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A découvrir Zoellyne ☽ “The world is full of magic things, patiently waiting for our senses to grow sharper.”
@ Invité
 Zoellyne Leola Keresft Jenna Louise Coleman ꕥ résumé : Votre sorcière bien aimée pour vous servir. gée de 33 ans, Zoe a toujours eu l’esprit ailleurs, la tête dans les étoiles, attentionnée, loyale, elle a hérité du côté autoritaire et têtu de la grand-mère qui l’a élevée en compagnie de son petit-frère après la disparition de leur parents. Son pays natal est la Lettonie où elle a grandit et étudié. C’est lorsque son génie de frère se décide à partir pour le Nouveau Continent pour développer son plein potentiel que Zoe le suit, incapable de se résoudre à le laisser affronter le monde seul. Elle a embarqué dans sa valise toutes ses plantes, ses bougies, ses rituels et ses charmes avec l’ambition de partager son savoir et ses infusions. Pour ce faire, elle a ouvert un salon de thé et donne des cours de russe au lycée un jour par semaine. | who am I ꕥ orientation sexuelle : Hétéro-demisexuelle ꕥ situation : Célibataire ꕥ occupation : Professeur de russe et gérante du salon de thé : Moonlight Cup Room. ꕥ quartier : Queens ꕥ qualités : Ouverte d’esprit, Attentionnée, Persévérante, rêveuse, à l’écoute. ꕥ défauts : Maladroite, distraite, surprotectrice, têtue, autoritaire. ꕥ groupe : just small daddy issues ꕥ communautés : Le lycée de Staten Island all about my player ꕥ petite présentation perso :22 ans qu’elle est en vie et on en a marre d’elle. Hareng Séduisant, Panda-Sama, Chloé, appelez là comme vous voulez, ça ne changera rien aux faits. Elle nous gonfle à parler sans cesse RP, de créer des persos à tour de bras et après de pleurer qu’elle a trop RP, mais qu’elle les aime trop. Qui sait ce qui se passe dans cette tête franchement ? Quand elle est pas en train d’écrire, elle est sûrement en train de danser toute seule devant son miroir ou à jouer du ukulélé, du piano… elle arrête jamais de chanter, c’est chiant. Elle parle à ses chats, elle est bien trop fière de sa Normandie, elle a un humour débile qui fait rire qu’elle, bref, pas une créature que je vous recommanderai de fréquenter.ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ ..................................................... ꕥ un livre : Le Pacte des Marchombre : Ellana de Pierre Bottero ꕥ un film : Holy Grail ꕥ une série : Sense 8 ꕥ une chanson : Peking Duk - Say my name ꕥ un animal : plein de pandas ꕥ un plat/dessert : Là, tout de suite, j’ai envie de brocoli au Cheddar... ꕥ une boisson : Une infusion à la Camomille. ꕥ une célébrité : ꕥ un pouvoir magique : Projection astrale ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ ..................................................... ꕥ un trigger : Je suis pas ouf sur le viol, l’inceste, l'automutilation,... |
that's my story / self diagnosis
Chaque sorcière consigne soigneusement ses expériences dans son Livres de Ombres, cela lui permet de garder une trace de ce qui a été. Afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, apprendre, améliorer ses rituels, méditer sur son développement personnel. Une acte qui devient rapidement une habitude, un besoin. Votre Livre des Ombres est une partie de vous, de votre âme. Ce que je vais vous conter là, est une histoire, qui parle de mon développement, de mon cheminement, de magie un peu aussi. Mais ce n’est pas mon Livre des Ombres que je vous ouvre. Peut-être que cette histoire a commencé il y a des milliers d’année, peut-être que cette âme à connu mille voyage mais je vais me contenter de ce dont je me souviens ou ce que mes proches m’ont racontés.
Tout commença la première nuit de printemps, le 20 mars 1986, dans un hôpital de la belle ville de Riga, Lettonie. Un père anxieux, une mère épuisée, mais tous les deux satisfait de pouvoir tenir le petit être fragile et braillard que j’étais. Je ne me souviens pas de cette nuit, ni de celles qui suivirent. Il est commun de ne pas se souvenir de sa petite enfance. Rien d’alarmant. Je me souviens des dessins aux milles couleurs que j’aimais gribouiller et voir affiché sur le frigo. Je me souviens d’avoir couler des jours heureux à courir dans le grand jardin de ma grand-mère. Et la naissance de Skander.
