux encore te sentir onduler, j'ai envie que tu me pousses dans mes retranchements. Si mes pupilles continuent à te fixer, mes doigts glissent de ta nuque à ta clavicule, et lentement laisse tomber ta bretelle. Et descendent pianissimo de ton épaule a ce sein encore couvert. Par dessus, c'est le centre que je frôle. "Peut-être que l'on devrait allez se coucher. S'allonger tranquillement." Clairement pas convaincu par cette idée, et je suis entrain de te le montrer. Autant par la suavité de ma voix, que par ma façon de contempler ma main toujours en fonction. La quittant pour examiner chaque centimètre de ton corps jusqu'à trouver sa jumelle qui elle, remonte ta cuisse pour passer du dessous au dessus, puis à l'intérieur. Sentant la chaleur, a proximité de ton intimité que je ne veux pas déshonorer ; voilà pourquoi ma course est arrêtée. Vas-tu confirmer que la précédente proposition est plus appropriée que cette demande indirectement faite. Celle d'obtenir l'autorisation de véritablement te toucher. Rien qu'à l'idée que tu puisses élire la deuxième éventualité, je sens des picotements vers ma virilité, qui semble se s'orienter vers le réveil. J'effectue enfin l'immobilité, en suspend d'une accréditation, d'un consentement,.. D'un fais moi vibrer maintenant.

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Mer 10 Nov - 19:03
Il y a des moments que l’on a envie et d’autres pas du tout. Il y a des épreuves qui sont plus facilement surmontables que d’autres et je crois que c’est le cas de ce qu’il se passe ce soir. Ça pourrait être bien plus difficile mais nous trouvons notre terrain d’entente, ce lieu où nous sommes prêts à nous retrouver et à accepter et attendre l’autre avant d’avancer dans un sens ou l’autre. Et aussi enfantine soit la signature de cette promesse, elle me plait. Vous savez pourquoi ? Parce que c’est une façon de montrer que c’est aussi facile que ça que d’accepter l’autre pour ce qu’il est. Toute sourire, nos lèvres ne mettent pas longtemps à se retrouver et il en est de même de nos corps parce que j’ai beau me la jouer tentatrice, j’ai du mal à rester loin de toi trop longtemps. C’est ainsi. Peut-être qu’une fois que l’alcool ingurgité aura quitté mon corps tout entier, tout sera plus raisonnable mais pour le moment, c’est comme ça. Et pour être honnête, mon côté raisonnable se voit bien ici, très bien même. Je suis sauvageonne, tentatrice, voulant t’arracher des compliments mais surtout t’arracher à tout ce qui pourrait te faire douter. Mes doigts le long de ma tenue, le regard que tu me portes me fait vibrer et me ferait presque soupirer de plaisir, de désir. Parce que tu te doutes bien que c’est la chaleur de tes mains que je veux sentir sur moi mais tout ça, ça sera pour plus tard. Et plus tard ne vient pas assez vite mais c’est ainsi. Je serai patiente. Voilà ce que je me répète mais force est de constater que je suis une grande menteuse. Une terrible imbécile qui n’est pas capable de se contrôler. J’ai beau avoir confiance que tu me stopperas s’il le faut, je me flagelle intérieurement de le faire. Du plaisir, j’en prends et toi aussi vu le rythme de ta respiration mais j’ai cette poigne à l’estomac, comme si quelqu’un me choppait par les tripes et me disait d’arrêter mes conneries. Le consentement, le tien, je ne veux pas le bafouer et je sais que je vais m’arrêter avant d’aller trop loin, je sais que je vais comprendre que ce que je veux, je vais devoir m’asseoir dessus et vivre avec. Il y a pire dans la vie et je ne veux pas que mes talents pour embrasser, pour mordiller ta peau te fasse regretter ce que tu as fait plus tard. J’ai la bougeotte depuis toujours, incapable de rester à un endroit trop longtemps. Surexcitée, mon père a longtemps cru que j’étais hyperactive mais rien de cela, juste une jeune femme pleine d’énergie et là, c’est bien différente mais j’ai du mal à me canaliser. Seulement, je sais qu’il faut que je le fasse pour toi. Alors, mon regard ne quitte pas le tien, comme pour t’autoriser à faire ce que tu désires. À m’arrêter, à m’inviter à continuer. Je suis prise d’un très léger sursaut lorsque je sens ta main sur ma peau, sur mon sein. Je te regarde et soupire Alfred, tu me dis blanc mais fais noir, comment veux-tu que je m’en sorte ? Et c’est dit sur un ton des plus doux, une remarque qui me force à mettre en avant que nous sommes à deux opposées complets de la frise des relations sexuelles. Oui, il existe une telle frise dans mon esprit. Je suis incapable de prendre la décision pour toi, pour nous alors je me laisse caresser la cuisse et inspire une large bouffée d’oxygène. Mes yeux ne te quittent pas et il me faut un petit moment pour laisser tout cet air s’échapper de mes poumons. Je ferme les yeux quelques secondes et souffle Je ne peux pas choisir pour toi Alfred. Je ne veux pas le faire. Et ce n’est pas méchamment ou je ne sais quoi. Alors, je me détache de lui, retrouve mon côté du lit et m’allonge complètement sous les draps. Je soulève les couvertures pour qu’il s’y glisse et lorsqu’il me fait face, je me colle à lui, mon dos collé à son torse. Je suis la petite cuillère et lui la cuillère à soupe. Ma main glisse le long de sa cuisse et je tourne légèrement le visage pour le regarder. Attention, je suis chatouilleuse. Que je souffle en riant légèrement. Ma main libre agrippe la sienne - qui se trouve au niveau de ma tête - et j’embrasse cette dernière du bout des lèvres. Ce qui bien c’est que dans cette position, on peut s’endormir, continuer à se découvrir et tu pourrais même me retourner sans trop de difficulté ou te glisser au dessus de moi... J’en souris, sentant chacune de mes terminaisons nerveuses s’éveiller. J’embrasse ton poignet et dis T’as toutes les cartes Alfred. Je veux tout. Absolument tout de toi, avec toi. Peut-on faire plus explicite ? Je ne crois pas. Mes les cartes, c'est lui qui les a. Le choix doit venir de lui. Moi, je ferais avec.

