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Viceis (wild ride)

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Jeu 4 Nov - 11:24
Son bureau plongé dans l’obscurité, seulement éclairé par la pauvre lumière vascillante posée sur son bureau, Victor râle face à la piètre qualité des devoirs qu’il corrige, son mug de café refroidi qui lui tire une grimace alors qu’il en boit une gorgée, il regarde l’heure sur son téléphone et se rend compte qu’il doit sûrement être le dernier une fois de plus. Il a prit le pli d’essayer de ne pas ramener de travail chez lui depuis qu’il a emménagé à Staten Island c’est plus facile pour lui de rentrer, sans le voyage interminable de métro. La dernière copie qui arrive le soulage parce que c’est une bonne copie. Il range les devoirs dans le tiroir qui leur est dédié avant d’enfiler sa veste et son écharpe, il salue le gardien et se dirige lentement jusqu’au parking où il croise une collègue qui semble être en peine dans sa voiture. Elle lui explique rapidement que sa voiture et que son mari ne finit le boulot que dans quelques heures. Victor le bon samaritain lui propose de venir chez lui et ils font le chemin à pied, refaisant le monde et en profitant pour faire des potins sur les élèves (évidemment). Quand ils arrivent enfin, Victor prépare un café et lui propose de prendre une douche pour se réchauffer. Après tout, autant être courtois un maximum et il en profite pour préparer le repas du soir pour Briseis et lui (un vrai gentleman ce garçon).  La porte qui s’ouvre lui rappelle que Briseis finissait plus tôt le boulot. Il s’approche alors d’elle et l’embrasse sur le front avant de présenter sa collègue et de la laisser filer pour rentrer chez elle. Quand il installe tout pour manger il voit bien que Briseis a le visage fermé, il fronce un instant les sourcils « Il y a un problème ?» demande t-il en leur servant deux verres de vin, tendant celui à la brune qui partage son quotidien désormais « Tu as passé une bonne journée ?»

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Ven 5 Nov - 18:47
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que Briséïs avait quitté le Miranda Height pour venir s’installer à Staten Island. C’était différent mais elle aimait tout de même cet endroit. Elle n’y était pas venue seule puisqu’elle avait emménagé avec son voisin ou plutôt ex voisin désormais. Victor. C’était lui qui lui avait insuffler cette idée folle de s’installer avec lui. Folle mais elle avait accepté. Elle avait pourtant rompu il y avait peu de temps mais elle lui faisait confiance. Elle espérait ne pas se tromper mais il ne lui avait donné aucune raison de. La colocation se passait bien quand bien même elle ne savait pas trop ce qu’ils étaient tous les deux. Ils n’avaient jamais mis de mots là-dessus et elle ne savait ce qu’elle ressentait. Elle ne savait même pas si elle était prête à s’engager dans une nouvelle relation. Ils n’étaient pas officiellement quelque chose tous les deux. Elle se sentait plus sereine depuis qu’elle vivait ici. Sa vie reprenait son cours et elle allait mieux. Il fallait qu’elle parle à ses proches mais elle allait le faire. Elle n’en avait juste pas eu le courage.

La brunette avait fini plus tôt aujourd’hui alors elle se hâtait de rentrer chez elle. Son temps de trajet n’était pas énormément plus long, en tout cas cela restait raisonnable donc peu importe. Elle savait aussi que c’était plus pratique pour Victor qui avait le lycée pas très loin. Elle avait prévu de ne rien faire de particulier ce soir. Elle marche jusqu’à son appartement avant d’ouvrir la porte et remarquer la lumière. Le brun se trouvait déjà chez eux. Elle fronce un peu les sourcils en voyant cette femme qu’elle ne connait pas. Elle reste polie et la salue. Elle a l’impression qu’elle vient de sortir de leur douche et elle n’aime pas trop ça. Pas le fait qu’elle utilise sa salle de bain, non, plutôt le fait de ne pas savoir ce qui la lie à Victor. Elle n’aime pas trop ce sentiment de jalousie qui s’empare d’elle. Elle pose ses affaires avant de se tourner vers le jeune homme. « Non, pourquoi ? » Elle le remercie pour le verre, lui adresse un sourire pour ne pas qu’il se doute de quelque chose. « Ca va, c’est un peu calme en ce moment. Et toi ? » Il leur arrive d’échanger pendant leurs journées de boulot mais pas tout le temps. « Elle a pris sa douche ici ? » Elle préfère boire une gorgée de vin pour noyer sa question et ne pas paraître pour idiote. « Vous deviez passer la soirée ensemble ? » Enfonce toi davantage Briséïs.

