La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
-50%
Le deal à ne pas rater :
BODUM Bistro Set : Théière filtre 1 L + 2 gobelets double paroi en ...
19.99 € 39.90 €
Voir le deal

baby let me be your light (wesla)

@ Invité

avatar
   
#
Mar 26 Juil - 23:28
mardi 26 juillet ; boston Assise à mon bureau, les jambes croisées, le dos tordu, j’attrape mon téléphone lorsque ce dernier vibre sur le bureau. Quand je vois le nom de Will et la demande de visio, je souris largement. Je sais bien que ce n’est pas mon ami qui m’appelle mais mon filleul qui veut discuter de quelque chose. Mahaine ! Je vais à la sipine ! Ses petites erreurs de langages, ses phrases bancales, j’en ris parce que je trouve cela plus que mignon. Mon coeur s’emballe à ses yeux rieurs, le cadrage foireux de son visage sur l’écran. Ce gosse me tuera, je le sais. Tu viens nager avec moi mahaine ? Je jette un coup d’oeil à l’horloge au dessus de la porte et réfléchis quelques secondes. Je devrais en avoir pour moins de quatre heures de trajets. Mais il faut que je passe par la maison. Il est onze heures et les calculs sont rapidement faits. Ma main libre sur l’écran de mon ordinateur, je ferme ce dernier et souffle Tu sais quoi mon amour ? J’arrive ! Je me lève et pendant que je continue ma conversation avec le petit coeur, je remballe mes affaires, quitte le bureau et indique à Pierre de me ramener à la maison. Mon sac est vite prêt - je ne prévois que pour deux jours - et quand Eden raccroche parce que son père lui dit qu’il est l’heure de manger, j’informe mon employé qu’il a deux jours de libre. Je prends la voiture et vais conduire moi même jusqu’à Boston. J’ai besoin de temps pour mes réunions et je sais que la routine d’Eden implique une sieste alors ça ne sert à rien d’arriver plus tôt. Le trajet est rapide et lorsque j’arrive au Manoir, c’est un mélange de tas de sentiments qui me prennent à la gorge. Ici, ça aurait pu être chez moi mais ça, ça fait parti du passé. Enfin, en quelque sorte, parce que je vois bien les sourires enjoués des employés lorsque je pénètre sur les locaux. Je me dirige vers le salon où Eden m’attend dans son maillot de bain et je le rejoins rapidement en bikini. Main dans la main, lunettes de soleil sur le nez et talons aux pieds, nous sortons vers la piscine extérieure, chauffée par le soleil estival. Où sont tes brassards ? Je ne supporterai pas qu’il lui arrive quelque chose ou autre. Will n’est plus avec nous et nous sommes seuls dehors. Viens là que je te mette de la crème solaire petit chenapan. J’attrape le petit et le badigeonne avant de le libérer pour qu’il aille à l’eau. Perchée sur mes talons, au bord de la piscine, je le prends en photo et mon rire se mêle au sien. Qu’est-ce que c’est agréable de l’entendre…