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Sam 13 Nov - 15:39
Second time the charm.
'I would never do you wrong. I've known it from the moment that we met. No doubt in my mind where you belong'
@Nicola Schubert
Quelques phéromones exsudées par toi et qui, après avoir franchi le seuil de mes narines, tracent leur chemin à travers mes bronches, mes poumons, pour finalement se mêler à mon sang. La pensée de ton intimité qui rencontrerait la mienne, me trouble plus que je ne le voudrais. Un peu de tenue, que diable! Mais l'idée persiste, portée par cette suavité qui s'insinue en moi, et coupe court à ma tentative de sermon. J'assiste alors, entre culpabilité et jubilation, au spectacle de mes pensées jaillissant hors de leur chrysalide pour prendre la forme d'une faim dévorante, amorale. Ta poitrine paraît plus abondante, et le tissus de ton ensemble, plus fin. Ma raison glisse doucement, cédant à l'appel de sa chair comme Ulysse au chant des sirènes. Comme ma main qui vient frôler ton sein. Mais mon ensorceleuse me ramène vite sur terre. Nos yeux qui ne se quittent pas, mes lippes s'étirent doucement, dans une légère malice. "Rien est en accord en moi." Et tu es involontairement responsable de ce bordel. Je me fais violence dans ma proposition à rejoindre le sommeil. C'est comme te donner une pièce et te demander de jouer à pile ou face pour la suite. Aller dormir ou laisser nos désirs parler. L'écu en suspens, je commence à espérer que ta raison ne pointe pas le bout de son nez.. Raté. Tu te détaches de moi pour te placer sous la couverture que tu m'ouvres gentiment. Il ne me faut pas un grand moment pour me glisser, profitant de cet aparté pour régulariser ma respiration qui s'était un peu trop emballée. Si je suis silencieux, c'est que tout se bouscule là-haut, et je sais au fond, que c'est toi qui est dans le vrai. Si la tristesse m'envahie de te voir quitter ma vision, elle est vite réconfortée de sentir ton dos contre mon torse. Cette position je l'affectionne, bien qu'elle est synonyme de danger pour la tentation que j'ai du mal à gérer. Ta paume qui câline ma cuisse, ça me plait ; autant que de pouvoir te regarder "Tu n'aurais jamais dû me dire ça.." Car c'est enregistré. Comme toute bonne attaque, j'utiliserais cette arme à un moment où tu t'en douteras le moins. Ce qui veut dire, pas maintenant, ni demain. Tu fais preuve d'une tendresse à laquelle je ne suis plus habitué. J'ai ce sourire qui sera difficile à retirer, et je t'écoute énoncer les bienfaits de notre posture. "Ca en fait des possibilités,.. Je vais rapidement réfléchir à celle que je vais choisir..." Mes doigts qui viennent se poser sur ta hanche, pendant que les autres sont entrain de s'emmêler aux tiens. Ma bouche trouve ta nuque sur laquelle je décharge des baisers, tout en descendant sur ton épaule, avant de terminer l'avancée sur une omoplate. Je suis arrêté par la phrase que tu viens de prononcer. Visage remonté, c'est à ton oreille que je viens souffler "Alors laisse moi faire. Tu connais le mot pour m'arrêter... " Je viens t'embrasser la joue avant de rajouter "Je choisis de te découvrir un peu plus."

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Dim 14 Nov - 12:12

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Mar 16 Nov - 17:29
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Mer 17 Nov - 20:01

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Jeu 18 Nov - 19:43
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Jeu 18 Nov - 22:28

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Ven 19 Nov - 16:51
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Dim 21 Nov - 14:11

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Lun 22 Nov - 19:10
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Mar 23 Nov - 19:47

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Mer 24 Nov - 18:35
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Jeu 25 Nov - 0:21

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Ven 26 Nov - 19:27
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Dim 28 Nov - 1:02

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Lun 29 Nov - 18:09
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Mar 30 Nov - 0:17

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Mar 30 Nov - 18:18
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Mar 30 Nov - 22:39

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Mer 1 Déc - 15:07
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Dim 5 Déc - 16:24

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Mer 8 Déc - 18:50
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