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Lun 15 Nov - 20:38
Victor est un bon samaritain, il ne laissera jamais quelqu’un dans le besoin, quelqu’un qui a besoin d’argent, il leur tendra un billet, quelqu’un qui a besoin d’un toit, il leur offrira son canapé sans hésiter. Alors il n’a pas hésité quand sa collègue était dans le besoin. Mais il avait aussi oublié qu’il n’était plus au Miranda Heights avec ses colocataires mais avec Briséïs, celle qu’il avait sauvé, celle qu’il avait tiré des griffes d’un enfoiré de première classe. Mais, il avait peur d’être un enfoiré à son tour, et s’il lui faisait du mal ? Il ne voulait pas devenir l’antagoniste de l’histoire et lui briser le coeur. Il se demande où pourrait aller leur histoire, il sait que son temps ici est compté. Il sait qu’il ne peut pas rester ad vitam aeternam. Qu’il lui reste un an avant de devoir repartir en France. Mais il n’en a pas envie Victor. Il n’a pas envie de lui briser le coeur et encore moins de l’abandonner. Il aime se réveiller avec elle, il aime la voir le matin au petit-déjeuner, avec ses petits yeux et sa voix endormie. L’attendre et partager un verre de vin en rentrant du travail. Il a l’impression qu’il passe sa vie, les fesses entre deux chaises et qu’il ne sera jamais capable de la laisser. Alors quand elle rentre, il ne trouve pas ça anormal de laisser partir sa collègue, mai il trouve anormal de voir le visage fermé de Briséïs « Je ne sais pas, tu as l’air d’avoir un problème, je me demandais. » explique t-il en haussant une épaule et en se grattant la nuque avant de reprendre une gorgée de vin « C’est calme aussi. J’arrive a corriger mes copies rapidement. » Et il est plutôt fier de lui pour le coup, parce qu’il sait qu’il peut bien trop procrastiner pour son bien être. Il acquiesce face à la question de Briséïs et fronce les sourcils pour la suivante « Oui, elle a prit sa douche, ici et non, nous n’avions pas prévu de passer la soirée ensemble. » explique t-il en sortant le plat du four pour le déposer sur le plan de travail avant de se tourner vers la brune « Je suis désolé de ne pas t’avoir prévenu et je ne pensais pas avoir a le faire. J’aidais une collègue qui était en galère de voiture et elle avait froid. » Après tout, il ne voit pas pourquoi il devrait lui mentir. Il n’y a aucune raison de lui mentir. Et puis, ce n’était que la stricte vérité « Alors, je lui ai proposé de venir a la maison et voila. »

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Mar 16 Nov - 9:03
Les choses avaient pas mal évoluées pour la jeune femme ces derniers temps. Il y avait eu la rupture avec son ex, son déménagement dans cet appartement. Il y avait aussi sa relation avec Victor, enfin, est-ce qu’elle pouvait appeler cela une relation ? Elle ne savait pas trop. Ils n’ont jamais vraiment évoqué les choses et pourtant il y a déjà eu des sous-entendus, des baisers. Elle a connu les caresses, il lui a déjà fait l’amour. Ils n’ont pourtant jamais décidé de ce qu’ils étaient. Elle avait peur la brune, peur de s’engager de nouveau avec quelqu’un après ce qu’elle avait déjà vécu. Elle avait peur de souffrir une fois encore. Elle savait qu’il n’était pas violent mais elle avait toujours cette petite crainte en elle. Tout comme elle avait cette peur de ne pas être assez bien, que les autres seraient toujours mieux qu’elle. Alors oui, quand elle voit cette femme dans son appartement et qui a l’air d’avoir pris sa douche ici, elle s’imagine des choses. Elle se demande s’ils ont couché ensemble mais il ne lui doit rien. « Non tout va bien. » Elle lui souffle parce qu’elle n’a pas envie de se prendre la tête ni de passer pour la fille chiante, jalouse ou autre. « Les copies sont bonnes en ce moment ? » Elle demande alors, buvant une nouvelle gorgée de bain. Elle fronce légèrement les sourcils à sa réponse. Il ne semblerait pas qu’il se soit passé quelque chose d’autre ici et qu’elle avait dû se faire des films une nouvelle fois. « Non c’est vrai, tu n’as pas à le faire, désolée. » Il était tout autant chez lui qu’elle. Il n’avait pas besoin de lui demander s’il voulait inviter quelqu’un et inversement. Ce n’était pas comme s’il était en train de faire une fête. « C’est juste.. je pensais, enfin c’est ridicule. » Elle pose son verre sur la table avant de rougir. « Elle sortait de la douche alors je pensais que tous les deux.. » Maintenant qu’elle le disait, oui, elle trouvait cela idiot. Elle était célibataire maintenant, elle n’avait pourtant pas à se reprocher cette jalousie. « C’est juste que.. tous les deux.. » Elle se mordille la lèvre parce que bon sang, elle n’aurait pas dû se lancer sur cette discussion.

