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dont get bitter, just get better ft. debbie & elior

@ Invité

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Dim 7 Fév - 23:01
debbie & elior / février 2021
so what if i'm crazy all the best people are

Besoin de rigoler un bon coup ? La solution est très simple, je me rends dans le bar gay que j'aime beaucoup près du LGBTQ+ Center, où il y a ce soir une watch party de RuPaul's DragRace. Une fois là-bas, j'ai retrouvé Debbie, que je connais bien depuis que j'aide à organiser des événements au centre. Je suis ravi de la voir, et tout le monde sait qu'il ne m'en faut pas plus pour commander un bon appletini pour commencer la soirée. Sauf que les minutes passent, les épisodes défilent, et je perds le compte du nombre de cocktails que j'ingurgite. Il est désormais minuit passé quand la soirée se termine, et je pose mes mains sur les épaules de la blonde après un soupire bien trop long. « Well I do declare, Debbie Sinclair, » je m'exclame d'une voix probablement trop forte, un large sourire sur mes lèvres, « it's time to go to bed. » et je me lève, non sans tituber. Ma tête ne tourne pas encore, mais les mouvements brusques que j'enchaîne ne vont pas tarder à accélérer le processus. Je finis mon dernier appletini cul sec, et sors mon téléphone dans le but de me commander un Uber. Passons outre le fait qu'il me faut swiper trois ou quatre fois devant l'application sans la voir, avant même de pouvoir valider, mon téléphone s'éteint. La sentence est irrévocable, je n'ai plus de batterie. « Great news, my phone's dead. » L'alcool me fait mâcher mes mots, mais je ne m'en rends pas compte, on ne s'en rend jamais compte. « I don't have any cash and my appartment is... » je soupire et fais un geste de la main vers la fenêtre du bar, « soooo far awaaaay. » Dites-vous que j'ai déjà une personnalité "too much", mais alors imaginez ce que ça donne quand j'ai un peu trop d'alcool dans le sang comme ce soir. « can you call an uber for me ? » Avec un peu de chance, Debbie a eu la bonne idée de charger son téléphone avant de partir, pas comme moi, qui ne prends jamais mon chargeur et ne pense qu'à le brancher qu'en dernière minutes. Je remets déjà mon manteau, même si je suis loin d'avoir froid, je me prépare psychologiquement à le braver ce froid, et à vivre un choc thermique au moment de mettre le pied dehors. « I have to say, » je déclare ensuite, passant du coq à l'âne puisque je suis reparti sur le sujet de DragRace, « That Cracker Girl... she...really... she really cracks me up. » je plaisante, moi-même presque mort de rire à ma propre blague. J'ai même un peu de mal à la sortir, mes mots sont coupés par mes ricanements. Oui, faut bien dire que cette blague, je l'ai gardé en moi trop longtemps. Fallait qu'elle sorte, aussi nulle qu'elle soit.
(c) mars.

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Pseudo : tara
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : en théorie, 1 fois par semaine
Multinicks : Jessica Doyle / Madison Reed
Avatar : nicola coughlan + nocreativejuiceleft (avatar) + plume (gifs) + aeairiel (code) + dolly parton (lyrics)
Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
dont get bitter, just get better ft. debbie & elior F5567b133e339e4547b97765b4854c273cc863f8
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
   https://99problems.forumactif.com/t7623-debbie-sinclair-backwoods-barbie
#
Mar 9 Fév - 21:18
Debbie a été très sage. Très disciplinée, travaillant d'arrache-pied pour briller dans son nouveau show, pour mériter les bonnes critiques qui ont récemment commencé à défiler. Ce fut mitigé, au début, certains esprits un peu vieux n'appréciant pas spécialement qu'une énième production s'adonne à la mode du gender bend, par pur effet de style, selon eux. Ou elles, mais surtout eux. Quand il s'agit de faire du mauvais esprit parce qu'une femme pique le rôle d'un homme, on sait qui est l'auteur. Mais, il y a eu finalement plus de retours positifs que négatifs et la génération z a redécouvert le classique de Sondheim et là est la vraie récompense. Etre approuvée par des adolescentes populaires, c'est le rêve d'une vie, après tout. Et pour fêter ce franc succès, la blonde a donc pris ses premières vraies vacances depuis la première. Et évidemment, elle va prendre soin d'elle, faire du sport, lire dans son bain…

Mais avant, elle va faire la fête. Et boire un peu (beaucoup, passionnément) plus que de raison. De préférence en compagnie joyeuse et festive, qui ne critiquera pas sa descente impressionnante, peu recommandée pour une personne dont le métier dépend entièrement de la bonne marche de ses cordes vocales. Et du reste de son corps. Et cette charmante compagnie, ce soir, c'est Elior, son pote du LGBT Center. Après avoir organisé une belle soirée de fin d'année ensemble, ils ont bien sympathisé et se retrouvent donc naturellement à regarder de vieux épisodes de Ru Paul's Drag Race dans un bar gay du centre-ville. Il enchaîne les cocktails, Debbie alterne shots, bière et verres d'eau avec expertise et, bientôt, le glas sonne. Ou plutôt, les clips des 90s remplace les runway looks sur le grand écran.