@ Invité

avatar
   
#
Mer 27 Juil - 22:27

baby let me be your light

@Daniella Walton-Rossi

Une journée de travail écourtée au bureau que je suis entrain de quitter, téléphone à la main pour termine mon message. Le destinataire? Le propriétaire de la demeure New-Yorkaise que je convoite pour le déménagement que je veux voir arriver pour la rentrée. Si ça traine, c'est parce qu'il y a énormément de choses à régler. Ce n'est pas qu'un délogement, il y a aussi le siège de mon entreprise qui risque de bouger. La seule chose qui change dans ma routine, c'est que Lenny n'est pas convié pour mon trajet. Ce matin, j'ai décidé de prendre le volant comme pour me permettre de réfléchir tout en conduisant. Ce que je fais encore maintenant, sur la route jusqu'au manoir. Oui, j'ai du mal à réaliser qu'il deviendra dans peu de temps, ma résidence secondaire. C'est une page lourde à tourner mais je me console en me disant que je pourrais la lire quand l'envie me prendra. Ce ne sera qu'à quoi? Quatre heures de moi? Et puis, les deux personnes les plus importantes de ma vie me suivent pour rejoindre, la troisième. En ce qui concerne mes employés, certains viennent et d'autres restent à Boston, j'ai donc aussi un recrutement à démarrer. J'en soupire en tapotant quelques phalanges sur mon volant que je finis par tourner pour passer le grand portail sans oublier de saluer la sécurité en passant. L'équipe du matin ayant céder sa place à celle de l'après midi, ce n'est donc pas les mêmes têtes que j'ai pu voir en partant travailler. Quelques minutes plus tard, je dépose les clés de ma jaguar dans la paume de mon chauffeur qui tente de m'interpeler par un "Wesley il y a..."  Que je coupe rapidement "Un incendie? Un mort? Une urgence de ce type?" Perplexe, il secoue sa tête après un léger temps sans bouger et affirme vocalement que non. "Alors ça peut attendre." Ca peut attendre que j'aille embrasser mon filleul. "Eden est au salon?" Que je demande dans un dernier pivotement de mon corps vers lui "Non il est à la piscine." Un remerciement balancé et je peux reprendre ma marche. Inutile de faire le tour, autant couper par l'intérieur. Et puis, je pourrais ainsi, déposer ma sacoche dans le premier coin que je vais croiser. Tête baissée, je n'offre que ma main dressée comme un stop à ceux qui essayent de me parler. Qu'est ce qu'ils ont à êtres bavards aujourd'hui? La réponse dans quelques secondes, quand mon visage va se relever. L'extérieur retrouvé, je regarde vers l'horizon pour trouver ma petite tête blonde préférée et quelle surprise de le retrouver à tes cotés. Une vision qui me donne des palpitations et qui m'oblige à m'immobiliser comme un con, là, à vous observer.

EXORDIUM.

@ Invité

avatar
   
#
Mer 27 Juil - 22:51
Passer du temps avec Eden est l’une de mes priorités. Je fais souvent le trajet pour venir voir le petit garçon et créer de nombreux souvenirs avec lui. Nous nous voyons une fois par semaine mais nous avons aussi nos retrouvailles imprévues, comme ce moment que nous nous apprêtons à passer ensemble. Il sait qu’il n’a qu’à m’appeler pour me faire rappliquer et ce petit monstre ne se gêne pas pour s’en servir. Il n’en abuse pas - aucun doute que son père le frêne un peu dans ses tentatives pour me faire venir - et c’est tout ce que j’aurais pu espérer. On y va à notre rythme, on avance tous ensemble mais aussi de manière indépendante et c’est le plus important ici. Un large sourire sur le visage, Eden maintenant badigeonné de crème et équipé de ses brassards, il file vers la piscine, bouche son nez et saute dans le bassin. Il remonte rapidement et fait les quelques mouvements que je lui ai appris lors de nos sessions chez les bébés nageurs. J’en sourit largement et en profite pour le prendre en photo. Habituée par les bruits ambiants du Manoir et le va et vient de l’équipe, je ne fais attention à rien ni personne si ce n’est à la tête blonde qui rit comme si être dans l’eau équivalait à une bataille de chatouilles. Ça me tord le cœur mais dans le bon sens du terme, pour une fois. C’est plus mon cœur qui se gonfle et qui souffre de ce trop plein d’amour qu’autre chose. Vas doucement, tu vas boire la tasse. Que je souffle alors qu’il fait la toupie, bougeant les bras si vite qu’il m’éclabousse au passage. Et il n’y a qu’au moment où il s’arrête et que son regard accroche le tien que je tourne le visage. Pahain ! La nage du chien jusqu’à l’échelle, il montre rapidement et court vers toi. Super, mon quart d’heure de gloire est déjà terminé. Son corps humide dans tes bras, je ne peux m’empêcher de sourire. C’est le tableau que j’ai toujours voulu pour nous et je ne sais pas, je ne sais plus. Mes pas me mènent jusqu'à toi et j’embrasse ta joue. Tu as mouillé parrain, il va devoir se changer maintenant. Que je lance alors que ta chemise blanche commence doucement à te coller à la peau. Tu viens avec ? Qu’il te demande et moi, je garde mes yeux sur toi, en attente de la réponse et avant même qu’elle arrive, c’est la tornade qui se réveille. Sa main dans la mienne, il me tire jusqu’au bord de la piscine et dis Viens on saute Mahaine ! Je ne me fais pas prier, retires mes talons, mes lunettes de soleil et après un coup d’oeil dans ta direction, je saute à l’eau, main dans la main avec celui qui m’a permis de garder la tête hors de l’eau dans les pires moments.