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Dim 5 Déc - 17:45
Il ne la comprenait pas vraiment Victor. Il ne savait pas pour quoi elle le prenait, mais il se sentait un peu floué. Il lui avait demandé de vivre avec lui, il l'avait sauvé des griffes de son fiancé et elle pensait qu'il allait s'amuser à sauter la première fille qui passe sous ses yeux ? Victor n'en revenait tout bonnement pas, mais il ne voulait pas créer d'esclandres, ni même de se disputer avec elle. Il ne voulait pas qu'elle prenne peur, au fond. Parce qu'il n'était pas comme lui, il n'était pas un connard capable de lever la main sur celle qu'il aime. Non, il n'était pas ce genre de connard là et il ne le serait jamais. Il fronce les sourcils quand il lui assure que tout va bien et grimace un instant avant de s'humidifier les lèvres « D'accord. Et les copies sont plutôt bonnes oui, ça change. » explique t-il en riant un instant et en se frottant la nuque, buvant une gorgée de vin, mais il sent bien que le malaise s'intensifie un peu. « Tu pensais que quoi ? » Il a envie qu'elle termine sa phrase, il a envie de savoir ce à quoi elle pensait. Il la regarde, fronce un peu les sourcils et s'humidifie les lèvres avant de lever les yeux au ciel et de se rapprocher de la brune pour saisir doucement son visage en coupe, ses yeux qui se plongent dans le regard noisette de celle qui partage cette maison avec lui. « Tous les deux ? » il veut qu'elle termine, ses doigts qui caressent les joues de la brune, il lui sourit, pour l'encourager, pour lui dire que tout ira bien. Qu'ils sont sûrement sur la même longueur d'ondes de toutes façons. « On est quoi tous les deux ? »

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Sam 11 Déc - 9:30
Une conversation des plus banales entre les deux. Ils prenaient des nouvelles de l’un et de l’autre, de leurs boulots. En réalité, la jeune femme ne voulait pas s’aventurer sur un sujet qui pouvait s’avérer compliqué pour tous les deux. Elle n’avait pas envie de se disputer avec Victor parce qu’il lui faisait du bien. Ils vivaient ensemble et elle avait déjà connu les tensions dans son couple pour revivre cela. Elle n’avait pas envie qu’ils soient en froid. Elle n’avait rien à lui reprocher en même temps parce qu’ils n’étaient pas ensemble. Ils ne l’ont jamais évoqué en tous les cas, malgré les rapprochements qu’il y avait pu avoir entre eux. Elle se mord l’intérieur de la joue. Elle n’aurait pas dû dire cela mais maintenant, elle n’a pas d’autres choix que de parler. « Je ne sais pas.. que vous aviez couché ensemble. » Evidemment, elle passe pour la jeune femme qui est jalouse désormais. Elle l’est quelque part oui, bien qu’elle n’irait pas l’avouer à voix haute. Elle sent son cœur qui bat plus fort quand il s’approche d’elle, que ses doigts se posent sur son visage. Elle ne sait pas si elle fait bien de lui dire les choses. Elle a peur dans le fond. Elle a peur qu’il la rejette, qu’il ne désirait qu’une relation non sérieuse. Elle n’est pas prête pour une véritable relation mais en même temps, elle n’a pas envie qu’il y ait une autre femme. « Justement je.. » Elle s’humidifie les lèvres. « On en a jamais parlé tous les deux, depuis qu’on s’est installés ensemble et j’en suis très heureuse mais.. » Est-ce qu’elle faisait bien de parler de cela ? Elle ne savait pas comment il allait réagir. Est-ce qu’elle n’allait pas le faire fuir plutôt qu’autre chose ? « Qu’est-ce tu as envie qu’on soit ? » Elle finit par lui demander. Est-ce qu’il avait des envies en particulier les concernant ? Est-ce qu’il avait déjà imaginé quelque chose ? Avant, il y avait Ezra oui, mais là, les choses avaient changé maintenant. « Ce serait mentir que te dire que je n’ai pas peur de me lancer dans quelque chose de nouveau.. » Elle lui souffle, ses joues qui prennent une teinte rosée.