La comédienne ricane devant la plaisanterie du brun, trahissant son taux d'alcoolémie bien au dessus de zéro. « Yes. Bed. Good idea! » Après tout, elle n'a plus vingt ans. Elle se lève donc à la suite d'Elior, manquant de tomber du tabouret bien trop haut pour ses courtes jambes. Mais elle prend son sac et marche d'un air assuré à la suite de son ami, l'air de rien. Son comparse s'arrête en chemin et elle manque de le percuter. Désorientée, elle le regarde d'un air un peu bête, peinant à entendre et assimiler ce qu'il lui dit. Mais finalement, les connexions se font sous sa tignasse blonde et elle sourit largement. « No worries! » Elle fouille dans son fort petit sac, puis réalise une évidence. « Oh, but I don't have my phone. » C'est ce qui se passe quand on est née avant 1990 et qu'on a grandi pauvre, on a pas le réflexe du téléphone portable. Le second jeu de mot RPDR fait à nouveau pouffer Debbie, qui rétorque, dans un léger hoquet. « That's funny. You're like RuPaul on a runway, with all your puns. Very good, I like it. »

Elle enchaîne toutefois sur un autre détail important. « However, I don't have money, because I gave it all to the bartender. And my apartment is also suuuuuper far away. » Désignant la direction opposée à celle que pointe Elior, l'actrice ajoute. « But that way. Well, the other way from you. » Sans doute est-elle plus près d'ailleurs, vu leur position actuelle par rapport au fleuve. Mais elle n'est pas exactement en état de réfléchir à sa position géographique. « Anyway. We can't go anywhere without money. » Dans sa tête, il est impensable de payer un taxi avec une carte bleue, on ne vit pas dans le futur. « So either we take our chances on the subway after midnight, but I don't want you to get stabbed. Or more likely, wait for an hour for the next train. » Elle réfléchit, plissant les sourcils pour trouver une autre alternative. « Either we go get money. » Ca semble imparable. « What say you baby girl? »

@ Invité

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Dim 14 Fév - 20:13
debbie & elior / février 2021
so what if i'm crazy all the best people are

On doit avoir l'air fins tous les deux, à ne marcher qu'à peine droit, manquant de se bousculer, à mettre dix ans à répondre à l'autre. Les gens autour de nous ont certainement compris très rapidement qu'on est bien torchés, et franchement, à nous regarder, ils doivent se dire qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Le pire, c'est qu'on se retrouve sans téléphone, puisque le mien n'a plus de batterie, et qu'il semblerait que la blonde ai oublié le sien chez elle. « How can you just... forget your phone ? » je lui demande, hébété, parce que je sais que pour moi, c'est impossible. Dès que j'ai cinq minutes, je scroll instagram, je cherche les potins sur twitter, je regarde les photos dans ma galerie. C'est bien simple, je ne m'en cache pas, je suis complètement accro à mon téléphone, je ne pourrais pas vivre sans les réseaux sociaux, c'est clair et net. Mon sourire ne fait que s'élargir, et mes yeux s'écarquillent lorsque la jeune femme rit à ma blague. « Please don't compare me to RuPaul, I'm not THAT bitch just yet. » je ris encore un peu, je ne sais pas si c'est ma blague complètement nulle de laquelle je ne me remets pas, ou tout le reste, l'alcool, le contexte ou le fait que je sois un petit fanboy excité à l'idée d'être comparé à une célébrité qu'il adore. Dans tous les cas, le résultat est le même; je ne m'inquiète même pas de la situation dans laquelle on se trouve.
Mon amie comédienne quant à elle cherche clairement une solution, et je la vois même froncer les sourcils quand elle réfléchit. Comme si ça lui donnait un super-pouvoir, la jeune femme me propose alors l'idée qui pour moi, est la bonne solution à notre problème. Enfin, pour le moi fortement alcoolisé après avoir regardé DragRace toute la nuit dans un bar. Donc est-ce que c'est la plus logique, je n'en suis pas sûr. « Well I say, » je lève la main droite, « let's go find an ATM to get some cash. » Je place mon bras autour de son épaule en ouvrant la porte du bar, et on s'engouffre dans le froid de New York, qui n'est pas des moindres en pleine nuit au mois de février. « Because I don't want my pretty little blondie to get stabbed either. » Je place ma main libre a dessus de mes yeux, comme si j'essaye de me protéger d'un soleil inexistant, les yeux plissés, je scanne la rue dans laquelle on se trouve, à la recherche d'un distributeur automatique de billets. « Girl tell me, either the crossing is flashing to Dua Lupa's last single's rythm, either I'm so very drunk. Which one is it ? »
(c) mars.

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
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Mer 17 Fév - 21:04
Evidemment, Elior est étonnée que son amie puisse sortir de chez elle sans son téléphone greffé à la main. Et, en toute franchise, cela arrive très rarement, surtout si elle travaille. Mais un soir comme aujourd'hui, où elle a juste envie d'oublier le monde et s'amuser un peu, c'est moins étonnant. Toutefois, la comédienne ne va pas présenter la chose de façon si simple et pragmatique. « I don't know dude, it just happens sometimes. What can I tell, I was born in the country and I was broke for most my life and I had a flip phone for most of the 2000s. » Rien de tout cela n'est faux et explique sans doute en partie son rapport à la technologie. Mais elle se doit toujours d'en faire un peu trop.

Ils continuent à plaisanter, ce qui menace de monter à la tête du brun. Debbie ricane et lui donne un petit coup de coude complice, répliquant. « Well you might not be that bitch but at least you're not fracking on your ranch! » Mais ils ne peuvent pas se permettre de débattre trop longtemps des rumeurs très anti-écologistes qui entourent la Reine Mère du drag. Il leur faut trouver un trésor! Du moins, c'est ce que le cerveau embué de la blonde perçoit. Même si c'est son idée de partir en quête de menue monnaie, elle oublie un instant l'existence des distributeurs, que son compère lui rappelle, fort heureusement. Sinon, elle aurait encore dû s'endetter auprès du barman d'un bar gay et ce n'est pas le genre de cycle qu'elle veut perpétuer.

« An aaTeeeeeM, you're so smart! » marmonne-t-elle, la bouche rendue pâteuse par les volumes d'alcool ingurgités. Elle se laisse entraîner, glissant son bras dans le dos de son ami et serrant légèrement les dents quand le vent froid de l'hiver new-yorkais lui fouette le visage. « Yes, nobody gets stabbed, I like that plan. » Ca semble plutôt réaliste, ce qui est important dans toute stratégie. Ils restent plantés à deux pas du bar, regardant la rue de bas en haut comme si un distributeur allait simplement apparaître. Elior semble distrait par le passage piéton, qui clignote. En riant, Debbie le pousse doucement en avant. « Well it is flashing to tell us to cross, I couldn't tell you if it's to that rhythm though. Maybe it's more like 9 to 5? Anyway, let's move!

Une fois de l'autre côté, elle regarde à gauche, puis à droite. Il lui semble logique d'essayer de se diriger vers 9th street et la station de métro éponyme. Le bémol est qu'elle ne se souvient plus exactement d'où elle se trouve. « Do you, per chance, know how we could find 9th Street Station? I feel like that's the vibe. » Ou simplement garder les yeux ouverts et se rendre compte qu'avec tous les bars concentrés dans le secteur, il y a forcément un distributeur dans le périmètre de ce pâté de maison. Mais c'est peut-être beaucoup en demander à leur cerveau alcoolisé.

@ Invité

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#
Mer 3 Mar - 17:07
« Oooh, the flip phones. I remember those. » Il semble qu'on en ai tous déjà eu un dans notre jeunesse, moi le premier, l'un de ceux là, juste avant que je me procure un BlackBerry, à l'époque, c'était le téléphone tendance. Déjà ado, je faisais tout pour rejoindre les tendances, ça a toujours été si important pour moi. « Fair point, » je réponds à Debbie qui comparait mes blagues à celles de RuPaul quelque secondes auparavant.
Alors que l'on met les pieds dehors, je propose de trouver un distributeur automatique de billets, et on dirait bien que Debbie est emballée par l'idée. « Baby girl, I am the smartest of them all, » j'aime les compliments, et surtout, j'aime amplifier les compliments que l'on me fait, je ne peux d'ailleurs pas m'en empêcher. Mais même "le plus intelligent" des hommes se laisse distraire, la preuve en est, je suis complètement absorbé par la lumière du passage piéton que je vois clignoter dans un rythme endiablé. « No, I swear it's her latest song ! » Ce que je dis n'a aucun sens mais je ne m'en rends bien sûr pas compte, le triple sec et la vodka présents dans les nombreux appletinis que j'ai ingurgité ce soir m'ont complètement retourné. Ca faisait longtemps que je n'avais pas bu autant, mais ça m'avait distrait pour la nuit, donc tant mieux. Je passe tellement de soirées devant la télé à espérer entendre les clefs de Janet tourner dans la serrure de la porte ces derniers temps que je ne me reconnais plus. Mais Debbie me pousse un peu, me forçant à avancer et à ne pas resté cloué devant le passage piéton. « 9th Street Station ? » Je fronce les sourcils, et joins mes mains en un bruyant "clap". « Girl, you can't trust my sense of direction when i'm sober. So don't ask a wasted 'me' to guide you. » Malgré le fait que je prends ma voiture tous les matins pour faire le trajet de chez moi, dans le bronx, à staten island, je n'ai toujours pas retenu tous les grands axes de la ville. « Unless you want us to end up in a cool karaoke, some of those, I know the directions to... » Mais je ne pense pas que c'est la meilleure idée. Il faut que je me concentre, que je regarde autour de moi. On va bien trouver un distributeur quelque part, non ?

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Mer 24 Mar - 21:49
« Well thank Christ you do! You'd be making me feel ancient if you didnt and I ain't having none of that, no ma'am. » Soudain, l'accent naturel de Debbie se fit plus marqué que d'ordinaire, un effet secondaire notoire d'un taux d'alcoolémie un poil trop élevé. Pas que sa Caroline du Sud natale ai complètement disparu de son phrasé, mais elle était contenue, comme une mélodie discrète qui rythmait le flot de paroles, parfois excessif, qui coulait des lèvres de la petite blonde. Mais avec beaucoup de tequila dans son organisme, les voyelles s'étirent, le volume grimpe et les r disparaissent.

Elle fronce un peu les sourcils en entendant Elior se jeter des fleurs, mais elle n'a pas vraiment le temps de commenter d'avantage, car ils se retrouvent jetés dans les fraîches rues de New-York, à contempler des feux piétons qui clignotent peut-être sur des rythmes pop. Ne voulant pas vexer son jeune ami, la blonde lui tapote gentiment le dos et réplique. « If you say so honey, I'm not that familiar, I couldn't tell ya. »

Ils parviennent finalement à traverser la route, ce qui ne les avancent guère puisque le plan ingénieux de Debbie est mis à mal par le sens de l'orientation très limité de son compagnon de route. « Ugh, you are the worst co-pilot. See, this is why there used to be maps on bus stops, instead of… » Elle tourne la tête dans différentes directions, cherchant un arrêt de bus qui pourrait illustrer son exemple, sans grand succès. « A graffiti'd sign and a piss smell! » Réducteur? Peut-être, mais elle est trop ivre pour faire de la poésie ou une analyse socio-économique du système de transit new-yorkais.

Le mot magique est alors prononcé, faisant brièvement perdre tout semblant de raison à la diva de Broadway qui vit plus qu'elle ne sommeille en elle. « Did you say karaoke? You can't tempt me like that when I'm this drunk, nooo. » Réalisant l'évidence, elle pointe un doigt vaguement autoritaire sous le nez d'Elior. « We don't have cash anyway! So… I guess let's sing songs that will help us find an ATM. » Quel est le lien logique entre la musique et un distributeur? Une question qui mérite d'être posée et à laquelle Debbie Sinclair n'a certainement pas la réponse. Cela ne l'empêche pas de passer un bras sous celui de son compère et de descendre la rue, chantant joyeusement « I work all night, I work all day to pay all the bills I have to pay... Ain't it sad? »