@ Invité

avatar
   
#
Sam 20 Aoû - 18:46

baby let me be your light

@Daniella Walton-Rossi

Une exclamation qui soulève mon coeur de bonheur. J'ai l'impression d'être un soldat qui revient de mission quand il se comporte comme ça. Son petit corps sort de la piscine, ce qui provoque en moi la réalisation qu'il grandit, trop vite. Il court et se jette dans mes bras que j'ouvre tout en m'accroupissant pour l'aider dans son élan. Le résultat? Ma chemise complètement trempée. Mais qu'est ce que c'est à coté de sa bouche qui vient s'écraser contre ma joue, la mienne, mon nez. Il fait le fou et j'adore ça. Sa tête se tourne quand il remarque que mon regard se pose sur toi, à notre hauteur pour me saluer. Un énorme sourire nait de ce baiser que tu viens à ton tour déposer sur ma pommette certainement mouillée. "Quelle bonne surprise.." Que je souffle, l'esprit qui fait le lien entre ta présence et mon employé presque affolé. Un rire s'échappe, les yeux qui glissent sur cette chemise devenue transparente. "Hm oui. Mais je vais devoir aller enfiler mon maillot avant." Il écoute à peine, déjà entrain de réveiller son volcan intérieur en descendant de mes bras. Il t'entraine au bord rempli d'espoir que débarque en toi la motivation, l'acceptation pour sauter dans l'eau. On se fixe, quelques secondes, et tu lui donnes ce plaisir. Cette scène, c'est tout ce que j'ai toujours voulu pour le film de notre vie. Pourquoi en rater des minutes? "Oh et merde." Que je marmonne suffisamment bas pour ne pas qu'il m'entende jurer. Mes mains s'activent pour ôter mes chaussures. C'est précipité, je manque de tomber quand c'est le pantalon que je viens enlever. La chemise ne me résiste pas. "Parrain arrive mon pirate!"Je me présente en boxer sur le rebord, sans avertissement sur ma peau, je plonge tête première. En apnée, je nage sur la distance nécessaire pour être à vos cotés. Mes doigts qui viennent défaire cette coiffure trop plaquée avant de faire des mouvements de vagues pour vous arroser. Guerre déclarée? Tout ce que je sais, c'est que je me sens heureux et léger. T'aimer est bien trop souvent douloureux sauf dans des moments comme ça. En la présence de celui qui, peut se vanter de t'avoir sauvé toi, de m'avoir sauvé moi. A defaut d'avoir pu nous sauver nous.   

EXORDIUM.

@ Invité

avatar
   
#
Dim 25 Sep - 15:38
Debout devant la piscine, profitant du spectacle de la petite tornade blonde, je crois que je suis presque triste que tu sois là. Enfin, déjà là. On est chez toi, il n’y a pas à tergiverser là-dessus, mais il me semblait que tes journées étaient plus longues. C’est bizarre tout ce qu’il se passe dans mon corps - et mon coeur - lorsque je te regarde avec Eden. Il y a de la joie, y a de l’envie mais il y a aussi une tristesse indéniable. Je fais tout ce que je peux pour ne pas sombrer, pour ne pas me noyer dans cette dernière émotion et préfère prendre le pas, prendre la décision d’aller vers toi. C’est facile et difficile. Presque normal et tellement imprévu. Mon intérieur ne sait plus et c’est terrorisant. Parce que si mon instinct, ma Raison ne sait plus, comme mon Coeur pourrait savoir ? Les yeux qui te quittent et filent sur Eden qui m’accroche et me tire vers l’eau, il me faut batailler pour me débarrasser de mes accessoires avant de plonger avec lui. Enfin, sauter. Je pense qu’on pourrait presque considérer cela comme un petit Tsunami vu les vagues que l’on provoque. Doucement Eden, tu vas te faire mal. Que je souffle quand il recommence à tourner au plus vite et tenter de se soulever hors de l’eau et se laisser retomber pour les splash et vaguelettes que cela provoque. C’est d’un ton bienveillant que je dis celui-ci, faisant complètement abstraction de ta personne, te pensant parti te changer. Mais quand on entend tes mots, aussi bien Eden que moi, on se fige et je crois qu’avant de sauter, tu peux voir nos regards terrorisés mais amusés. Vite mon Amour, cache toi derrière moi ! Eden éclate de rire, je l’attrape et le pousse derrière moi alors que la vague nous fait bouger tous les deux. Il tousse - un peu d’eau a du finir dans ses narines - et je l’invite à monter sur mon dos. On va attaquer parrain, d’accord ? Trois, deux, un ! Je nous pensais plus rapide que ça mais c’est pas le cas parce que tu as pris les devants et t’es déjà en train de nous arroser. Allez mahaine, plus fort ! Les coups de mains sont rapides pour essayer d’envoyer le plus d’eau possible dans ta direction. T’avances bien trop vite et nous, on recule comme on peut. Lorsque je sens le bord de la piscine dans mon dos je dis Attaque bulldozer ? Eden me regarde, grand sourire et acquiesce. Rapidement, on se tourne, attrape le rebord de la piscine et on bat des pieds si forts que même les fleurs sont arrosées de chlore. Plus fort ! Je tends le cou pour te regarder en train de galérer dans les éclats d’eau pour venir jusqu’à nous.