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Jeu 30 Déc - 0:16
Victor ne la comprenait pas vraiment, il ne comprenait pas pourquoi elle agissait ainsi même si au fond, peut-être qu'il aurait fait la même chose. C'était une situation compliquée dans laquelle ils vivaient tout les deux et le fait de ne pas se dire les choses clairement, risquer certainement de les mener à leurs pertes à tout les deux. Il s'en voulait Victor, mais il avait au moins réussi à faire en sorte qu'elle ne soit plus avec cette idiot et qu'elle soit sauvé de sévices qui étaient intolérables aux yeux du Français. Il était de ceux qui avaient envie de voir ces ordures pourrir au fond d'une cellule ou même au fond d'une benne à ordure, plutôt que de les voir se pavaner dans la rue, comme si le monde leur appartenait. Et Victor voit bien qu'elle est brisée Briséïs. Qu'elle est toute cassée à l'intérieur et que le manque de confiance latent en elle, se répercute sur leur colocation (ou plus ? Plus, peut-être, ils n'en avaient jamais vraiment parler au fond.) il ne lui en voulait pas non, il en voulait à ce connard de ne pas avoir su aimer Briséïs comme elle a besoin d'être aimé, comme elle devrait être aimé. Non, je n'ai pas couché avec elle, elle a un mari qu'elle aime vraiment et qui est très sympa, je ne m'amuserais pas à cela. rétorque t-il, simplement en haussant les épaules. Il n'avait pas envie d'être source de conflits entre deux personnes et encore plus, deux personnes qu'il appréciait. Et au fond, Victor a besoin de savoir, ce qu'elle veut qu'ils soient, ce qu'elle voudrait pour eux. Il a envie de savoir si quelque chose pouvait se passer ou s'il devait passer à autre chose, il n'avait pas envie qu'elle ne se sente pas en sécurité à ses côtés ou même qu'elle pense qu'il était ici dans le but d'obtenir quelque chose qu'elle ne voulait pas qu'il se passe. La réponse de Briséïs le secoue un peu, il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui demande son avis, à ce qu'elle lui demande de faire un espèce de choix caduque. Il la laisse alors terminer et doucement il se rapproche d'elle, une main qu'il glisse dans ses cheveux pour remettre une mèche derrière son oreille et il la regarde, avec toute la sincérité du monde « Je n'y ai pas vraiment réfléchi, mais je pense que je voudrais qu'on soit plus que des colocataires. Après tout, on ne l'est pas déjà un peu ? Tu dors avec moi quand tu es en proie de cauchemars, je te prépare ton café le matin avant d'aller bosser et dieu ce que j'aime t'entendre rire et quand tu m'embrasses. » explique t-il en soufflant un peu avant de la regarder dans les yeux Mais je comprend que tu as peur, mais tu sais que tu es en sécurité ici. Tu es en sécurité avec moi, jamais je ne te ferais de mal. continue t-il avant d'embrasser le sommet de sa tête, en fermant les yeux. Et il se recule un peu, sa main qu'il saisit dans la sienne pour entrelacer leurs doigts T'es souvent dans ma tête, et je crois que ça a été comme ça dès que je t'ai vu, ta façon d'être, ta façon de sourire, de rire et que le bonheur contamine ton regard... J'ai pas envie qu'on se perde et j'ai pas envie que tu crois que je pourrais regarder  une autre fille que toi. Parce que ce n'est pas le cas, il n'en a pas envie et il ne le fera sûrement jamais. Mais est-ce que leur relation n'est pas voué à l'échec ? Parce que ses jours sont comptés à Victor quoiqu'il en dise. A moins qu'il n'entame les procédures pour pouvoir obtenir une carte verte, pour pouvoir continuer à travailler ici. Alors tu sais que je t'attendrais le temps qu'il faut. Je t'atttendrais, une semaine, un an, dix ans s'il le faut mais j'attendrais que tu sois prête. Sois en assurée.