@ Invité

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Dim 4 Avr - 18:37
« Old ? Bitch you're only like two years older than me. Maybe three. I'm going on thirty two this year. » Comme une soudaine révélation, mon visage devient pâle -l'espace de trente rapide secondes- et je fais mine de faire demi tour pour me rediriger vers le bar. « Thirty two... I NEED MORE SHOTS OF TEQUILA TO SURVIVE ! » Je fais comme si je vis bien la trentaine, mais comme mon ami Axel, quelque part, je déteste vieillir, la preuve en est, je passe plus de temps à sortir m'amuser avec mes amis ces derniers mois que lorsque j'étais plus jeune. Je me suis d'ailleurs promis qu'après cette soirée avec Debbie, je passerai plus de temps à la maison avec mon fils. Je sais qu'il adore sa nouvelle baby-sitter et qu'ils s'entendent tous les deux à merveilles, mais je me rends bien compte que ce n'est pas en me bourrant la gueule toutes les semaines que mes problèmes vont rentrer dans l'ordre. J'ai besoin de faire face à mes responsabilités, maintenant.
Je pose une main sur ma poitrine et ouvre la bouche en grand, mimant l'offusquement démesuré. « Worst co-pilot ? Don't hurt my feelings like that, I beg you. » Comme un éclair de génie, je lève l'index et fouille dans les poches de ma veste. « I have an idea ! Why can't we use Maps, everybody have it on our... » Ah ben non Elior, faut bien croire que je suis complètement ravagé à ce moment là, puisqu'il semblerait que tel Dory le poisson, j'ai la perte de la mémoire courte. « Phones. Which we cannot use because none of us have enough battery. Damn it. » Et j'abandonne la recherche de mon portable, avant de cligner plusieurs fois des yeux, comme pour refaire les connexions entre mon cerveau et le reste de mon corps.
« Soooorrryyyy. Won't do it again, MOM. » que je lui réponds comme un gamin de quatorze ans en pleine crise d'adolescence. J'avoue qu'à la vue de son index si proche de mon visage, j'ai louché quelques secondes, et alors que je repose mes yeux sur mon amie, je titube un peu. Mais je tiens debout, malgré les passages piétons qui clignotent et les trottoirs qui semblent danser dans un rythme psychédélique autour de nous. « And still there never seems to be a single penny left for me, that's too bad ! » je continue la chanson d'ABBA en harmonie avec Debbie, avant de lever la main vers le ciel, comme pour interrompre nos vocalises. « Oooh you know what we should do ? Write an ATM song. » Et je saute d'excitation, comme si j'avais eu une idée de folie, qui n'a pourtant aucun sens. « Better, a MUSICAL ABOUT ATMS. » Non, aucun. Qui voudrait aller voir ça ? Quelle serait l'histoire d'une telle comédie musicale ?

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Lun 5 Avr - 18:06
« Well I can't do math at the best of times so, I'm gonna say roughly two years older, yeah. » Il faudrait prendre en compte leur mois de naissance pour avoir un calcul exact, mais Debbie n'est pas du genre à s'embarrasser de ce genre de détails. Néanmoins, elle éclate de rire devant l'élan dramatique d'Elior face à son âge. Il a l'air de très bien vivre le cap de la trentaine. Heureusement qu'il n'est pas une femme dans le show business, il n'aurait pas survécu. « Bitch, the point is we ain't that old! Come on now, before you get to drunk to stand. » En riant, elle le traîne hors du bar, où leurs péripéties nocturnes ne font que commencer.

Ayant surmonté le difficile obstacle d'un passage piéton un peu trop festif, ils ne se retrouvent guère avancé. Debbie hausse les épaules quand son compère se plaint d'être blessé par ce qui n'est qu'une triste vérité. Il ne sait pas où il va. Et sa brillante idée ne vient qu'illustrer son propos. Un sourcil relevé, la blonde pouffe finalement de rire, ne pouvant s'empêcher d'applaudir sarcastiquement. « What a genius idea, can't believe I didn't think of that! But don't worry Nancy Drew, we'll figure this out. » Comment, cela rester à déterminer.

C'est au tour de la comédienne de faire semblant de de s'offusquer, devant le comportement d'ado capricieux du brun. « Hey, I'm not mom! I'm your cool auntie who buys you drinks and gets you ticket to Broadway shows, have some respect! » Ce n'est même pas une exagération, si ce n'est qu'elle n'a aucun lien de parenté direct avec Elior. A sa connaissance, les hommes de sa famille ne sont guère connus pour leur fidélité. Parfois pas connus du tout, dans le cas de certains de ses oncles, justement. Mais ce n'est pas un sujet sur lequel l'esprit enivré de Debbie souhaite s'éterniser, il cherche même activement à l'éviter et la proposition parfaitement saugrenue du brun est la distraction parfaite.

Refreinant sans vraiment y parvenir un virulent fou rire, Debbie s'exclame « I'm sorry, what? » Son rire se fait incontrôlable, son imagination débordante essayant évidemment de mettre en scène l'idée surréaliste. « What would that even be about? Like… What would the songs be? Also, it'd be over in 5 minutes, that's barely an anecdote! » Elle rit toujours, mais n'en est pas moins intriguée. « But go on, how would the song go? I'll give you a rhythm. » Mettant à bon escient les milliers de dollars dépensés pour son éducation artistique à l'université, elle se met à taper des mains et contre sa poitrine, créant un semblant de percussions pour qu'Elior puisse laisser libre court à son génie.

@ Invité

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Dim 11 Avr - 15:59
Ne me demandez pas pourquoi, mais à la mention de Nancy Drew, je fais un signe de main, imitant un flip hair, prenant le surnom comme un compliment. Je n’ai pas particulièrement grandi avec la série de livres, mais j’aime qu’on me compare à un.e détective, et puisque la dernière fois que ça été fait, c’était Wesley qui me comparait à Magnum, je prends la remarque de Debbie comme un upgrade. Et n’oublions pas qu’à ce moment-là, mon cerveau est pas mal alcoolisé. « Of course, we will. »

« Holy cow that’s EXACTLY what you are. Well I am truly sorry if I offended you in any way, darling. » Je fais danser mon index sous ses yeux, et même en étant dans l’état second dans lequel je suis à ce moment-là, je me rends compte que je le fais bien trop longtemps. « I won’t do it again, nay nay. »

Mais ce soir, je suis clairement on fire, et j’ai d’ailleurs l’impression de révolutionner l’industrie de Broadway en proposant d’écrire une comédie musicale sur les distributeurs d’argent. A l’instant “t”, en compagnie de Debbie dans le froid du mois de février à New York, je suis persuadé que cela va être un hit, et que c’est une excellente idée. « How would the song go ? Girl, you are most definitely not ready for my shit, alright. » Je me tourne vers elle dans un pas-chassé gracieux, et recommence à chanter, probablement bien trop fort dans la rue. « I need to buy a diadem ! Let’s go to the ATM ! It’s only 8 AM, but I really need my diadem, let’s go to the ATM. God it’s time to take my diltiazem, before I go to the ATM ! » Les quelques paroles chantées ont bien entendu été accompagnées de pas de danse un peu bancals, des pas certainement si terrible qui, j'en suis désormais sûr, auraient fait rire mon ami Ricardo aux éclats s'il y avait assisté. Tout sourire, je place mes mains sur mes hanches, et commence à inventer une storyline pour aller avec mes lyrics improvisés. « It’s going to be about a princess who wakes up one morning, and breaks her diadem. She needs to buy a new one, but she can’t find any ATM in her kingdom, because they were stolen by… the atm thief ! » Il semblerait que ce soir, l’alcool nous ait totalement fait oublier l’existence des cartes de crédits à Debbie et à moi, même lorsqu’il s’agit de mon imagination débordante pour écrire des comédies musicales. « Oh, and the princess probably has hypertension, that would be why she has to take diltiazem. » Revenant à côté de mon amie, je place mon bras autour de son épaule, extrêmement fier de mon imbécilité. « And you could play my ATM princess, you know, blondie. » Bien entendu, qui d’autre ?

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
dont get bitter, just get better ft. debbie & elior F5567b133e339e4547b97765b4854c273cc863f8
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
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#
Dim 18 Avr - 20:31
Debbie ne peut réprimer un rire, qui se transforme rapidement en un hoquet peu glamour, l'influence de l'alcool se faisant clairement ressortir sur son système digestif comme ses neurones. Son compagnon d'aventure ne devrait pas être si surpris de la voir se définir parfaitement comme a fun wine aunt, puisque c'est une image qu'elle a naturellement cultivé au fil du temps, que ce soit auprès de ses jeunes collègues à Broadway ou les jeunes gens perdu.e.s qui franchissent la porte du LGBT Center. Reprenant un semblant de sérieux, elle s'empare de la main d'Elior qui s'agite sous ses yeux et lui donne vaguement le mal de mer, lançant un peu convaincant. « Yeah, you better not. »

Gardant sa main dans la sienne, elle l'entraîne elle ne sait pas trop où, les deux compères chantant et dansant joyeusement dans les rues de Manhattan. Il n'est pas impossible qu'ils passent un distributeur de billets d'ailleurs, trop occupés à monter des comédies musicales qui, fort heureusement, ne verrons jamais le jour. Piqué sa créativité, Elio décide d'improviser les paroles de ATM: The Musical! et la blonde doit saluer l'effort. Après tout, ça rime et c'est presque sensé. Nul doute que c'est comme ça qu'on commencé les plus grands hits de Sondheim et Llyod Webber. La comédienne applaudit la brève performance, avant que son ami ne continue sur sa lancée, essayant de trouver une histoire pour aller avec ses paroles.

La tête penchée sur le côté, elle écoute avec attention, essayant d'utiliser la capacité cérébrale qui lui reste pour faire preuve d'esprit critique. « How does one steal an ATM? Like… They're built into walls. » La princesse qui doit payer son diadème en liquide, ses problèmes de tension, la raison pour laquelle elle a un besoin urgent de couronnes à huit heures de matin… Tout ça, elle peut passer outre, non, c'est vraiment l'idée du voleur de distributeur qui la tracasse. « Or does the thief just steal the money, like, they've hacked the ATM and take all the money out? »

Elior l'informe ensuite qu'elle a bien entendu été choisie pour le rôle titre et elle ne peut que faire une révérence, faussement modeste. Qui d'autre après tout, pour amener un rôle si novateur et complexe sur les planches. « I'm flattered honey, what a dream role! A few more questions though… » Si elle est loin d'être une diva dans sa vie professionnelle, Debbie sait en manifester toutes les attitudes, surtout quand elle est ivre et en train de monter un scénario rocambolesque. « Do we think maybe the thief and the princess meet and fall in love? And I think the thief should be a girl, obviously. » Make it gay, son mantra préféré, que ce soit en regardant la télévision ou en écoutant les derniers albums de Taylor Swift.

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#
Lun 26 Avr - 17:45
Debbie a la décence d'applaudir ma performance, qui était pourtant loin d'être digne de ce qu'elle voit tous les jours à Broadway. La raison pour laquelle elle a tant apprécié mon mini show, c'est certainement parce que l'alcool a embrumé son cerveau, et à l'instant T, je ne me rends pas compte non plus de l'embarrassant spectacle que je viens de donner dans les rues du centre ville. Les quelques passants qui ont croisé notre chemin se sont probablement retournés sur moi, mais je m'en fiche. J'accorde quelques révérences à la belle blonde, et au moment où elle me pose des questions sur le génie musical que je semble avoir inventé, je pose mon index sur ma joue quelques instants, comme pour m'aider à réfléchir. « Well yeah hackers who managed to take all the cash ! Something like that » Puis je soupire, grimace et balaye l'air de la main, « it's not THAT important, people can steal weird shit. Clearly you've not stumbled on the same youtube compilations as I did a few days ago... » Si, Elior, c'est important de connaître les détails de ta propre comédie musicale, mais n'essayez clairement pas de me faire changer d'avis quand je suis bourré. Déjà, sobre, c'est pas évident, alors là, c'est peine perdue.

« Of coursee, dollie we were gonna make it gay. » Un pas en avant, qui se veut gracieux mais qui ressemble certainement à un funambule en train de perdre l'équilibre et je lève une main vers le ciel étoilé, mes yeux pleins de paillettes. Je m'y vois déjà. « Some sort of lesbiany Aladdin love story, I'd play the genie... I can see it. » Je suis rêveur, même tous ces appletini que mon système digestif essaye de digérer ne font pas barrière à mon rêve de célébrité. Broadway, la musique, la vie de starlette, j'en ai toujours rêvé. Je suis né pour ça, et je ne laisserai jamais rien ni personne me convaincre que je ne pourrai jamais vivre de la musique. Ca arrivera un jour, j'ai beau avoir plus de trente ans et regarder les années passer, je continue d'espérer. « We really need to write that, doll face. Who would play your love interest ? She has to be fierce, powerfull and, of course, we need someone who can... siiing. » Le dernier mot, je le chante bien sûr, et je prends la note la plus aigue que j'arrive à tenir. « Someone in mind ? I'm serious about this my dear, I hope you are as well. » Tout le monde sait que les meilleures idées viennent après avoir binge watché des épisodes de RuPaul's Drag Race en accumulant les cocktails. N'est-ce pas ?

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Dim 2 Mai - 16:34
Debbie fronce un peu le nez en écoutant son compagnon d'infortune balayer ses questions sur l'évident plot hole de son script, qu'il lui semble personnellement important de résoudre pour que le show ai du sens. Mais ça n'a pas l'air d'être la préoccupation première d'Elior, aussi elle ne pose pas plus de questions, se contentant de hocher la tête quand il cite une compilation YouTube comme source pour ses recherches. Soit. Ce n'est pas comme s'ils allaient vraiment écrire et jouer cette absurde comédie musicale, la blonde sachant déjà qu'elle aura oublié une partie des événements de ce soir à son réveil. Ou du moins, qu'ils ne sauront pas dans l'ordre.

Toutefois, la direction artistique d'Elior progresse, quand il lui confirme que son personnage pourra évidemment être gay. Déjà, elle voit comment toute cette production gagne en qualité. La blonde incline légèrement la tête sur le côté quand il met Aladdin sur le tapis. Elle ne voit pas exactement le rapport, mais l'idée de le voir jouer une sorte de génie lui plaît, alors elle en rajoute une couche. « Ouuh, you can be my fairy godfather! We'll be faaaabulouus. » Elle ne peut s'empêcher de chantonner le dernier mot, telle une Glinda éméchée.

Peut-être qu'elle n'aurait pas dû l'encourager cela dit, car il veut maintenant des propositions pour le rôle de la voleuse/hackeuse/on ne sait pas trop. Debbie fait mine de réfléchir, se grattant le menton et adoptant une mine des plus sérieuses. « Hmm, I'd say maybe Christy Altomare, but that's basically saying I want the love interest to be like, a sexier version of me, so that'd probably be weird. So maybe like, Ariana DeBose? Yeah, she's great. And she could dance the house down! » Un excellent casting, dans un monde imaginaire où quelqu'un qui vient de tourner West Side Story avec Steven Spielberg a du temps à perdre pour leurs élucubrations d'ivrognes.

Voyant alors un panneau lumineux au loin, qui porte le sigle d'une banque bien connue, Debbie agrippe le bras du brun et tend un bras devant elle, s'écriant de la façon la plus dramatique possible. « Look! Is that a bank? Have we found what we are actually looking for? » Peut-être que leur chant a réellement marché et que les dieux de la musique et de l'argent les ont placés sur le bon chemin. Ou qu'ils ont suffisamment tourné en rond pour trouver un distributeur de billets, objet fort commun dans une ville de la taille de New-York. Un des deux, en tout cas.

@ Invité

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#
Dim 16 Mai - 23:06
« The fairy godfather, yes !! » Je claque mes mains l'une contre l'autre, un large sourire sur mes lèvres. Comment n'y avais-je pas pensé plus tôt ? « More than fabulous honey, we'll be magical ! Inspired by the Great Gay Magic, straight from the Holy Goddess of the Gays... Cher. » Moi-même j'ai un peu de mal à comprendre ce que je dis et à suivre mon raisonnement, au moins, je me détends complètement, et j'ai enfin l'impression d'être moi-même. Comme si, quelque part, j'avais perdu une partie de moi quelques semaines auparavant. En temps normal, je suis si enjoué et heureux de vivre, alors que depuis novembre, j'ai beau tenter de me cacher derrière des soirées alcoolisés entre amis, je sais très bien que ça ne va pas. Que quelque chose manque à ma vie. Je me surprends de plus en plus à me réveiller du mauvais pied le matin, et même à perdre patience plus rapidement avec mes élèves. Je sors un peu trop pour un homme qui a un enfant à charge, je me mêle encore plus de la vie de Wesley que je le devrais, simplement pour éviter la mienne. A ce moment précis, face à Debbie, je surjoue mon taux d'alcoolémie, probablement pour cacher ce que je ressens. Pas que je ne souhaite pas me confier à elle, mais je ne me vois juste pas faire un mental breakdown dans les rues de Manhattan. Alors, j'accentue ma propre personnalité. Mes gestes sont encore plus grand, ma voix plus forte, mon sourire plus large. Peut-être plus crispé, même. « An iconic, magical duo, as always. » Et je repose mes yeux sur mon amie, tentant de voiler l'appel d'urgence qui doit se lire dans mon regard. Nobody wants to know how you really feel, Elior. They just want to see the diva out of you. Give it to them.

« Yes, DeBose ! Excellent idea ! » J'adresse un clin d'œil à mon amie en soufflant « already ship it. » dans son oreille, une main à côté de ma bouche, comme si je lui dévoilais le plus croustillant des secrets. Puis, je hausse les épaules, étends les bras et grogne brièvement. « If only i already had my breakthrough, i could contact her and seriously make it happen. » Je me place devant la belle blonde, droit comme un piquet et lève la main droite, la gauche posée délicatement sur mon torse, au dessus de mon cœur. « But i swear to you Milady, on my honor that when the time comes, I will make it happen. »

Un léger sursaut lorsque la comédienne s'agrippe à moi, et je mets quelques interminables secondes à comprendre ce qu'elle vient de me dire. « OH. MY. GOD. WE TOTALLY DID IT ! » J'attrape la main de mon amie, prêt à courir pour ma vie en sa compagnie, comme si nous étions les deux protagonistes d'un film post-apocalyptique qui venaient de découvrir un Oasis au milieu d'un désert. Bien sûr, à ce moment-là, je ne me rends pas vraiment compte d'à quel point trouver une banque dans New York est facile. Il y en a partout, de toutes les enseignes, et on en a certainement loupé une dizaine sur le chemin de notre périple. But oh, well, drunks will be drunks.

hrp:

@ Debbie Sinclair

Debbie Sinclair
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Dim 23 Mai - 17:13
Elior s'enthousiasme évidemment de se voir caster dans de rôle fabuleux. Le genre de rôle que la comédienne aurait voulu aussi, à vrai dire. Elle n'aime rien tant qu'un personnage secondaire avec un solo mémorable qui lui permet de rester en coulisses pendant une bonne partie du show. Non pas qu'elle n'apprécie pas d'être au centre de la scène pendant plus de deux heures, comme c'est le cas actuellement, mais c'est plutôt usant et ce n'est pas viable à long terme. Fantine, Grizabella, Nimue… Des rôles que l'on peut jouer à l'infini sans se fatiguer, ou presque. Il lui faudrait sans doute travailler un peu pour pleinement maîtriser les notes plus les intenses de Memory… Mais elle aura tout le loisir d'y réfléchir une autre fois, quand son camarade n'invoquera pas la déesse de la culture LGBT américaine pour se donner de l'aplomb. Portant une main faussement offensée à sa poitrine, Debbie s'exclame. « Do not invoke Cher's name in vain young man! » Il est certain sacrilège trop grave pour être risqué. « You better deliver on that fabulousness. Although, I won't doubt you on that front. »

Comme pour illustrer son propos, le brun surenchérit, ses yeux écarquillés et son sourire presque maniaque. Debbie fronce les sourcils, trouvant ce changement d'attitude un rien extrême, mais elle a le cerveau bien trop embrumé par les vapeurs d'alcool pour s'attarder sur cette augmentation du volume et l'énergie erratique qui pulse dans l'air entourant Elior. Elle se contente donc d'un large sourire et d'un hochement de tête, ne doutant pas de leur capacité à personnifier les paillettes si le besoin s'en fait ressentir.

La blonde glousse alors, quand son ami valide d'un air taquin ses choix de casting. Lui donnant un coup de coude des plus puérils, elle réplique. « Ugh, I'd ship it too, which wouldn't be great for production probably. Unless they're already married coming in, backstage romances don't usually end well. » Le souvenir d'une collègue embrassant langoureusement l'acteur principal lors de la clôture d'un show restera à jamais gravé dans sa mémoire. Principalement parce que le pauvre homme n'était pas du tout sur la même longueur d'ondes, puisqu'il a fait son coming-out quelques mois plus tard. Les aléas de Broadway, you never know who's straight back here.

Elior lui a déjà des rêves de grandeur et lui promet donc de prendre contact avec Ms DeBose, dès que son carnet d'adresses se sera rempli. Des deux, c'est sans doute elle qui a le plus de chance de croiser un jour la talentueuse actrice. Et encore, ça reste une chance infime. Mais Debbie n'a nullement l'intention de briser les rêves de son compagnon de beuverie, aussi elle opine du chef et ajoute. « It's settled then, you secure DeBose and we can put this show on the road! » Après quelques révisions du script, peut-être. Mais alors que la comédienne s'apprête à poser quelques questions supplémentaire - pourquoi les distributeurs ont-ils été volés, quelle est la résolution de l'intrigue, ce genre de choses - mais son fil de pensée est interrompu à la vue du signe qu'ils attendaient: le logo d'une banque.

Debbie s'agrippe au bras d'Elior, qui n'en croit pas ses yeux non plus. « Oh my god, I'm gonna get emotionnal! Wait, what did we need cash for again? » Avec toutes ces élucubrations musicales, son cerveau a totalement abandonné la partie. Elle ne se dirige pas moins vers le distributeur, fouillant dans son sac à main pour trouver sa carte bleue et l'illumination lui vient alors. « Ah right, yes, to go home, duh! Where do you even live by the way? » En avaient-ils déjà parlé? Sans doute, mais la mémoire de la comédienne est fort sollicité dans sa vie professionnelle et cela lui laisse donc peu de stockage disponible pour les détails du genre "où habite mon pote Elior déjà." Staten Island lui vient à l'esprit, mais ce serait ridiculement loin. Ce n'est presque plus New-York! Impensable.

@ Invité

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#
Lun 28 Juin - 16:49
L'air choqué, je secoue vivement la tête de gauche à droite, comme si ma vie en dépendait. « Blondie do you even know me ? » Je fais mine d'avoir prit un coup de poignard dans le coeur, et soupire longuement. « i would never invoke Cher's name in vain. » Non, en effet, c'est quelque chose que je ne ferais ni sobre ni complètement bourré. Ca, j'en suis bien certain.