@ Invité

avatar
   
#
Dim 25 Sep - 16:12


baby let me be your light

@Daniella Walton-Rossi

Ce n'est pas la première fois que nos esprits se rejoignent. Tu as la même idée que moi, presqu'au même moment. Sauf que je prends les devants pour faire aller les vagues de votre coté. Dans un terme de guerre, je crois pouvoir affirmer que vous battez en retraite. Mais je ne vais pas arrêter l'attaque, au contraire, je vais profiter de ma domination pour poursuivre les mouvements de mes bras à la surface de l'eau. "Fuyez pauvres fous!" Le bord atteint par vos corps, j'avais l'espoir de vous entendre supplier pour que je m'arrête mais non, d'un coté ça aurait été mal te connaitre. Tu lances l'assaut d'une offensive au surnom impressionnant. Vos positions changent, et par malheur je ralentis ma cadence pour vous observer dans cette mise en place. Quand je comprends ce qui va arriver, il est déjà trop tard pour fuir. Les éclaboussures s'apparentent à un tsunami. Il est difficile pour moi de garder les yeux ouverts, ce qui m'oblige à utiliser mes bras comme bouclier plutôt qu'en arme. A mon tour de perdre du terrain, de me replier, mais même à une certaine distance vos giclées me tombent dessus. Je rigole, je ne cesse de me marrer et ça fait un bien fou. "C'est bon, c'est bon! Vous avez gagnés!" Que j'essaie en vain de balancer pour que les remous cessent. Fêtez votre victoire, faites. Ne vous méfiez pas de cette malice qui est en moi. Qu'il est un peu dangereux de votre part de croire que le roi abandonne aussi facilement. Dans la plus grande discrétion possible mais surtout dans une totale rapidité, je plonge tel un sous marin pour rapidement attraper tes chevilles. C'est le genre d'action que je ne ferais pas sur notre filleul, encore trop jeune pour être noyé. Je te tire, pour que tu me rejoignes sous l'eau, contre ta volonté. Ma vue est floue mais je peux apercevoir quelque chose de terriblement mignon : Eden qui plonge ses petites mains pour trouver les tiennes et tout faire pour te remonter avec ses petits muscles. Ah la trahison! Je te lâche pour être le premier à sortir la tête de l'eau, que je secoue pour pouvoir retrouver une bonne vision. Je m'empresse d'aller l'attraper lui avant de reculer un peu, quand tu refais apparition, d'une voix sadique j'informe que "Il est à moi maintenant!" Suivi d'une esclaffe diabolique. A ton tour de lui venir en aide. Oh que ce moment est délicieux, mais l'arrière gout n'est pas inévitable. C'est celui qui me dit que je m'en veux. Qu'on ne peut pas briser un coeur sans regretter après.  

EXORDIUM.