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Jeu 30 Déc - 22:44
Briséïs ne se comprenait pas tout le temps. Elle était jalouse alors qu’elle ne devait pas. Ce n’était pas comme si Victor et elle s’étaient promis quelque chose. Ils vivaient certes ensemble tous les deux mais bon elle se demandait si c’était parce qu’elle s’était retrouvée à vouloir partir de son ancien appartement ou autre. Elle se dit que non parce que lui aussi était parti de son appart. Peut-être qu’elle avait juste envie de comprendre, de mettre des mots sur les choses. Peut-être qu’ils avaient besoin d’une vraie discussion maintenant. « Oh.. C’est maintenant que tu vas dire que je suis idiote c’est ça ? » Elle n’aurait même pas dû demander de toute façon. Ce n’était pas comme si Victor se mêlait de sa vie ou lui demandait avec qui elle sortait ou couchait. Il faut dire que de ce côté, à part le professeur, elle n’avait eu personne. Il n’y avait eu que Victor et il n’y avait que lui depuis un moment. Elle se sent rougir et se sent surtout très idiote. La prochaine fois elle tenterait de garder ses émotions mais elle n’avait pu s’en empêcher. Elle avait toujours peur, elle manquait de confiance. Elle manquait de confiance en elle surtout. Elle sourit quand Victor se rapproche et qu’il ne semble pas lui en vouloir. Elle sent son cœur qui bat davantage quand il lui dit vouloir être plus que des colocataires. « Maintenant que tu le dis oui.. je crois qu’on a toujours été plus que ça. » Leur relation n’a jamais réellement été normale. Victor avait toujours été attirée par elle dès le début. Ils s’étaient embrassés et puis il y avait toujours eu cette ambiguïté entre eux même si elle avait quelqu’un dans sa vie qu’elle aimait. Elle hoche la tête à ses mots. Elle ne serait pas ici si elle ne se sentait pas en sécurité avec lui. Elle n’aurait jamais emménagé. Elle n’était pas encore maso non plus. « Je sais Victor, j’ai confiance en toi. » Elle lui souffle alors. C’est important pour elle de lui dire. Elle a envie qu’il le sache. Elle se rapproche de lui, sa main libre qui se pose sur la joue du jeune homme. « Tu sais que.. j’ai de la chance de t’avoir. Il devrait y avoir plus de personne comme toi dans ce monde mais.. je n’ai pas envie de partager ni même qu’on se perde. » Cela faisait plusieurs mois qu’ils se connaissaient, qu’ils se fréquentaient tous les deux. Il n’y avait pas besoin de plusieurs années pour qu’elle sente qu’elle avait réellement besoin de lui dans sa vie. Besoin comme si elle ne pourrait se passer de lui désormais. Elle s’approche un peu plus de lui, son front qui se colle au sien alors qu’elle vient l’embrasser. « Tu es toujours dans ma tête aussi.. dans mon cœur aussi. Et je ne crois pas que je pourrais me passer de nous, de notre relation. » Elle lui avoue. « Je n’ai pas envie de passer à côté de quelque chose, de quelqu’un qui me rend heureuse. Alors.. on peut essayer. » C’est ainsi qu’elle se sentait à ses côtés. « Et parce que je crois bien que j’ai des sentiments pour toi. » Et elle ne pouvait lutter contre ça.

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Sam 15 Jan - 21:15
Victor ne brillait pas par ses relations amoureuses, loin de la. Il n’était pas un tombeur de cœur, il n’en était pas moins quelqu’un qui respectait la gente féminine et qui ne supportait pas qu’on lève la main sur elles. Quitte à se prendre pour le super héros qu’il n’était pas. Preuve en était avec Briseis, il avait réussi à l’extirper des griffes de ce connard qui ne mérite même pas l’insulte. Il secouait la tête face à la question de briseis, jamais il ne penserait qu’elle est idiote. Il ne lui dirait certainement pas ça puisque ce n’était pas quelque chose qu’il pensait et il n’avait pas envie qu’elle pense qu’il le pensait. Lorsqu’il était proche d’elle, il ressentait quelque chose d’inedit qu’il n’avait jamais vraiment ressenti avec personne d’autre. Sauf avec son ex. Qui était comme on l’appelle donc, une ex, qui l’avait quitté quand il avait choisi son job de prof en direction des Etats-unis plutôt qu’héritier d’un vignoble bordelais. Il appuie un peu plus le contact de la main de Briseis contre sa joue avant de fermer les yeux. Savoir qu’elle a confiance en lui lui fait du bien au fond. « On ne se perdra pas… » murmure t’il, comme s’il ne voulait pas qu’on l’entende, comme s’il ne voulait pas qu’on devine ce qu’ils étaient en train de se dire. Il humidifiait ses lèvres aux dires de Briseis avant de sourire, soulagé de la tournure de cette conversation. Doucement, il prend ses lèvres en otage, pour lui offrir un baiser doux et presque sensuel. Son visage qu’il prend en coupe dans ses mains, il l’embrasse doucement, avant de la saisir par la taille pour la porter sur la table de leur cuisine, il l’embrasse doucement, puis ses lèvres se perdent le long de sa clavicule « Je crois bien que j’ai des sentiments pour toi aussi. » murmure Victor contre ses lèvres avant de dessiner des arabesques sous le tissu de son haut « Et je crois que ça fait longtemps que je ne me suis pas senti aussi bien. » avoue t’il finalement, la collant un peu plus contre lui avant de sourire tout contre sa peau.