J’avais sept ans, je me souviens du ventre rond de maman, de la panique soudaine, du départ pour l’hôpital. J’étais chez mamie, jusqu’à ce que papa appelle pour nous donner des nouvelle. Et un bébé aussi grand qu’une de mes poupées, tout calme, et tellement… Réel. Passé les premiers syndromes de jalousie, de ne plus être l’unique enfant du foyer, je me suis éprise de cette petite tête, de ses rires. J’ai pris mon rôle de grande soeur très à coeur, redoublant d’efforts à l’école pour pouvoir lui lire des histoires sans trop décomposer chaque syllabe. Et toute mon innocence infantile, refusant de voir les conflits, d’entendre les disputes.
Un beau jour, elle est partie. Maman a fait sa valise, elle est partie, doucement, avec un dernier sourire pour sa progéniture de douze et cinq ans. Puis elle a fermé la porte. Malgré les tentatives d’explication de mamie, je n’ai jamais réussi à comprendre. Je me souviens du tribunal, du sentiment de peur surtout. Mais pour Skander je devais être forte, être son exemple, même s’il était trop jeune pour comprendre ce qu’il se passait. Papa a obtenu la garde, sans un premier temps. Il a assuré, avant que l’absence de maman se ne fasse trop ressentir, “pèse comme un couvercle sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis.”, pour emprunter les mots de Baudelaire.
Jour après jour, j’ai vu papa s’enfermer, s’éloigner, jamais physiquement. Je me souviens de la peine dans ses yeux lorsque son regard se posait sur nous. Un soir, j’ai eu peur, j’ai appelé mamie. Elle est venue. Elle a passé la nuit à la maison. Elle est resté quelques jours. Elle a passé beaucoup de temps à parler avec papa d’abord à travers la porte de sa chambre, puis à l’intérieur. Je n’ai jamais osé écouter, ni même regarder par le trou de la serrure. Il fallait bien quelqu’un pour jouer avec Skander.
Papa a fait sa valise à son tour. Il est parti, mais pas pour une autre famille, pas pour faire sa vie ailleurs, comme j’ai appris que maman l’avait fait. Nous sommes partis vivre chez mamie avec Skander, à la campagne. Il fallut attendre quelques mois avant de pouvoir aller voir papa à l’hôpital. En attendant, j’avais dit à Skander qu’il nous aimait toujours, que papa été là bas parce qu’il avait besoin qu’on lui apprenne à être à nouveau heureux, qu’il avait oublié comment sourire. Alors nous lui avons fait plein de dessin aux milles couleurs.
J’ai beaucoup de souvenir des années qui ont suivi, le collège, le lycée, toujours sous l’oeil bienveillant de mamie. Mais ce serait trop long de tout évoquer ici. Et personne n’a envie de revivre son adolescence. Une période importante certes, ponctuée de ses bons et ses mauvais moment, ses hauts, ses bas. La prise de conscience soudaine qu’on grandit, physiquement et psychologiquement. Et beaucoup de premières fois. Heureusement, je pouvais toujours compter sur le soutien de mamie. Stricte, mais droite dans ses bottes, avec toujours une anecdotes, un remède, un bon conseil pour chaque situation.
De son côté, Skander s’est vite illustré sur le plan scolaire. Diagnostiqué ‘surdoué’, il progressait à une vitesse folle, curieux de tout. Solitaire, mais seulement parce que incompris par les jeunes de son âge et même parfois de personnes plus vieilles que lui. Mais j’ai fait de mon mieux pour être là, prendre soin de mon petit-frère. M’inquiétant plus pour lui que mes propres problèmes, j’oubliai que je n’étais pas la seule à être là pour lui. Mamie était notre responsable légal. Et quelque part, il y avait papa aussi. Qui se reconstruisait brique après brique.