@ Invité

avatar
   
#
Dim 25 Sep - 17:21
On dirait des gamins, une belle bande de gamins. Sauf qu’on est tous sauf ça. Enfin, en ce qui nous concerne toi et moi. Parce qu’Eden, lui, est un gamin en bonne et dûe forme. Il passe d’un clan à l’autre, allant au plus offrant et au plus drôle, ce que je ne suis pas sur ce coup mais pourtant, il reste avec moi. La fidélité de cet enfant me fascine et je crois qu’il sait - et sent - aussi que s’il venait à me quitter si rapidement, c’est hors de la piscine que je me retrouverais rapidement. Ce n’est pas que je n’ai pas envie d’être seule face à vous - je le ferais tous les jours - mais la force du moment est un peu trop pour moi. Je ne sais pas pourquoi mais ça se bouscule, dans mes entrailles, et je déteste cela. Je pensais avoir fait la paix de tout cela mais il semblerait que ça ne soit pas le cas. Ça ne le sera peut-être jamais. Je n’en sais rien. Seul le temps nous le dira et là, le temps me fait comprendre qu’on a bien réussi notre mission avec Eden. Je m’arrête quand j’entends tes mots et regarde notre filleul. T’as entendu ce que parrain a dit ? Que je souffle, toute joyeuse. Et la réaction du petit Patterson est majestueuse. On a gagné Mahaine !! Il bat des jambes pour rester à flot mais lève les bras comme s’il venait de gagner les Jeux Olympiques de natation, ce qui m’arrache un rire bien profond. Je l’attrape par la taille et embrasse ses joues. On est les meilleurs. Aucun doute là-dessus. Je le repose et tourne le corps pour te voir, me moquer ouvertement de toi mais tu n’es pas là. Pas le temps de réagir que je glisse sous l’eau, non sans un cri de surprise. Sous l’eau, je vois les petites mains d’Eden qui me cherchent et me débats pour tenter de les attraper, en vain. Salopard. Je vais te le faire payer et j’ai peur qu’Eden panique dans les secondes qui arrivent. Lorsque je retrouve ma liberté, je remonte mais tu as déjà embarqué le petit avec toi. C’est son visage qui m’intéresse et la peur qui se lit - ou pas - dessus. Il a l’air un peu perturbé mais rien de bien effrayant pour le garçonnet qu’il est. Il faut dire qu’il en a tellement vécu des choses depuis sa naissance. Qu’est-ce qu’on dit mon amour ? Que je souffle en regardant Eden, prête à rire quand tu entendras les mots que je lui ai appris Je suis à pehsonne moi ! Je suis juste le petit amouh à mahaine. Je ne cesse de me délecter de ce message que je lui ai appris. Nous ne sommes l’objet de personne. Ni lui, ni moi, ni même toi en fait. Et le fait qu’il ait du mal à prononcer les R est encore plus mignon. Qu’est-ce que je dois faire pour les libérer du méchant Barbossa ? Ma culture de pirate s’arrête à Pirates des Caraïbes, nous ne sommes donc pas sortis de l’auberge…

@ Invité

avatar
   
#
Ven 11 Nov - 18:24


baby let me be your light

@Daniella Walton-Rossi

Que Eden se laisse berner, c'est excusable pour son jeune age. Il apprendra, ou plutôt, je lui apprendrais à toujours se méfier et avoir un coup, voir deux, d'avance à l'avenir. Mais que toi, tu aies pensé avoir si facilement gagné... J'en aurais presque peur que tu ne me connais plus. Moi je te connais. Je connais ta bouche mieux que toi même, et on visage fait jaillir de mes yeux des flammes, comme si je n'avais jamais touché, connu, vu d'autres femmes plus belle qu'il est possible d'être belle. Tout ton être me possède. Je ne t'aime pas, je meurs de toi. Mais parfois je me dis que si je le pouvais, si j'avais ce pouvoir, je t'oublierais instantanément. Mais mon coeur en a décidé autrement. Ouais, il arrive que ça me brise en milles morceaux de t'aimer. J'ai comme l'impression d'être prisonnier d'un truc que je ne pensais jamais voir naitre. Un amour que personne ne comprend, même pas moi? Quelque chose qui semble destructeur, mais qui fait vibrer chaque parcelle de mon corps lorsqu'il s'agit de toi. "Tu lui en apprends des idioties..." Les yeux qui roulent, dans la taquinerie. Et je m'empresse lui souffler, de manière assez audible pour t'en faire profiter. "T'es un Patterson, n'oublie pas ça..." Le bisou sur sa joue comme volé, il faut que je revienne dans mon rôle de super méchant. Je le porte volontiers pour entendre notre petit coeur rigoler. "Hm... Je ne sais pas." Puis, pourquoi je te donnerais les armes comme ça? "Mais dépêches toi de trouver..." Parce que je vais le torturer. D'un bras je le maintiens sans douleur, de mon autre main, je viens le chatouiller. A tel point qu'il t'ordonne "VITE MAHAINE, VITE!" Nos éclats de rires se rejoignent, mais mes yeux restent sur toi.