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Dim 16 Jan - 9:47
Briséïs n’avait jamais vraiment eu de longues relations. La plus longue qu’elle avait eu remontait à son ex avec qui elle était restée plus de deux ans. Elle ne savait pas si elle parviendrait à rester autant de temps avec Victor mais c’était tout ce qu’elle leur souhaitait. Elle n’avait pas envie de se mettre de la pression, ni même lui en mettre à lui non plus. Elle sortait de cette relation compliquée alors elle avait besoin de simplicité. Elle n’avait plus envie d’être dans les disputes, les tensions et autre. La jeune femme lui faisait confiance. Elle savait qu’il ne la frapperait pas. Elle hoche la tête et lui adresse un sourire à ses mots. La vie pouvait parfois faire que. Les choses pouvaient être différentes. « Tant mieux. » Elle ne laisserait pas faire en tout cas. Elle avait déjà eu l’impression que cela allait arriver mais c’était quand elle vivait encore avec Ezra. Quand elle était encore fiancée. Désormais, elle était bien loin de se marier. Elle frissonne quand il la prend dans ses bras et qu’il l’embrasse. Son cœur bat encore à la chamade. Ses jambes entourent sa taille alors que ses mains se glissent sur sa nuque. Elle attire son visage près du sien pour pouvoir l’embrasser après ses mots. « Alors je crois que nous sommes sur la même longueur d’onde. » Elle lui souffle. Elle n’est pas encore prête à lui dire ces mots, quand bien même elle les pense. Quand bien même elle le ressent au creux de son cœur qui bat pour lui. Ses mains glissent sous le pull du professeur. « Alors on devrait continuer sur ce terrain- là et continuer d’aller bien. »  Ses mains glissent sur son torse, sous son pull, alors qu’elle le caresse, ses lèvres contre les siennes. « Tu n’oublierais pas ton repas par hasard ? » Elle lui glisse entre deux baisers. Ce n’est pas qu’elle avait énormément faim mais elle voudrait éviter de se retrouver sans appartement une nouvelle fois. Elle approche ses lèvres de son oreille pour lui murmurer. « J’aimerais bien que.. mon petit ami me fasse l’amour ce soir. » C’était ce qu’ils étaient tous les deux désormais, un couple.

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Sam 12 Fév - 10:43
Il comprend les affres du passé, il comprend qu'elle peut ne pas avoir confiance, qu'elle peut avoir mal. Mais il n'est pas son ex, il n'est pas aussi pourri jusqu'à la moelle que lui et jamais, Ô grand jamais, il ne lui fera de mal. Parce qu'au fond, il l'aime et il a mit du temps à se l'avouer. Peut-être depuis le premier jour, ou peut-être la première fois qu'il l'a entendu rire. Il ne sait pas vraiment, mais il y a tant de petits détails qui font qu'ils en sont là, à avoir déménagé, à avoir emménagé ensemble. Ça serait se leurrer que de penser que ça ne serait jamais arriver. Il y a les choses qui font que, quand elle se blottit dans ses bras alors qu'ils regardent un film, quand elle lui apporte un café alors qu'il est en plein dans ses corrections, quand elle ne prend même plus la peine de toquer quand il prend un bain, et qu'elle entre dans la salle de bain comme dans un moulin. Tant de choses qui lui font du bien à Victor et qui rendent son expérience un peu meilleure, même s'il sait que ses jours ici sont comptés, il n'a pas franchement envie d'y penser. Un sourire en coin naît sur ses lèvres et un frisson lui parcourt l'échine quand elle glisse ses mains sous son pull, Victor retient son souffle pour faire passer la sensation de fraicheur qui le prend quand elle atteint sa peau avec ses mains froides, qui contraste avec la chaleur de son corps. Victor lui rend son baiser, continue de l'embrasser, encore et encore, il se perd contre son corps. Il grogne à l'évocation du repas et se recule à contre coeur, gardant le murmure de la brune dans un coin de sa tête pour aller éteindre le four et revenir fondre sur elle. Ses lèvres qui ne quittent pas la bouche de Briséïs alors qu'il la porte sur le canapé, se mouvant entre ses jambes, tout en la débarrassant de son haut et ses lèvres qui trouvent le chemin de sa poitrine avant qu'il ne remonte au creux de son oreille « Et j'ai envie de te faire l'amour dans chaque pièce de cet appartement. » murmure t-il en laissant glisser ses doigts le long de chaque parcelle de peau atteignable, se réjouissant de la réaction de l'épiderme de la brune, de ses frissons, de ses soupirs.