Mais nous avons rapidement changé de sujet, parlé du casting de la comédie musicale imaginaire qui ne verra probablement jamais le jour, à moins que je veuille perdre ma crédibilité avant même de gagner quelque chose dans ce milieu. Et surtout, faire perdre la sienne à Debbie, qui, elle, a déjà une belle place sur la scène de Broadway. « Yeah, you're right about the backstage romance thing. Never ends well. But hey, even the greatest couples have their own shit and problems, don't they ? » Me rendant soudainement compte de ce que je viens de dire, je secoue brusquement la tête, et poursuis rapidement. « I mean, i'm obviously talking about Brad Pitt and Jennifer Anniston, or Beyoncé and Jay-Z. » J'ai eu peur qu'elle me pose trop de question sur le mien de couple, des questions auxquelles je ne veux pas répondre à ce moment là. Mais, dans la précipitation, je ne me rends pas forcément compte que tout ce que je viens de déblatérer n'avait pas vraiment de sens ni même de rapport avec le sujet initial de la conversation. Je ne fais pourtant pas de remarque. De toute façon c'est bien pratique, je peux mettre mon comportement étrange sur le dos de l'alcool.

Et nous voilà enfin devant une banque, munie d'un distributeur de billets. J'ai l'impression que cela fait des heures que l'on recherche l'un de ceux-là, et pourtant, je suis sûr qu'on en a loupé une dizaine sur la route. C'est comme si on était partit dans une quête, une aventure fantastique à la recherche de monnaie. « I live in the deep Bronx, darling. My sunshine is hidden behind dark and sad buildings. » En réalité, je n'ai rien contre mon quartier, au contraire. J'adore mon appartement, et en plus, j'ai Adrian, le meilleur des voisins qui se porte souvent volontaire pour garder mon petit Adam. Alors que je patiente derrière mon amie le temps qu'elle faire son retrait, une illumination vint à moi comme l'ange Gabriel est apparut face aux rois mages. « Hey, baby girl... » Je me mets à rire une nouvelle fois face à notre bêtise, je viens de me rendre compte de quelque chose d'assez exceptionnel. « Don't they have credit card terminals now, in taxis ? Or however the hell those things are called ? » Ma question n'en est pas vraiment une, car je connais la réponse à celle ci. Oui, de nos jours, on peut payer un taxi en carte bleue. Alors oui, il semblerait qu'on ai fait tout ça pour rien.

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Debbie Sinclair
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Sam 17 Juil - 16:16
« Who you calling Blondie kid ? » Elle prend son accent new-yorkais le plus stéréotypé et le plus épais - digne d'un film de mafiosos, vraiment - et regarde Elior d'un air faussement défiant. En vérité, le surnom ne l'offense nullement, elle a accepté il y a longtemps d'être une Barbie miniature ayant pris vie. Une Polly Pocket peut-être. Si ce genre de jouets existaient dans des proportions ne défiant pas toutes les lois de l'anatomie et de la physique. Elle rit toutefois devant le sérieux avec lequel le brun prend ses accusations et bat donc en retraite. « As long as you are not committing blasphemy, it's all good babe. »

Le professeur abonde dans son sens, confirmant que les relations en coulisses sont rarement de bon augure. Debbie a eu deux, trois amourettes tout à fait agréables avec des collègues, mais jamais rien de sérieux et toujours en connaissance de cause. Et, évidemment, au fil des années, elle a bien vu quelques couples se former lors d'une production et en ressortir solides, voire mariés ou parents. Mais ce ne sont rien de plus que des exceptions qui confirment la règle.

Imaginant le drama qu'Elior doit observer régulièrement au lycée - haut lieu d'émotions, même pour celles et ceux qui n'ont pas eu la chance d'être des theatre kids - la comédienne s'apprête à l'interroger, mais il préfère citer des exemples de célébrités. Il semble changer de sujet un peu vite d'ailleurs. Sobre, Debbie aurait certainement fait le rapprochement entre les propos de son ami et sa situation personnelle qu'elle sait difficile. Il n'est jamais entré dans les détails, mais il n'y a pas besoin d'être un génie pour comprendre qu'il s'est fait largué, avec son gamin sur les bras, et que ça n'a pas été facile. C'est sans doute pourquoi il est là, avec l'éternelle Tata, plutôt qu'à dormir sagement jusqu'à ce que son marmot ne l'extirpe du lit aux aurores.

Mais le cerveau embrumé de la blonde n'est certainement pas capable de tant de réflexion, alors elle se contente d'hocher la tête et ajouter « Totally, like Taylor Swift and Joe Jones. Or Olivia Rodrigo and the boy from that show. » Elle pointe deux finger guns en direction d'Elior, tout sourire. « Right? I'm hip and young and relevant, see! » Elle éclate de rire et, finalement, ils trouvent leur sacro-saint, la raison pour toutes ces aventures nocturnes: le distributeur!

Elle s'approche, écoutant le jeune professeur lui expliquer qu'il vit dans le Bronx. Pourquoi diable avait-elle Staten Island en tête? Qu'importe, le Bronx, ça, elle connaît. En bientôt 15 ans, Debbie a fait plus ou moins le tour de l'île, ayant eu des appartements de standing très variables dans tous les burough du centre. « But you've got a dope park! And arguably the best cheap food in the city. I'd kill for a decent bodega, Brooklyn is overrun by hipster cafés and vegan snack, I swear to God! »

Et alors qu'elle retire gentiment ses billets, Elior est pris d'une illumination. Lentement, la comédienne tourne la tête vers lui, dans un effet des plus dramatiques. Elle le fixe un instant, essayant de se souvenir de son dernier trajet en taxi. Il lui échappe, sous les couches de confusion apposées par l'alcool. Elle se contente donc d'éclater de rire. Longuement. Bruyamment. Elle rit, encore et encore. La scène est tout bonnement absurde. Retrouvant un peu de contenance, du moins, assez pour aligner trois phrases, Deb répond enfin. « Oh my god, that's amazing, we just ran around the block for absolutely no reason. Geniuses, the pair of us. » Elle s'esclaffe à nouveau. « Well, at least we have a fucking musical to show for our adventures! » Puis, passant son bras sous celui d'Elior, elle ajoute avec un large sourire. « Shall we go home then? »

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