EXORDIUM.

@ Invité

avatar
   
#
Mer 14 Déc - 17:38
Des moments en famille comme je pouvais en vivre à l’époque. Surtout à la piscine puisque c’était mon domaine et la seule chose que je ne partageais avec aucun de mes frères et soeurs. J’étais un peu la reine, la sirène, celle qui voulait toujours jouer dans la piscine et y rester jusqu’à ressembler à un pruneau fripé. Ça me fait du bien d’être là, de vivre ce moment et même si je ne le dirais pas à voix haute, je le pense fort et le ressens encore plus fort. Remettrais-tu mon amour pour Eden en question ? Que je souffle, faussement choquée, cependant prête à sortir les griffes pour t’étriper si je dois le faire. Ce petit bout, c’est mon amour, c’est celui qui m’aide à sortir la tête de l’eau quand je me sens submergée, celui qui m’aide à voir le bon côté des choses. Je ne sais vraiment pas comment il s’y prend mais il y arrive. Un sorcier, plus qu’un pirate si tu veux mon avis mais je sais que c’est votre truc alors je ne te contredis pas, pas aujourd’hui, pas dans ce moment. Et ils ont un faible pour l’aînée Walton-Rossi. Que je réponds aussi vite, haussant les épaules, ravie de voir qu’en voulant te mettre sur le devant, tu m’offres la possibilité de te faire grincer des dents. Du grand-père à l’oncle en passant par le père… Pas la peine de faire les comptes, tu le sais. Mes yeux sur vous, je tente de me contenir, de ne pas trop rire alors que lui glousse. Fais attention, il va boire la tasse ! Que je lance, directive, un peu froide, les yeux sur Eden qui glousse mais se retrouve un peu trop près du niveau de l’eau pour moi. Et moi, j’en profite pour me rapprocher de votre duo. Je me déplace gracieusement avant de filer sous l’eau et, de ce fait, d‘attirer l’attention d’Eden qui doit se demander où je suis passée. Et puisque je ne sais pas trop comment le récupérer, je me la joue garce. Il ne voit rien mais toi, tu les sens mes mains qui s’enroulent autour de ta taille et cette pression que j’exerce sur le tissu de ton boxer pour le faire descendre sous l’eau, te mettant littéralement à nu. Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire sous l’eau et de sortir rapidement pour retrouver mon souffle et vous offrir une belle vue sur mon dos. Allez pimousse, accroches toi, on s’enfuit ! Je ne sais pas les mains de qui j’ai sur les épaules mais c’est du grand n’importe quoi. Il faut aussi que je reprenne mon souffle, je ne voudrais pas mourir comme ça.