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Sam 12 Fév - 13:56
Elle a peur Briséïs comme toujours. Elle a juste envie d’arrêter d’avoir peur parce qu’elle sait que ça va finir par la bouffer. Elle n’en a pas envie. Elle a déjà vécu une relation compliquée avec son ex alors elle a envie de quelque chose de bien. Quelque chose de simple. Elle sait qu’avec Victor elle pourrait avoir cela et elle ne veut pas passer à côté. Il fallait qu’ils mettent des mots sur ce qu’ils étaient tous les deux, ce qu’ils ressentaient. Elle ne voulait pas se faire de faux espoirs ni même se mettre à douter encore. Alors ils allaient essayer tous les deux, ils allaient voir jusqu’à où cela allait les mener. De toute façon, ils agissaient déjà un peu comme un couple quand ses lèvres venaient se poser sur les siennes ou qu’elle le rejoignait dans son lit. Ils partageaient le même appartement et finalement le fait qu’elle veuille partir de son ancien où elle avait vécu toutes ces choses, ça n’avait été qu’une excuse. Elle le sait dans le creux de sa poitrine qu’elle l’aime, qu’elle a des sentiments pour lui. Elle lui a dit parce que c’est important de le faire, tout comme c’est important de l’entendre. Elle ne lui a pas encore dit ces petits mots parce qu’elle n’est pas prête. Ce n’est pas qu’elle ne le pense pas ou le ressent pas mais ça viendra. Avec le temps, la confiance, les semaines passées à ses côtés.

L’ambiance s’est peu à peu réchauffée, après cette discussion et après qu’elle ait arrêté de croire qu’il se passait quelque chose avec une autre femme. Elle l’embrasse alors que ses jambes se glissent autour de lui. Elle a encore un moment de lucidité en se rappelant du repas qui était en train de cuire. Visiblement celui-ci allait attendre encore un peu, quand bien même il serait sûrement délicieux. Elle l’attire à ses lèvres en le tirant par son pull dont elle le débarrasse une fois sur ce canapé. Elle soupire déjà d’aise, de bonheur et ses mains se glissent sur son pantalon qu’elle déboutonne. « C’est une promesse monsieur Aubertin ? » Elle lui souffle alors qu’elle frissonne encore sous ses baisers, sous son assaut. Ses mains glissent encore sur son torse, ses lèvres qui l’embrassent encore, parce que ses baisers lui sont un peu comme une drogue. « Il va falloir la tenir maintenant.. » Elle souffle au creux de son oreille, ses mains qui viennent glisser sur sa nuque puis dans ses cheveux. « Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée ces temps-ci. » Elle lui souffle comme un aveu. Parce que c’est la vérité et que sans Victor elle ne sait pas où elle en serait aujourd’hui. Sans lui elle aurait probablement continué d’être malheureuse. Alors, elle le laisse s’occuper de son corps comme elle s’occupe du sien, parce que c’est le seul moyen pour elle de lui dire qu’elle l’aime pour le moment.

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Mer 23 Mar - 20:26
C'est toujours cette sensation inédite qui le prend quand elle pose ses lèvres contre les siennes, comme si toutes les relations qu'il avait pu avoir auparavant -une seule, au fond- n'avait été que les prémices de ce qui l'attendait quand il allait rencontrer la brune. Prémice éphèmère avant que le feu d'artifice n'atteigne le ciel le plus haut, que le bonheur ne frôle son esprit. Il se fout bien du repas qui est en train de cuire, ses pensées divaguent ailleurs, loin, il imagine, il imagine ses soupirs, ses envies, il l'entend encore murmurer au creux de son oreille, entendre sa voix qui se perd dans les limbes du désir, c'est tout ce que veut Victor à l'instant T. C'est tout ce qu'il désire. Il hoche positivement la tête quand elle lui demande si c'est une promesse, et il dépose ses lèvres sur la peau de son cou, doucement, il souffle contre la peau nue et déplace ses lèvres contre la clavicule. Il sourit en coin à sa provocation avant d'hausser les sourcils, avec un air amusé « Parce que j'ai l'habitude de ne pas tenir mes promesses ? » demande t-il avant d'embrasser sa mâchoire, ses mains qui se frayent un chemin sur tout son corps, encore et encore. Le bout de son doigt qui trace des arabesques sur la peau nue, avant qu'il ne se dévêtisse entièrement pour finir par la posséder de la façon la plus sensuelle qu'il soit.

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Son corps qui repose contre celui de Briséïs, Victor soupire d'aise avant de se lever pour aller se débarrasser du préservatif et il revient pour se retrouver auprès de la brune, récupérant au passage le sous-vêtement qui avait été laissé pour compte sur le sol de l'appartement. Il se saisit une nouvelle fois des lèvres de Briséïs avant de s'installer au dessus d'elle, prenant appui sur ses coudes pour ne pas trop l'écraser. Il murmure au creux de son oreille « J'ai réussi à te prouver qu'il n'y a que toi ? » demande t-il en souriant, ses lèvres qu'il dépose sur le bout de son nez.

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Dim 27 Mar - 10:18
Briséïs avait toujours peur de s’engager dans une nouvelle relation parce qu’elle avait bien vu où cela l’avait mené. Elle avait vu que les relations qu’elle avait eu auparavant n’avaient pas fonctionnées et pourtant, elle n’en avait pas eu beaucoup. La plus longue qu’elle avait vu, elle aurait dû se marier et finalement, ce n’était pas le bonheur. Elle avait peur que les choses ne fonctionnent pas avec Victor mais en même temps, elle ne voulait pas prendre le risque de le perdre. Egoïstement, elle n’avait pas envie que ce soit une autre femme à son bras. Elle préférait avoir peur que de passer à côté d’une histoire. Une peur qui s’en allait lorsqu’elle se retrouvait dans ses bras, comme en cet instant. Elle ne pensait à rien d’autres qu’eux quand ses lèvres se retrouvaient sur les siennes. Elle sourit à sa question. « Je crois que j’ai besoin d’un petit rappel. » Elle lui souffle avant de l’embrasser une fois encore. Ses mains qui glissent sur son corps alors qu’ils finissent par ne faire plus qu’un. Un seul corps. Un seul cœur. Une seule âme.

(…)

Elle se laisse reposer sur le matelas alors qu’elle l’observe se relever. « Tu sais.. la vue n’était pas gênante. » Elle lui dit lorsqu’elle le voit enfiler son sous-vêtement. Elle se couvre rapidement avec le drap avant de se rapprocher de Victor quand il revient auprès d’elle. Elle pose une main sur son torse qu’elle caresse lentement. « Je pense que tu as plutôt bien tenu promesse.. » Elle embrasse une fois encore ses lèvres. « Je suis désolée pour ma jalousie. » Elle lui souffle, rougissante. Elle ne l’avoue pas toujours et elle n’aime pas ce sentiment qui prend possession de son corps. Elle n’aime pas être comme ça. Elle ne le fait pas exprès pourtant. « Mais je n’ai plus de raison de douter.. » Elle lui avoue avec un sourire. Elle n’en voyait pas pour l’instant et surtout, elle ne voulait pas. « Mais ça m’as ouvert l’appétit tout ça. » Il fallait encore que ce que Victor avait préparé soit encore mangeable.

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Dim 1 Mai - 19:27
Il n'avait jamais eu dans l’idée de vouloir la sauver des griffes de ce connard pour pouvoir la mettre dans son propre lit. Non, il n’était pas comme ça Victor mais à force de la fréquenter, il avait fini par développer de l’affection pour Briséïs et si sa soeur l’avait mis en garde de prime àbord, il n’avait pas eu envie de l’écouter et le voilà qu’il était là, à lui faire des promesses brûlantes qu’il essaierait de tenir du mieux qu’il le pouvait. AU moins, elle était en sécurité avec lui et c’était quelque chose qui ne changerait jamais. « J’aime les rappels. » répondit -il avant de se fondre en elle.

(…)

Il ria à la remarque de Briséïs « Moi qui pensait que j’aurais pu satisfaire ton appétit, visiblement ce n’est pas le cas. » répondit-il en secouant un peu la tête et il s’humidifia les lèvres en posant une main sur celle de Briséïs quand elle caressa son torse, il se saisit de sa main et entrelaça leurs doigts et embrassant son front. «Et je la tiendrais bien d’autres jours. » Parce que ce n’était pas une promesse unique, mais une promesse qu’il ferait pour des mois et des années durant. « Je t’ai dit que tu n’as pas à être jalouse, je ne suis pas comme la sous merde qui te servait de fiancé, moi. » Il avait toujours cette rancoeur au creux du coeur et elle ne partirait sûrement jamais vraiment mais il s’en fichait, il n’avait pas pour habitude de garder sa langue dans sa poche. Il saisit le visage de Briséïs entre ses mains et déposa ses lèvres tout contre celles de la brune avant d’embrasser son cou et sourit « Bien. Je suis heureux de savoir que j’ai réussi à te convaincre. » fanfaronna t-il avant de se lever quand elle indiquait avoir faim et il enfila un tee-shirt pour se diriger jusque dans la cuisine, attendant que Briséïs ne le rejoigne et il dressa la table avant de sortir la tarte du four « Je pense qu’on a réussi à sauver la nourriture à temps. Sinon on aurait dû commander, quel dommage n’est-ce pas ? » Ria t-il avant de l’embrasser de nouveau. Marqué par le désir qu’il avait ressenti quelques minutes auparavant et qui ne le quittait toujours pas. Il était heureux et il savait bien que ça ne durerait sûrement qu’un temps, mais il préférait ne pas penser au moment où il devrait repartir. Parce qu’au fond, rien n’est éternel. Et il en sait quelque chose Victor.

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