Après le lycée, j’ai commencé des études de Philologie à l’Université de Riga. M’éloignant, pour la première fois de la douce campagne où j’avais grandi et surtout de mamie et Skander. Les premiers temps furent tellement dur que je rentrais à la maison le plus souvent possible. Puis j’ai pris goût à cette liberté. Et j’ai découvert que peu importe la distance, mes proche n’était jamais loin. J’ai arrêté de craindre la solitude, parce que j’ai appris, j’ai compris que je n’étais et ne serais jamais seule. Grâce à ce livre, au détour d’une bibliothèque. J’ai arrêter mon essaie de Philologie pour prendre le temps de le lire, le découvrir le comprendre. Et vint un temps de réflexion. Je ne suis pas devenu une sorcière ce jour là. J’ai pris conscience que la magie était partout et qu’elle l’avait toujours été.
Ma découverte de la Wicca éclaira beaucoup de chose et m’aida à grandir. Je me souviens du jour où j’ai tenu pour la première fois mon Livre des Ombres. Un beau cahier à la couverture sombre décoré de constellations. Le frisson qui a parcouru mon corps et j’ai su que c’était le bon. Encore une fois, il y aurait tellement à dire sur cette découverte, ce développement, tout ce que la magie a pu m’apporter. Mais je vous réserve cela pour plus tard, le sujet prendrait bien trop de temps. Et comment mettre des mots sur ses expériences ?
Après mes études, je me suis lancé dans le monde du travail. L’aventure à commencé dans une petite librairie, que j’ai quitté pour aller gonfler les rangs des vendeur ésotériques. Malheureusement la boutique a fini par fermer et c’est finalement un petit coffee shop qui m’a accueilli. Le but était de travailler d’arrache-pied. Si mamie avait pu payer mes études (avec l’aide, quelque part des économies que papa et maman avaient fait pour ce moment), je savais que ce ne serait jamais assez pour permettre à Skander d’accéder aux études qu’il méritait.
Grâce à mes économies, celle de nos aînés et aux bourses, Skander pu saisir l’opportunité que lui proposait New York. Mais croyez-vous que j’allais le laisser affronter seul ce monde hostile ? Jamais de la vie. Nous sommes arrivé sur le Nouveau Continent, tel deux migrant en quête du rêve américain, avec toutes nos économies en poche. Les débuts furent difficiles, surtout pour moi, je crois. J’ai toujours eu du mal à comprendre ce qui se passait dans la tête de Skander. Il n’avait même pas vingt ans, et j’avais parfois l’impression d’être la petit-soeur qui panique, qui s’inquiète, qui a peur de l’inconnu. Mais pourquoi paniquer alors que, peu importe le lieu, tant que j’avais mon frère et ma magie, tout était possible.
Je ne sais pas si le ‘rêve américain’ existe. Cependant, vivre ici m’a définitivement inspirée. Après deux années à me chercher, le projet d’un salon de thé à germer dans ma petite tête brune. Après plusieurs jobs, je me suis posée au lycée de Staten Island où j’y enseignait et y enseigne toujours le russe. Il y eu aussi de nombreux rituels qui m’ont aidé à construire doucement les fondation de mes ambitions. Jusqu’à l’ouverture officielle du salon de thé, modestement nommé : Moonlight Cup Room . Un petit coin de bonheur magique ouvert à tous qu’il me plait de gérer.
Tout commença la première nuit de printemps, le 20 mars 1986, dans un hôpital de la belle ville de Riga, Lettonie. Un père anxieux, une mère épuisée, mais tous les deux satisfait de pouvoir tenir le petit être fragile et braillard que j’étais. Je ne me souviens pas de cette nuit, ni de celles qui suivirent. Il est commun de ne pas se souvenir de sa petite enfance. Rien d’alarmant. Je me souviens des dessins aux milles couleurs que j’aimais gribouiller et voir affiché sur le frigo. Je me souviens d’avoir couler des jours heureux à courir dans le grand jardin de ma grand-mère. Et la naissance de Skander.
J’avais sept ans, je me souviens du ventre rond de maman, de la panique soudaine, du départ pour l’hôpital. J’étais chez mamie, jusqu’à ce que papa appelle pour nous donner des nouvelle. Et un bébé aussi grand qu’une de mes poupées, tout calme, et tellement… Réel. Passé les premiers syndromes de jalousie, de ne plus être l’unique enfant du foyer, je me suis éprise de cette petite tête, de ses rires. J’ai pris mon rôle de grande soeur très à coeur, redoublant d’efforts à l’école pour pouvoir lui lire des histoires sans trop décomposer chaque syllabe. Et toute mon innocence infantile, refusant de voir les conflits, d’entendre les disputes.
Un beau jour, elle est partie. Maman a fait sa valise, elle est partie, doucement, avec un dernier sourire pour sa progéniture de douze et cinq ans. Puis elle a fermé la porte. Malgré les tentatives d’explication de mamie, je n’ai jamais réussi à comprendre. Je me souviens du tribunal, du sentiment de peur surtout. Mais pour Skander je devais être forte, être son exemple, même s’il était trop jeune pour comprendre ce qu’il se passait. Papa a obtenu la garde, sans un premier temps. Il a assuré, avant que l’absence de maman se ne fasse trop ressentir, “pèse comme un couvercle sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis.”, pour emprunter les mots de Baudelaire.
Jour après jour, j’ai vu papa s’enfermer, s’éloigner, jamais physiquement. Je me souviens de la peine dans ses yeux lorsque son regard se posait sur nous. Un soir, j’ai eu peur, j’ai appelé mamie. Elle est venue. Elle a passé la nuit à la maison. Elle est resté quelques jours. Elle a passé beaucoup de temps à parler avec papa d’abord à travers la porte de sa chambre, puis à l’intérieur. Je n’ai jamais osé écouter, ni même regarder par le trou de la serrure. Il fallait bien quelqu’un pour jouer avec Skander.
Papa a fait sa valise à son tour. Il est parti, mais pas pour une autre famille, pas pour faire sa vie ailleurs, comme j’ai appris que maman l’avait fait. Nous sommes partis vivre chez mamie avec Skander, à la campagne. Il fallut attendre quelques mois avant de pouvoir aller voir papa à l’hôpital. En attendant, j’avais dit à Skander qu’il nous aimait toujours, que papa été là bas parce qu’il avait besoin qu’on lui apprenne à être à nouveau heureux, qu’il avait oublié comment sourire. Alors nous lui avons fait plein de dessin aux milles couleurs.
J’ai beaucoup de souvenir des années qui ont suivi, le collège, le lycée, toujours sous l’oeil bienveillant de mamie. Mais ce serait trop long de tout évoquer ici. Et personne n’a envie de revivre son adolescence. Une période importante certes, ponctuée de ses bons et ses mauvais moment, ses hauts, ses bas. La prise de conscience soudaine qu’on grandit, physiquement et psychologiquement. Et beaucoup de premières fois. Heureusement, je pouvais toujours compter sur le soutien de mamie. Stricte, mais droite dans ses bottes, avec toujours une anecdotes, un remède, un bon conseil pour chaque situation.
De son côté, Skander s’est vite illustré sur le plan scolaire. Diagnostiqué ‘surdoué’, il progressait à une vitesse folle, curieux de tout. Solitaire, mais seulement parce que incompris par les jeunes de son âge et même parfois de personnes plus vieilles que lui. Mais j’ai fait de mon mieux pour être là, prendre soin de mon petit-frère. M’inquiétant plus pour lui que mes propres problèmes, j’oubliai que je n’étais pas la seule à être là pour lui. Mamie était notre responsable légal. Et quelque part, il y avait papa aussi. Qui se reconstruisait brique après brique.
Après le lycée, j’ai commencé des études de Philologie à l’Université de Riga. M’éloignant, pour la première fois de la douce campagne où j’avais grandi et surtout de mamie et Skander. Les premiers temps furent tellement dur que je rentrais à la maison le plus souvent possible. Puis j’ai pris goût à cette liberté. Et j’ai découvert que peu importe la distance, mes proche n’était jamais loin. J’ai arrêté de craindre la solitude, parce que j’ai appris, j’ai compris que je n’étais et ne serais jamais seule. Grâce à ce livre, au détour d’une bibliothèque. J’ai arrêter mon essaie de Philologie pour prendre le temps de le lire, le découvrir le comprendre. Et vint un temps de réflexion. Je ne suis pas devenu une sorcière ce jour là. J’ai pris conscience que la magie était partout et qu’elle l’avait toujours été.
Ma découverte de la Wicca éclaira beaucoup de chose et m’aida à grandir. Je me souviens du jour où j’ai tenu pour la première fois mon Livre des Ombres. Un beau cahier à la couverture sombre décoré de constellations. Le frisson qui a parcouru mon corps et j’ai su que c’était le bon. Encore une fois, il y aurait tellement à dire sur cette découverte, ce développement, tout ce que la magie a pu m’apporter. Mais je vous réserve cela pour plus tard, le sujet prendrait bien trop de temps. Et comment mettre des mots sur ses expériences ?
Après mes études, je me suis lancé dans le monde du travail. L’aventure à commencé dans une petite librairie, que j’ai quitté pour aller gonfler les rangs des vendeur ésotériques. Malheureusement la boutique a fini par fermer et c’est finalement un petit coffee shop qui m’a accueilli. Le but était de travailler d’arrache-pied. Si mamie avait pu payer mes études (avec l’aide, quelque part des économies que papa et maman avaient fait pour ce moment), je savais que ce ne serait jamais assez pour permettre à Skander d’accéder aux études qu’il méritait.
Grâce à mes économies, celle de nos aînés et aux bourses, Skander pu saisir l’opportunité que lui proposait New York. Mais croyez-vous que j’allais le laisser affronter seul ce monde hostile ? Jamais de la vie. Nous sommes arrivé sur le Nouveau Continent, tel deux migrant en quête du rêve américain, avec toutes nos économies en poche. Les débuts furent difficiles, surtout pour moi, je crois. J’ai toujours eu du mal à comprendre ce qui se passait dans la tête de Skander. Il n’avait même pas vingt ans, et j’avais parfois l’impression d’être la petit-soeur qui panique, qui s’inquiète, qui a peur de l’inconnu. Mais pourquoi paniquer alors que, peu importe le lieu, tant que j’avais mon frère et ma magie, tout était possible.
Je ne sais pas si le ‘rêve américain’ existe. Cependant, vivre ici m’a définitivement inspirée. Après deux années à me chercher, le projet d’un salon de thé à germer dans ma petite tête brune. Après plusieurs jobs, je me suis posée au lycée de Staten Island où j’y enseignait et y enseigne toujours le russe. Il y eu aussi de nombreux rituels qui m’ont aidé à construire doucement les fondation de mes ambitions. Jusqu’à l’ouverture officielle du salon de thé, modestement nommé : Moonlight Cup Room . Un petit coin de bonheur magique ouvert à tous qu’il me plait de gérer.
this session is gonna be different
Hareng Séduisant ꕥ 22 ans fréquence de rp : Au mieux, une fois par semaine, au pire 1 fois par mois. ϟ fréquence de connexion : 4/7 ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Pas vraiment, j’aime faire au feeling, selon l’inspiration du moment. ϟ avatar à réserver : Jenna Louise Coleman ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Les petits pois sont rouges. ϟ comment avez-vous connu 99 ? Par PRD ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Abracadabra |  |
Pando (icon) cosmic light (avatar)
@ Invité
Bienvenue sur le forum ! 
Hâte d'en lire plus sur ton personnage, je ne peux qu'approuver le choix d'avatar en tout cas, Jenna est une adorable chouquette puissance 1000 ! 
Par contre, faut qu'on en parle mais "Tyler Joseph" comme choix, juste genre, je t'aime déjà. TOP c'est tellement la vie bon sang.
(Les chats aussi ceci dit.)
Bon courage pour ta fiche !
Hâte d'en lire plus sur ton personnage, je ne peux qu'approuver le choix d'avatar en tout cas, Jenna est une adorable chouquette puissance 1000 ! Par contre, faut qu'on en parle mais "Tyler Joseph" comme choix, juste genre, je t'aime déjà. TOP c'est tellement la vie bon sang.
(Les chats aussi ceci dit.)Bon courage pour ta fiche !
@ Invité
Elle a l'air très mims cette Zoelynne 
Puis Jenna 
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Puis Jenna Bienvenue et bon courage pour ta fiche
@ Invité
@Jorje Garcia Mercii ! J'ai hâte de finir ma fiche et lancer ma petite Zoe dans le monde hostile du RP !
Ouiii ! J'ai tellement hésité, mais il n'existe franchement pas de célébrité qui m'inspire plus que lui, ses chansons, ses textes... Huh... Je dirais pas mieux TOP, c'est la vie.
@Orion Parrish Hiii merciii !
Alors, soit j'arrive à trouver un peu de temps et jfini ma fiche ce week end, sinon elle devra attendre lundi... Just so you know
!
Ouiii ! J'ai tellement hésité, mais il n'existe franchement pas de célébrité qui m'inspire plus que lui, ses chansons, ses textes... Huh... Je dirais pas mieux TOP, c'est la vie.
@Orion Parrish Hiii merciii
!Alors, soit j'arrive à trouver un peu de temps et jfini ma fiche ce week end, sinon elle devra attendre lundi... Just so you know
!@ Invité
Bienvenue officiellement ici, j'ai hâte de découvrir la petite histoire d'être la présentation invitée car elle était déjà si adorable Et tu es passée du letton au russe à ce que je vois XD
Si tu as des questions itou n'hésites surtout pas
Et tu es passée du letton au russe à ce que je vois XDSi tu as des questions itou n'hésites surtout pas
@ Invité
La Normandie c'est la vie 
Bienvenue parmi nous !
Tu me réserves un petit lien à ta validation J'adore tout ce que je lis sur ton personnage !
Bienvenue parmi nous !
Tu me réserves un petit lien à ta validation
J'adore tout ce que je lis sur ton personnage ! @ Invité
@Alejandro Estrella Merci ! J'espère que l'histoire te plaira autant que le début de ma fiche ! Aaah et techniquement, je suis pas passée du Letton au russe, j'ai découvert que le russe était une des langues officielles en Lettonie, donc tout à trouvé sa solution 
!
@Sirius Vandesky Jotem, la Normandie, la sang !
Merciii ! Et évidemment que je te garde un lien ! Comment refuser quoique ce soit à une telle bouille !
! Aaah et techniquement, je suis pas passée du Letton au russe, j'ai découvert que le russe était une des langues officielles en Lettonie, donc tout à trouvé sa solution !@Sirius Vandesky Jotem, la Normandie, la sang
!Merciii ! Et évidemment que je te garde un lien ! Comment refuser quoique ce soit à une telle bouille !
@ Invité
présentation validée !
Just before we start...J'ai beaucoup, beaucoup aimé ta fichela douceur qu'on en ressent, l'amour de zoellyne face à a skander, son histoire avec ses parents, sa grand mère, c'est à la fois tout doux et ponctué de quelques drames bien gérés et c'est vraiment très plaisant à découvrir
j'ai hâte de la voir parler le russe au lycée tient
(et puis les 10000 idées de perso et tout le temps parler de rp, i feel you
)
Pour faciliter ton intégration sur le forum je t'invite à créer ta fiche de liens. Le petit résumé du perso que tu as écrit dans ta fiche peut être utilisé là bas, il est presque fait pour ça en fait
Avant de te lancer, même si je suppose que c'est déjà fait en grande partie, n'hésite pas à prendre connaissance des annexes. Il n'y en a pas beaucoup et elles peuvent s'avérer franchement utiles !
N'oublie pas non plus de recenser le métier de ton personnage ainsi que le logement habité, et si tu le souhaites, tu peux même aller créer des petits scénarios ou pré-liens pour ton personnage dans cette section
Pour finir, n'hésite pas à venir sur la box et à profiter de notre flood amélioré !
J'espère que tu passeras un bon moment sur le forum. En cas de besoin, nos boîtes de MPS sont toujours ouvertes N'hésite pas à nous contacter, tu trouveras toutes les infos sur qui nous sommes ici
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