@ Invité

avatar
   
#
Sam 18 Fév - 0:11


baby let me be your light

@Daniella Walton-Rossi

Il existe des choses indéniables dans ce monde : Le feu ça brûle, l'eau ça mouille, la terre tourne autour du soleil, tellement plus, et notre amour commun pour Eden. "Je n'oserais pas." Parce que le faire, ce serait mentir et tu sais bien que je ne le fais jamais. Comme perdre, sauf quand c'est face à toi. Je ne le fais pas exprès, tu es bien trop forte il faut l'avouer. L'adversaire de taille, la seule contre qui la bataille devient une cour de récré. Je ne retiens cependant pas le roulement de mes yeux, aveu du désespoir de cette réalité. Les garçons de cette famille sont tous ensorcelés par ta personne. Et me traverse la pensée que si toi et moi on faisait un petit bout de nous, un petit gars, il en serait de même encore une fois. Alors, c'est une fille à papa qu'il nous faudrait pour contrer ça. Pensée balayée par ton autorité, je relève un peu notre filleul du niveau de l'eau pour qu'un drame soit évité. Boire la tasse ne va pas le tuer mais, toi tu viendrais m'égorger. D'ailleurs, où es-tu passée? Nos deux regards te cherchent et si j'aperçois ta silhouette au fond de la piscine, à notre niveau. Je n'ai pas le temps de prédire quel coup tu vas assaillir. Sous-vêtement abaissé, j'entre ouvre la bouche dans la totale stupéfaction de ta fourberie. Si ton corps remonte, le mien se baisse une fois que le pirate s'est accroché à ton dos. "Eh! Il y a des zones où tu n'as pas accès! Le tissus replacé avec difficulté, vous vous éloignez avec vos rires en mélodie pendant que je tente de chatouiller ton interêt en présentant mon intimité comme chasse gardée. "Vous avez déjà mangés les vilains?" Que je questionne maintenant parce que mon estomac fait sentir des symptômes de faim. L'image d'un goûter en famille me rend heureux, et j'espère que c'est ce qu'il va se passer. Même si après tant de folies, Eden risque de piquer un peu du nez. Quoi que, son énergie est à revendre. J'avance vers vous, moins brusquement que dans les échanges précédents, comme pour faire la paix. Oui, j'admets indirectement que tu as gagné. Tu as gagné la partie, le droit sur mon bonheur, mon coeur et mon âme.

EXORDIUM.

@ Invité

avatar
   
#
Dim 19 Fév - 19:06
Je te regarde et souris largement. Je me disais bien que tu n’étais pas suicidaire. Un clin d'œil dans ta direction et nous reprenons rapidement notre petit jeu. C’est bon enfant, on se pousse à bout et on fait rire le petit bout qui nous tient en vie depuis quelque temps déjà. Sans lui, je ne sais pas ce qu’il adviendrait de nous. Je ne crois pas que sans lui, on aurait encore ce contact, bien que délicat. C’est mieux que rien, je le sais, pas satisfaisant mais galvanisant. Le ton autoritaire de ma voix se fait entendre dans le jardin et je suis sûre qu’une bonne partie de tes employés nous regardent en se foutant ouvertement de nous. Ils arrivent à voire des choses que je suis incapable de voir ou peut-être qu’on le voit tous mais que mon coeur à moi - à l’opposé des leurs - a trop souffert. Je t’ai toujours dis, la confiance je peux l’accorder mais quand on la brise, c’est dur pour moi de revenir sur mes pas. Il y a tellement de douleurs que je ne peux enfouir, de questionnements que je ne peux m’empêcher de ressasser. Je ne te pense pas capable de faire deux fois la même erreur mais si tu défiais toutes les statistiques ? Il y a cette envie de pousser, de rire, de se dire que c’est une évidence et il y a une autre envie qui est celle de fuir le plus loin possible. La Grèce, l’Afrique, l’Australie. Tout plutôt qu’ici, tout plutôt que toi dans le champ de ma vision périphérique. Seulement, t’es dans le champ de vision mais Eden aussi et lui… Bordel, mon Ange. Que je dois sauver de tes griffes, ce que je parviens à faire, riant et enfouissant un peu plus tous ces sentiments. Je ne veux plus cela devant Eden. J’aurai le temps plus tard et c’est une activité que je peux faire toute seule, si ce n’est pas merveilleux. T’inventes des règles parce que tu perds ? Que je souffle en souriant légèrement, mes mains qui soulèvent les fesses d’Eden pour qu’il monte un peu plus haut sur mon dos. Ta question me prend de cours et je m’arrête en pleine course dans la piscine. Je tourne le visage et souffle à Eden On arrête de faire les fous et on va manger ? Il réfléchit quelques secondes et pendant que je le passe de mon dos à mon buste, il répond par la positive. Crêpes et chantilly ! Et en avant les troupes. Tu nous rattrapes rapidement et c’est hors de la piscine et en direction du salon que l’on se dirige, tous complètement ruisselant. Une belle après-midi en famille, c’est ça ?

RP TERMINÉ.

@ Contenu sponsorisé

   
#

Poster un nouveau sujetRépondre au sujet

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum